Un jour, un vieux monsieur m’a demandé si je voulais bien faire pipi sur lui. Je n’avais jamais fait ça auparavant.
C’était en plein été. Il m’avait abordée à la terrasse d’un café où je m’étais assise pour bouquiner. Un monsieur bien sur lui, poli et cultivé. Il m’avait offert un verre à cette terrasse, puis deux, puis trois. Ensuite, nous étions allés chez lui, car il possédait beaucoup de livres et de 33 tours de musique classique qu’il voulait me montrer. Je n’avais pas d’attirance particulière pour les vieux messieurs, à cette époque, ni pour la musique classique d’ailleurs, mais je l’avais trouvé aimable et attachant. Je devais avoir 21 ans.
Je l’ai laissé m’embrasser dans son canapé, puis me toucher, et nous avons eu une relation sexuelle dans son lit. Quand je lui ai demandé à quel endroit il voulait que je fasse pipi, il m’a répondu :
« Viens t’asseoir sur mon visage. »
J’ai rencontré plusieurs autres vieux messieurs par la suite. Et des moins vieux aussi. Certains m’ont abordée sur d’autres terrasses de cafés, ou dans des parcs publics, parfois dans la rue. Mais le plus souvent sur Internet, via des sites de rencontres et des dialogues sur Messenger.
Aujourd’hui, j’ai presque 40 ans. Je n’ai pas fait le compte des hommes qui m’ont demandé de leur faire pipi dessus. Je n’ai pas compté non plus ceux qui m’ont rendu le change. Je n’ai pas fait de moyenne d’âge, mais je serais tentée de dire, à vue d’œil, que plus on avance dans le temps, plus on est tenté par les jeux d’urine.
Je me souviens d’un homme d’une quarantaine d’années, que j’ai revu de nombreuses fois et avec qui j’allais me promener dans des lieux publics assez variés : parcs, sentiers pédestres, rues piétonnes, mais aussi rayons de grandes surfaces. A chaque fois, je portais une jupe ou une robe, sans rien dessous. Tout en marchant et en croisant des dizaines et des dizaines de personnes sur notre passage, je pissais. L’urine coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, jusqu’à mes pieds, puis elle se répandait derrière moi. Mon partenaire aimait que je le prévienne alors.
Que je lui dise :
« Je pisse. »
Et alors il me répondait :
« Salope. Tu n’imagines pas comment tu me fais bander. »
Généralement, pour finir, nous nous trouvions un endroit pour baiser. Il pouvait s’agir d’un coin de forêt, de bosquets dans un parc, mais aussi de WC publics où il me baisait systématiquement debout.
Je me suis plusieurs fois faite surprendre en train de pisser. Adolescente, dans un sous-bois situé au bord d’une aire d’autoroute, je me souviens d’un homme qui avait au moins l’âge de mon père, qui est tombé sur moi tandis que j’avais ma robe relevée et ma culotte baissée au milieu d’un petit chemin. Il est resté là, immobile, les yeux grands ouverts à regarder ma chatte et le généreux filet de pisse qui coulait sur la terre.
Je me souviens aussi d’un mec de ma promo, à la fac, qui a ouvert d’un seul coup la porte des toilettes qui ne fermaient pas à clé. C’était dans un appartement où se déroulait une soirée étudiante. J’étais en train de pisser et lui aussi est resté figé en découvrant le spectacle : ma chatte, ma pisse.
Après plusieurs secondes, je lui ai dit :
« Tu veux bien refermer la porte, s’il te plait ? »
Il a tardé à réagir.
Il a tardé à décrocher son regard de ma chatte.
Il a tardé à venir me voir, plus tard dans la soirée, pour s’excuser, mais aussi pour me dire qu’il avait beaucoup aimé ça. Cette même nuit, dans cette maison, nous sommes revenus dans ces toilettes ensemble pour baiser.
La première fois que j’ai goûté de la pisse, j’ai songé à un thé très amer. Tout comme il m’est arrivé de trouver un goût de café au lait sans sucre à des anus que j’ai pu lécher.
Un homme, un jour, m’a parlé de jus d’huître sans citron.
Un autre encore m’a parlé d’alcool fort d’origine inconnue.
Une affaire de goûts…
Toujours est-il que le premier jet de pisse que j’ai pris dans la bouche avait un goût de thé. C’était la pisse d’une fille de mon âge, de la même fac, mais pas de la même promo. Au retour d’une soirée étudiante, bien arrosée, nous avons pris une douche ensemble, chez moi. Nous étions ivres et nous nous sommes embrassées, tripotées et masturbées mutuellement. Nous ne nous sommes pas concertées, c’est elle qui m’a pissé dessus en premier. Sur les seins, pour commencer, tandis que j’étais agenouillée devant elle. Puis on a inversé les rôles, aussitôt après. Je me souviens être parvenue à lécher son cul pendant que son flot brûlant se déversait sur mes yeux. J’en ai avalé un peu, j’en ai recraché beaucoup.
Je l’ai aussi souvent fait toute seule, sous la douche. Je n’ai jamais trouvé ça répugnant. Comme beaucoup de personnes, je me suis très souvent branlée sous la douche, avec mes doigts, mais aussi avec des objets que j’avais sous la main. Je continue de le faire à l’heure actuelle, et je ne connais pas de femmes de mon âge qui ne le font jamais.
Seulement, pour moi, la pisse a toujours fait partie du jeu et du plaisir. Se lâcher comme ça, c’est divin. Se faire dessus, c’est exquis. Répandre la pisse sur son pubis et sur son ventre quand on se douche, c’est l’extase. En boire un peu est un régal.
Il n’y a pas très longtemps, je l’ai fait avec une collègue de boulot. Elle était en instance de divorce et nous nous étions accordé une soirée entre femmes. Au fil des heures, je ne sais plus comment, nous en sommes venues à parler d’urine. Il se trouvait qu’elle avait déjà partagé ce genre de jeu avec des hommes par le passé, à deux reprises. Mais aussi avec une fille, quand elle était au lycée.
Nous avons beaucoup bu ce soir-là. Nous n’avions pas envie de nous quitter, alors nous sommes allées chez moi. Elle avait un gros cul, mais il était ferme. Nous nous sommes mises en 69 sur mon lit, pour commencer. Je lui ai bouffé le cul et la chatte. Je me suis régalée. Ensuite, nous sommes allées sous la douche pour se pisser dessus. J’ai été stupéfaite, car cette femme fait partie des rares qui avalent beaucoup et qui recrachent peu. Elle a aimé boire ma pisse et j’ai aimé lécher de nouveau son anus sous cette douche.
Je me souviens d’un autre vieux monsieur qui m’a demandé de faire pipi sur sa bite, sur le sol de sa cuisine. Il était tout nu et il n’était pas parvenu à bander suffisamment pour me pénétrer. Après lui avoir fait dessus, sa bite était raide et je me suis empalée dessus.
Je me souviens d’un homme marié, il y a de ça quinze ans. Directeur de banque, marié, trois enfants, il m’avait contactée sur un site de rencontres. Son trip à lui consistait à se faire pisser dessus sans se déshabiller, sachant qu’un directeur de banque porte généralement des costards coûteux et des cravates. Vous n’imaginez pas le plaisir que j’ai eu à arroser sa tenue.
Etudiante, j’ai très souvent posé toute nue pour des photographes, et il m’est arrivé de pisser pour certains. C’était quelque temps après mon premier vieux monsieur. J’avais la chatte poilue, à l’époque. J’ai conservé quelques clichés. Quand je les regarde, je me trouve vraiment un air de garce sur ces photos. Il m’arrive de me masturber en les regardant, y compris sur celles où je ne suis pas en train de me faire tripoter par le photographe en question, ou de lui sucer la bite.
Je me souviens avoir pissé sur le siège passager d’une voiture, devant un homme qui m’avait prise en stop.
Je me souviens avoir fait en sorte que le père d’une copine de lycée me voit en train de pisser, au fond de son jardin. Juste mon cul et le jet de pisse qui coulait entre mes fesses.
Je me souviens avoir fait en sorte qu’un amant de ma mère me surprenne dans les toilettes, un soir. J’avais envie qu’il voie ma chatte, après l’avoir vu à plusieurs reprises bourrer celle de ma mère.
Je me souviens avoir reçu en plein visage la pisse d’un homme, un jour, dans une chambre, suite à de longs échanges sur Internet. Sa femme était assise à proximité, dans un fauteuil, à poil, à nous regarder en se branlant.
Je me souviens être parvenue à pisser tandis que la queue d’un inconnu était en train de me pénétrer, en pleine nature. Il a fallu que je me concentre un long moment, car il n’est pas évident de pisser quand une grosse queue vous bourre la chatte.
Je me souviens m’être mise à poil chez moi, un soir, en observant un couple qui baisait dans une voiture, dans ma rue. Ils étaient deux étages plus bas et je me suis pissée dessus en me branlant.
Je me souviens de tellement de choses.
Vous n’imaginez pas.
Tous ces goûts de thés amers.
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