C’était il y a trois ans, alors que j’étais célibataire et très fêtard, je me suis rendu à l’anniversaire d’un ami. Il était déjà bien éméché lorsque je suis arrivé. Bref, à l’heure de l’apéro, il ne comprenait déjà plus grand-chose à ce qui se passait autour de lui.
Catherine, sa mère, une brune dans les 45 ans, était présente à la fête. Normal, ça se passait chez elle. Elle m’a ouvert la porte et m’a invité à la suivre jusqu’à la terrasse, où tout le monde prenait un verre. Ah, les chaudes soirées d’été…
Je me suis tout de suite senti très à l’aise avec la mère de Jérôme. Elle aussi avait l’air de me trouver charmant. Elle était très séduisante, et ses formes moulées dans sa petite robe d’été ne me laissaient pas indifférent.
J’avais du mal à détourner mon regard de ses seins énormes, et je crois qu’elle l’a bien remarqué. Pendant le barbecue, on n’a pas arrêté de nous chercher du regard, on se lançait des petites vannes, comme deux ados qui se tournent autour.
Vers la fin du dîner, alors que les invités ne faisaient plus attention à rien et que régnait un joyeux désordre dans le jardin et la baraque, Catherine a glissé une saucisse dans sa bouche, et m’a mis au défi de la lui prendre avec les lèvres. Je ne me suis bien sûr pas fait prier pour lui retirer l’aliment d’entre les lèvres. Elles se sont frôlées, et nous nous sommes embrassés.
Tard dans la nuit, ceux qui pouvaient encore se remuer sont partis en boîte. Je pensais que Catherine allait rester chez elle pour parer aux débordements — auquel cas, je serais peut-être resté aussi — mais, très détendue, elle a enfilé ses chaussures et elle est venue avec nous. Au club, l’ambiance était bonne, le DJ excellent, on s’est bien défoulés sur la piste. J’y ai retrouvé Nicolas, un de mes meilleurs amis.
J’ai partagé quelques danses endiablées avec Catherine, caressant dès que je le pouvais ses fesses à travers sa robe. Mon désir grandissait de plus en plus. Vers cinq heures du matin, Catherine nous a invités, Nicolas et moi, à venir boire un dernier verre. Une fois chez elle, j’ai eu les mains de plus en plus baladeuses. J’avais une envie démesurée de sexe. Des gens dormaient, échoués sur les fauteuils de la terrasse ou du salon. Nous sommes donc allés dans sa chambre. Elle s’est éclipsée un moment dans la salle de bain, prétextant un changement de tenue. Je l’y ai suivie.
Elle n’a pas cillé, elle a juste fait glisser sa robe le long de son corps, sous la lumière crue du néon, et a passé un ensemble super sexy, des dessous, un porte-jarretelles et des bas bleu marine. Je croyais rêver.
Elle a déboutonné mon pantalon et s’est littéralement jetée sur mon sexe pour une pipe mémorable. Elle jouait avec ma bite, mordillait le gland puis se l’enfonçait entièrement dans la gorge. Elle était déchaînée. Elle a sorti ma queue de sa bouche pour m’avouer qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis un petit bout de temps, et qu’elle voulait que je la prenne sauvagement. Je lui pétrissais les seins sans retenue, j’étais prêt, mais je me suis souvenu de mon pote Nicolas, juste à côté.
Du coup, j’ai eu envie de tester sa véritable faim de sexe, au risque de tout perdre. Hé, on est joueur ou on ne l’est pas… Je lui ai proposé de mêler mon pote à nos petits jeux, « deux gars pour le prix d’un », et elle n’a pas hésité une seule seconde. Je suis allé chercher Nico et on a débarqué dans la chambre.
Mon pote a sorti son sexe et l’a vite mis dans la bouche de Catherine. De mon côté, je m’occupais de sa chatte en feu, déjà trempée d’excitation. Elle avait un goût délicieux. Mes coups de langue lui arrachaient des spasmes de plaisir.
On a passé un bon moment dans cette position, jusqu’à ce que Catherine se relève pour se mettre à quatre pattes. Nico s’est placé derrière elle et l’a pénétrée violemment, debout, en lui donnant de puissants coups de reins. Elle a joui comme une femme sûre d’elle, sans retenue, c’était très chaud… Quand elle a repris ses esprits, je lui ai fourré ma bite dans la bouche. C’était vraiment une experte de la fellation. Je lui ai caressé le dos, et mes doigts se sont faits de plus en plus fouineurs. J’ai titillé son anus pendant que mon ami continuait à la bourrer.
J’ai proposé à Catherine d’aller plus loin : de se faire prendre en sandwich entre ses deux étalons d’un soir. Elle était tellement chaude et comblée que je crois qu’elle aurait accepté n’importe quoi. Nicolas s’est allongé sur le lit, elle est venue s’empaler sur son phallus très large. A mon tour, j’ai présenté ma queue à son oeillet. Notre amazone a placé ses mains sur ses fesses pour les écarter au maximum.
Je me suis introduit difficilement en elle — c’était ma première double pénétration, et ça a l’air franchement plus facile dans les films — mais, après quelques va-et-vient, j’ai pu lui donner de grands coups de boutoir et accélérer la cadence.
Je me suis amusé, ensuite, à entrer et sortir de son cul, laissant un trou béant avant de revenir en elle d’un coup sec. Elle était au septième ciel et hurlait de plaisir.
Après qu’elle a joui plusieurs fois, et que j’ai éjaculé entre ses fesses, elle a pris le sexe de Nico dans sa main et l’a branlé jusqu’à ce qu’il décharge.
Elle s’est pris une belle giclée sur le visage.
Après une petite toilette, Nico est parti, et moi, j’ai dormi toute la matinée dans le lit de la mère de mon copain.
Depuis, je la revois de temps en temps, pour des jeux toujours plus torrides.
Ajouter un commentaire