Chapitre 3 : Florence, la fille de ma Tante Gisèle.
Un soir je reçois un SMS de ma tante qui me demande de passer la voir le lendemain matin avant d’aller en cours.
Rien que de penser à Gisèle, je bande immédiatement ! Ma tante est une sacrée pipeuse de bite et les gorges profondes sont apparemment une de ses spécialités. A chaque fois qu’elle m‘en fait une, j’ai l’impression qu’elle va avaler ma bite. Elle adore avoir un sexe dans sa bouche et à chaque fois que je me vide complétement dans sa gorge et sa bouche, elle n’en perd pas une seule goutte. Quand je la baise comme un fou, elle jouit comme un volcan qui explose et sa chatte se transforme en geyser qui rejette sa cyprine chaude. Je ne comprends pas qu’elle soit encore toute seule ! N’importe quel homme serait comblé avec une telle bombe sexuelle.
Je pars de chez moi à 7h15 comme d’habitude pour ne pas éveiller de soupçon à maman et à 7h30 je suis chez ma tante. Dès que je suis rentré elle m’embrasse passionnément. Quand elle daigne lâcher ma bouche, sans ôter sa main qui presse ma queue déjà bien dure, je lui demande.
– Pourquoi tu me fais venir si tôt, Tatie ?
– Je vais te le dire, mais avant il faut que je prenne mon petit déjeuner.
Et elle baisse mon pantalon et mon boxer, me pousse sur le divan et ma bite presque en complète érection se retrouve dans sa bouche gourmande.
Deux secondes après je bande comme un taureau et ma tante Gisèle déguste avec un réel plaisir sa baguette matinale. Je ne suis pas loin d’envoyer ma crème qu’elle retire ma bite de sa bouche pour la branler doucement et de dire.
– Ma fille Florence a débarqué hier soir, en pleur, son copain vient de la larguer !
– Belle comme elle est, ta fille n’aura aucun mal à retrouver un mec…ne t’en fait pas.
– Oh, je ne suis pas inquiète, mais je me suis dit que tu pourrais la consoler un peu…et lui faire oublier ce jeune con.
– Tatie, tu sais bien que je ne baise pas les minettes. Quand elles voient ma bite en érection elles prennent peur et trouvent une excuse de merde pour se défiler.
– Elles ne savent pas ce qu’elles perdent ! Mais ce ne sont que des gamines qu’il faut éduquer, comme ma fille d’ailleurs.
Et elle suce goulûment ma queue qui c’est un peu calmée. Puis elle me surprend en me demandant.
-Et Florence. Elle l’a vu ta belle bite lorsque vous étiez dans le même collège ?
– Elle n’a jamais été jusqu’à là. Un jour qu’elle était avec sa mini-jupe, j’ai eu une érection monstre devant son cul qu’elle m’avait mis sous le nez en se baissant pour jardiner. Quand elle s’est retournée pour me demander un outil, elle a pouffé de rire et puis elle m’a dit qu’elle ne se ferait jamais baiser par un mec qui a une pine de cheval !
– Mon Dieu ! Quelle conne ma fille ! Il va falloir la prendre en main cette petite.
Et sur cette conclusion elle reprend ma queue en bouche pour la sucer merveilleusement.
Moins d’une minute plus tard, j’entends la douche à l’étage et Gisèle retire 2 secondes ma bite de sa bouche pour murmurer.
– Dépêche-toi de jouir mon poulet, j’ai faim et Florence ne va pas tarder à descendre.
Frénétiquement, elle me dévore en massant mes couilles pour en extraire leur jus. Je résiste quand même tant que je peux car c’est vraiment jouissif de me faire sucer par ma tante Gisèle. Nous entendons la douche s’arrêter et un instant plus tard le bruit de pieds nus, marchant au-dessus de nous. Gisèle aspire mon gland entre ses lèvres et me branle en même temps pour me finir rapidement. J’étouffe mes gémissements et je me vide, à grands jets de sperme, dans sa bouche avide.
Comme je l’ai dit plus tôt, elle ne perd jamais une goutte de sperme, et donc, je n’ai pas vérifié si elle à des traces de sperme sur son visage. Je remonte vite fait mon pantalon juste avant de voir ma cousine descendre les escaliers, enveloppée dans une serviette de bain.
– Maman, est-ce que les garçons sont toujours aussi con que…… Oohh, pardon, Dany. Je ne savais pas que tu étais ici.
En la voyant du bas des escaliers, j’ai une vue splendide sur ses jambes et ses cuisses mais c’est surtout ses seins qu’elle n’a pas couvert de sa serviette qui attirent mon regard.
Sans être aussi gros que ceux de sa mère ils sont vraiment beaux. Assez haut sur sa poitrine, ils se dressent fièrement, bien ronds et dodus, avec de beaux tétons qui sous l’effet de la douche sont dressés et rouge comme des framboises. Je bande de nouveau immédiatement.
Elle rougit légèrement et recouvre immédiatement ses seins en voyant mon regard fixe.
– C’est de ton copain que tu parles…
– Ça ne te regarde pas, Dany. Mais c’est un petit baiseur de merde !
Sa mère la regarde et dit.
– Calme-toi ma fille. Dany n’y est pour rien.
– Peut-être, mais les mecs sont tous des salauds. Tout ce qui les intéresse s’est de tirer un coup ! Et ensuite ils vont voir ailleurs !
S’approchant de sa mère, elle la regarde fixement et murmure.
– Maman…, c’est quoi ça ?
Je vois son doigt passer rapidement sur le bord de la lèvre de sa mère et recueillir une goutte de sperme. Elle porte son doigt à ses lèvres et s’écrit.
– Oh mon Dieu… maman… nooon… tu viens de lui tailler une pipe !
Ses yeux grands ouverts vont rapidement entre sa mère et moi avant qu’elle n’ajoute d’un ton provocant.
– j’espère qu’elle est bonne !
Gisèle ne sais quoi répondre et Florence fixe mon entre-jambe avant de dire.
– Maman…tu as vraiment sucé sa grosse bite ! Ce n’est pas possible ! Il a une bite de cheval !
Elle commence à m’énerver ma cousine !
– Dis donc, Flo, comment peux-tu savoir si c’est possible ou non ! Tes copains n’ont que des petites bites et tu ne les as peut-être même pas sucées ! Si tu veux essayer un jour, demande à ta mère qu’elle te donne des cours !
Je m’apprête à partir mais Gisèle me retient par le bras.
– Dany, ne part pas tout de suite.
Puis elle se tourne vers sa fille et lui demande.
– Dis donc ma fille, qu’est ce qui t’a mis dans cet état depuis hier soir !
– Je ne veux pas en discuter devant Dany !
– Au contraire, jeune fille. Il peut sûrement comprendre et t’aider. Allez, raconte ! Tout de suite !
– Eh bien… j’étais en voiture avec Vincent et il s’est garé dans le fond d’une rue en impasse. Nous sommes passés sur la banquette arrière pour s’embrasser et se caresser. Et puis…. oh maman, est-ce que je dois…
– OUI! Continue !
Florence me regarde pendant une minute puis baissant les yeux, elle dit rapidement.
– Il a retiré mon slip et au lieu de me doigter comme d’habitude …. Il…il…ma soulevé mes jambes pour les pousser vers moi…et…et il m’a baisé violemment, comme une bête sauvage ! Même pas une minute après il a jouit sur moi !
Je pouffe de rire et je ne peux m’empêcher de dire.
– Putain ! Quel con ce mec !
Gisèle prend sa fille dans ses bras et lui dit doucement.
– Oh, mon pauvre bébé, je suis désolée ! Ce n’est pas ce genre de garçon qu’il te faut. C’est un bon amant qu’il te faut. Un homme qui te fasse l’amour. Comme Dany…
– Mon Dieu non, maman ! Je veux dire que… Dany a un sexe trop gros ! Et celui de Vincent qui est beaucoup plus petit m’a fait mal hier soir !
Dit-elle en regardant la bosse dans mon pantalon.
– Florence je peux te poser une question…
– Heu, oui…
– Dis-moi exactement comment ça s’est passé.
– Maman ! C’est gênant…pas devant Dany…
– Si, justement. Crois-moi c’est un amant exceptionnel !
– Et bien…on s’est embrassé plusieurs fois avant qu’il ne sorte son sexe de son pantalon pour que je le branle. Ensuite, il a glissé sa main dans mon slip pour me le retirer en l’arrachant. Il a écarté mes cuisses mais j’ai dit.
– Non, pas ici, quelqu’un pourrait venir et nous voir. Caresse-moi plutôt.
Il ne m’a pas écouté et comme je te l’ai dit il m’a presque violé et d’un seul coup il a enfoncé son sexe dans le mien. Ca fait drôlement mal ! J’ai voulu le repousser mais il a continué en faisant aller venir sa queue dans ma chatte pendant une minute, pour ensuite la retirer en grognant et éjaculer son sperme dessus.
Et elle cache son visage dans le cou de sa mère en pleurant.
-Quel connard ce mec ! Pas étonnant qu’il te fasse mal ! Dis-je. Encore une question Flo.
– As-tu été avec d’autres gars avant lui et comment ça s’est passé ?
– Sniff, sniff…à peu près pareil. Parfois ils jouissent même avant de venir en moi, rien qu’en caressant leurs sales bites !
– C’est bien ce que je pensais ma fille. Tous des branleurs ! Il est temps que tu fasses l’amour avec quelqu’un d’expérimenté. J’ai formé ton cousin et je pense qu’il est le mieux placé pour te donner du plaisir.
– Maman ! C’est mon cousin !
– Et alors…je suis bien sa tante !
Ces deux femmes devant moi sur le canapé sont magnifiques et la serviette qui recouvrait les seins de ma cousine a glissé. Je revois ses beaux tétons rouges toujours bien érigés, ce qui n’est pas fait pour diminuer mon érection…au contraire ! Surtout que Florence regarde ma bite qui remonte sous mon pantalon.
– Tu vois ma fille, ton cousin bande pour toi. Il est grand temps que je fasse ton éducation avec l’aide de ton cousin.
– Maman ! Arrête !
Il est temps que j’intervienne.
– Tatie, tu ne crois pas que j’ai mon mot à dire… Si ta fille ne veut pas il ne faut pas la forcer. En tout cas ce n’est pas moi qui forcerais une jeune fille.
– Mais je ne te demande pas de la forcer, Dany. Avec ce que je t’ai appris je suis sûre que tu la feras jouir en moins de 10 mn.
Florence pouffe de rire et dit.
– Alors là, je voudrais bien voir ça !
– Tu vois Dany, elle est novice. Viens là ma fille, allonge-toi sur le divan et laisse toi faire.
– Maman, j’ai dit ça comme ça ! Je ne veux pas qu’il me baise avec sa grosse queue ! Il va me faire mal ! Et surtout pas devant ma mère !
Je souris et je lui dis.
– Rassure-toi Florence, je ne vais pas me servir de ma bite. On verra plus tard.
Gisèle pousse d’autorité sa fille sur le canapé et place ses jambes sur le dossier pour me dire.
– A toi, Dany.
Je m’approche de ma cousine et je tends la main pour lui retirer la serviette, mais elle la retient.
– A non ! Je vais être toute nue !
– Florence ! Arrête de jouer les pucelles effarouchées ! Montre à Dany tes beaux seins.
Elle lâche la serviette et je tire dessus pour voir ses seins. Ils sont vraiment beaux et ses tétons sont bien érigés et sûrement tous durs.
– Pas mal, encore mieux que je m’attendais. Tu es devenue une femme très belle, chère cousine. Et très désirable.
Je me laisse tomber à genoux et je relève ses jambes en écartant ses cuisses pour admirer sa chatte entourée de quelques poils dorés. Je caresse l’intérieur de ses cuisses, remonte dans le creux de l’aine en écartant tout doucement ses grandes lèvres intimes.
-Maman…Et elle resserre ses cuisses sur mes mains.
– Chut…ma fille, maman est là. Détends-toi.
Je repousse ses cuisses et je plonge ma tête entre elles pour glisser le bout de ma langue dans cette fente qu’il va falloir agrandir pour explorer la chair rose et tendre de son sexe.
– OOOhhhhh….
Instinctivement elle veut encore resserrer ses cuisses mais je l’en empêche. Ma langue remonte entre ses lèvres de chatte, effleure le capuchon de son clito et lèche doucement le pourtour de sa chatte joliment bombée.
Je fais 3 fois le tour et mon souffle chaud caresse sa peau sensible. J’insiste un peu sur le renflement qui cache son clito.
– Huuuummmm…
Soupir ma belle cousine. Le bourgeon s’ouvre sous ma langue et je pose un baiser dessus lorsque qu’il apparaît.
– Oooohhh, Dany…
Je n’insiste pas mais je descends un peu plus bas et je caresse sa rosace brune du bout de ma langue. Surprise, elle se crispe un peu et quand je remonte ma langue sur le bas de son sexe maintenant entrouvert elle se relâche. J’en profite, en écartant bien ses fesses pour redescendre plus bas et pousser le bout de ma langue dans son anus qui c’est lui aussi détendu.
Je la sens frissonner et elle cri.
– Arrête ! Non ! Pas là !
– Ferme-là Flo ! Laisse le faire et tu vas avoir beaucoup de plaisir.
Lui dit sa mère, assise près d’elle pour la maintenir en relevant sa tête.
– Regarde plutôt ce qu’il te fait. C’est excitant !
Je remercie ma tante Gisèle d’un clin d’œil et je replonge dans sa chatte si délicieuse. Cette fois ma langue plonge profondément dans sa jeune chatte étroite et je l’explore en frétillant de la langue tout en caressant sa rosace brune du bout de mes pouces.
– Oooohhh…Dany !
Ma cousine gémit et ses mains ont saisi ma tête. Après avoir donné une bonne vingtaine de coups de langue et le plus profondément possible, je monte jusqu’à son clito que j’emprisonne de mes lèvres. Elle écarte encore plus ses cuisses et ses mains écrasent ma bouche sur son sexe.
Le pouce de ma main droite abandonne son petit trou pour glisser dans son sexe tout chaud tout en continuant de sucer son joli et long clito. J’entends sa mère demander.
– Alors, ma fille… il est doué ou pas…
Mais pour toute réponse Florence gémit.
– Huuuummmmm….
Je fais tourbillonner ma langue autour de son clito qui s’allonge encore et je le reprends en bouche pour l’aspirer tout en tirant ma tête en arrière comme pour l’étirer encore plus.
– AAAaaahh, Dany ! Arrête !
Alors pourquoi ses mains écrasent ma tête au lieu de la repousser…
Je retire mon pouce et je le remplace par mon majeur et mon index accolé pour mieux sentir son sexe maintenant humide et chercher le point le plus sensible.
– OOOooooooh, Dany…Dany…
Elle s’offre à moi en écartant le plus largement possible ses cuisses et j’en profite pour ajouter un troisième doigt afin de préparer sa chatte avant de la pénétrer de ma grosse bite.
– Oh mon Dieu…Maman…. C’est incroyable !
Florence halète et gémit de plus en plus fort et son corps commence à trembler légèrement.
Ma bouche et ma main martyrise son sexe. Je repousse ses cuisses vers elle et d’elle-même, Florence saisi ses jambes par ses chevilles pour les tirer vers son visage, m’offrant ainsi entièrement sa chatte palpitante.
Je masse le pourtour de son clito et je frotte l’intérieur de son vagin en insistant juste en dessous de son clito pour sentir son prolongement dans ses chairs.
– AAAAhhhhh, nooonnnnn…Ooooh mon Dieu… oh ouiiiiiiiii…Dany…
Elle gémit longuement jusqu’à ce que je glisse mon pouce dans son sexe et mon majeur sur environ 2 cm dans son trou plissé qui palpitait.
– OOOOHHHHH ! NOOONNNN ! AAAAHHHHH, OUIIIIIIII ! Putain de salaud ! Oh Dany, oh Dieu oui.
Ma langue tapote plus rapidement son clitoris tout dur tandis que mon doigt s’enfonce dans son cul pour prendre en pince sa fine cloison qui sépare ses deux trous d’amour. Je lui branle son petit cul si étroit jusqu’à ce que je le sente bien se dilater avant de le ressortir pour y ajouter mon index.
– OOOOoohhhh, OOuiiiiiii ! Baise mon cul avec tes doigts, baise ma chatte, suce mon clito, oh mon Dieu, Dany ! Ne t’arrête surtout pas !
Mon pouce et mes doigts vont et viennent dans sa chatte et son trou du cul. Quand je sens son anus palpiter, je mords très légèrement son clito et j’enfonce le plus loin possible mes doigts.
– AAAAHHHHH…OUIIIIIIII, je…je… JOUIIIISSSS !
Et ma belle cousine jouis en gueulant et en écrasant ma bouche à m’étouffer. Mais Gisèle me tire en arrière en disant.
– Bravo Dany ! Regarde la jouir ! Regarde ma fille qui connaît enfin une bonne jouissance !
Ma cousine fini de jouir sous mes doigts inquisiteurs et ouvrant ses grands yeux bleu.
– Ooooohhh, Dany ! Je n’ai jamais joui comme ça ! Mon dieu que c’était fort ! Incroyable !
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