Un soir, par jeu, mon épouse Nadia m’a demandé de me travestir. Ça m’a fait rire mais j’ai accepté puisque je ne pouvais pas refuser car c’est elle qui commandait. Déjà adolescent, j’aimais me sentir femme. Pour cela, je portais en cachette les dessous de ma sœur.
Le week-end suivant, Nadia a voulu que je recommence, mais cette fois-ci, elle avait tout prévu. Durant la semaine, elle avait acheté une perruque et des chaussures à talons à ma taille. Pour les vêtements, pas de problèmes car nous avons à peu près la même taille.
Donc je me suis habillé mais avant, elle m’a mis sous la douche et, avec une crème épilatoire, elle a fait disparaître le moindre de mes poils. Ensuite, j’ai mis une guêpière en dentelle et un string assorti, des bas et une robe moulante, pas très longue. Elle m’a maquillé avec beaucoup de goût, a coiffé la perruque, m’a mis les chaussures à talons et nous sommes passés à table.
Vers 21h30, elle m’a mis au défi de sortir et de l’accompagner dans sa sortie. J’ai accepté ; vu qu’il faisait déjà nuit, je me suis dit que je ne risquais pas grand-chose de sortir ainsi travesti. Nous avons pris la voiture en direction du centre ville. Nous sommes sortis faire quelques pas dans une rue sombre pour m’apprendre à marcher avec des talons et, au bout de 15 minutes environ, direction le centre-ville, beaucoup plus fréquenté. Je ne savais plus où me mettre.
On a marché environ une heure et, au moment de rentrer, mon épouse est tombée nez à nez avec un de ses collègues de travail. Au moment des présentations, je me demandais comment elle allait me présenter mais, quand elle a dit à son collègue : « Ali, je te présente mon mari Karim », j’ai cru que j’allais mourir de honte.
De plus, elle lui dit que je suis un époux soumis, qui aime se sentir femme et qui adore être humilié et qu’on peut me demander tout ce que l’on veut. Ali, « son collègue », nous invite alors à boire un verre chez lui, j’avais beau protesté, ça n’a rien changé.
Arrivés chez lui, il nous propose un verre et on commence à discuter. Bien sûr autour du « cul » et bien sûr du mien, à savoir si j’avais déjà sucé un homme ou si je voulais me faire prendre comme une femelle. Un deuxième verre, puis un troisième… moi qui ne supporte pas bien l’alcool, je me sentais très à l’aise, au point que je me suis mis à danser, comme une femme, au son de la musique.
Ali m’a rejoint et je ne sais pas pourquoi mais, quand il a commencé à m’embrasser, je me suis laissé faire. En même temps, il me caressait et je dois dire que j’aimais bien. Aussi, quand il m’a emmené dans sa chambre, je l’ai suivi sans rien dire et lorsqu’il a baissé son pantalon et qu’il m’a présenté son gros zob, c’est tout simplement que je me suis mis à le sucer. Ma femme me disait comment faire pour lui faire plaisir.
Au bout de je ne sais combien de temps, il m’a renversé sur le lit et, après m’avoir lubrifié mon trou du plaisir, il m’a sodomisé, entrant en moi d’un seul coup. C’est comme si on m’avait ouvert en deux et je crois que je n’ai jamais crié comme ça. Je me souviens aussi avoir pleuré de honte, je pense, sans bouger pendant quelques secondes. Il a commencé à me labourer, doucement puis rapidement et là aussi, j’ai crié, d’abord de douleur mais très vite de plaisir. J’ai éjaculé dans mon string sans me masturber !
Au moment d’éjaculer, Ali s’est retiré et il s’est vidé dans ma bouche et m’a forcé à tout avaler. Pendant que je m’efforçais de ne pas rendre tout son sperme, ma femme me sodomisait, harnachée d’un gode ceinture. Ça a duré une bonne partie de la nuit et quand nous sommes rentrés chez nous, elle m’a avoué qu’elle avait tout prévu, que son collègue était son amant depuis plusieurs semaines, qu’il m’avait vu une fois et qu’il avait flashé sur moi, qu’il en avait parlé à ma femme et que dans la semaine, ils avaient mis au point la sortie, la rencontre et la soirée chez lui.
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