Chapitre 8, La fin de la formation de Mathilde
Pendant tout le temps que dur l’essayage, le corps de Mathilde est mis à rude épreuve avec les attouchements lesbiens des deux femmes. Même la Kajira Catherine est conviée à se joindre aux deux boutiquières. Mathilde ne cesse de jouir et va jouir encore quand Maître Marc la prend par derrière après que sa Kajira lui a préparé le chemin. Dans son anus, remplissant son rectum, ce pénis fait des ravages, envoyant la Kajira Mathilde jouir encore et encore. On ne cherche qu’une seule et unique chose, l’épuiser d’amour. Marc la possède aussi par devant, aimant cette femme comme s’il s’agissait de son épouse. Oui, il l’aime depuis sa première visite mais pour une autre raison que l’amour à proprement dit. Il l’aime encore davantage depuis qu’ils ont discuté des Chroniques de Gor, des Kajirae. Il l’aime parce que cette femme vit sa vie de Kajira avec plus d’intensité que sa propre Kajira. Mathilde se rend compte que cet homme l’aime. Elle n’ose cependant pas lui déclarer son amour, de peur de perdre Madame définitivement. Autour d’elle, trois femmes s’activent sur ce couple, les embrassant, les caressant, les léchant de partout. La plus active est sans aucun doute possible, Catherine, Kajira de son état, elle veut impérativement ressembler à Mathilde.
Tard dans la nuit, Mathilde est emportée et déposée dans un petit lit douillet. Bordée par Catherine qui ne la quitte pas, couchée au pied du lit. Ouvrant ses yeux, Mathilde ne voit que la nuit. En se redressant, elle voit cette forme couchée parterre. Elle se lève, s’approche de cette forme, découvre Catherine endormie à demi nue.
– Viens avec moi, ma chérie, ce lit est juste assez grand pour nous deux.
– Je ne peux pas, mon Maître me l’a interdit. Il me punira si je me couche avec toi.
– Et s’il nous punissait toutes les deux ?
– Là, je veux bien si c’est pour que mon corps ressemble au tien.
Ensemble, elles se couchent. Mais les mains ont tôt fait d’aller parcourir ce corps voisin, les bouches de s’unirent et les corps de fusionner.
Au matin, Maître Marc découvre sa Kajira enveloppée dans les bras de Mathilde. Il la secoue, pas furieux, mais contrarié.
– Je te l’avais interdit.
– Oui Maître, j’ai fauté. Il vous faut me punir.
– Pas qu’elle, Maître Marc, c’est moi la fautive, c’est moi qui l’ai invitée à dormir avec moi. Il vous faut donc nous punir toutes les deux.
– Ok, vu comme ça, mais devant ta Maîtresse, Mathilde.
– Oui Maître Marc.
– En attendant, vous allez me faire une gâterie avec vos bouches et sans les mains !
À peine son ordre donné, les deux Kajirae couchent l’homme dans le lit et le baise de partout avant de prendre cette bite fièrement dressée à deux bouches. Quand il jouit, il ne peut retenir ce râle bestial. Il envoie Catherine préparer le déjeuner.
– Non toi, tu restes. Dis-moi franchement, depuis que nous nous connaissons, toi et moi, ne serais-tu pas amoureuse de moi ?
– Comme vous de moi, Maître Marc. Madame est au courant, je ne peux me permettre de lui cacher la moindre de mes pensées. Je vous aime parce que vous savez ce que je recherche en étant une Kajira.
– Oui, comme Catherine, je suppose, l’amour absolu, la dévotion, la vénération que tu voues à ta Maîtresse. Seulement, en ce qui concerne Catherine, ce n’est pas encore ça. Oh, elle m’a dit vouloir te ressembler, mais elle est encore loin du compte. Bon, prends une douche et descend prendre ton déjeuner.
– Bien Maître. Merci pour ce moment franc et courtois.
En bas, Catherine est au coin, à genou, ses mains, paumes retournées, sur ses cuisses. Devant elle, une simple gamelle remplie de quelque chose de peu appétissant.
– La tienne est là-bas, Mathilde. Il te faut t’y habituer avant d’être punie.
Mathilde ne discute pas l’ordre. Penchée sur sa gamelle, sans ses mains croisées dans son dos, elle mange, vide même la gamelle sans ne rien laisser. À la porte de derrière, Madame sonne. Catherine se précipite pour ouvrir.
Mathilde voudrait se lever, courir embrasser sa Maîtresse. Elle ne le peut pas, elle est punie. Marc explique la raison, il dit aussi vouloir les punir toutes les deux en même temps de dix coups de cravache. Corinne accepte, s’assoit et patiente pendant que Marc met en place les deux Kajirae en les obligeant à se pencher sur la table de la cuisine, les visages bien en face de Madame.
Au premier coup, Mathilde ouvre grande sa bouche comme ses yeux. La cravache est plus douloureuse que le martinet. Les coups se suivent, dix en tout et ils font très mal. Mathilde peine à retenir ses larmes. Au dernier coup, c’est plus fort que tout, elle hurle de douleur. Madame ne bronche pas, ne montre aucune expression de compassion. Rien de transpire de ce qu’elle pense de cette douloureuse punition.
– Voilà, je te rends ta Kajira, elle sait ce qu’il lui reste à faire, à décider. Donc, dans deux semaines, chez toi, je viendrai en avance pour la paré.
– On est bien d’accord. Habille-toi, on y va !
– Bien Madame. Mes hommages Madame.
– Bonjour ma chérie, aller, je suis pressée, j’ai une assemblée et j’ai besoin de toi pour prendre les notes.
– Bien Madame.
Dans la voiture, Madame ne desserre pas les dents. Dans son bureau, une fois la porte fermée, elle se lâche, enlace sa Kajira et l’embrasse fougueusement.
– Putain ce que tu m’as manqué ma petite salope !
– J’en suis sincèrement désolée Madame. Sachez que sans vous, ma vie ne vaut rien.
– Ne le sois pas, j’ai eu ce que je voulais, toi, en plus soumise que jamais. Isabelle m’a appelé pour tout me raconté.
– Madame sait aussi que Maître Marc m’aime comme je l’aime et vous aime ?
– Oui, je le sais aussi. Et je ne t’en veux pas, pas encore. Enfile cette petite jupe, fais-toi belle, on va devoir se montrer plus forte que ces machos.
– Avec plaisir Madame. Puis-je dire encore merci à Madame pour ne rien avoir laissé transparaitre pendant ma punition ?
– Tu viens de le faire ma chérie. Trêve de bavardage, bouge ton cul ou je te cravache encore plus fort que Marc.
Son collier bien en évidence, la laisse pendante, cachée entre ses seins, Mathilde fait forte impression devant ces hommes ventripotents. Certains sourient bêtement, un air vicieux dans leurs yeux. Mathilde s’assoit sur le bord de sa chaise, pose son bloc-notes devant elle, sort un stylo de la poche intérieur de son tailleur tout en gardant son corps toujours bien droit. Chacun peut voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge en dessous. Deux heures durant, Madame explique ce qu’elle attend de chacun de ses directeurs de secteur. Si elle est entendue, rare sont ceux qui l’écoute. Les autres, la majorité, n’ont d’yeux que pour sa Kajira.
– Bien, je vois que la plupart de ces messieurs trouvent ma secrétaire plus intéressante que mes paroles alors nous allons changer. Mathilde, monte sur la table et lis-nous mon rapport en retirant tes vêtements très, très, mais alors très lentement.
– Bien madame, avec plaisir. Messieurs, sachez que comme Madame, je ne vais pas répéter le contenu de ce rapport. Cela dit, Madame ne me contredira pas si, après la lecture de ce rapport, je pose des questions à chacun d’entre vous et gare à celui qui ne peut répondre. Madame agira en conséquence. On est bien d’accord ? Bien, je commence. En date du premier février…
Mathilde continue la lecture de ce long rapport en retirant ses chaussures, une à une de manière sensuelle, à l’aide d’une main. Plus elle lit, plus elle se dénude, plus elle captive toute l’attention de ces hommes bandant certainement tous comme de cerf. Chacun peut voir les marques sur son corps. Cela donne même de mauvaises pensées perverses à certains. Tandis que d’autres sont empreint d’un profond respect pour cette jeune femme. À la fin du rapport, entièrement nue, elle s’agenouille, se penche bien en avant et recule en glissant jusqu’à pouvoir descendre de la table. Pendant qu’elle lisait, Madame, entièrement dans le jeu de sa Kajira, a dressé une longue liste de questions. Les donnants à Mathilde, cette dernière, toujours nue, entreprend de marcher derrière ces hommes en les questionnant un à un. Étonnement, aucun n’est pris en défaut, tous répondent sans perdre de temps aux questions. Mathilde, espiègle comme jamais, échaudée plus qu’à son habitude et sur ordre de Madame, ajoute de douces caresses à ceux qui ont les réponses exactes. Il en est même un de ces directeurs qui jouit au moment de cette caresse sur sa joue potelée.
– Madame, votre armée de directeur est prête à vous suivre en enfer dès à présent.
– Merci Mademoiselle Mathilde. Veuillez remettre vos vêtements, vous avez été, comme à votre habitude, absolument parfaite. Messieurs, si c’est comme ça que nous devions nous réunir, sachez que je vais devoir tous vous virer. Ma secrétaire s’est dévouée pour vous faire prendre conscience que l’entreprise est sur la bonne voie. Mais c’était la première et dernière fois. La prochaine fois, c’est à coup de cravache que je vous ferais écouter mes rapports. Maintenant, si cela devait déplaire à certain, ce que je ne souhaite pas, vous aurez pu vous rendre compte que cette femme a été durement punie par mes soins. Il se peut que celui qui me déçoit, reçoive le même châtiment.
– Madame, ne nous en veuillez pas. Mais la beauté de Mademoiselle et sa tenue y étaient pour beaucoup dans notre trouble.
– Justement, on ne vous paie pas pour vous laisser troubler par la première pute venue, je ne dis pas ça pour vous, ma chère Mathilde. Si vous voulez de plus grosses primes, il va falloir vous montrer à la hauteur, cravacher ferme pour les obtenir. Sur ce, bonne journée à tous. Monsieur Laroche, veuillez me suivre un instant dans mon bureau, je vous prie.
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