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Comment je suis devenue accroc…

Comment je suis devenue accroc…



Bien chers tous, je suis depuis plusieurs années sur ce site et je me décide (enfin) après plusieurs lectures, visionnages à prendre la plume. Les frimas hivernaux, la neige et le froid me laissent le temps de vous écrire. Je vais vous narrer ici comment j’ai découvert l’exhibitionnisme, le libertinage, le cocufiage, le sexe et… le divorce.

Je me prénomme Nat, la trentaine, pas très grande, pas très maigre, une poitrine dans la norme, un métier normal, à l’époque un (ex)mari normal, une (ex)maison normale, bref, la normalité.

Mon mari et moi étions de grands randonneurs. Chaque dimanche nous marchions quelques dizaines de kilomètres. Un jour d’été, nous marchions sur un des innombrables chemin blanc qui sillonnent la Meuse. En milieu d’après-midi, une envie d’uriner pressante qui me faisait ralentir.

Je profitais d’un petit bosquet pour m’arrêter et soulager cette vessie oppressante. Seulement, je n’avais aucun papier sur moi et encore moins de mouchoir jetable. Je décidais donc de m’essuyer avec ma petite culotte, de l’ôter et de la placer dans la poche de mon short. A discrétion de mon mari. Puis nous repartîmes. Après quelques kilomètres, le frottement de mon short sur mon minou découvert devenait insupportable. Pendant que nous continuions à marcher, je ne pus m’empêcher d’en faire part à Yann. Avec peu de détail et un rougissement caractéristique d’une gêne non dissimulable.

Yann me dit alors de remettre ma culotte, et nous prendrons une douche une fois rentrés. Je ne voulais absolument pas enfiler cette culotte souillée par ma mixion. Etant au milieu de nul part, en terrain connu, je décidai finalement d’ôter mon short et mon grand t-shirt cachait ainsi mon intimité. Yann pestait et nous pressions le pas pour rentrer. Nous n’avons croisé personne, quelques tracteurs au loin travaillaient mais je passais inaperçue, ainsi vêtue seulement de mes chaussures de marche et d’un grand t-shirt.

Ma vulve était soulagée, elle me brûlait moins mais une drôle de sensation se faisait sentir, indescriptible, discrète… Et je rougissais de plus en plus au fur et à mesure que nous avancions, la bise légère de l’été, la chaleur enivrante me donnait des ailes. Je me mis à courir devant Yann et au détour d’un petit bois carré, je me cachais. Son embonpoint ne lui permit pas de me ratt****r de sitôt et j’avais quelques petites minutes devant moi. Je carressais mon petit minet qui finalement ne me brûlait plus mais me chatouillait. Oui, j’étais excitée, un petit fil rejoignait mon doigt qui s’éloignait de mes lèvres…

Je ressorti du bois et attendais Yann qui arrivait en haut de cette petite côte au coin du bois. Et lentement, j’ôtais mon t-shirt et mon soutien gorge. Mon mari se mit à courir et à hurler me demandant ce qui se passait. Lui tournant le dos, je me mis à continuer à marcher en dandinant mon popotin afin de lui signifier mes besoins de l’instant. Les fourmis courraient dans mon bas ventre, mes joues étaient brûlantes, mon sexe commençait à couler. Oui, je me sentais bien ainsi et j’y prenais plaisir.
Enfin, il me rattrapa, il m’aggrippa le bras et me fit une scène d’anthologie, me demandant ce qui se passait, si j’allais bien, que je ne devais pas être seule dans ma tête, tout y passa. Pour le faire taire, je lui pris la main et la plaçait sur ma vulve offerte, légèrement ouverte, d’où s’échapper un fluide délicat. Il comprit mais son mutisme a comblé tout ses mots précédents.

Il ne dit rien ; je le guidais ainsi, au milieu du chemin, au travers de mon corps offert, à la vue de quiconque, mordus par les rayons du soleil. Je lui intimais l’ordre de faire de même, de se déshabiller et d’être nu comme un ver. Pudique, c’est ce qu’il fit. Et nous voilà nus tous les deux sur ce chemin. Son sexe en dit long sur son état et son méat brillait… Mon coeur battait à tout rompre, le sien aussi, et la moiteur de mon corps commençait à scintiller au soleil. J’avais envie, envie de me faire surprendre, prendre, défoncer, lécher… bref, j’avais envie de baiser, pour la première fois, ce mot avait traversé mon esprit, moi si pudique, réservée, timide, n’aimant que les ébats sexuels standard. J’avais besoin, là, de bestialité, de baise, de me faire prendre au sens propre du terme. Ce que Yann n’a peut être jamais compris. Lui si doux, réservé.

Alors je marchais avec ce besoin et une nouvelle envie d’uriner se fit sentir. Je me libérais de ceci au milieu du chemin. Je n’en pouvais plus. Et au pied d’une éolienne, en contrebas d’un mur de roche, il me pris debout, et soulageait légèrement mon envie. J’avais besoin de plus, plus de tout… et c’est ainsi que je me découvris, ce n’était que le début d’une longue aventure sexuelle…

A très bientôt.

Nat

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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