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Maman très chaude, enfants pervers.Ch.9

Maman très chaude, enfants pervers.Ch.9



Chapitre 9 : Kate donne un cours particulier à sa fille qui promet de l’aider.

Je pose le téléphone et je pense à ce qu’il faut que je fasse. Pour l’instant je ne peux qu’imaginer les choses perverses que Frank me demandera de faire pour lui et ses amis… Oui, ses amis aussi ! Mon Dieu, je vais entre une salope totale ! Une putain en quelle que sorte. Combien d’amis va-t-il inviter ? Deux ? Trois ? Dix ? Quelle différence , Vont-ils me baiser la chatte ? Mon cul ? Ma bouche ? Peut-être tous même temps dans tous mes trous ? Je ne peux pas respirer rien que d’y penser ! J’ai rêvé de faire cela avec Eric que j’aime et peut-être quelqu’un d’autre… quelqu’un près de prés, mais pas avec un pervers et ses amis aussi pervers que lui !

Mais que puis-je faire ? Je suis seule, vulnérable et déconcertée. Frank a toutes ces photos qui pourraient détruire tant de choses, donc il a le contrôle total de cette situation. Mais plus j’y pense, plus cette idée me dégoute. Je ne peux pas le faire ! Je ne peux pas lui laisser ce pouvoir de me faire ça ! Quels plaisirs pervers à-t-il planifier et qu’attend-il de moi ? La pensée qu’il m’enfonce sa bite en moi n’est plus excitante mais répugnante. Je suis redevenue la maman et mère de famille ! Dans ma frustration, je frappe ma tête contre le mur ! Je dois faire quelque chose !

Je mont voir Eric presque prête à tout lui dire, mais je réalise qu’il est déjà parti. Je panique, je ne sais pas quoi faire. Je tourne en rond pendant quelques instants, et je me retrouve en face de la chambre d’Aurélie. J’ai besoin de me changer les idées et je frappe légèrement à sa porte pour entendre sa voix douce, me disant d’entrer.

Elle est couchée sur son lit, toujours dans sa nuisette et lit un livre. Elle dépose le livre sur sa poitrine et me regarde pendant que je m’avance vers elle.
Je m’assois sur le bord du lit et ne dis rient.
– Maman, t’as l’air soucieuse, quel est le problème ?
Je suis tellement transparente que ma propre fille voit clairement la tension qui est en moi. Je me demande pendant quelques secondes, si je dois tout lui dire, mais que je réalisé que je ne peux pas. Je ne fais que de la regarder. Elle est si jeune, si belle et innocente, et j’ai tant d’amour pour elle.
– Oh rien ma chérie, juste un peu triste, c’est tout,
Elle se redresse et met son bras autour de mes épaules en me regardant.
– Oh tu es triste parce que papa travaille trop…Maman, il le fait seulement en raison de son emploi qui est si exigeant parfois. Que puis-je faire pour te rendre heureuse à nouveau, demande moi ce que tu veux.
Elle est si bonne pour moi. Je la prends dans mes bras et je l’étreins quelques instants très fort pour profiter de la proximité et l’accolade. Elle sent bon, l’odeur naturelle de son corps avec juste un petit parfum et la chaleur de son corps pressé contre le mien trouble de nouveau mes pensées.

– Allonge toi un instant avec moi, » dit-elle en me tirant sur son lit.

Je souris de sa prévenance et remarque que ma chemise de nuit est remontée.
Mes yeux sont attirés entre ses cuisses par sa chatte rasée et ses lèvres roses légèrement entrouvertes. Je suis surprise qu’elle ne porte pas de slip. Des petits frissons traversent mon corps à cette vue accidentelle et me rappelle ma conversation téléphonique avec Frank et ses suggestions obscènes. Le pire c’est quand Aurélie a rabattu le drap en brassant l’air et que j’ai senti ce parfum doux… un parfum que j’ai immédiatement reconnu comme sa chatte, mélangé avec le merveilleux parfum de son corps.

Le lit est tellement chaud et confortable et la proximité de ma fille me rappelle les moments ou elle venait dormir avec moi quand son père était en déplacements.
Elle enroule un bras autour de mon ventre et met sa tête sur ma poitrine, son visage posé sur la partie supérieure de mes seins. Ses longs cheveux sont tombés autour de son visage et instinctivement je commence à passer mes doigts dedans.
– Maman, j’aime être proche de toi comme ça. Tu te rappelle quand j’étais une petite fille et que j’ai eu des ennuis avec papa qui ne te permettait pas toujours me caresser comme ça ?
Oh, oui je me souviens. Aurélie presse son corps au mien et m’enlace comme si j’étais son oreiller. Je sens ses seins qui pressent mon flan et le coté d’un sein et je me demande si c’est son téton dur sous le mince tissu de sa nuisette qui me crée cette sensation de chaleur entre mes cuisses ou bien cette odeur enivrante, musquée de sa chatte qui fais çà, je ne sais pas. Je chasse cette pensée et serre ma fille plus près de moi.
– Je me souviens bien, bébé, mais tu étais plus jeune.
– Je ne suis pas beaucoup plus vielle, maman.
Une de ses mains glisse sur ma hanche et çà me rappelle que ma chemise de nuit est roulée autour de ma taille. Je sens ses doigts qui presse ma peau sensible, heureusement que j’ai remis ma culotte. Mais celle-ci est passablement mouillée.
– Maman, je peux te poser une question intime ?
– Tout ce que tu veux, ma chérie, nous sommes entre femmes.
J’essaye de ne pas penser à ses doigts qui frottent ma peau.
Elle prend une profonde respiration.
– Est-ce que tu t’es déjà masturber ?
Quoi??? La question me prend tellement au dépourvu que je ne sais que dire ! Quelques secondes passent avant que je formule ma réponse.
– Oui, bien sûr ma chérie, tout le monde le fait.
Je sens son corps se détendre et s’alanguir contre moi.
– As-tu déjà jouis quand tu fais çà ?
– Aurélie ! Pourquoi tu me demande çà ?
– Heu… je suis juste…Je suis juste curieuse parce que je ne peux jamais, chuchote-t-elle.
Sa réponse m’a surprise. Elle ne peut pas quoi ? Je dois approfondir çà pour savoir ce qui cloche.
– Mon cœur, tu ne peux pas quoi ? Quel est ton problème ? Tu ne te masturbe pas ?
Elle lève vers moi ses grands yeux bleus, son menton reposant sur ma poitrine.
– Si je le fais…mais…je… n’arrive pas à…arriver au bout et peu importe comment je fais !
Ma première pensée c’est qu’elle ne doit pas bien faire la chose, mais je réalise que c’était une de ces choses fondamentales qu’une femme doit faire naturellement. J’ai faillit lui dire mais si je veux l’aider il faut que je m’y prenne autrement.
– Eh bien… Comment te masturbes-tu ? Peut-être que tu ne le fais pas bien …
– Hum… c’est gênant, mais… tu es ma mère et moi, je peux bien tout te dire…

Elle met sa tête plus haut sur ma poitrine et cette fois ses lèvres sont sur mon mamelon et je sens son souffle chaud. Doux Jésus, j’espère que mes tétons ne vont pas se dresser et devenir tout durs !
– Eh bien, moi, habituellement j’ouvre mes cuisses largement et avec un je commence par caresser la zone de mon clito zone tout en essayant de penser à quelque chose… de sexy.
– Comme dans un film que j’ai vu récemment quand un copain fait sucer la chatte de sa petite amie par une autre fille, devant lui et ses amis.
Sexy ? Ou porno ? Je réalisé que ma fille a des gout étranges côté sexuel et quelle est certainement exhibitionnisme ! Apparemment elle aime regarder une femme bouffer la chatte d’une autre. Ce n’est pas fait pour diminuer mon rythme cardiaque et ma respiration devient plus profonde.
– Ok, c’est un bon début, mais qu’en est-il lorsque tu es avec un garçon ? Que se passe -t-il ?
– Maman… j’ai seulement couché avec deux garçons dans ma vie et croie-moi, c’était rapide et pas très agréable.
Je reste stupéfaite et ne peux pas croire que ma fille n’a jamais eu un orgasme ! Elle va bientôt avoir 19 ans !
– Maman, quand je t’ai vu avec papa je…Je t’enviais tellement, je vous regardais et j’ai vu que… que tu es venu, que tu, vous… vraiment, vous avez vraiment aimé ça, dit-elle avec un grand soupir.
– Oh ma chérie… Je ne savais pas, je suis désolée.
Je l’embrasse et par accident plaque ma main en dessous de ses seins pressés contre moi. J’ai pensé qu’elle se serait éloignée, mais elle n’a pas bronché du tout. Au lieu de cela, elle met sa jambe sur la mienne comme en position fœtale. Je garde ma main sous sa poitrine en la pressant légèrement et me demande ce que je dois faire ou dire.
Dans cette position et étant donné qu’elle n’a pas de slip, si elle bouge je sentirais les lèvres de sa chatte sexy sur ma jambe. Je ne sais pas comment me détacher d’elle, je sais que je devrais mais je ne bouge pas.
– Oh, c’est rien maman, je veux juste savoir comment me faire jouir. Est-ce que…tu peux me montrer comment tu fais ?
Je ne réponds rien tout de suite. Je réfléchie. Je ne peux pas laisser ma fille en plan et traverser la vie sans connaître ou touché par la plus merveilleuse connaissance… qu’un orgasme ! Non, je ne peux pas faire çà à ma fille chérie, pas à mon bébé.
– Mon Dieu, Aurélie, je veux vraiment t’aider mais comment ?
Elle me regarde avec ses grands yeux. Ils sont plus grands que d’habitude et pleins d’excitation.
– Juste… juste me montrer comment faire. Si je pouvais seulement te voir comment tu t’y prends, maman…je pourrais ensuite faire comme toi et me faire jouir toute seule !
Elle s’approche plus de moi et je sens sa chatte, ses lèvres sur ma cuisse et …c’est mouillé ! Je suis momentanément incapable de penser en sentant cette chair chaude et visqueuse de la partie la plus intime de ma fille.
– Aurélie…Je… aaahhh…
– Dis maman tu veux bien ? Montre-moi comment faire, s’il te plaît ?
– Ok… euh…Je vais le faire, murmurai-je après une longue pause en capitulant à la demande de ma jeune fille.
Apres tout nous sommes deux femmes et même plus. Nous sommes mère et fille qui ont besoin l’une de l’autre. Elle a besoin de moi pour que je lui enseigne quelques pratiques sexuelles, comme la masturbation et j’ai besoin de me masturber depuis ma frustration précédente avec Frank. J’aime ma fille plus qu’une mère devrait aimer son enfant et j’ai envie de lui faire plaisir et de me rapprocher plus d’elle, même si cela signifie que je me masturbe devant ma fille.
Dès que j’ai dit que je vais le faire, elle se redresse devant moi avec les yeux brillants de satisfaction. Puis son visage devient grave et réfléchis comme si elle anticipait avec émerveillement quelque chose qu’elle ne pensait jamais voir. Assise, face à moi, elle me regarde attentivement.
– Bon, je vais le faire mais j’ai besoin que tu me promettes que tu ne parleras jamais de çà à n’importe qui…
Elle hoche juste la tête avec impatience et moi je pousse le drap à mes pieds en disant.
– C’est… ce n’est quand même pas quelque chose qu’une mère fait… habituellement…
Rapidement, elle att**** le drap et le jette hors du lit. Je me sens déjà nue et exposée même si je porte encore ma chemise de nuit. Les yeux d’Aurélie parcourent sans vergogne mon corps et cela augmente mon excitation. Je n’en reviens pas que j’ai accepté de faire çà mais mon coté salope me dit dans ma tête » Vas-y t’en meurt d’envie »
Lentement, je remonte ma chemise à ma taille devant ma fille qui n’en perd pas une miette.

Je regarde ma culotte entre mes cuisses et bien qu’elles soient serrées je vois bien qu’elle est humide et étroitement ajustées à ma chatte. Mes grandes lèvres un peu gonflées font apparaitre très nettement la fente de ma vulve. Surprise et un peu gêné, je regarde dans les yeux d’Aurélie mais je n’y vois que de l’émerveillement.
Elle regarde ma culotte humide avec sa bouche légèrement ouverte et tout à coup, réalisant pourquoi ma culotte est mouillée, ses yeux s’écarquillent et elle me fixe dans les yeux, retenant son souffle. Je sens mon visage s’échauffer pendant qu’elle me regarde avec étonnement dans les yeux. Nous restons les yeux dans les yeux pendant un bref moment, et il est évident que nous avons compris pourquoi je suis si humide dans mon entre jambe. Elle baisse les yeux pour regarder ma chatte à peine couverte et expire pour relâcher sa tension.
– Bon ! Voila ce que tu dois faire
Dis-je d’une vois faible et tremblotante.
Aurélie a l’air vraiment déçue mais je découvre rapidement pourquoi car elle dit avec son sourire angélique :
– Ma…maman, tu devrais enlever ton slip pour que je vois vraiment comment tu fais.
– Auréliiiiiie… non, quand même pas ! je suis ta mère !
Bien que choquée de l’entendre me demander çà une partie de moi (vous voyez laquelle) est heureuse, qu’elle me le demande. Ce Moi qui me mets habituellement en difficulté me dis maintenant d’écouter ma fille.
– Je sais maman, c’est bien pourquoi je t’ai demandé çà, parce que je t’aime et que tu es plus qu’une maman pour moi.
Mon cœur cogne dur dans ma poitrine en essayant de décoder ses paroles…Elle, en revanche, sourit et att**** mes chevilles.
– Et si tu ne le fais pas … je vais devoir te donner la fessée.
Je lui rends son sourire en secouant la tête.
– A non ! J’ai eu mon compte de fessée aujourd’hui, mon cul est encore douloureux.
Sans attendre d’autre mots de ma part elle me tord les chevilles un plutôt les met l’une sur l’autre pour me forcer à me mettre sur le ventre.
– Aïe, Aurélie !
Elle m’écarte aussitôt les jambes et s’assoie entre elles.
Oh non… ma culotte était beaucoup trop petite pour cette position. Je lui demande donc en tournant ma tête.
– Aurélie, petite peste ! Veux-tu me lâcher.
Et tout ce que je peux voir c’est que ma culotte est coincée entre mes fesses.
– Lâche-moi ou bien c’est moi qui vais te corriger !
Elle rit comme une petite fille et je sens sa douce main frapper l’ensemble de mes fesses ce qui provoque des frissons sexuels à travers mon corps. J’essaye de me retourner mais je ne peux pas.
– Maman va-t-elle enlever sa culotte ? demande t-elle la main en l’air.
– Surement pas ! Pas devant toi, tu es ma fille Répondis-je en tendant les fesses dans l’attente d’une claque.
PLAFF, mais là c’est plus fort… et re PLAFFF

Je gémis,
– Huuummm…Aurélie, Arrête !
PAF, PAF, PAF…
Elle me donne une bonne fessée en écartant encore plus mes cuisses avec ses genoux et instinctivement j’arque mon dos et fais ressortir mon cul. « Mon Dieu, ma culotte… mon cul… ma chatte, je dois probablement tout lui faire voir' »
– Pourquoi maman ? Moi j’ai l’impression que tu aime çà…
Elle a raison ! J’apprécie la fessée, la douleur constante sur mes fesses, combiné avec la pensée de mes jambes largement ouvertes et l’air frais circulant autour de mes parties intimes m’excite fortement. Et c’est ma propre fille qui fait cela pour moi.
– Ok Aurélie, Ok…Je vais enlever ma culotte, arrête s’il te plait.
Je la supplie sachant que cela pourrait aller beaucoup plus loin si je ne l’arrête pas.
– Bon…
Elle arrête et je me retourne pour voir ses seins gonflé et ses tétons tout droit et durs. Comme les miens d’ailleurs.
La regardant je secoue ma tête et je mets mes doigts dans la ceinture de ma culotte de soie.
– Très bien, mais je ne peux pas croire que je vais faire cela !
Les yeux d’Aurélie ne quittent pas mon entrejambe pendant que je fais glisser ma culotte sur mes hanches, puis vers le bas de mes cuisses. Une fois que ma chatte est devenue bien visible ses yeux grand ouverts sur elle et elle fait :
– Oooohhhh…
Et reste la bouche ouverte d’excitation.
Il m’est difficile de contrôler mes mouvements, et d’arrêter de trembler des mains mais néanmoins, gracieusement, je tire ma culotte vers le bas de mes longues jambes bronzées et je l’enlève. Je ne sais que faire d’elle et devant mon incertitude, Aurélie saisit ma culotte et la porte sur sa poitrine.
– Je vais en prendre soin.
Pourquoi ? Pourquoi ma fille prendre ma culotte mouillée ? Je repense à Frank quand il m’a pris ma culotte comme un trophée après ce qu’il ma fait. Aurélie pense-telle de la même façon ? Je reste là, complètement nue de la taille aux pieds, la respiration lourde. Bien que la chambre est agréable et chaleureuse, j’ai la chair de poule sur certaines parties de ma peau.
Je ne sais pas comment procéder ; Je veux dire que c’est tellement différent que de le faire par moi-même ! Sans regarder Aurélie, je mets une main sur ma poitrine et l’autre sur mon ventre ferme. Lentement je commence à frotter ma poitrine à travers ma chemise de nuit et mon autre main rampe vers ma chatte rasée proprement. Mes doigts touchent mes grandes lèvres que j’écarte pour entrouvrir les petites lèvres et plonger dans mon trou humide.

J’en gémis de plaisir.
– Huuuuummmmmmm…

D’un regard hésitant je me demande encore jusqu’où je dois aller. Jusqu’à présent j’ai protégé mon innocente fille Aurélie dans tous les sens. Mais elle n’est plus une enfant et elle veut savoir, pour pouvoir vivre et ressentir le plaisir d’un orgasme ! Ce n’est que justice que je lui montre comment faire pour y arriver.

Ma décision prise, j’écarte lentement mes cuisses et je la regarde pour juger ses réactions. Elle regarde intensément ma chatte et le doigt qui court entre mes lèvres intimes ouvertes. Mais quelque d’autre est apparu, je peux le sentir ! Dès que j’ai écarté mes cuisses, la merveilleuse odeur de mon sexe imprègne l’air chaud autour de nous. Je vois aux frémissements des narines d’Aurélie qu’elle le sent aussi.
Elle s’est assise à mes côtés, la figure presque au niveau du genou, et regarde… Elle regarde sa mère… non la chatte de sa mère. Dès que mon genou droit l’a touchée je me rends compte que cela ne suffira pas. Je sens qu’elle tremble et moi je frissonne car sa peau est si chaude !

Je pince un de mes tétons entre deux doigts et frotte mon clito en cercles pour me rendre folle de plaisir devant ma propre fille, mais je sais que çà ne suffira pas. La luxure de cette situation augmente lentement l’excitation sexuelle à l’intérieur de moi et je décide de m’ouvrir davantage à ma fille. Je lève une de mes jambes vers le haut en pliant mon genou et l’écarte à angle droit de mon corps. Aurélie s’étant légèrement déplacé, ma jambe repose maintenant sur ses cuisses d’Aurélie et elle est entre elles. Le contact avec la peau de ma fille me rend folle !

Les yeux d’Aurélie fixe ma chatte maintenant grande ouverte pour elle. Elle est assise le dos droit et ses mains reposent sur ses cuisses comme si c’était le seul endroit pour les mettre.
Ma respiration s’accélère et tout en me masturbant lentement, pour qu’elle voit le mouvement de mes doigts, je commence à gémir doucement au rythme de mon propre doigt qui explore en tournant mon trou humide pour ensuite remonter le long et trouver mon clito et le frotter en cercles. Je ferme les yeux et je continue ce traitement jusqu’à ce que je sente les picotements qui annoncent une lubrique libération. Oubliant qui me regarde, je plonge trois doigts dans le trou béant de ma chatte et je me baise toute seule en imaginant un pénis qui rentre et sort. Et je gémis de plus en plus fort.
Je ne sais pas depuis combien de temps je me baise la chatte devant ma fille mais quand j’ouvre de nouveau mes yeux je vois qu’Aurélie est toujours dans la même position, mais sa main droite est enfouie profondément dans son entrejambe et elle se masturbe elle-même ainsi à genoux près de moi… et me regarde. Son visage est rouge et elle a ce regard lubrique que je connais bien, la bouche ouverte et les lèvres sèches.
Je sens mon orgasme … si proche. Je referme les yeux et tire mon téton dur en le pinçant. C’est ce que j’avais besoin ! Trois de mes doigts au fond de ma chatte combiné à la petite douleur de mon sein et mon corps explose !
– OOOoohhh… Aurélie…. Je jouis, je jouiiiissss ! AAaahhhh….
Mon corps se tord de plaisir en face de ma fille et puis… puis je l’entends :
– AAaahhhh… OOOhhhh, Ouiiiii, moi aussi, AAAAAhHHHH !
Aurélie, elle aussi est entrain de jouir ! A cet instant mon plaisir est au summum et je vois ma fille inclinée en arrière, les genoux écartés et sa main qui frotte furieusement son clitoris pendant qu’elle continue de jouir… elle est venue en même temps que moi !
Oh que de pensées lubriques trottent dans ma tête… A voir sa chatte si ouverte devant moi… les lèvres rouges déployées sur le coté…. son trou bien visible, humide et dégoulinant fait que mon corps réagit immédiatement et mon orgasme reprend violemment et je crie en la regardant.
Je ne quitte pas des yeux la chatte sensuelle de ma fille au point de presque en perdre conscience sous la puissance de mon orgasme. Enfin, je me laisse tomber en arrière laissant les vagues d’extase s’estomper lentement.
Je reste là, à regarder le plafond, sans bouger, écoutant la respiration d’Aurélie. Après un certain temps, je lève ma tête pour voir qu’elle fixe mon entrejambe. Elle-même est en appui sur ses genoux les cuisses écartées me révélant sa chatte dégoulinante. Je m’émerveille devant ses lèvres foncées enflammées et l’intérieur rose qui m’attire.

Mes récents moments avec Lilly et Gina m’ont fait découvrir la convoitise que j’ai pour le goût de cette chair au point de me faire perdre mes moyens et me mettre dans des situations dangereuses. J’avale ma salive et de peur que ma fille devine mes pensées je détourne mon regard de cette chatte que je dégusterais avec plaisir pour la regarder et lui dire en souriant ;
– Whaoo, c’était merveilleux. Et toi… qu’est ce que çà t’a fait ?
Elle me regarde et avec un franc sourire :
– Oooh je l’ai fait ! Je me suis fais jouir toute seule ! Et… que c’est bon…
Et elle c’est jetée dans mes bras me serrant étroitement.
– Oh mon Dieu, maman, je me suis fais jouir ! Maintenant je sais ce que çà veut dire ! C’est génial ! Je ne te remercierais jamais assez de m’avoir fait découvrir çà. Je me sens bien… je plane… c’est tout simplement indescriptible !
Les mots sortent en flots ininterrompus et moi je continue de l’étreindre oubliant que je suis nue sous elle avec mes jambes écartées. Je sens ses hanches avancer entre mes cuisses, mais je ne m’en soucie pas. Je sens sa douce chatte humide s’appuyer contre la mienne, mais je ne m’en soucie pas.
La seule pensée qui s’inscrit dans mon cerveau, c’est que j’ai aidé ma fille à avoir un orgasme ! J’ai été la première, moi sa mère, à lui donner un orgasme !
– Maman, je t’aime ! Tu es formidable…je te remercie beaucoup. Merci, Merci, Merci,
dit-elle joyeusement et m’embrasse.

C’est juste un baiser joyeux, un baiser mère-fille, mais plus il s’attarde… plus il devient dangereux.
À ce moment-là le temps s’arrête. Soudain je sens sa chatte presser la mienne et faire surgir la position incongrue…obscène, dans laquelle nous sommes. Je la regarde dans les yeux. Nos cœurs battent fort et soudain je sens sa langue qui s’insinue légèrement à travers de mes lèvres. « Dans ma tête un cri « NON « 
Je réalise que mes mains sont sur son cul, sa nuisette autour de sa taille. Et sa Langue en plus !
Mon esprit a crié encore une fois !
« NON, je ne peux pas !
Je soulève ma main de son cul et je frappe ses fesses avec force. Ses yeux s’écarquillent et elle retire ses lèvres des miennes.
– Maman !
– Et oui, demoiselle, tu m’as demandé un cours et je te l’ai donné. C’est fini pour aujourd’hui !
– Ooh… il faut toujours que tu gâche mon plaisir.
dit-elle, en prenant une expression de tristesse.

Roulant sur le coté, sa tête sur une main elle me regarde. J’en profite pour abaisser ma chemise et couvrir mon corps nu. Nous continuons à rester là, de parler de notre expérience, rire ensemble mais lentement la pensée de ce que je dois faire aujourd’hui revient en force dans mon esprit. Frank et ses amis !

Elle sent ce soudain changement d’esprit parce qu’elle s’inquiète immédiatement.
– Maman, qu’est ce qui te tracasse ?
– Oh rien, pourquoi tu me demande çà ?
– Maman ! Je vois bien qu’il y a quelque chose ! Dis-moi ce que c’est.
– Aurélie, je suis juste un peu triste, c’est tout …
– Tu es triste à cause de ce que nous avons fait… à ce que je t’ai demandé de faire,
Chuchote telle en retour.

– Aucunement Aurélie, ce que nous avons fait c’est merveilleux ! Heu… je veux dire c’est merveilleux que tu as pu faire l’expérience et connaitre l’orgasme féminin. Crois-moi, c’est génial !
Elle a l’air sceptique.
– Bien sûr, mais tu regrettes… Maman je te comprends, je suis un monstre n’est ce pas ?
Non ! Ce n’est pas çà ! Elle ne peut pas penser qu’elle m’a fait du mal !
– Mais non, Surement pas, Aurélie. Tu n’es pas un monstre ! Tu es belle, désirable et c’est de ton âge. Tu dois savoir comment prendre du plaisir ! Pour moi, ce que nous avons fait ne me pose aucun problème. Et tu as bien vu que je me suis donné du plaisir, crois-moi !
– Maman, j’avais envie que…. Et si tu…
Je vois des larmes qui commencent à se former dans ses yeux tristes. Je lui chuchote en la regardant dans les yeux.
– Aurélie, c’est autre chose…Je… Je suis dans le pétrin…
Soudainement son visage change d’expression et passe de la culpabilité à l’intérêt total.
Qu’aurais-je pu faire ? Je ne peux pas lui laisser penser qu’elle est un monstre de perversité et laisser ses sentiments de culpabilité la consommer. Peu m’importe mon bon sens qui me dit de garder le secret, je reste là avec ma fille et je commence à lui raconter comment je me suis mis dans ce pétrin.
– Oh mon Dieu, Maman, je ne pouvais me douter…
Aurélie me regarde avec beaucoup de tristesse dans ses yeux et me fait presque pleurer.
Elle m’a écoutée attentivement sans aucune interruption. J’ai eu peur qu’elle me traite de salope ou de pute pour ce que j’ai fait mais rien de telle. Elle me regarde de la même façon qu’avant mon récit et avec de l’amour dans ses yeux et… et de l’inquiétude. Bien sur, je n’ai rien dis sur ma relation avec son frère, juste la partie sur la séance photo à la gare de triage et de ce que j’ai fait avec Frank.
– Je ne sais pas quoi faire. Je veux dire si j’y vais ce soir… qui peux savoir ce que ce pervers dément va me demander de faire ! Je ne peux pas… Je ne peux faire çà !
Et mon visage dans mes mains je me mets à pleurer.
Je sens Aurélie qui s’approche de moi et met son bras autour de mon épaule.
– Maman, je ne sais pas encore ce que l’on va faire mais je sais que je vais t’aider !
Elle a l’air vraiment décidée à m’aider et faire quelque chose pour çà.
– Je connais Frank et je sais qui est sa petite amie, c’est une bonne copine à moi. Elle peut nous aider ! Elle n’est plus sa petite amie, ils ont rompu il y a une semaine et elle sera d’accord pour nous aider.
Je sens une lueur d’espoir poindre dans ma tourmente.
– Tu… tu crois… mais que pourrait-elle faire…
– Je ne sais pas, je vais aller en discuter avec elle et nous allons trouver quoi faire.
– Aurélie, c’est vraiment privé et osé. Frank a des photos… des photos qui peuvent ruiner mon mariage… qui pourraient gâcher beaucoup de choses pour nous tous.
– Je sais maman, j’ai complètement confiance en elle, croie-moi. C’est une fille adorable et tu peux lui faire confiance. Je vais l’appeler et pour le moment je ne parle pas des photos.
Aurélie semble excitée de ce qu’elle pourra faire pour m’aider, me protéger.
– D’accord, appelle là, mais n’oublie pas, pas un mot sur les photos… et encore… Merci… Merci pour ta gentillesse et surtout ta compréhension.
– J’ai toujours pensé que Frank était un trou du cul, mais je ne savais dans quelle mesure et surtout qu’il pourrait te faire çà.
Rapidement, ma fille m’étreint et saisit son téléphone pour composer un numéro. Je regarde l’horloge et réalise que je n’ai pas beaucoup de temps pour me préparer. Je quitte Aurélie et je vais prendre un bain agréable, long.

Après le bain, enveloppé dans une serviette, je fouille dans ma commode et mon placard à la recherche de vêtements qui satisferont Frank. Ses instructions sont très précises et j’ai peur des conséquences si je ne les suis pas. Après avoir trouvé ce que je cherche je les pose sur le lit et laisse tomber ma serviette.
Au même moment Aurélie entre dans ma chambre. Dès qu’elle me voit elle s’arrête et me regarde de haut en bas et comme toujours, son regard s’attarde sur mon entrejambe. Apres ce que nous venons de faire et ce qu’elle a vu de moi je peux la laisser me voir m’habiller. Je lui souri et att**** les bas noirs sur le lit.
– Alors tu as pu discuter avec ta copine ?
Et je mets une de mes jambes sur le lit pour enfiler mes bas. Un peu d’un exhibitionniste je frisonne sachant que ma fille me regarde.
– Oui, nous avons parlé et devine ?… Elle va nous aider, leur rupture a été assez brutale et elle serait contente de se venger de ce qu’il lui a fait.
dit-elle, assise sur le lit à côté de ma jambe.
Je l’écoute attentivement et elle m’explique ce qu’elles me proposent. Si j’étais réservée au début je dois admettre que çà me semble prometteur et j’ai un réel espoir que tout se passera bien.
– Mon Dieu, Aurélie, comment cela à pu vraiment arriver ? Vous allez vraiment me sortir de ce mauvais pas ?
– Oui maman, c’est ma meilleure amie, elle va le faire !
Les yeux d’Aurélie ont déviés vers mes mains quand j’ai tiré mon bas sur le haut de ma cuisse.
Mes jambes sont écartées et ma chatte rasée bien visible de la place ou elle est assise. Depuis que nous nous sommes masturbées ensemble je me sens à l’aise avec elle et quand elle me regarde comme çà, un frisson coure le long de ma colonne vertébrale.
C’est comme si ses yeux avaient un effet sexuel sur moi que tout ce que je ressentais avant est maintenant intensifier. Je ne peux le comprendre, mais c’est très excitant.
– Ok, Vous allez faire ce que vous avez prévus pendant que je divertirais Frank, mais tout doit être prêt avant 9 heures ! Ce sera « L’heure zéro» pour nous. Je vais le tenir occupé, sans avoir des relations sexuelles avec lui, jusqu’à l’heure H et encore une chose… nous devons garder nos téléphones cellulaires. Lorsque toi et ton amie avez terminé… tout, tu dois m’appeler tout de suite, compris ?
Les yeux de ma merveilleuse fille brillent d’excitation et elle se lève au garde-à-vous, me saluant, comme si j’étais un général donnant ses ordres.
– Oui, Chef ! A vos ordres ! Et se rassoie en riant.
Je continue d’enfiler mes bas en m’assurant qu’Aurélie est une bonne vue entre mes jambes écartées. Je sais que c’est limite décent mais après tout nous sommes deux femmes…
Une fois mes bas noir enfilés je glisse mes pieds dans mes talons hauts et att**** le string en dentelle blanche et le tire sur mes hanches pour voir ce que çà donne. L’entrejambe du string est si étroit qu’il passe entre mes lèvres de chatte pour les repousser sur les cotés et derrière le tissu a complètement disparu entre mes fesses.
En me regardant dans le grand miroir çà me rappelle Lilly quand elle me regardait dans le magasin de chaussures. En frissonnant je regarde Aurélie. C’est presque la même jeune fille… mais là, c’est ma fille qui me regarde à moitié nue dans le miroir.
J’enfile la mini jupe et un petit haut vaguement flottant avec aucun soutien-gorge dessous.

Ma jupe est si courte qu’elle couvre à peine le bas de mon entrejambe ! Je fais demi-tour et je vois que mon cul est aussi à peine couvert. Je ne peux pas me baisser sans montrer ma culotte.
Mon haut est tellement lâche et révélateur que la moitié de mes seins sont visibles avec mes tétons excités prêt à sauter à la figure du premier mec qui les regarde. Les bretelles de mon chemisier dévoilent mes épaules et mon cou est visible sous mes cheveux remontés en chignon.

Ce look sexy limite pute… dans le miroir… me trouble.
– Whaou ! Maman ! C’est chaud !
-Tu parles ! Je suis presque à poil ! Je ne peux pas sortir comme çà !
Mais chose étrange çà m’excite de me montrer comme ça… mon coté salope remonte à la surface rien qu’a penser de me montrer comme ça en public…
– Maman, t’es sexy au diable ! Si j’avais ton corps je l’exhiberais tout le temps. Mais rappelle toi bien ce qu’on a convenu et ce que tu dois faire pour que notre plan fonctionne.
En me penchant un peu devant le miroir de ma commode pour mettre mon rouge à lèvres j’aperçois dans son reflet ma fille derrière moi qui me regarde et tout à coup ses yeux s’agrandissent et sa glotte monte et descend. Je comprends que je viens de montrer mon string et mes fesses à ma fille ! Qu’en sera-t-il lorsque je serais en public ?

Après avoir encore parlé avec Aurélie des détails de ce qu’elles avaient à faire je déambule nerveusement dans la chambre essayant de ne pas penser à ce que je suis sur le point de le faire. Chaque fois que je passe devant le miroir, je m’arrête pendant quelques secondes et je m’admire mais dès que je permets à mon esprit de se glisser dans ce rôle de… salope, j’ai peur.

A suivre
Phantome

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