Partouzée au ciné Atlas
Le sauna que je fréquentais depuis 3 ans ne me suffisait plus pour assouvir mes insatiables envies de bite et jus. Certes, chaque fois que j’y allais je me faisais toujours baiser au moins par une dizaine de mecs et vidais autant de couilles, mais c’était souvent les mêmes habitués du sauna. J’avais envie de nouveaux mecs et de nouvelles bites. J’ai donc décidé d’aller au ciné Atlas à Pigalle
Je connaissais ce ciné porno depuis les années 80. J’y avais déjà été plusieurs fois et j’avais baisé beaucoup de jeunes asiatiques. J’adorais leur peau douce de jeune fille. Ils raffolaient de ma grosse queue épaisse et juteuse. A l’époque je me considérais comme un hétérosexuel mais j’avais déjà subi de nombreuses sodomies depuis mon adolescence et j’en gardais un bon souvenir.
Plus de vingt ans après j’y suis donc allée cette fois en travestie bien décidée à me faire un maximum de mecs. Je savais que beaucoup de travailleurs immigrés noirs et Arabes y venaient le weekend pour vider leurs couilles gratuitement. C’est ce que je recherchais justement : faire la pute gratuite pour eux.
Une fois à l’intérieur du ciné j’ai mis mes fringues de salope (minijupe, string, bas nylon), mes talons-aiguille haut de 10 cm, ma perruque blonde bouclée, mes boucles d’oreille créole, puis je me suis maquillée comme une pute, j’ai avalé un ecstasy et je suis allée dans la salle du premier étage.
Il y avait un attroupement devant les toilettes qui servaient de baisodrome dans une obscurité totale. J’y suis entrée en tâtonnant suivie des mecs qui m’avaient repérée dans la salle. On était serré comme dans le métro aux heures de pointe. Des mains baladeuses ont commencé à me peloter les fesses et les seins ; des bites raides me collaient aux fesses en cherchant mon trou. Ils voulaient que je les suce mais il n’y avait pas assez de place pour me mettre à genou, ou même me pencher. Quelqu’un dont je ne voyais pas le visage m’as chuchoté : « tâte ma bite salope, j’ai envie de t’enculer comme une chienne ». J’ai attrapé et soupesé sa bite dans l’obscurité ; elle était superbe, très épaisse et circoncise. « Tu la veux salope ? » . Je n’ai pas répondu mais en signe de consentement je me suis aussitôt appuyée contre le mur en lui présentant ma croupe. Il a allumé son briquet pour voir mes fesses et mon visage. Je l’ai vu aussi : c’était un grand black. De toute évidence il savait comment faire avec des salopes comme moi. Il s’est positionné derrière moi et a commencé à frotter sa gosse bite contre mon anus en le mouillant avec de la salive. J’ai sniffé profondément mon poppers, je me suis un peu courbée et j’ai poussé mes fesses contre sa bite. D’abord il m’a pénétrée lentement mais une fois tout au fond de ma chatte anale il a accéléré le mouvement de va-et-vient et au bout de quelques minutes il a joui en moi avec un long râle. Quand il s’est retiré son sperme a commencé à couler le long de mes cuisses. « Tu es maintenant bien lubrifiée pour accueillir d’autres bites », a-t-il dit en rigolant et en fermant sa braguette.
Ma fête venait de commencer pour durer jusqu’à la fermeture. Après lui une dizaine de mecs se sont relayés dans l’obscurité et m’ont défoncée sans ménagement. Je ne voyais pas leur visage mais je sentais bien leur bite exploser au fond de moi. Certains mettaient une capote, d’autre y allaient sans. Mon cul était bien rempli et le sperme débordait sur mes fesses et cuisses. Il faisait trop chaud dedans et je n’en pouvais plus de subir leurs assauts puissants de mâles en manque. J’ai réussi à me dégager et sortir. Je suis allée me rafraichir le visage et avaler un nouvel ecstasy.
Je suis revenue au bout de 15 mn et cette fois je suis allée directement au fond de la salle où une rangée de sièges avait été supprimée, sans doute pour dégager de la place pour l’enculage des salopes. Là je pouvais me mettre à genou et sucer toutes les bites qui se présentaient. J’ai vidangé une 10aine de mecs en avalant leur jus à grandes gorgées. Un Arabe d’une cinquantaine d’année m’a demandé de me lever et de lui présenter ma croupe. Je me suis immédiatement exécutée et lui ai offert mon cul de pute en m’appuyant sur le dossier d’un fauteuil. Pendant qu’il me défonçait un autre mec m’a donné sa bite à sucer. Mes deux trous étaient bien occupés et devaient le rester pendant une demi heure, car les mecs se relayaient d’abord dans ma bouche ensuite dans mon cul. Comme tout à l’heure certains mettaient une capote, d’autres préféraient m’enfiler sans. Alex m’avait conseillé de toujours obéir aux désirs des mecs en bonne salope que j’étais devenue. Je savais que je prenais des risques mais sentir une bite exploser au fond de mon cul ou gicler dans ma gorge me procuraient un plaisir incomparable. Le sida ne me faisait pas peur, car je savais qu’il y avait des traitements très efficaces pour stopper le virus.
Après une pause d’un quart d’heure pour fumer une cigarette et avaler un nouvel ecstasy je suis descendue dans la salle du RDC. A droite de l’écran il y avait un escalier de secours où les salopes se faisaient baiser devant tout le monde. J’ai traversé lentement la salle sous les lumières de l’écran en dandinant mes fesses devant les spectateurs. Des mecs se sont levés et m’ont suivi. Vite un attroupement s’est formé autour de moi et des bites raides ont commencé à cogner contre mes fesses. Un black d’une quarantaine d’années m’a poussée vers le fond et m’ordonné de le sucer. Je me suis mise à genou et lui ai taillé une bonne pipe gorge profonde. Puis il m’a demandé de me lever et de lui présenter ma croupe debout contre le mur. Mon cul était déjà bien lubrifié de sorte que je n’ai eu aucun mal quand il m’a pénétrée d’un seul coup puissant avec sa grosse matraque. Après avoir joui en moi il s’est retiré en disant : « Elle est bonne cette salope, ne vous gênez pas les gars » et il est parti.
Aussitôt plusieurs mecs se sont mis en rang et m’on baisée à tour de rôle en remplissant mon cul de leur jus abondant. Je ne sais pas combien de mecs m’ont enculée dans ce coin. Mais je n’ai pas arrêté de faire la chienne en chaleur et d’en redemander toujours. A bout de force je me suis dégagée de la meute et suis allée prendre un dernier ecstasy pour satisfaire les derniers « clients » avant la fermeture.
Ce fut le jour de mon record de bites !
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