Les personnes qui me connaissent savent que je suis perverse. C’est vrai que j’ai des aspirations sexuel qui pour certains peuvent paraître déviante.
Je me retrouve souvent dans des situations abracadabrantes où mon intimité sexuelle est mis à mal. Je suis tombée l’autre jour sur un type mauvais genre pour lequel j’ai craqué. Bon, vous allez me dire que c’est banal une fille qui craque pour un voyou. Mais c’est comme ça. Quand je l’ai rencontré, je faisais du lèche vitrine.
Lorsque un homme d’une cinquantaine d’années m’aborde en me demandant :
« T’as du feu poulette ? »
Je trouve que sa façon de m’aborder et plutôt grivoise. Sans me retourner, sur un ton un peu sec, je lui réponds :
« Non ! J’ne fume pas ! »
Là, il me dit :
« Faut pas l’prendre sur s’ton là ma p’tite dame ! Tu viens boire un coup avec moi ? »
Je me retourne pour lui dire qu’il me fiche la paix, mais quand je le vois, je craque. C’est un beau mec comme je les aime et mon sang ne fait qu’un tour. Comme une idiote, j’accepte son invitation. Au café, il m’avoue rapidement :
« J’ai envie d’baiser avec toi ! »
Au lieu de m’enfuir à toutes jambes, je me met à vouloir jouer avec lui.
« Ha oui ? Comme ça ? Ca vous arrive souvent d’aborder les femmes comme ça ? »
Il me regarde droit dans les yeux et me réponds :
« Quand je vois une salope, oui ! »
J’ai voulu jouer, j’ai perdu avec ce gars. Je reste muette et il prend ça pour un consentement. Le salopard est d’un carisme incroyable et me lance :
« Va au chiote ! J’te rejoins ! »
Comme une automate, je me lève et vais l’attendre dans les toilettes du café. Je n’ai pas besoin d’attendre longtemps. Dés qu’il entre, il me pousse dans une des cabine et se met à me fouiller la chatte. Il est habile. Chaque fois que je suis à la limite de jouir, il s’arrête. Puis, il s’attaque à ma rosette et ayant graissé ses doigt dans mon vagin détrempé, il me fourre deux doigt dans le cul tout en titillant mon clito. J’ai envie de crier mais j’ai trop peur qu’on nous entende. Une fois de plus, au moment de jouir, il retire ses doigts et m’ordonne :
« Suce moi salope ! »
Docile et excité comme c’est pas permis, je défais la fermeture éclair de son pantalon, glisse ma main dans son caleçon me saisissant de son sexe, je sors son engin. J’admire un instant sa raideur et sa taille honorable.
Impatient, il me prend par le cheveux et me pousse vers sa hampe que j’embouche presque machinalement. Je lui pelote les couilles en même temps que je le suce. J’aime le goût de son sexe. Il me l’enfonce au maximum et me maintien un instant à m’en étouffer. Maintenant c’est lui imprime le rythme du pompage. Je ne suis qu’une bouche à vider ses couilles pour lui et il me le dit ouvertement en m’insultant et me traitant pire qu’une pute. J’ai envie qu’il me baise mais, tout à coup, je sens les spasme annonciateur de son éjaculation.
Après se pompage sévère, il se laisse aller en de longs jets crémeux qui frappent le fond de ma gorge. Je tousse et tente de recracher mais il m’impose d’avaler. Je déglutis tant bien que mal la gros volume de sperme qu’il m’envoie. Cette éjaculation trop rapide pour moi me laisse sur ma faim. Aprés avoir fouillé mon sac pour récupérer mon adresse, i me lance :
« T’es un bonne suceuse ! On va s’rvoir salope ! »
Puis il quitte les chiottes comme il m’y avait emmené, me laissant à moitié dépoitraillée et la bouche avec le goût de sa queue et de son sperme.
L’excitation et une tension irrésistible vrillant mon ventre de frustration, je me fait jouir en me doigtant sauvagement. Mon orgasme est fulgurant et rapide. Mes jambes ne me porte plus et j’attends quelques minute avant de ressortir des toilettes et quitter le café.
Au moment où je sors, un serveur me ratt**** en me disant :
« Pas si vite Madame ! Vous payez ou j’appelle les filcs ! »
Le fumier, il s’était servi de mon comme vide couilles et en plus il n’avait pas payé les boissons. Où j’anoissais aussi, c’est qu’il avait mon adresse et pouvait surgir à n’importe quel moment pour m’abuser.
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