Cette histoire m’a été rapportée par ma douce et tendre épouse, anglaise brune aux yeux verts de 1m64 pour 58kg avec un éblouissant 95D, avant notre rencontre.
Dans le cadre de ses études, elle a passé une année scolaire en France comme assistante linguistique dans un lycée de la région parisienne. D’un naturel très réservé, elle a donc préféré loger chez l’habitant au lieu d’occuper la chambre individuelle mise à sa disposition pour mieux s’imprégner de la culture française. Ne voulant pas non plus faire de babysitting, elle a épluché les petites annonces jusqu’à ce qu’elle tombe sur l’offre d’un retraité offrant gîte et couvert en échange de « menus » services.
Pour l’occasion et à cause de la chaleur de cette fin août, elle portait une robe légère mettant en valeur son buste et la rondeur prononcée de ses hanches. En arrivant chez Pierre, sexagénaire corpulent mais encore athlétique avec un visage de baroudeur, Miranda a été immédiatement charmée par l’homme doux, calme et attentionné qui lui proposait un verre pendant qu’il expliquait ce qu’il attendait d’elle (un peu de ménage et quelques courses mais surtout de la compagnie car il se sentait très seul depuis le décès de sa femme et le départ de ses enfants). En échange, elle disposerait d’une chambre avec salle de douche en suite et pourrait prendre les trois repas. En cas d’extra, elle aurait une gratification. Miranda était folle de joie car c’était bien plus qu’elle n’espérait car elle n’aurait presque pas à dépenser le confortable pécule donné par ses parents.
Comparé à sa cabine d’étudiante, la chambre était immense et le lit en fer forgé était superbe et si confortable qu’en s’allongeant, elle offrait une vue imprenable sur la petite culotte en dentelle. En se relevant, elle ne manquait pas de remarquer une grosse bosse sur le devant du pantalon de Pierre qui ne s’y trouvait pas quelques minutes seulement auparavant.
Miranda n’était plus vierge depuis longtemps et ne se refusait pas aux rapports furtifs pendant les soirées étudiantes en marge de la liaison clandestine suivie avec l’un de ses professeurs. Et Pierre ne la laissait pas indifférente alors elle ne s’est pas refusée quand il l’a enlacée et répondu favorablement à son baiser. Affolée par la pertinence de ses caresses, Miranda mouillait profusément et s’est docilement allongée sur le lit pour qu’il retire sa culotte trempée. La jupe remontée jusqu’aux hanches, les jambes levées et tenues par Pierre, Miranda a senti la queue imposante sur son sexe la faisant frémir d’impatience.
Sauf qu’elle a senti Pierre poser son gland sur la rondelle encore toute neuve et pousser lentement mais fermement. Prise par surprise par cet orifice, elle a bien tenté de protester mais plus elle se débattait, plus il entrait profondément mais Miranda était si excitée que cette introduction contre nature et déshonorante ( la sodomie était encore illégale en Angleterre et jugée comme le pire outrage pour une femme digne de ce nom) lui procurait un si indécent plaisir qu’elle en a joui à en perdre le contrôle de sa vessie et expulser plusieurs giclée en prenant son pieds. Miranda a attiré la tête de Pierre pour l’embrasser amoureusement en le remerciant pour cette initiation.
Sa robe étant souillée, elle l’a mise à laver et sécher chez Pierre chez qui elle a passé la nuit en lui exprimant sa reconnaissance par une longue fellation mais il a refusé de la pénétrer pour ne pas risquer de l’engrosser. Bien que se sachant stérile, Miranda n’a pas protesté pour qu’il la sodomise encore et encore…
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