Bonjour, je suis Annie…
33 ans, mariée…
Jean, mon mari, 36 ans
Paul, mon fils de 10 ans
Heureuse, comme on dit, ayant l’essentiel et le superflu, sauf un amant.
L’essentiel, c’est le mari ingénieur commercial, bon salaire, en bonne santé et qui me fait l’amour régulièrement depuis notre mariage il y a 11 ans…
Maison neuve, dans notre petit village, choix de vie, avec parc, piscine, entourée de bois giboyeux…
Le superflu, c’est sa Porsche, un garage immense avec motos, quads, vélos électriques pour nous deux…
Le superflu c’est aussi des vacances ensemble, ski l’hiver, mer l’été, montagne en camping-car… Plus ses gadgets électroniques sophistiqués, auxquels je reste étrangère…
L’enfant est arrivé très vite, ce fut du rattrapage, pas pour mes parents, mais pour les siens, un dérapage en quelque sorte qui nous amené devant l’autel…
Contrat simple, nous n’avions pas grand-chose, et nos parents, comme nos amis, étaient des gens ordinaires, simples et bons-vivants.
Je suis blonde comme un ange, et mes 33 ans sont rayonnants.
Je travaillais dans la société de mon père, mais j’ai arrêté pour élever Paul…
Je suis sortie des couches, j’en suis au taxi : école, tennis, judo, musique, cheval…
Il y a aussi les anniversaires, qui se succèdent très vite et reviennent pour nous au mois de mai…
Les jours passent vite, entre les courses pour la maison, le ménage, et Paul, quelques samedis soir en mode invité, barbecues, et piscine avec les copains…
Les siens, car moi, je n’ai plus que Marie, une amie d’enfance, non mariée, 33 ans aussi, belle et très coquine…
J’aime lorsqu’elle vient me raconter ses rencontres, parler sa vie intime, on ne se cache rien…
Elle est même venue une fois avec nous en week-end essayer le camping-car en montagne et elle s’est régalée… On verra pourquoi…
Pour moi l’horloge s’est déclenchée… Je suis loin de ses goûts, ses aventures, elle n’arrête pas de collectionner les sorties en boîte, les aventures, les amants…
Mais je ne me laisse pas entraîner, bien qu’elle ait essayé…
Je me sens vieille par rapport à elle, et par rapport aux autres, en couple, avec déjà l’enfant qui les déforme…
Pour moi, enterrée ici, entre mes parents et la fabrique, je ne vois pas d’issue, sinon partir…
————
L’amour c’est à 22 ans qu’il a surgi, je commençais avec mon père, comme secrétaire…
Et ce commercial qui vient me déranger au bureau un samedi…
Beau comme un dieu, costume, lunettes, et voiture de sport…
Sur ce plan, j’ai fait mes classes avec Marie, qui au début m’accompagnait en discothèque… Nous faisions nos griffes sur les boutonneux de la région…
Elle prenait la pilule, me dit que ça peut m’arriver du jour au lendemain de tomber sur le bon…
Oh rien n’est éternel, pour elle c’est pour la nuit et pas pour la vie…
Je n’ai pas été élevée dans cette optique…
Alors j’ai pris la pilule au cas où, et je me suis laissé entraîner…
Pour voir, pour me faire déflorer, car il était temps pour moi de connaître le loup…
Le lendemain, me voilà femme…
Bof, pas de quoi sauter en l’air, un jeune bien sous tous rapports, tendre, qui m’a coincée dans sa belle auto et hop, de caresses en baiser, je l’ai perdu…
J’ai recommencé avec un plus vieux, comme Marie les aime, bien monté qu’elle dit…
Là j’ai pris du plaisir, j’ai connu mon premier orgasme… On se voyait le samedi…
Alors j’ai eu peur, et j’ai repris ma vie sage de secrétaire… Jusqu’à ce samedi…
Le voilà qui revient la semaine suivante, je suis ennuyée, mon père n’est pas là, il est au golf, pourtant il a rendez-vous avec lui… Son portable reste muet…
Le soir, il m’invite, il ne connait pas la région, il est seul dans le seul hôtel du pays…
Il a eu enfin mon père qui le recevra chez nous demain, dimanche, une exception !…
Restaurant, vin, balade en voiture, j’adore l’arbre de Noël qui sert de tableau de bord…
Il regarde mes cuisses qui se découvrent dans les virages serrés, je n’ai pas peur, car mon père aime la vitesse… Je n’ai pas peur car je sens quelque chose, dans mon ventre…
Arrêt en campagne, marche et baiser dans les bois, caresses dans la forêt…
On revient à son carrosse, à ma demande… Je suis en feu…
Je monte à l’arrière…
– C’est la place du maître ? La plus confortable ?
– ???
Il est étonné… Il ouvre l’autre portière… Il s’installe avec moi…
Baisers, caresses, il m’assoit sur lui, je sens son sexe, je n’ai pas trop l’habitude de ces situations…
Je me suis déjà fait peloter, j’ai eu des moments chauds, je sais où ils mènent.
Je ne prends plus la pilule pour 1 mois… J’ai changé de marque…
Il peut me faire enfant… On se marie avant l’été prochain…
Oh, je coule de désir, de faire l’amour avec lui…
Mes seins gonflent, je suis dépoitraillée, il excite mes tétons, me serre contre lui… Ses doigts viennent dans ma vulve, je me tiens au siège de devant…
On ne s’est vus que 2 fois… Tout juste quelques heures, je ne sais rien de lui…
Sa queue est énorme, il a soulevé ma robe, il baisse ma culote…
– Attends… Juste un instant…
Je me glisse à côté, me penche sur son membre, le prends en main, le caresse, puis le suce, comme avec les autres… Ils aimaient cela… Fellation mon amour !
J’y vais de toute ma salive, glisse avec frénésie mes lèvres sur sa hampe, pompe activement, refais le tour, tâte les bourses… Il ferme les yeux, j’ai gagné !… Il bande comme jamais…
Je me relève et remonte sur lui, cuisses ouvertes, chatte ouverte, vagin béant de désir…
Je me laisse descendre lentement…
Je savoure pas à pas, je me tords, je remonte et je redescends, et j’y vais à fond, emboîtant son sexe dans le mien, ouvrant mes tendres chairs, les distendant… Que c’est bon de jouir…
Mon vagin a eu son compte de centimètres…
Je ne bouge plus, je le savoure… Il m’embrasse le cou, retire ma robe par le haut, dégrafe le soutien qui ne soutenait plus rien… Ma culote git sur le dossier de devant…
Il se met à caresser tout mon corps, du cou aux hanches, je sens son sexe vibrer en moi, il prend du plaisir… Moi je craque… Il me pousse masse tout mon dos, et me remet en place contre lui… Sur lui…
Après avoir fait plusieurs fois le tour de mes seins en les palpant et les massant à la limite d’un orgasme, passée sur mon ventre, une main glisse sur mon pubis, puis s’insinue entre mes cuisses…
Il vient réveiller mon petit bouton…
Mon dieu… Je gémis ! C’est irréel… Il m’emporte, mes cuisses tremblent, s’ouvrent…
Il le tourne doucement, le soulève, revient, une main enserre un sein, s’active… Puis elles se joignent autour de ma taille…
Il soulève mes fesses, puis je redescends…
– Ah !… Oui !…. Oh !….
Alors je me cambre un peu plus et il m’accompagne…
Il m’aide à prendre un rythme, et je monte et je descends, et je fonds de plaisir, le sentant me labourer, puis je prends appuie sur un appuie tête, et le fais seule et j’accélère…
– Hou !… Que c’est bon !… C’est un délice…
– Ralentit, je ne vais plus me contrôler… Tu prends la pilule ?
– Non, j’ai arrêté… Je ne pensais pas…
– Alors calme toi…
– J’ai envie de toi encore et encore… Tu as un hôtel ?
– Oui, mais…
– Je suis libre chez moi, ils me font confiance et puis je suis majeure…
– Tu veux un enfant ?
– Non, je ne sais pas, oui, de toi… On se marie… Tu me veux ?
Il me soulève, me pousse et se retire vivement…
– Tu es folle !
– Non, amoureuse…
– Nymphomane, oui !
– Non, je ne suis pas ça… Jamais je ne me suis comportée ainsi… Je ne sais pas… Mets un condom… Tu me prendras chez toi, tu me baiseras encore, tu me feras jouir comme tout à l’heure, planté en moi, sans bouger… Tu me caresseras les seins, la chatte, tu m’emporteras, je te sentirai en moi, vibrer, grossir…
Tu pourrais exploser dans mon derrière si tu veux, ça ne risque rien là…
Sans capote, juste ta bite qui m’encule comme une salope et me baise jusqu’à exploser dans mon fondement…
– Tu délires…
– Non, ce sont les paroles de mon amie, Marie. Elle adore le faire comme ça, j’en rêve aussi… Elle me dit tout, me raconte ses séances de baise après le week-end, depuis des années…
– Elle est crue…
– Oui, elle aime baiser tout le temps… Chaque semaine, elle change de queue… Parfois elle en prend deux, elle me dit que c’est géant avec deux bites… Je ne sais pas…
– Tu ne l’as jamais accompagnée ?
– Si une fois… J’ai fait un peu comme elle, je me suis lâchée en vacances, au Club Med… Pour tester, pour ne pas être nunuche, pipe, sodomie, baise à plusieurs, avec elle aussi, on ne l’avait jamais fait ensemble… J’ai fait le tour de mes fantasmes et des siens, en deux semaines, même avec un copain des îles qui m’a ouverte en deux…
Il m’a emmenée dans son hôtel et m’a baisée toute la nuit… On a tout fait, toutes les positions, toutes les figures, on avait la place… J’ai essayé de ne pas trop crier, mais il a eu des réflexions au matin… Il a dit qu’il avait oublié d’éteindre la télé…
Il m’a raccompagnée vers cinq heures du matin… Tout le monde dormait chez moi, juste ma mère qui m’a dit que le chien avait aboyé vers cinq heures… J’ai dit que je n’avais pas entendu…
Epoque 1 Jean
Le lendemain, dans l’après-midi, mon père vient me chercher dans ma chambre où j’étais en train de récupérer…
– Je voudrais que tu fasses connaissance d’un futur collaborateur, tu me diras ce que tu en penses…
– Annie, je te présente Jean. Jean est commercial, il connaît tout du métier et surtout maîtrise l’international. Il a plusieurs années d’expériences et est venu pour prendre une décision… Il voulait connaître l’usine, notre famille, surtout toi qui pourrait me succéder à la direction si tu hérites…
– Papa, tu n’es pas encore… Mon dieu !
Je ne l’avais encore pas regardé, juste une ombre masquée par la plante du salon…
C’est lui, c’est mon amant d’hier, enfin de ce matin…
Je me concentre et tends la main en lui souhaitant la bienvenue chez nous, et en ajoutant que nous serions honorés de l’avoir avec nous…
Nous discutons du marché, des ventes, des nouveautés, de nos possibles contrats, de mon investissement dans l’affaire, bien mince pour l’instant, j’apprends le métier, de A à Z…
Du secrétariat à l’atelier, conduisant les machines depuis peu, programmant les diverses phases, en accord avec le chef d’atelier…
J’ajoute que je suis passionnée par ce job, pour lequel j’ai suivi diverses formations, surtout dans la gestion…
Mon père est scotché par mon discours, il ne m’avait jamais encore entendue dans ce registre…
– Bien dis-moi, ma fille, cela te réussit de rentrer tard…
Je suis blême…
Puis je passe au rouge en croisant les yeux de Jean, puisqu’il se prénomme ainsi…
Il était temps que je l’apprenne !
– Nous allons au restaurant, tu peux te libérer ?
– Maman vient ?
– Oui, elle arrivera un peu plus tard, elle est chez son amie…
Je m’excuse et les laisse discuter, pour me changer…
Quelle conne !
Emportée par ma libido, je n’ai même pas posé de questions sur ce qu’il faisait, pourquoi il était ici, pourquoi il avait rendez-vous avec mon père…
Même son prénom…
Il est vrai qu’à cinq heures, j’étais dans un état second, à moitié habillée, cherchant ma culotte dans sa voiture, sur le parking de l’hôtel… Je crois que je l’ai enfilée en roulant…
Je ne me souviens même plus de ce qu’il m’a dit en roulant, ne pensant qu’à passer au cabinet médical rapidement, à l’heure et rentrer en silence, le chien devant me guetter…
Oh, ce n’est pas la première fois que je rentre si tard, ou si tôt…
Le repas est des meilleurs, le vin excellent, papa fait les choses bien…
Maman est heureuse, il a dû lui parler de mon speech…
Maman est même très gaie, regardant le jeune homme avec attention, car il parle bien, est attentionné, poli, instruit, il ferait sans doute un bon gendre…
Et la question est posée le vin aidant vers le dessert… Non, il est libre comme l’air…
Elle se tourne vers moi et me sourit…
– Tu vois Annie, Jean ferait un gendre idéal…
– Maman, je crois que tu vas le gêner… Surtout en le dévisageant comme tu le fais…
Mon père sourit sous cape… Décidément, il semble me redécouvrir…
– Nous devons aller sur la tombe de Mamie, je te laisse raccompagner notre futur commercial ? Convaincs-le de travailler avec nous, il aimerait visiter la fabrique sans le personnel, c’est idéal. Tu peux t’en charger ?
– Mais absolument, je vais obtenir son accord, où est le contrat ?
Il se met à rire, Jean aussi, Maman fond devant lui quand il désire l’embrasser pour la remercier et serrer la main de papa avec ferveur…
Nous les regardons partir, puis dès que le champ est libre…
– Tu aurais pu me dire ce que tu faisais là, etc, etc…
Il me conduit à l’usine et on fait le tour des bureaux, je lui explique l’informatique, lui montre les machines neuves, justes installées ces temp derniers pour répondre aux nouvelles normes…
Je referme la boîte…
– On passe à nous 2, je ne voulais pas te perturber dans ta présentation, j’en avais besoin, tu es super…
– Je t’enverrai les points techniques que tu souhaites…
– OK, la visite est close et mon week-end terminé pour aujourd’hui…
– Tu repars quand ?
– Je vais rester, je repartirai demain de bonne heure…
On retourne chez moi, et c’est reparti…
Sitôt dans ma chambre, c’est le grand jeu, à poil, et paf…
Il me suce à fond cette fois, il me fait hurler, on passe en 69 et je jouis encore, et encore…
Sa verge est à point, dure, longue, et je m’étale au milieu du lit, écartelée, offerte comme une catin, désirable, les mains sur mes seins…
Il plonge et me prend sans attendre et je crie… Je deviens folle, il me possède encore comme hier, puis s’arrête… D’un coup… Je comprends…
Il est planté au fond de mon vagin, mes cuisses sont repliées, mon sexe a avalé le sien, je me tiens aux draps, je les griffe…
– Si tu ne signes pas je dépose plainte pour viol…
– Salope… Je vais jouir en toi, je vais te faire un bébé, je vais te prendre si fort que tu vas crier toute la nuit encore…
– Viens, fais-le, tu es le premier avec lequel j’aime autant faire l’amour… Détruits-moi, prends mon âme, je suis tienne, pour la vie si tu le désires autant que moi…
– Je ne connaissais pas toutes les conditions du contrat d’embauche…
– Salaud !
– Et si je te prends jusqu’au bout, que j’explose dans ta merveilleuse petite chatte, que je dépose mes graines au fond de ton vagin fertilisé ?
– Ne me tente pas, j’en ai rêvé pour fermer le bec à Marie…
– Tu serais d’accord ?
– J’ai pris rendez-vous avec mon gynéco demain matin…
– C’est rare de trouver autant de complicité et qu’en quelques heures. Qu’on soit si complices déjà, sur tous les plans. Travailler dans ton entreprise, être ton amant, aimer tes parents, ton père si cordial, ta mère si accueillante…
– Ouais, ma mère, ne la prends pas au pied de la lettre, elle fait cela avec tout le monde, elle va facilement vers les gens, surtout les hommes… Elle aime pavaner, être le centre du monde, qu’on lui fasse la cour, et là, attention, elle peut y croire…
– Ils reviennent quand ?
– En soirée, dans une heure ou deux pourquoi ?
– On a juste le temps de leur faire un nouvel actionnaire…
Et il bouge… Et il me prend, et il me baise, et il me porte vers des sommets, et j’ai soudain le vertige et tout tourne autour de moi, et le sens me perforer….
Je jouis tant que je me mets à trembler…
Il se calme et me prend dans ses bras, dans mon dos, lové contre moi…
J’ouvre mes cuisses et son sexe me reprend…
Un membre viril, dardé, qui me balance, qui m’emporte sur un vague et je jouis de ce tendre accouplement, je me donne, cambrant mon bassin vers lui, lui offrant tout de moi, sans artifice, juste nos sexes rivés et nos corps serrés, nos mains qui se cherchent… Qu’il est doux !… Qu’il est bon ! Que c’est merveilleux de ressentir le moindre mouvement…
Ses mains empaument mes seins, je jouis… Il continue, me tourne à plat ventre…
Je relève mes fesses pour le sentir au plus profond de mon être…
Je suis trempée, nos sexes s’emboitent de nouveau, il est allongé sur moi, ses mains prennent mes mains et sa douceur me fait jouir…
Il écarte mes bras, les tire vers le haut, j’ai juste son sexe qui continue à me faire délirer…
Il est lent, cette lenteur qui me plait…
– Oh, oui… Que c’est merveilleux… J’aime ton sexe, j’aime cette tendresse, je t’aime…
– Moi aussi… Je te dépose mes graines pour te prouver mon amour, mon partage et t’épouserai dès que tu le demanderas…
– Oh, oui… Je t’aime aussi à ce point, un amour comme cela, un amour si parfait… Viens, fais-moi cet enfant, au moins jusqu’à demain…
Le rythme s’accélère, je fonds, je suis ouverte, je suis la mer qui s’ouvre sous lui…
Je me sens emportée, il grossit, il me donne des coups de reins puissants…
Je crie…
Mon ventre est irradié de chaleur, de plaisir, de bonheur…
Je viens de faire un enfant avec mon futur mari, mon commercial chéri, mon premier amour…
Il me recouvre totalement, sa tête contre la mienne, je ne peux l’embrasser… Mais je me fais petite, je sens la graine monter en moi, passer dans mon utérus, elle va éclore, devenir fétus, un être vivant dans mon ventre, quelle merveille la nature…
Il m’a prise dans se bras et me cajole, on ne parle plus, on s’embrasse, je pleure…
J’entends la voiture de mon père ronfler dans le chemin…
On s’habille en vitesse, on descend dans le salon…
– Papa, Maman, Jean a signé son contrat, il est libre dans 15 jours…
– Ah c’est parfait, merci de l’avoir convaincu…
– Il n’y a pas que ça… On est tombés amoureux… Je pense que l’on va se marier assez rapidement, c’est un bonheur merveilleux, je suis sur un nuage…
Ils nous regardent, maman vient m’embrasser…
– C’est un coup de foudre ! Si tu es sûre de tes sentiments et des siens, pourquoi pas…
– Oui, je suis certaine, il vous adore, n’est-ce pas Jean ?
– Oui, pour moi aussi ce fut comme un orage, des éclairs, la foudre, puis la lumière… Annie est si belle, si amoureuse que l’on n’a pu que vivre des instants merveilleux, des moments de la vie, qui nous unissent à jamais…
– Il m’a fait un bébé, je le sens, je suis maman…
La mère s’assoit, le père prends une bouteille de cognac et ils se servent…
– Papa, c’est du champagne qu’il nous faut…
– Si vous allez à ce même rythme pour chercher des clients, nous deviendrons les plus riches de la région…
On éclate de rire, je me pelotonne contre Jean, ma mère vient m’embrasser, ainsi que Jean en le regardant dans les yeux…
– J’espère qu’il aura vos yeux…
– Maman !
– Vous ferez une merveilleuse Mamy…
Epoque 2 Annie
Paul est né en mai…
Il a les yeux bleus, maman est ravie…
Jean est passé cadre commercial et commence à envahir de commandes notre carnet de commerce…
Il a des idées plein la tête et mon père est ravi.
Il part assez souvent, quelques jours, j’étais trop avancée dans ma grossesse pour prendre des risques, et maintenant j’allaite Paul… Dès que je pourrai, je l’accompagnerai…
Que de joies, que de bonheur autour de moi depuis notre rencontre.
Il est reparti le lendemain, vider son studio, faire ses bagages…
Son ancien patron a regretté son départ, un peu précipité, mais il a compris en voyant ma photo, il ne pouvait pas lutter, il n’a pas de fille…
Au mariage nous étions 120, un peu des deux familles, quelques oncles et tantes, des cousins et cousines, nos amis, un ou deux voisins, des partenaires de l’entreprise qui sont devenus des amis de mes parents et les miens de ce fait…
Les mois ont passé, mon ventre s’est arrondi, et j’ai accouché dans la ville voisine, comme une lettre à la poste, il faisait 5 kg…
Quant à Marie, elle a suivi de loin tous mes bonheurs, mes aventures premières, contées entre filles, comme avant, les yeux dans les yeux, après une soirée entre filles…
Elle n’était pas jalouse, un peu éblouie, un peu incrédule de ce flot qui m’est tombé dessus.
Je lui ai conté par le menu mes actes sexuels, comme elle le faisait, elle a apprécié certains passages, et même s’est étonné de ma maturité en ce domaine…
Le Club Med m’a ouvert les yeux sur le monde, et j’ai pris le temps de digérer tout cela, toutes nos aventures pendant ces journées de plaisir…
Elle a compris mon silence, jusqu’à l’annonce de mon mariage ! Et celle de ma grossesse…
– Tu as dû te régaler… Il est beau, viril, puissant…
– Et il sait se servir de tous ses membres… Et tu sais, je te dis ça comme je le pense, je ne suis pas experte, je n’avais jamais rencontré un homme si producteur… Oui, quand il… Enfin quand ça vient, c’est presque des litres, il y en a partout, et il n’arrête pas de le faire, toute la nuit…
– Un surhomme sans doute… Tu sais, on a partagé plein de choses jusqu’à présent…
– Oui… En vacances et nos confidences depuis pas mal d’années…
– Nos amants en vacances, oui, on s’est fait les mêmes, ensemble parfois, en même temps…
– Oui, et ?
– Ben…
– N’y pense même pas, dans tes rêves !
– Mais si ça arrivait ? Comme ça… En soirée, comme parfois pour nous deux ?
– Je sais que j’ai souvent eu ta suite… Tes coups d’un soir, que je récupérais en les consolant… Je ne pourrais rien te reprocher pour Jean… Et puis ce serait juste la même chose, un coup en passant, pour voir… Hein ?
– Voilà… Je ne cherche rien attention, je te respecte trop… Mais nous étions libertines vers la fin, non ?
– Oui, mais j’ai vite décroché… J’ai même arrêté la pilule pour me contraindre à la sagesse…
– Oh !… Ne me dis pas que c’est pour ça ?
– Que ?
– Que tu es tombée enceinte si vite ? Tu t’es faite sautée par Jean, alors que tu étais fertile ?
– Oui, mais j’étais consciente… J’avais rendez-vous le lundi suivant avec mon gynéco, pour être certaine de ne pas avoir été prise…
– En tous cas tu as trouvé quelqu’un de super… Tu as un beau bébé, une belle maison, tu n’es pas obligée de travailler… Que veux-tu de plus ?
– Le rêve !
– Hein ?
– En ayant tout, je n’ai plus de quoi rêver, si j’enlève les biens matériels…
– Ah, tu veux dire ce que j’adore, l’étrange, le nouveau, l’inattendu, le spontané, quelque chose qui te donne un coup au cœur, au point de te perturber ?
– Oui, c’est ça… On dirait que ma vie est entrain de suivre des rails, bébé, travail, Jean, baise du retour, baise du samedi soir…
– Au moins il te baise… C’est qu’il t’aime et ne te trompe pas…
– Tu me parlais de lui tout à l’heure, que tu aimerais en faire ton 4 heures… Je préfèrerais le voir ou le savoir dans tes bras, qu’avec une pute ou une cliente…
– Merci de la comparaison…
– Pardon, mais je doute de moi parfois…
– Là, c’est de lui que tu doutes… Tu as des raisons ?
– Oh, non, il est attentionné, on parle sans cesse de Paul, de nous, on fait des projets, de voyage, de vacances, il aimerait un camping-car, dit que ce serait bien avec le bébé d’être indépendant, avoir un abri…
– Pas idiot, on parcourt la France, on peut emporter vélos, scooter, et bébé… On peut en faire d’autres aussi…
– Oh, tu ne penses qu’à ça !…
Avec Marie je ne me gêne pas. Au moins je sors ma bile… Et puis tout va mieux. Elle sert à me remettre dans le droit chemin, et ses conseils sont sains…
Deux mois après on a un camping-car tout neuf dans la cour…
Bébé fait ses nuits, il profite bien, pas de problèmes. Nous achetons tout ce qu’il faut et décidons de partir pour un week-end…
Il fait beau, on trouve un camping en bord de mer, à côté d’une petite station près de Perpignan…
Jean conduit bien, prudent, cela le change de ses chevaux… Je suis reposée, amoureuse, détendue…
Le soir on fait l’amour pour la première fois, Paul nous sourit… Puis s’endort avant la fin…
Alors je me lâche…
J’ai envie de lui, cela fait 6 mois que je n’ai pas été libre de tout mon corps…
Tout y passe, et mes gémissements, et ses coups de reins, ne perturbent pas trop nos voisins…
Il me refait tout comme au début…
Je retrouve des sensations, je demande plus, encore plus, la totalité…
Quel pied !
Jean n’a pas changé, son sexe est un arrosoir à sperme, il éjacule de partout en quantité impressionnante… En moi, je souris… Il y en aurait pour Marie…
Je chasse cette image, et il me sodomise avec tendresse, et l’image revient…
Non !
Je lui fais une fellation de dingue, le portant à la limite…
Et je franchis le pas, pour la première fois, il dégorge dans ma bouche…
J’avale son sperme chaud, laiteux, il glisse dans ma gorge… Sucré… Salé…
Je coule…
Il me reprendra plus tard dans la nuit, au hasard d’un rêve, il me refera l’amour tendresse, celui qu’on a fait pour procréer…
J’ai joui sans relâche, jusqu’à ce que je sente la douce chaleur m’envahir et provoquer mon orgasme…
Maintenant je prévois des lingettes pour éviter de déranger bébé, il faut plus d’un paquet de mouchoirs pour essuyer ses traces dans tout le lit…
Finalement, en l’avalant, je gagne du temps…
Quand on fait l’amour comme cela, je me sens sur un nuage le reste de la journée… Il peut faire de moi ce qu’il veut, je dis oui à tout… Même à une sieste…
Bébé adore l’eau, elle est bonne, et on profite, il me caresse, et bébé assiste à un viol en mer, je le tiens contre moi, il me regarde jouir, et me sourit…
Cet épisode nous fait un bien fou et on décide de le refaire les autres week-end…
C’est là que Marie entre en scène, j’ai eu le malheur de lui dire : « Tu veux l’essayer un week-end ? »
On retourne dans le camping de notre premier essai, en bord de mer, un havre de repos…
Il n’y a encore personne, nous sommes isolés en fond de zone, et la plage est devant nous…
Grillades pour le soir, biberon, couches et on sort la poussette pour marcher au bord de l’eau… Marie ne résiste pas et se baigne, drapée dans un paréo magnifique…
Jean la suit, sans rien me demander, et ils jouent en s’aspergeant…
Quand elle revient, elle est en monokini… Belle et séduisante, toute perlée de gouttes d’eau, au soleil couchant…
J’ai un recul soudain… C’est la première fois que je surprends Jean avec une telle érection sous son maillot de bains…
Je détourne les yeux, regarde Marie qui s’en donne à cœur joie dans l’eau de nouveau, plongeant et riant…
– Tu veux y aller, je garde bébé…
Ni une, ni deux, j’ai un deux pièces classiques qui masque un peu le résidu de ventre…
Elle m’entraîne vers le large, on nage un instant, et on revient pour avoir pieds…
– C’est super, merci, je me régale… Vous êtes adorables…
– Tu vois, c’est la liberté… Bébé ne nous gêne pas trop et la nuit il dort…
– Il est sur mesures ce gosse…
– L’autre fois, on n’a pas eu le temps de parler, mais on a refait comme lors de notre première fois… Et puis le samedi suivant chez mes parents quand il m’a mise enceinte… Cette douceur… Une partie de la nuit à faire l’amour comme des bêtes, j’ai même avalé pour la première fois, je ne l’avais jamais osé… Mais là, c’est mon mari…
– Ah, moi, je le fais souvent, mais tu as raison pas avec tous… Ils adorent ça…
– Quand on a conçu Paul, dans ma chambre, j’étais sur le ventre, lui me recouvrait de tout son long, son sexe planté dans le mien, j’avais cambré mon bassin pour le recevoir, c’était divin…
– Et tu l’as serré dans ton vagin ?
– Ah, non…
– Essaie la prochaine fois, c’est radical, ils jouissent immédiatement dès que tu contractes tes muscles, et toi tu sens si fort sa queue, que tu jouis en même temps, voire déclencher un orgasme…
Tu peux faire ça dans toutes les positions, tu sais… La plupart des mecs ayant joui, pour eux, c’est terminé et tu as la paix le reste de la nuit…Pour certains, ils vont revenir à la charge…
On se baigne un grand moment, puis je vais voir mon bébé…
Il faudra que j’essaie cette nuit… Mince on ne pourra pas avec Marie dans le lit du haut…
Je n’avais pas réfléchi à ça… Une nuit de perdue !…
On peut le faire sans crier, juste se caresser, sucer n’est pas baiser…
Et selon notre position, je peux le prendre en moi, en ondulant mes fesses, de côté tous les deux…
Ça a l’avantage de ne pas être l’un sur l’autre, c’est plus discret.
J’ouvre juste mes cuisses pour lui offrir ma chatte qui l’attend en pleurant de désir…
Et c’est divin quand je le sens la pénétrer lentement, il vient prendre mes seins, et chaque centimètre me fait jouir… Jusqu’au bout du bout…
Et comme la première fois il peut rester planter en moi une heure…
Je coule en pensant à ce sexe dément qui me vient me délivrer…
Ça y est, bébé est endormi. Marie est montée dans la couchette du haut…
Cette promiscuité avec elle me stimule… J’ai envie de faire l’amour… Comme jamais…
D’en avoir parlé aussi…
J’entends un bruit… Bébé tête sa sucette… Non !… Je crois que c’est Marie… Je perçois un balancement infime, un va-et-vient très discret…
Maintenant une respiration…
Jean vient me chercher dans mon sommeil naissant… Il n’a pas de mal, j’étais aux aguets, elle a dû se masturber…
Je baisse ma culotte, il vient dans mon dos, ce que je prévoyais arrive… J’écarte mes cuisses, lui ouvre la porte en grand, je suis trempée, entre Marie et mes pensées lubriques…
Son sexe arrive… Le gland me touche, il pousse, moi aussi, clac, il est en moi !…
Je dois rester lucide… Il met un bon quart d’heure à me pénétrer en entier… J’ai joui dix fois, vingt fois, doucement, serrant les dents, serrant le duvet….
Maintenant il commence à me balancer… Je sens son dard… Il se retire, puis attend… Je bouge, il revient en moi, plus fort, plus loin, plus profond, plus intense, plus jouissif…
La couchette craque un peu, je contrôle mon souffle…
Il me reprend d’un coup, un long aller-retour, et ma chatte délire de désir, pleure et un bruit de succion déchire le silence…. Il en faut peu…
Il se met à rire, moi aussi…
Et des craquements, puis il me reprend, un grand coup de rein… Je jouis… Il est dur, tendu, atrocement désirable…
Je sens une main dans la couchette, sur mes seins, et la bouche de Marie vient sur la mienne…
J’ouvre mes lèvres et sa main descend…
Son baiser est magique, tout mon corps frémit… Je me mets à couler et Jean me reprend de plus belle s’encastrant en moi…
Elle monte, me rejoint, se contorsionne et arrive à trouver sa place, face à moi, elle est nue, et mes mains explorent son corps, elle ouvre ses cuisses et les attirent dans son intimité…
Elle soupire à son tour, je ne prends pas de gants, elle est trempée, excitée, ses lèvres sont gonflées de désir… Son vagin s’est ouvert, et mes doigts glissent en elle… Elle se laisse aller et jouit… Jean regarde, il a compris… Je le sens grossir en moi, ça le stimule… Il a bandé en la voyant folâtrer dans l’eau, les seins à l’air…
Maintenant il bande parce qu’il la veut…
Et elle aussi… Elle devient une chatte en chaleur et se tourne et se retourne, et se soulève…
Ses baisers sont brûlants, son sexe est en feu ; je la fais jouir juste avec deux doigts…
Elle ne se cache plus, elle caresse le sexe de Jean qui me prend lentement…
Elle m’a donné la solution…
Je serre mon vagin, il explose en moi… Je suis trempée et elle vient lécher ma chatte et son sperme tout autour…
Je souris en silence, il est penaud et vidé…
Elle fait le tour du lit central… Monte de l’autre côté… Elle se frotte, elle le suce, elle monte sur lui et se pénètre, il est encore valide…
J’embrasse Jean, saisit son dard et le berce dans ma main, puis l’accompagne dans la chatte offerte de Marie…
Il me sourit, la prend par les hanches et il l’accompagne dans sa chevauchée…
Marie délire, accélère, le veut tout entier mais il a donné et n’est que l’ombre de lui-même…
Elle se tortille sur lui, je la masturbe, puis tourne et salive dans son puits intime…
Je le prépare, et elle se pénètre avec la verge bandée et opérationnelle…
Elle en jouit rapidement, il est reboosté par nos jeux, j’embrasse Marie, j’embrasse Jean, je leur offre ma chatte à lécher à tour de rôle…
Marie se surpasse, se défonce, cavalcade éperdue, le membre embrase son fondement, elle jouit enfin… Lui aussi, et elle comprend…
Il en met partout, il sort et continue à éjaculer en jets puissants, et on se précipite toutes deux pour avaler les bébés…
Complices, dans cette épopée tacite, ce partage au fond de la nuit câline, elle reste avec nous, et Jean comme un prince, devient le roi du monde, avec deux femmes affamées…
Je les ai entendus et ressenti, j’ai laissé faire…
Je ne suis pas jalouse c’est que du sexe…
Marie a joui longuement, je me suis un peu caressée, Marie est venue m’aider dans l’intimité de notre couche conjugale…
Au matin, il m’a fait l’amour devant elle, on y voyait un peu, elle a assisté à ma mise à mort, poignardée par ce dard plein de vie…
On a joui tous les trois, elle après moi, puis entre femmes et lui nous masturbant ensemble, un vrai lupanar, qui a réveillé bébé, heureux et souriant pour sa nouvelle journée…
Douche aux sanitaires, biberon, caresses et baisers tendres, Jean fait la nounou…
– Tu as eu ce que tu voulais…
– Je pensais ne pas dé****r si fort…
– Alors il te plaît ?
– Faudrait être difficile ! Ceux-là, ils sont comptés, je n’en avais jamais rencontré… Capacités exceptionnelles, endurance, performance, expérience, intelligence, il a tout… Je suis vraiment jalouse… Je peux recommencer une autre fois ? Venez chez moi dans la semaine… Il faut que j’en fasse le tour…
– Et moi ? Je regarde…
– Oh, j’ai quelqu’un pour toi… Jean accepterait à 4 ?
– Il n’a pas dit non hier soir, il s’est servi sans rien me demander… Mais demande lui…
– Tu l’as déjà fait ?
– Pas avec lui… On est jeunes mariés… Mais oui, en vacances, tu étais avec moi…
– Ah, oui, oh quel pied !… J’avais aimé leurs deux sexes en moi dans la piscine…
– Récupère ta serviette, c’est la mienne…
Mais le travail, la routine, nous séparent quelques temps et Marie se fond dans la brume et je reprends mon rythme de secrétaire modèle…
Puis un dimanche, barbecue chez papa…
Apéro, champagne, agneau grillé, et côtes de bœuf. On fête un contrat entre nous, le mien…
Nous ne sommes que nous 4, avec bébé…
Il a presque un an, la douceur de mai arrive…
Après manger, un peu partie, je m’allonge au salon, papa part au garage, Jean sort prendre l’air…
Je m’endors, Paul aussi… Le temps passe et quand j’ouvre les yeux, bébé est toujours endormi, une heure de sommeil…
Papa a pris sa voiture, je ne la vois pas devant…
Je monte à l’étage et j’entends des voix, étouffées, lointaines…
Je vais dans la salle de bains me rafraîchir…
Les voix se sont tues… J’ai rêvé…
Papa et Jean ont dû se rendre à la fabrique…
La voiture de Jean est là…
La chambre de mes parents… J’ouvre par curiosité, cela fait longtemps que je l’ai vue…
Mais il n’y a personne…
Je redescends, passe dans le jardin, respirer de l’air frais…
J’entends du bruit, lentement je m’approche…
Maman est appuyée sur la table campagnarde, et Jean la prend par derrière et elle jouit, scandant son plaisir, se hissant sur le plateau, s’écartelant pour mieux se pénétrer du sexe en pleine érection de mon mari, qu’elle vient sans doute de goûter…
Il la bourre sans réfléchir et elle jouit de nouveau, les deux mains sur les fesses qu’elle accompagne, en parlant à son oreille, ondulant son bassin comme une jeune gourgandine affamée…
Elle se tourne un peu, et je vois son chemisier ouvert sur ses seins libérés, majestueux, elle se serre contre lui, l’embrasse tendrement, et elle se donne de nouveau, écartelée au bord de la table, les bras en arrière, les seins offerts, la foufoune à l’air… Il s’y glisse…
Je la vois jouir, je l’entends jouir, la table craque, il redouble ses coups de reins…
– Oh oui !… Merci ! ça faisait si longtemps… Il n’y en a que pour son usine…
Il vient de décharger en elle…
Elle aussi se précipite sur la verge tendue, et lape le sperme abondant qui se répand encore sur la pelouse, gourmande et coquine, passant sa langue sur ses lèvres, ses seins se balançant en cadence devant les yeux de Jean…
J’entends bébé pleurer et dois me retirer doucement…
Anéantie par ce que je viens de voir, comme dans un cauchemar, ma mère se payant son gendre en toute liberté, en pleine nature…
Et lui, sans doute emporté par sa libido, il n’a pu que suivre et se laisser prendre dans les griffes de la louve affamée… Et délaissée d’après ce que j’ai compris…
Le soir, couchés, je parle à Jean sans animosité…
– Dis, j’ai vu maman… Tu la prenais avec douceur, et elle jouissait avec plaisir, se délectant de ta queue de traitre…
– Je sais, j’allais t’en parler… Je pensais attendre un moment opportun…
– Il est là le moment, je ne peux plus attendre !
– Elle m’a vampée… Un vrai cougar… Elle se confiait, se disait délaissée, en friche alors qu’elle se sentait encore en proie à des tourments sexuels et qu’elle ne voulait pas prendre un amant… J’étais là, disponible et très bien doté… Elle est coquine… Alors elle m’a montré ses seins, me les a donné à caresser… Elle disait que tu n’en saurais rien et qu’elle avait tellement envie depuis quelques temps, ton père ne la touchait plus depuis 2 ou 3 ans, trop vieux, trop usé…
– Et alors, tu t’es dévoué…
– Oui… Elle a soulevé sa jupe, a descendu sa culotte et s’est écartelée, se masturbant devant moi… Elle m’a dit de venir, qu’elle s’était parfumée pour moi… J’ai gouté son sexe, elle est partie, jouissant à chaque coup de langue. Je me suis mis à avoir envie d’elle, elle était trempée… Je l’ai pénétrée ou c’est elle, elle était démente…
Elle jouissait, s’accrochait à moi, me voulait encore et encore, une furie en manque… Je suis allé au bout… Voilà…
Elle m’a remercié d’avoir cédé à ses avances, cela faisait deux ans au moins qu’elle n’avait pas eu de rapport sexuel…
– Tu veux une médaille ?
– Annie, je t’en prie…
– Tu as la sensation d’avoir fait une bonne action…
– Un peu…
– Tu deviens le coq du village dans le coin, après moi, Marie, maman…
– Tu vas l’entretenir, son jardin secret ? Réduire les temps de jachères pour calmer sa libido de quinquagénaire ménopausée ?
– Annie, je n’ai pris aucun plaisir à le faire, ensuite c’est du sexe, juste un coup… Pas de violents ou tendres échanges…
– Comme pour Marie ?
– Oui, non… Marie c’est autre chose, c’est aussi du sexe, mais elle est attirante, c’est un clone de toi, je ne te trompe pas quand je lui fais l’amour…
– Dis que c’est ma sœur et baise aussi ma mère, tu rentres dans la famille avec ta queue à la main, comme avec moi, me séduisant jusqu’à me mettre en cloque !…
J’y suis allé trop fort et je me mets à pleurer à chaudes larmes, emportée par ma rage… Mais en réfléchissant, je ne sais si c’est à cause de maman ou de Marie…
Maman a été retorse, elle a fait son coup dans mon dos, Marie m’a prévenu, presque demandé…
Maman est une s…
Je repleure…
Il me calme, il me berce et ne peut que la sortir et m’en donner autant qu’à ma maman…
Il me fourre comme une dinde à Noël, faisant trembler le lit, puis mon petit trou y a droit aussi, et je jouis comme une princesse, pour plonger dans une nuit sans rêve jusqu’au lait de Paul…
Quelle journée…
C’est l’anniversaire de Paul, 2 ns, il marche, des dents, parle…
Tout le monde est ravi et nous avons fait une petite fête chez nous, dans notre villa neuve enfin achevée…
La piscine et immense, le garage dans la même veine, pour ses bolides de sport, ses motos, scooters et autres quads… Je partage parfois sa passion et on sort en Harley avec des copain d’un club.
Nous avons pris un traiteur qui s’occupe de tout…
Il y a ses parents, les miens, Marie, deux couples d’amis, une amie de Marie que je ne connaissais pas. Quelques personnes du village, voisins, commerçants, du moins ceux qui restent, car ça a été très dur pour eux ces temps derniers et beaucoup de commerces ont fermé.
Nous n’avons pas eu le temps de partir en camping-car avec Marie, c’est toujours dans les tablettes, comme une semaine au ski, juste tous les trois ou quatre…
Maman est ravie, elle adore Paul, et se prélasse en mode Mamie le plus souvent possible. J’assure les transports de mon bébé, fais les courses et me familiarise avec la maison neuve, depuis la fin des travaux.
Les parents de Jean sont Lyonnais, bons vivants, sympathiques et mettent de l’ambiance parmi les invités.
Il fait beau, certains se sont baignés avant l’apéritif et le repas est délicieux… C’est bien lorsqu’on n’a qu’à mettre les pieds sous la table…
Papa et Jean se sont entendus pour les vins, Maman me sourit en me regardant passer parmi mes invités avec un plateau…
– Tu sais, tu as repris ton ventre de jeune fille, ce serait le moment de penser au second… Paul est si beau, mais il va s’ennuyer tout seul dans cette grande maison…
– On n’en a pas parlé…
L’après-midi, nous mettons un peu de musique sur la terrasse, on peut évoluer, plonger, et nos amis en profitent, Jean aussi…
Les parents de Jean doivent faire un peu de route pour rentrer et n’aiment pas conduire la nuit. Nous nous retrouvons avec mes parents, et nos amis, une dizaine de personnes…
Hier nous avons reçu une nouvelle collection pour répondre à un contrat assez particulier, nous créerons des flacons de parfum très haut de gamme, verre et métal, assez originaux…
Maman aimerait les voir, Jean lui propose d’aller en chercher…
Papa déconseille de sortir des verres hors de l’usine et de prendre des risques, ils sont hors de prix…
Bon, Jean offre sa voiture pour y aller…
Marie et son amie, maman, et deux copines… Les maris jouent aux boules avec papa et moi…
– Tu viens Annie ? Il reste un strapontin…
– Non merci Jean je les verrai demain, Paul va se réveiller… Et je finis la partie, je ne suis pas loin de me faire baiser, comme ils disent… Baiser Annie ou baiser Fanny ?
Je suis inquiète, ils ne sont pas rentrés, deux heures pour quelques flacons…
J’allais téléphoner quand j’entends le mugissement de la voiture…
– Les filles ont voulu visiter, puis Marie a essayé mon SUV Porsche 7 places, maman est restée au bureau à regarder les collections…
– Vous êtes allés où ?
– On a fait le tour par la grande route, les virages du col et retour par la forêt…
– Et ?
– Marie conduisait, son amie est montée avec moi, derrière, les deux femmes se sont installées en 3ème rangée…
– On a tout essayé dans la voiture, elles étaient enragées… 4 femmes, 4 lesbiennes, mais partageuses et aimant mon sexe… Seule Marie était occupée par la conduite… Les deux femmes se sont délivrées, et couvraient le moteur par leurs râles… La copine, Nadia est une véritable bouffeuse de bite, elle est venue se faire défoncer le cul sans façon… Marie s’est arrêtée, la chatte en feu et m’a partagé, avec sa participation active…
Les deux copines, voyant cela, en ont voulu aussi, et sont venues avec moi, puis dans les bois… 3 femmes pour moi seul… Elles m’ont éreinté, mais elles y ont eu droit toutes les trois… Regarde-les, elles n’osent plus s’assoir…
– Et maman tu en as fait quoi ?
– Mon dieu ! Elle est restée à l’entreprise, elle a aimé le petit salon…
Il retourne avec son engin de course sans demander son reste… Je ne sais pas que faire…
Il me téléphone, elle était là, endormie…
Ce qu’il me dira bien plus tard, c’est qu’elle était allongée, à moitié nue pour l’accueillir, et ils ont baisé comme des affamés dans le nouveau canapé tout neuf….
« Elle n’est pas difficile à contenter, elle monte dans les tours dès qu’on la touche, et elle jouit pratiquement tout de suite, en griffant, en mordant sa robe…
Ensuite, elle a voulu que je la prenne à fond, par derrière, puis que je jouisse en elle sans m’arrêter, en lui déclenchant un orgasme qui la fasse brailler dans tout le bâtiment…
Elle en a déchiré sa culotte en coton, sodomisée comme une fille de joie, en joie… ».
Quand je retourne, les deux couples se sont retrouvés dans la piscine en buvant des bières, Marie et sa copine baisent dans les fourrés sur des matelas sans se gêner, offrant leurs anatomies aux deux couples surexcités…
J’arrive au bon moment, tandis que papa fait semblant de dormir, quel vieux vicieux adorable… Il ne peut plus rien faire, mais son esprit vagabonde…
Je plonge toute nue, Jean descend de voiture, maman rentre à la maison, puis elle vient chercher son mari… Elle n’a pas vu les deux couples, ni les 2 filles dénudées se roulant une pelle…
Elle monte dans leur voiture et papa démarre…
Jean me rejoint dans l’eau…
– Je peux me servir aussi alors ? Le technicien me plaît bien, celui avec lequel je jouais… Il regardait tellement mes seins lorsque je ramassais mes boules, qu’il ratait tout… On a perdu 13 à 0…
– Je ne peux pas t’empêcher de faire selon ton désir. Je respecte ton jardin, tu en as besoin. Sache que je m’arrête au sexe et que rien ne viendra perturber notre couple. Il ne peut qu’améliorer nos ébats… J’aime te faire l’amour, tu le sais… Les autres je les baise… Je les fais crier, c’est ma récompense macho, d’homme en rut…
– Fais-le maintenant avec moi, devant eux, j’ai envie d’être toutes celles que tu as eues cet après-midi… Tu en auras la force ?
– Et toi ? Il te faudra te couper en cinq pour me faire tout ce qu’elles m’ont fait !
La soirée s’est éternisée, nous nous sommes retrouvés dans notre immense salon et on a baisé tous ensemble, j’ai eu 3 nouvelles amantes, et 2 amants, dont mon technicien, mais là, il a marqué des points…
Finalement 3 ans plus tard, ma vie a bien changé, je suis libre…
Jean est directeur de l’usine, je suis sa patronne, propriétaire à 100 pour 100.
Mon père coule une retraite heureuse…
Maman a recours à son gendre de temps à autre. Elle s’est récemment rasé le minou, trouvant qu’elle jouit mieux quand il la suce et la lèche…
Papa est maintenant au courant, il adore la savoir avec Jean, il est rassuré…
Paul a cinq ans, je lui ai procuré une nounou qui habite près de chez nous, et je suis tranquille.
Mes journées se passent entre le bureau le matin, et mes rendez-vous l’après-midi.
Nous donnons quelques soirées pour nos amis et adorons notre grand salon…
Parmi mes rendez-vous, Marie tient une grande place, son amie Nadia, avec laquelle elle est pacsée, aime nos trios époustouflants.
Elles adorent aussi participer à nos soirées, pour le sexe de Jean et les autres, souvent…
Je m’isole quelques fois avec ce technicien, qui me procure des frissons, différents de ceux de mon mari, mais tout aussi jouissifs.
Sa femme est aussi dans la confidence et je la reçois seule quand elle a besoin de sensations fortes et d’aventure, nous sortons alors toutes les deux dans les bars lesbiens…
J’aime traîner dans ces bars sombres, où des nanas se rencontrent pour trouver leur plaisir…
J’ai accompagné Jean dans ses tournées depuis que j’ai la nounou.
Nous avons découvert les grands hôtels, les services d’étage avec des surprises parfois, comme des soirées plurielles en sauna qui nous déstressent.
Marie est venue avec Nadia un week-end en camping-car. Nous nous sommes régalées toutes les 3, et Jean était sur les rotules en rentrant…
J’ai même laissé Marie avec Jean une nuit, nous occupant toutes les deux avec Nadia…
Nadia est très tendre, elle adore le sexe de Jean et s’en pourlèche à chaque rencontre.
Marie et Nadia aimeraient avoir un enfant…
Marie m’a ouvertement demandé si Jean pouvait les inséminer toutes les deux, en même temps…Ce seraient deux faux-jumeaux certes, avec le même papa…
Je n’ai pas refusé… Elles ne s’en étaient pas privées jusqu’à maintenant…
Lorsque j’ai connu Jean, j’étais un ange, je rêvais au prince qui me ferait découvrir l’amour, puis le sexe…
Maintenant je deviens démon, comme maman qui se repaît de quelques extras, en plus de Jean…
Je n’avais plus mes règles, mais n’en fais pas la comptabilité, je la fais assez au bureau…
C’est mon gynéco qui m’a dit, mais Annie, tu es enceinte !
La nounou va passer à plein temps pour le plus grand plaisir de Jean, qui vient d’être multi papa de 3 magnifiques filles… Mais chut !…
On vient de fêter cela ce week-end, avant nos retours de couche…
Maman est entrée dans une seconde jeunesse, elle regrette juste de n’avoir pu participer aussi… Pour faire la 4ème…
FIN
Marika842010
janvier 2019
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