Revenant à mon domicile lisant le petit livre que Johanne m’avait donné. Intitulé Éloge des femmes mûres contenant 375 pages environ. Reluquant quelques images dessinées explicites démontrant un jeune homme pénétrant une femme dans la soixantaine en levrette. Une autre pénétrant une voluptueuse femme noire sur le côté une jambe appuyé sur son épaule. Le texte était de nature érotique impliquant des relations entre un jeune homme et plusieurs femmes d’un âge avancé. Découvrant sa sexualité une première chatte grise se présentant convaincante. Une voisine d’appartement l’initiant au sexe baisant tel des lapins. Quarante ans d’âge les séparant elle ne demandait qu’à être assouvie par une jeunesse fougueuse. Son antre chaud martelé de coups de pieu elle exprimait clairement son plaisir. Quelques plaintes venant des environs le vacarme et les cris plaintifs un peu trop dévoilés. 100 pages ainsi terminées le récit éveillant ma curiosité à chaque début de chapitre.
Reniflant la petite culotte de Johanne en me masturbant. Lisant toujours le petit livre dans mon lit attendant le prochain cours de conduite avec hâte. À présent dans la voiture avec mon instructrice l’heure de la défloraison avait visiblement sonnée. Habillée d’un pantalon gris foncé et d’une chemise blanche à manche courte. Portant un rouge à lèvre de couleur vive. Que de brève conversation professionnelle le trajet maintenant terminé. Me regardant un instant une étrange sensation me parcourait le corps. Elle avait l’air trop paisible son silence me déstabilisant un peu. La suivant dans le corridor vers son bureau introduisant sa clé dans la serrure. Refermant la porte se barrant automatiquement. Appuyant ses mains sur le bureau elle me demande alors de venir l’étreindre un peu. Prenant ses seins de l’arrière ma tige dressée se buttait contre son fessier rebondie. Son respire augmentait un peu me demandant de baisser son pantalon et de la prendre de l’arrière. Abaissant sa petite culotte blanche apposant ma main droite touchant sa vulve mouillée. Quelques gestes rotatifs de mes doigts sur ses lèvres vaginales son clitoris était alors bien dressé. Une vieille chatte bien velue prête à se faire pénétrer par un jeune homme. Quelques soupirs entendus enlevant mon t-shirt en le lançant sur le sol. Johanne réagissant elle s’agrippait un peu plus fortement aux rebords de son bureau de bois. Exprimant un Allez prend moi maintenant. Abaissant mon pantalon ma tige était maintenant entrée dans son vagin rosé. Empoignant ses hanches elles voulaient une baise rapide et sans retenue. Quelques gémissements venant d’elle mes vas et viens étaient particulièrement rapides. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Johanne était chaude comme de la braise et se faisait saillir en vitesse. Éjaculant dans son antre chaud dans les instants suivant. Rien de trop plaisant pour elle mais assez satisfaisant pour moi. Ma première baise à vie qui n’avait eu rien de spectaculaire. Observant mes semences couler de son vagin entre ses cuisses. Johanne s’essuyant d’un mouchoir se déplaçant un peu pour me faire face. S’approchant venant m’embrasser tout doucement. Me conseillant de me tenir prêt envers les prochaines occasions. Car fourrer à un rythme soutenu devait durer dans les normes au minimum de 30 à 45 minutes.
Nus nous rhabillant tous les deux. M’indiquant que les prochaines occasions se feront dorénavant chez elle. Son bureau étant un lieu de travail fréquenté par plusieurs personnes les gens gravitant dans les alentours pouvant nous entendre. Venant m’embrasser me demandant si j’avais entamé son livre. Voulant filmer nos ébats pour la prochaine fois me demandant si celà me dérangeait. Revenant à son état d’esprit habituel m’indiquant que j’étais sur la voie de la réussite en tant qu’apprentie conducteur. Une étrange situation la voyant devant assise les cheveux un peu ébouriffés. Une odeur de chatte à présent imprégnée sur mes doigts et ma tige pour une première fois. Johanne me dévoilant peu d’émotion savait que mon apprentissage était loin d’être accomplie. Me donnant une enveloppe contenant quelques photos d’elle en voyage. M’indiquant de l’ouvrir qu’à mon arrivé vers mon logis.
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