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Ch 9 : Lettre à Laura (7)

Ch 9 : Lettre à Laura (7)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens de ce jour où j’ai assouvi ma vengeance.

Il y a une dizaine de jours, tu t’es amusé de moi pendant que je téléphonais à ma mère.
Je cherche désespérément une vengeance à la hauteur de ta perversité. Malheureusement ces jours-ci, je suis en panne d’inspiration, je manque cruellement d’imagination car mon attention est fixée sur la révision de mes partiels qui approchent à grands pas.
Mais toi et ta sœur allez me donner l’idée et l’occasion de te rendre la monnaie de ta pièce.

Ta soeur, Sandrine, est plus âgée que toi, 3 ans vous séparent. Tu me l’as présenté un soir lors d’un dîner à l’appart.
Physiquement, il y a une certaine ressemblance. Belle rousse aux cheveux long ondulés, les yeux bleus et beaucoup de tâches de rousseur. Moins sportive que toi, elle a de belles rondeurs et une grosse poitrine, à vue d’œil 95C ou D.
Mais c’est son caractère qui la différencie. Plutôt introvertie et pas spécialement à l’aise lorsqu’on aborde les sujets amoureux et sexuels. Pourtant en couple depuis quelques années, je la sens prude, pas vraiment épanouie. L’éducation puritaine que vous avez eu l’a beaucoup plus affectée que toi et elle est à mille lieux de se douter de nos rapports sexuels complètement débridés. Et surtout, toi, tu ne souhaites pas qu’elle le sache.

Je me souviens, ce soir là, lorsque je rentre, tu es dans la cuisine. Tu es penchée en avant, accoudée sur la table, comme si tu m’offrais ton postérieur. Je n’ai qu’une envie, soulever ta jupe, descendre ton string (si tu en as un) et te prendre directement sans sommation. Mais tu discutes sur Skype avec ta sœur. Je t’embrasse, fait un petit coucou de la main à Sandrine.
– Salut Sandrine,tu vas bien?
– Oui, merci et toi?
– Ça va nickel, vous faites quoi de beau?
– Sandrine m’apprend la recette d’un dessert, un vacherin poire-chocolat.
– Hum ça doit être bon.
Cela fait 5 min que l’on cause tous les trois et ma main pétrit tes fesses, mais ta frangine ne peut rien voir car la caméra de l’ordi est trop haute.
J’en profite pour glisser ma main sous ta jupe et là, surprise!!!
Tu portes bien un string, mais un string ficelle d’une finesse qui me laisse pantois.
La température grimpe et je sens mon appareil reproducteur s’allonger comme le nez de pinocchio.
Mes doigts se promènent sous ta jupe et atteignent ta petite moule. Mais je ne rêve pas, tu mouilles. À croire que te faire peloter devant ta sœur t’excite…
Mais lorsque la première phalange de mon majeur s’immisce entre tes petites lèvres, ta main me retient par le poignet pour m’empêcher d’aller plus loin. Je chuchote à ton oreille:
– C’est pour l’autre jour quand j’étais avec ma mère.
Tu comprends alors que tu vas passer un sale quart d’heure.
Je sors du champ de la cam, tu communiques toujours tranquillement avec ta sœur.
J’ouvre le congélateur et je prends discrètement le bac à glaçons.
Je me mets à genoux derrière toi, je remonte ta jupe et j’enlève ton string. Je commence à bisouter tes fesses que tu remues comme pour me dire « arrêtes, dégages ».
Sandrine te demande:
– Ça va? Qu’est ce qui t’arrive?
– Rien, rien, il y a juste un truc qui me démange derrière la cuisse.
Je continues mes bêtises en caressant ton clito et en léchant ta chatte de plus en plus trempée.
Je jubile car je sais que tu es obligée de feindre ton plaisir. Et ça me fait marrer, car je suis sûr que tôt ou tard, tu vas te faire griller. Il est facile de taire la jouissance par téléphone ou par vidéo, mais les expressions du visage ne peuvent tromper personne.
D’ailleurs, au moment où ma langue fouille ta grotte d’amour, ta sœurette t’interroge à nouveau:
– Tu es sûre d’aller bien, tes joues sont de plus en plus rouges.
– Oui je le sens, j’ai un peu chaud, prétextant que le soleil cogne contre la fenêtre.
Je te lèche, je t’aspire, je te doigte et tu arrives toujours à te contrôler pour sortir de mon traquenard. Mais lorsque j’att**** un glaçon et te l’enfonce dans le vagin, tu ne peux retenir un cri aigu, comme si quelqu’un t’avait effrayé.
– Mais bon dieu, mais qu’est ce qui se passe? Demande sandrine.
– Oh c’est Chris qui fait le con, il vient de me pincer les fesses, il m’a fait mal cet imbécile.
– Il est toujours en train de te taquiner celui-là.
– Tu ne crois pas si bien dire…
C’est à cet instant précis que j’écarte tes fesses et que je lape ta raie et te mange le trou à déjections.
Je me délecte de tes effluves annales, mes neurones sont en ébullition et me répètent: « Sodomie, sodomie, sodomie ».
Je défais mon pantalon et retire mon boxer. Je me caresse la verge en insérant mon index dans ton anneau rose qui se dilate.
C’en ai trop pour toi, après avoir pousser un « ouf » de plaisir, tu éteints le PC portable sans prévenir.
– Assieds-toi et fermes-la en me gueulant dessus.
Tu descends la fermeture sur le côté de ta jupe, elle tombe à tes pieds, tu m’enjambes, tu te retournes et tu t’accroupis pour venir t’asseoir sur mon obélisque veineux.
– Hum, qu’est ce que c’est bon de l’avoir dans le cul me dis-tu en faisant des va-et-vient de plus en plus denses sur ma tige.
J’élargi bien ton anus souple en te sodomisant dans une cadence soutenue.
A même sur le sol de la cuisine, notre étreinte est orgasmique et en l’espace de 5 minutes nous jouissons ensemble dans de longs gémissements. J’ai inondé ton rectum de liquide blanchâtre, tu te relèves en laissant échapper quelques gouttes de sperme qui tombent sur mon pubis. Pleine de lubricité, tu lèches ces perles amères et tu me suces la queue pour me nettoyer et récolter les restes de ce nectar que tu aimes tant.
Tu te recoiffes, tu réajustes tes vêtements, tu m’embrasses et tu te reconnectes avec ta sœur.
– Désolé Sandrine, on a été déconnecter.
– Mais bien sûr, prends-moi pour une cruche, j’ai bien compris ce qu’il s’est tramé entre vous.
Ta frangine a tout compris, mon petit manège a fonctionner et j’en suis plutôt fier.
Tu es visiblement mal à l’aise devant sa réaction, mais ce n’est pas comparable à la fois où elle nous surprendra en plein coït, mais ça c’est une autre histoire.

À suivre…

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