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Un drôle de rêve

Un drôle de rêve



Pourquoi avais-je accepté de faire cette livraison ? Ce n’était pas mon job mais le patron n’avait personne d’autre et j’avais la permission, une fois la livraison faite, de rentrer directement chez moi.
Je roulais sur la nationale quand le moteur à commencé à avoir des hoquets mais je suis arrivé quand même à l’embranchement de la départementale à dix kilomètres de ma destination. Hélas, j’ai fait cinq cents mètres avant de tomber en panne.
J’ai pris mon téléphone pour prévenir mon patron mais il n’y avait pas de réseau et en plus, personne ne semblait passer sur cette route et depuis une demi-heure j’étais tout seul, le capot moteur ouvert et mon gilet fluorescent sur le dos. Dans le pré contigu, des vaches broutaient l’herbe.
Tout à coup, une voiture m’a dépassé. Je suis sorti de ma rêverie. La voiture s’était arrêtée un peu plus loin et son conducteur reculait vers moi puis il s’est arrêté et il est descendu et je me suis aperçu que c’était une jeune femme. Une jolie blonde avec tout ce qu’il faut là où il faut et toute sourire et qui s’est avancée vers moi.
– En panne, m’a demandé la jeune femme après m’avoir dit bonjour ? C’est vous qui venez nous livrer la machine ?
Je lui ai répondu qu’elle est devin et ça l’a fait rire puis elle a ajouté qu’il n’y a pas grand monde qui empreinte cette route. J’ai fermé la camionnette et quand j’ai eu du réseau, j’ai appelé le dépanneur que me conseillait la conductrice. Nous avons fait demi-tour et comme nous arrivions là où la camionnette était en panne, la dépanneuse arrivait et le mécano a soulevé le capot puis après trois secondes, il nous a dit que ce n’est rien mais qu’il ne pourra faire quelque chose qu’une fois au garage.
J’en avais rien à foutre et tout ce qui m’importait, c’était que la machine soit en place le lendemain matin pour qu’un technicien vienne la mettre en route. Le mécano m’a rassuré en me disant que ça sera fait avant neuf heure et il a fait monter la camionnette sur son plateau et nous l’avons regardé partir.
– Vous passez la nuit où, m’a demandé la jeune femme ?
– Je sais pas !
– Alors, je vous laisse là, a-t-elle ajouté !
Elle s’est mise à rire et je suis remonté dans sa voiture et elle m’a proposé de m’emmener… chez elle parce que dans ce coin désolé, il n’y a pas d’hôtel, m’a-t-elle expliqué !
– Et pourquoi vous y restez, lui ai-je demandé ?
– Parce que j’aime bien, m’a fait la femme !
Je la regardais conduire. Elle avait une bague à chaque doigt et même deux à plusieurs doigts mais elle avait surtout de jolies mains.
– Vous aimez les bagues, ai-je fini par lui demander !
– Oui et j’aime aussi les piercings, m’a répondu la femme ?
– Et les tatouages ?
– J’en ai un, mais je n’aime pas vraiment !
– Et qu’est-ce que vous avez comme piercings, ai-je insisté ?
Un tracteur et sa remorque pleine de paille bloquait la route et on a dû s’arrêter.
– Devinez, m’a demandé la femme ?
– Heu, je sais pas, au nombril ?
Je ne voulais pas trop m’égarer…
– J’en ai eu un mais je ne le mets plus, m’a répondu la femme ! Cherchez encore !
– Je ne sais pas ! Aux seins ?
– Mais plus précisément, m’a demandé la femme ?
Cela semblait l’amuser.
– Je sais pas ! Aux tétons ?
– Oui et quel genre de bijou, a-t-elle encore insisté ?
Je voulais avoir l’air plus intelligent.
– Pas des anneaux ! Des barbels ?
– Bravo, m’a répondu la femme ! Tu as l’air de t’y connaître ! J’en ai d’autres !
– Je sais pas, au clitoris ?
– Encore bravo, m’a fait la femme ! Ah, on va pouvoir continuer !
Le tracteur était entré dans un champ.
– J’en ai d’autres mais si tu veux voir ceux du haut, a ajouté la jeune femme ?
Sans attendre ma réponse, elle a tiré sur son top pour découvrir son sein droit et j’ai pu voir le bijou puis elle l’a camouflé à nouveau.
Il avait suffi que je voie un bout de sein pour que je commence à bander.
– Ça t’excite, m’a demandé la femme ?
Elle avait posé sa main droite sur le changement de vitesse et je me suis mis à espérer qu’elle allait la poser sur ma braguette mais nous étions arrivée. Elle s’est arrêtée devant l’usine et elle est descendue après m’avoir dit d’attendre dans la voiture puis le l’ai vue discuter avec un homme plus vieux qu’elle et elle est revenue s’asseoir au volant.
– C’est mon père, m’a expliqué la jeune femme ! Il dirige l’usine et je vais t’emmener dormir chez moi, mais on va d’abord aller dîner !
– Mais, je n’ai rien pris avec moi, lui ai-je répondu !
– Ne t’en fait pas, m’a répondu la jeune femme ! Je dois avoir quelques brosses à dents d’avance !
– Je vous préviens que je ne dors pas en chemise de huit, lui ai-je lancé !
Ça l’a fait rire. Elle m’a emmené dans un restaurant et nous avons dîné et nous avons discuté de tout et de rien et elle m’a posé tout un tas de questions. Elle m’avait d’abord dit qu’elle se prénomme Clotilde et je lui avais avoué mon prénom puis elle m’a dit que je n’ai pas d’alliance et elle m’a demandé si j’ai quelqu’un.
– En quoi ça vous regarde, lui ai-je répondu ?
La semaine précédente, je m’étais fait larguer par ma copine avec qui je vivais depuis trois ans et, comble de l’ironie, j’avais découvert qu’elle me trompait avec une femme.
– Et vous, vous avez quelqu’un, lui ai-je demandé ?
– Non, mais autant te le dire tout de suite, je suis bi !
– Bi ? Comme bisexuelle, lui ai-je demandé ?
– Oui, on peut dire que je suis à voile et à vapeur, m’a-t-elle répondu ! Je n’ai jamais su me décider et je crois que je ne le saurai jamais ! Qu’est-ce que tu en penses ? Je trouve que c’est aussi agréable des deux côtés !
– Je ne me vois pas en train de me faire enculer, lui ai-je répondu !
Ce n’était pas très élégant mais ça m’avait échappé.
-Tu n’aurais pas envie de savoir ce que ça fait, a insisté Clotilde ? Moi, je ne l’ai su que quand une fille me l’a fait !
– Vous aviez quel âge ?
– Dix-huit ! C’était le jour de mon anniversaire et ma meilleure amie m’a suivie dans ma chambre et elle m’a fait un fist !
– Ouch !
– C’est difficile la première fois mais les fois suivantes, j’ai commencé à apprécier !
– Et devant, lui ai-je demandé ?
– Dans la chatte ? Tu veux essayer ?
Je sentais que j’étais devenu écarlate.
– Je te plais, a-t-elle insisté ? Tu voudrais essayer ?
La serveuse est venue nous dire qu’il est temps qu’on parte. Dans la voiture, j’ai demandé à Clotilde si elle l’a déjà fait avec cette fille. Elle m’a répondu qu’elle aimerait bien mais qu’elle n’arrive pas à la convaincre et je lui ai répondu qu’il m’a semblé que la serveuse nous avait regardés bizarrement.
Clotilde habitant dans une grande maison au milieu d’un parc enclos de hauts murs. Elle s’est garée devant les marches et je l’ai suivie. Arrivés sur le palier du premier étage, elle m’a montré ma chambre puis elle a ajouté qu’elle couche dans la chambre d’en face et ensuite, elle ma emmenée dans la salle de bains et elle m’a sorti un nécessaire de toilette et avant de me laisser, elle m’a recommandé de bien laver ma bite parce qu’elle va me la sucer et quand je suis ressorti de la salle de bains, j’étais à poil et Clotilde était à poil elle aussi dans sa chambre et quand elle s’est retournée vers moi, j’ai pu voir de plus près les piercings qui lui transperçaient les grandes lèvres et les petites et surtout le tatouage qu’elle avait sur son ventre complétement épilé : « Je suis une gouine ! »
Elle m’a expliqué que c’était sa meilleure amie qui lui avait offert mais que quelques mois plus tard, elle était partie avec une autre femme.
– Ça me va !
Je lui ai mis la main à la chatte en lui disant que ça me permettrait de la cadenasser et elle m’a répondu qu’elle avait déjà essayé des verrous puis elle m’a dit de la laisser prendre une douche.
Quand elle est revenue de la salle de bains, j’étais allongé sur le lit, bras en croix et les jambes écartées et j’avais la bite en l’air. Clotilde s’est penchée et elle l’a prise dans sa main avant de dire qu’elle n’en espérait pas autant.
– Alors, lui ai-je dit, je vais baiser une gouine ?
Elle s’est mise à rire puis elle a gobé ma bite et elle l’a sucé mais ça durait trop longtemps et je lui ai rappelé que je suis là pour la baiser.
– Tu veux me la mettre, m’a répondu Clotilde ? Calcule bien ton coup parce que j’ai envie de jouir !
Je l’ai contournée et je me suis enfoncé dans son vagin. Ses anneaux se sont mis à tinter et pendant une heure, ils ont accompagné ma saillie. J’étais survolté.
– Tu vas me faire mourir, m’a dit Clotilde !
– Je vais t’enculer !
J’ai quitté sa chatte et je me suis enfoncé dans son anus. Elle n’avait pas menti parce qu’elle était aussi souple derrière que devant. Je voyais son visage dans le miroir de l’armoire et les grimaces que la femme n’arrêtait pas de faire.
– Ah, le salaud, il m’encule, a encore gémi Clotilde ! Ah, le con, je jouis !
Il y avait quand même tricherie parce qu’elle s’était masturbée.
– Encule la pute, m’a encore supplié Clotilde !
– Attends ! J’ai une idée !
J’ai retiré ma bite et j’ai enfoncé mes doigts dans son anus. De cette façon, j’étais sûr de vérifier si elle ne m’avait pas menti et ma main a disparu dans son anus.
– Attends, je n’ai pas fini, ai-je ajouté !
J’ai enfoncé les doigts de mon autre main dans son vagin avec autant de facilité.
– Ma parole, tu es une vraie pute, lui ai-je lancé !
Elle ne m’a pas répondu. Il fallait pourtant que je jouisse moi aussi parce que je ne tenais plus. Allais-je être obligé de me branler contre sa cuisse ? J’ai retourné Clotilde et je me suis enfoncé dans sa chatte et j’ai suivi le mouvement de ses anneaux chaque fois que je m’enfonçais. Clotilde se caressait les seins puis elle a commencé à se torturer les tétons mais je n’en pouvais plus et j’ai tout lâché.

Après tout ça, je me suis endormi et quand je me suis réveillé, j’étais dans une chambre d’hôtel et j’ai compris que j’avais tout inventé. J’ai fait ma toilette avec le set fourni par l’hôtel et après avoir déjeuné, je me suis rendu à l’usine. Le technicien était là, en train de mettre en route la machine. La camionnette était dans la cour. Je suis allé faire signer le bon de livraison et c’est là que j’ai revu la fille dont j’ignorerai toujours le prénom. Elle m’a tendu la feuille et elle m’a souhaité bonne route et je suis reparti mais j’avais pu voir, sous sa blouse, la marque de ses piercings aux mamelons, preuve aussi qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et, sur son avant-bras, un morceau de tatouage.

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