Chapitre XV – Slutty
Quand Géraldine sentit le spéculum, qui lui dilatait l’anus, se refermer doucement, celle-ci avait perdu toutes notions de temps ,depuis qu’elle visionnait les vidéos subjectives qui l’avait maintenu éveillé..
» – Haaaan ! S’i’ ‘ous p’aît… !!! Haaaan ! ”
Geignit doucement Géraldine, épuisée par l’interminable nuit blanche qu’elle venait de subir, espérant plus de compassion, que celle de lui soulager son anus.
L’infirmière de garde lui retira ses écouteurs, laissant Géraldine entendre de nouveau les gémissements incessants de la petite voleuse, puis ce fut ses yeux qui furent soulager des lunettes. Laissant la lumière eblouir Géraldine, qui ferma les yeux, le temps de se réhabituer à l’éclairage.
» – La petite sissy a passé une agréable première nuit ? ”
Demanda la voix de Clara, en lui caressa son anus, encore béant de sa confortable nuit à l’air libre.
Les yeux que Géraldine ouvraient les yeux en disaient longs sur la réponse qu’elle pouvait donner à l’infirmière.
Cette dernière avait pris la relève de la garde, et s’occupait de soulager également la petite voleuse de son confort nocturne. Dans le reflet du plafond de glace, Géraldine vit le regard de la petite voleuse, rougit par les larmes et la fatigue. La haine et la colère qu’elle avait vu dans ses yeux, le premier jour, avait laissé la place au désespoir et à la résignation.
En la voyant ainsi, Géraldine su que son esprit avait été cassé par cette prise en main brutale, dans un univers qu’elle ne connaissait pas. Pauvre petite voleuse qui à la base, n’aimait que porter des sous-vêtements féminins.
» – Je vais vous faire une petite toilette et vos soins pour vos jolis seins, les petites Sissies !
Madame la Directrice va vous rendre visite aujourd’hui ! Mais un peu d’exercice
vous fera du bien aussi ! Quand à toi, petite voleuse, ton nouveau prénom va t’être attribué ! ”
Dit Clara en s’adressant sèchement à la Sissy sans nom, en commença à lui retirer les pansements qui recouvraient ses seins, pour nettoyer les cicatrices.
» – Haaan !!! Haaan !!! Haaan !!! ”
Se mit à pleurer la soumise, dans des spasmes de sanglots à peine audibles, dut à ses cordes vocales enflammées par son opération.
De grosses larmes s’écoulèrent de ses yeux tatoués sur le long de ses joues, quand Clara lui fit découvrir l’opulente poitrine avec deux beaux tétons bien ronds, dont on l’avait affublée pour le restant de ses jours.
» – Mmmmmmhh !!! Te voila une jolie petite Sissy Slut avec un joli D.
De jolis tétons que je me ferai le plaisir d’anneler bientôt ! ”
Dit L’infirmière, en caressant un des petits mamelons de sa main gantée de latex.
» – Haaan !!! Haaan !!! Haaan !!! ”
Soupira la sissy, dans de nouveaux sanglots, quand l’infirmière commença les soins de cicatrisation de sa poitrine.
Deux autres infirmières entrèrent dans la pièce, en plaisantant sur une petite Sissy qu’elle avait humilié la veille. Géraldine vit que l’une d’entre elles poussait un lourd chariot où était posées ballets boots, des cagoules de latex, ainsi que tout un panel pour entraver des soumises. Quand à la deuxième infirmière, elle portait un cours chevalet en bois où était fixé de larges godes à chaque extrémité.
» – Faites moi la toilette de celle-ci en attendant que j’en finisse avec cette petite voleuse pleurnicharde ! ”
Ordonna Clara, d’un ton sec, qui sonnait comme un rappel pour que ses assistantes se consacrent à leur tâche.
» – Oui, Madame ! ”
Répondit une des infirmières, en baisant les yeux, sachant que dans l’école, seules certaines comme l’infirmière en chef avait le privilège d’un statut permanent, et que toute faute pouvait entraîner une rapide et surprenante dégradation. Elle se rappelait, que l’une de ses collègues, en avait fait la cruelle expérience en étant réduite à l’état de chienne et qu’elle venait d’être vendue comme telle. Elle commença la toilette de Géraldine avec un gant d’une douceur extrême, pour la laver entièrement. Le clito de Géraldine se mit à bouger sous l’effet des caresses des infirmières.
» – Le clito de cette petite soumise est énervé, Madame, on lui remet du calmant ? ”
Demanda l’une des infirmière à Clara, qui remettait des pansements sur la poitrine de la petite voleuse, laissant tranquille le pansement qui recouvrait sa gorge, mais en lui retirant sa sonde urinaire.
» – Non ! Je crois que j’ai beaucoup mieux pour sa petite chose de salope excitée !
Pour toutes les deux, d’ailleurs ! Quand vous aurez fini de les laver,
l’une de vous ira voir les » Jumelles ” pour qu’elles vous donnent de leur cocktail ! ”
Répondit ironiquement l’infirmière en chef.
» – Bien, Madame ! ”
Répondirent les infirmières en cœur, souriant à la pensée du fameux cocktail des » Jumelles ”, dont elle avaient eu vent de l’effet pervers qui provoquait une extase incontrôlable.
» – Nann ! S’i’ ‘ous p’aît…’as ‘e ‘o’tail !!! Nannnnn ! ”
Pleurnichât Géraldine, en entendant les nouvelles consignes la concernant elle et la petite voleuse, qui semblait ne pas comprendre son avenir proche, apparaissant totalement prostrée et résignée à son triste sort.
» – Mais non, voyons ! Je te donnerais de quoi relaxé ton petit clito de salope,
pour qu’il reste à l’état d’une minable larve ! ”
Lui susurra Clara à l’oreille, avant de s’atteler aux soins de ses nouveaux seins.
Les mots de l’infirmière ne la rassurèrent pas. Mais Géraldine respira profondément en gonflant sa nouvelle poitrine, face à la glace de plafond, quand Clara retira le dernier pansement.
Elle ressentit un bonheur intense de se voir ainsi, en ayant une pensée pour sa Maîtresse à qui elle s’abandonnera bientôt de nouveau. Ses seins étaient aussi gros que ceux de la petite voleuse, mais ses mamelons étaient pourvus de leurs jolis anneaux à clochettes, que lui avaient offert sa Maîtresse.
La Directrice entra dans la pièce, le corps moulé dans une longue robe de latex noir avec un corset-bustier qui lui couvrait également son épaule ainsi que le bras et sa main gauche. Elle était si étroite, que cela la forçait à faire de petits pas sur ses hautes plates formes. Une large capeline couvrait ses cheveux qui paraissaient cette fois très court. Elle était suivit d’ une French-Maid qui traînait derrière elle la soumise-cendrier. Elle était tout aussi bien isolée et harnachée que la veille, mais cette fois, elle avait été installée sur un socle à roulettes, pour ne pas quitter le service de Madame la Directrice.
» – Ahhh ! Clara, je suis contente de vous voir.
Je voulais encore vous remercier pour les soins prodigués à ma petite chatte. ”
Dit Maîtresse Xaviera, en tirant une bouffée sur son long fume-cigarette, que sa main aux ongles magnifiquement manucurés tenait. Elle prit bien soin de faire tomber sa cendre incandescente sur la langue annelée et étirée de son cendrier.
» – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!… ”
Couina la soumise-cendrier, quand sa langue fut chauffée par le dépôt de la cendre de la Directrice.
» – C’est normal, Madame la Directrice ! Je m’en serai voulu de ne pas avoir fait tout ce qui était en mon pouvoir pour votre Kitty ! Elle nous fait tellement plaisir, quand elle ronronne dans les couloirs en votre compagnie ! ”
Répondit l’infirmière en chef, avec un léger sentiment de fierté dans la voix, pour l’énorme service rendu à Madame la Directrice.
» – Je suis déçue ! J’avais bien constaté un certain émoi chez certaines d’entre vous
Moi qui pensait que c’était moi ! Mais pour le moment, elle dort enchaînée sur mon lit !
C’est bien connu, dés qu’on ne les distrait plus, les petites chattes dorment ! ”
Sourit Maîtresse Xaviera, un sourire plaisantin au coin de ses lèvres, parfaitement maquillées de grenat.
» – C’est toujours un plaisir de vous voir, Madame la Directrice ! Avec ou sans votre chatte ! ”
Répondit Clara, en lui rendant un sourire malicieux.
» – J’espère bien ! Mais où en est-on pour ses jeunes Sissies ? ”
Demanda Maîtresse Xaviera, en taquinant négligemment un des tétons annelés de Géraldine, de sa main gantée de latex.
» – Je leurs finis leurs pansements et je les installe en position debout, pour la journée !
Mais j’attendais votre avis pour celle-ci. Si on l’affublait de ses piercings maintenant ?! ”
Répondit Clara, en montrant la petite voleuse d’un signe de tête.
» – Excellente idée, Clara ! Je me réjouis du spectacle de vous voir travailler sur un terrain neutre.
Je pense qu’une bague et ampallang sera un très bon frein à des ardeurs qu’elle ne connaîtra plus jamais ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en délaissant Géraldine, pour se rapprocher de la petite voleuse, suivie de prés par la French Maid et son cendrier à roulette.
» – Tout à fait, Madame la Directrice ! Vous lui avez trouvé son prénom ?! ”
Demanda l’infirmière en chef, avec un soupçon de curiosité.
» – SLUTTY !!! Voila ton nouveau prénom, petite salope soumise !
Un joli prénom de suceuse de mâles, pour une petite salope, voleuse de petites culottes ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en lui soufflant la fumée en pleine figure, en égouttant à nouveau sa cendre, sur la langue de son cendrier à sa disposition, tout en prenant un marqueur sur un plateau à roulette couvert d’un drap médical.
» – Haaan !!! Haaan !!! ”
Soupira Slutty, dans un lourd sanglot, une larme coula à nouveau le long de sa joue, sous le regard noir de la Directrice, qui lui écrivait son nouveau prénom au-dessus de sa nouvelle poitrine.
Ses larmes redoublèrent quand qu’elle vit dans le plafond-miroir, l’infirmière en chef soulever le drap qui cachait le plateau à roulettes, découvrant des pinces médicales et autres instruments de piercings divers.
Ainsi que de délicieux ornements, telle qu’une étroite bague de pénis, avec un trou au centre pour la bloquer avec l’ampallang.
Une fois prête, Clara s’approcha de Slutty, en attendant les indications de Maîtresse Xaviera.
Slutty n’appartenant à personne, on pouvait lui faire ce que l’on voulait.
» – Un anneau en bout de langue, huit anneaux par oreilles, anneau nasal de pony, un prince Albert au bout de son petit clito bagué avec un ampallang en travers pour une bague, avec trois anneaux à grelots pour chacun de ses petits sacs inutiles, et un piercing « Guiche », au cas ou on voudrais lui attacher son petit clito autre qu’a sa langue, vous lui ferez ses mamelons plus tard…Et comme d’habitude, je vous en laisse deux à votre convenance, chère Clara !”
Ordonna Maîtresse Xaviera, en s’asseyant sur l’accoudoir du lourd fauteuil de repos, tandis que sa French Maid enfilait une nouvelle cigarette sur son fume-cigarette, après avoir déposé le mégot broyé entre ses doigts de latex sur la langue de la soumise-cendrier.
» – Bien, Madame la Directrice !Merci de votre confiance … A nous, petite Slutty.
Je vais te mettre quelques bijoux pour ta nouvelle vie de Sissy Slut ! ”
Dit l’infirmière en chef, en s’emparant de la langue de la soumise à l’aide d’une pince, qu’une de ses assistantes prit en main.
» – Haaan !!! Haaan !!! ”
Couina Slutty, sous l’étirement de sa langue, en se mettant à baver à foison.
Ses cordes vocales en feu ne purent sortir un son, seuls ses larmes de douleur s’écoulèrent de yeux, quand sa langue fut transpercée, l’aiguille laissant place à un anneau à un centimètre du bout de sa langue.
» – Faites lui en deux autres classiques ! Et vous raccorderez l’anneau à sa bague! ”
Ordonna Maîtresse Xaviera, en tirant une longue bouffée sur son fume-cigarette.
Son regard vile était réjouit du spectacle de cette nouvelle soumise à dresser, qui pleurait toutes les larmes de son corps sous les deux nouveaux piercing qui transpercèrent sa langue annelée.
En infirmière consciencieuse, Clara s’appliqua sur son travail.
Quand vint le tour de l’ampallang, le corps de la larmoyante Slutty tremblait de partout, en se voyant dans le plafond-miroir.
Ses oreilles étaient maintenant ornées d’anneaux de différentes tailles, et un anneau nasal la décorait, telle une pony-girl, et un piercing « Monroe » de strass au dessus de ses lèvres au contour tatoué.
Ses couilles grelottaient de clochettes pendantes, et Clara lui avait également percé le nombril.
A présent, une des infirmières assistantes de Clara étirait son petit clito a l’aide d’une pince de la Sissy au maximum, pour le rendre tout fin, tandis que l’infirmière en chef refermait une bague de chasteté, dont le diamètre était de deux centimètres.
C’est dans un cri d’agonie étouffé de ses cordes vocales douloureuses, que Clara lui perça son petit clito de part en part, à la hauteur du trou fait dans la bague, pour y placer l’ampallang, avant de finir de percer le pauvre petit clito déjà martyr d’un prince Albert, auquel elle raccorda l’anneau de langue par une chaînette sur mesure, qui empêchait à Slutty de rétracter sa langue dans sa bouche, encore forcée par le bâillon dentaire.
» – Ferme-la, sale petite chienne ! Il existe les mêmes avec des pointes
si tu n’écoutes pas, petite Slutty ! … Et je ne sais pas encore quoi faire de toi ! ”
Dit Maîtresse Xaviera en égouttant sa cendre, cette fois sur la langue de la Sissy fraîchement percée.
» – Haaan !!!Ahhhh !!! Haaan !!! ”
Couina comme elle pu, la pauvre Slutty sous la chaleur sur sa langue fraîchement annelée.
» – Ohhh !! Je sens que ces petites soumises ne vont pas s’ennuyer pour cette journée ! «
Dit Maîtresse Xaviera en voyant l’infirmière partit requérir le cocktail, revenir dans la chambre avec deux bouteilles d’un litre.
Après un dernier et rapide coup d’œil sur les deux Sissies entravées, Maîtresse Xaviera prit congé en saluant les infirmières.
La French Maid la suivant comme son ombre, en traînant son petit chariot cendrier à la langue pendante.
Une des infirmières chaussa Géraldine de ballets boots, puis la délivra de son lit pour la traîner avec sa collègue vers le court tréteau muni d’un gode. Géraldine comprit tout de suite ce qui allait être son sort et commença à résister. Mal lui en pris.
» – Tiens-toi tranquille ! ”
Ordonna Clara, en empoignant les pinces encore accrochées à ses couilles et les tirant sèchement.
« – AAAAHHHH!!! PA’DON !! NANNNN !!! ”
Couina Géraldine de douleur, en se calmant tout de suite sous la sèche traction .
Les deux infirmières placèrent Géraldine au-dessus du chevalet, en lui sanglant solidement ses chevilles aux pieds de celui-ci. Puis dans un râle de mécontentement de la soumise, l’une d’elle remonta le gode en le lui enfonçant au plus profond qu’elle le pu dans son anus dilaté par sa nuit de « plein air ».
Puis ce fut au tour de Slutty de subir le même sort, soutenue par les infirmières pour son premier déplacement en ballets boots, elle fut installé dos à dos avec Géraldine, avant qu’une infirmière ne lui remonte le gode dans son anus, lui faisant couler un eu plus de larmes de ses yeux rougis et suppliants.
» – Une petite anesthésie locale pour petites salopes trop excitées.
Rien de meilleur pour les frustrer ! ”
Dit Clara, en prenant deux seringues pour piquer les Sissies à la base de leur clito.
Géraldine ne sentit bientôt plus son petit bout de chair inutile, qui pendait entre ses jambes. Les infirmières placèrent les mains des deux soumises l’une dans l’autre, en les inversant dans le dos, enlaçant à l’aide de gros élastiques chaque doigt avec ceux de l’autre main, puis elles eurent les bras solidement entravés, empêchant ainsi tout mouvement. Clara arriva avec deux cagoules de latex.
» – Chaque mot ou son que j’entends avant de vous remettre un bâillon sera puni d’une paire de pinces. C’est bien compris, les pleurnichardes !? ”
Dit Clara, d’un air sévère, en libérant la langue et le bâillon de Slutty, lui scotchant les anneaux des oreilles sur ses joues avec un gros scotch de chantier.
» – Haaan… ”
Geignit la pauvre Slutty, quand l’infirmière lui appliqua sans douceur le scotch.
» – Toi, je vais t’apprendre à te taire quand on te l’ordonne, petite Slutty !
En attendant que ta bouche de Sissy Slut soit pleine du bon jus d’un mâle ! ”
Dit Clara, en saisissant une paire de pinces japonaises, qu’elle lui fixa sur ses petites couilles, fraîchement annelées.
» – Haaan !!! Haaan !!! ”
Couina la Sissy, sous la morsure des minces sur ses petites couilles sensibles.
» – J’ai dit pas un son, petite salope ! Apprends à te taire !!! ”
Ordonna l’infirmière en chef , en prenant une autre paire, et accrochant également aux les petits sacs inutiles de la Sissy.
Cette fois, Slutty retint la leçon, plus un son ne sortit de sa bouche. Seules de grosses larmes coulèrent sur ses joues, en suivant le dessin du scotch collé dessus. Clara lui couvrit ensuite la tête d’une des cagoules en latex, tandis qu’une autre infirmière faisait de même avec Géraldine, qui avait bien compris le principe. Le gag-ball extra large que lui engouffra l’infirmière, lui enleva toute crainte de représailles en cas de sons intempestifs. Le gag-ball, monté sur une sangle, en possédait un autre qui fut engouffré dans la bouche de Slutty. La sangle fut serrée au maximum, accolant ainsi les deux soumises encagoulées, tête contre tête.
» – Un peu de boisson maison pour exciter ses petites Sissies.
Mais à petite vitesse, pour que cela vous dure toute la journée ! ”
Ironisa Clara, en prenant les deux bouteilles et les équipa de bouchons, munis d’un tube fin et d’un régulateur de débit. Elle les fixa sur un pied et engouffra les canules dans le petit trou prévu, dans le gag-ball.
» – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Gémit Géraldine, avec dans les yeux, une totale négation en comprenant le principe prévu par l’infirmière.
Mais déjà, Clara ouvrait le régulateur, laissant s’écouler le cocktail dans les bouches ouvertes des soumises.
» – Petite Slutty, prépare toi à avoir d’étranges désirs !
Après cela, tu voudras empaler ton petit trou sur tout ce qui bouge. ”
Dit l’infirmière en chef, tapotant sur la bouteille de cocktail suspendue.
» – Mmmpphh… Mmmpphh… ”
Couina doucement Slutty, quand les premières gouttes coulèrent dans sa gorge irritée.
» – Et rien de mieux que de la vibration pour occuper pleinement des petites salopes dilatées ! ”
Dit Clara, en montrant deux télécommandes, qui commandaient les vibrations des godes.
Les infirmières masquèrent de nouveau les yeux de chacune des soumise par les lunettes vidéos, tandis que leurs oreilles se couvraient des écouteurs.
Clara mit l’ordinateur en route, et des vidéos plus excitantes les unes que les autres recommencèrent à défiler sur l’écran de contrôle.
La vibration des godes vint se joindre aux gémissements d’extase et d’envies frustrées, pour agrémenter cette journée qui se promettait de paraître interminable aux deux Sissies empalées.
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