Je passe la nuit avec le Russe. Il me rassure… On baise encore au petit matin, on se dit des choses… C’est sûr que je le reverrai.
On déjeune tous ensemble, puis ils doivent partir. Mon Russe me donne plusieurs moyens de le contacter, il me fait même les apprendre par cœur et les lui répéter. On s’embrasse, mais bien, plus genre Hollywood que Vladivostok. Dès qu’il est parti, j’écris ce que m’a dit le Russe et je dis à Julien de tout apprendre par coeur aussi. Qui sait, on peut vraiment avoir besoin de lui un jour et puis… il me plaît. J’imagine que… je divorce, j’épouse le Russe et son gaz naturel. Puis je prends Julien comme témoin et comme bonne. Cool, non ?
Djibril va être très occupé. Il nous donne un rendez-vous dans 3 jours à Marrakech pour signer les papiers de la petite maison. Ce n’est qu’à ce moment-là que je serai certaine que tout ça est vrai. Ce sera la fin des vacances, pour Josiane aussi.
Les jumeaux nous font tout un travail pour retourner au bord de la rivière Al Abid où ils ont de si merveilleux souvenirs de mon cul et de celui de Josiane. Ils nous font même le coup du petit menton qui tremble, comme un bébé qui va se mettre à pleurer. Ils promettent… tout ce qu’on veut. C’est vrai que c’était cool au bord de la rivière des esclaves. Je finis par dire :
— D’accord. Toi aussi, Josiane ?
Elle pousse un gros soupir et répond :
— Après la nuit que j’ai passée avec deux moujiks, j’ai la moule en compote… Je veux bien, mais sans baiser.
N° 2 lui dit :
— Et dans ton derrière, belle maman ?
Un peu choquant comme phrase, non ? Josiane pousse à nouveau un gros soupir et répond :
— Ils y ont été aussi, ces brutes. Je veux bien te sucer, mon chéri. Si tu veux baiser, y a Samia et Julien, enfin Giulia. Regarde comme elle est mignonne.
C’est pas faux, Giulia est toute rougissante quand on parle de son cul. N° 2 répond :
— Elle est trop serrée, Giulia. Hier, un Russe a poussé des cris, tellement il a eu du mal à entrer dans son cul et surtout à en sortir. Il a dit que c’était une vraie pucelle.
Je réponds :
— On va prendre deux ou trois godes qui étaient à la disposition des Russes. Un peu d’huile d’olive, un bon gros gode et il sera aussi accueillant que Josiane et moi.
Elle est d’accord avec moi, elle dit :
— C’est vrai, il faut élargir son cercle pour ses amis.
Pas mal, on se marre.
Djibril arrive et nous dit :
— Dites, les filles, vous pourriez pas me laisser Julien ou Robert pour aider à ranger ? Je vous le rendrai ce soir.
Manque pas d’air, l’autre ! Il pourrait me baiser les pieds pour me remercier car c’est en grande partie grâce à moi que les Russes vont signer. Josiane lui répond :
— On vous laisse, Robert.
Cool ! Il va sans doute travailler pour Tifa, la grosse cuisinière. Il n’a pas l’air ravi, mais est-ce qu’il a son mot à dire ? Vu sa façon d’obéir à Josiane, il va bien s’accorder avec Tifa, ses fesses peut-être moins.
On peut prendre la nourriture qui reste. On choisit surtout des pâtisseries de miel au miel, du vin et des godes… Ils sont tous tellement contents de l’accord avec les Russes qu’on peut demander tout ce qu’on veut.
On laisse Robert aux mains de Tifa et on prend la 4X4 de Djibril. Lui reviendra au village avec un ami. Je conduis car je suis une fille du voyage, si vous vous souvenez. Josiane est à côté de moi et elle geint à chaque cahot encaissé par sa chatte meurtrie. Elle a dû en prendre plusieurs à la fois.
Derrière nous, Giulia est entre ses futurs amants. Elle n’est pas très à l’aise, il faut dire que les jumeaux sont quand même encore… spéciaux.
Je suis contente de retourner au bord de la rivière… Et ce ne sera pas la dernière fois, puisque Josiane et moi, nous serons bientôt propriétaires d’un Riad dans le village de Djibril. Enfin, une petite maison entre un Riad et une cabane.
On se gare au-dessus du cours d’eau et on descend le sentier. Il n’y a personne. C’est notre endroit secret. Josiane et moi, on se déshabille, on s’enduit l’une l’autre de crème solaire et on s’allonge sur des serviettes. Les jumeaux se déshabillent aussi, leurs sexes sont dressés vers nous. N° 1 me dit :
— Toi, tu es en forme, hein Samia ?
— Occupez-vous d’abord de Giulia, ensuite on fera des câlins.
Grand sourire de N° 1… Il l’aime mon cul. Giulia doit se déshabiller. De dos, elle a de belles fesses, une vraie fille. Bon, de face, elle manque de nichons et son clito est très développé ! Je lance ma culotte à N° 1 en disant :
— Mets-lui ça dans la bouche. Il pousse des cris aigus quand il se casse un ongle.
N° 1 met le nez dans ma culotte. Ils sont surexcités, ces jumeaux !
Je pensais me reposer, mais je m’aperçois que les jumeaux ont déjà réfléchi à une façon bien vicieuse de transformer une Giulia coincée du cul en une Giulia capable de faire disparaître une balle de tennis en s’asseyant dessus ! Ils lui disent de se coucher sur le dos. N° 1 s’assied sur son visage. C’est vrai que dans ce cas, il n’a pas besoin de ma culotte. Il replie les jambes de Giulia sur son torse, dans la position qu’on utilise pour changer les langes d’un bébé. N° 2 lui met de l’huile sur l’anus, puis il y enfonce un doigt. Elle pousse déjà des petits cris sous les fesses de N° 1, qui se décide à se bouger pour lui enfoncer ma culotte dans la bouche. Il était temps, N° 2 enfonce deux doigts dans le cul de Giulia… Elle pousse des cris étouffés, grâce au bâillon et au cul de N° 1 qui est assis sur son visage.
On a pris trois godes dans les gadgets destinés aux Russes. La bite de N° 2 est aussi large que le gode moyen. Il choisit de commencer d’une façon naturelle, c’est-à-dire avec sa bite. Il pose son gland rose et luisant sur l’anus de Giulia qui pousse un petit cri. Euh… Giulia pousse un cri, pas son trou du cul ! Et puis, han !
Il l’encule à fond jusqu’à ce que ses couilles viennent claquer sur les fesses de sa partenaire. Giulia pousse un cri de toute beauté, partiellement étouffé par ma culotte. Ouf ! Elle nous aurait transpercé les tympans, tout ça parce que N° 2 l’empale ! Josiane et moi, on l’applaudit.
N° 1 retire ma culotte de la bouche de Giulia en disant :
— Lèche mon cul.
Ces jumeaux ont de l’imagination. Ils ont bien fait ça… Voir Giulia, en quelque sorte mon mari, si vous vous souvenez, se faire enculer, ça m’a mis des fourmis entre les cuisses. N° 1 dit à son frère :
— On change, j’ai envie d’aller dans son cul.
— D’ac.
Ils échangent les places, sauf que N° 2 s’assied sur les seins (!) de Giulia vers son visage et se pose sa bite sur sa bouche : normal, c’est elle qui l’a salie… Josiane et moi on s’est levée pour mieux regarder et là, on entend :
— Wunderbar !
Oh putain ! C’est pas normal, ça. On relève la tête et sur le talus on voit 5 barbares : 4 hommes et une femme. Habillés de cuir malgré la chaleur : des bikers. La femme a environ 25 ans. C’est une blonde avec des cheveux courts et même rasés d’un côté. Elle a des tatouages sur le cou et les bras et certainement sur le corps. À sa droite, il y a un mec genre cheveux longs et barbe et un basané au crâne rasé. À sa gauche, un homme très grand, les cheveux ramenés en queue de cheval, plus un grand Black. Je n’aimerais pas rencontrer cette bande le soir au coin d’un bois, comme on dit, et encore moins dans un endroit désert de l’Atlas. Vous avez vu « Orange mécanique » ? Ben eux, c’est les même mais en plus impressionnants. C’est la fille qui parle :
— On peut jouer avec vous, les amis ?
Elle n’a pas un accent allemand mais scandinave. C’est vrai qu’en suédois, wunderbar se dit underbar, ça ressemble. Ce n’est donc pas une barbare, mais une Viking. Josiane me regarde… paniquée. Bon, je me dévoue et réponds :
— C’est que vous êtes… euh… impressionnants.
— Mais non, on est très gentils… Enfin, presque toujours.
Ils rigolent tous les cinq. Je n’ai plus des fourmis dans la chatte, mais des papillons dans l’estomac. Eh ! Je voudrais vous y voir ! Ils descendent vers nous, pas en file indienne, mais l’un à côté de l’autre, donc ils nous bloquent. N° 1 débande et sort du derrière de Giulia. N° 2 se bouge aussi. La fille nous dit :
— D’abord on se déshabille, puis on se présente.
Elle enlève sa veste en cuir et son pantalon. Les autres se déshabillent aussi. Ils sont tous… impressionnants : costauds, tatoués et avec des cicatrices. C’est des mercenaires ou quoi ?
Quand le Black a enlevé son jean, on le regarde tous avec de grands yeux. Oui, c’est un cliché. Si ça se trouve, les Blacks ont souvent des petits zizis. Mais à mon avis, non. Surtout pas celui qui est devant nous. On est hypnotisés par son énorme sexe… encore au repos. La Viking est jolie, elle des beaux seins un peu lourds et quand elle s’étire, on découvre les buissons de poils blonds et luisants qui garnissent ses aisselles et qui recouvrent son bas ventre, aussi. Elle a des jambes musclées et sûrement un beau cul. Comme je la regarde, elle me dit :
— Je te plais, petite Berbère ?
Oh ! Elle m’a pris pour une Berbère, ça me fait plaisir… Elle continue :
— Moi, c’est Kniv…
— Euh… comme couteau ?
Elle rit avant de répondre :
— Oui. Ça ressemble à l’anglais, hein ?
Elle me montre des cicatrices sur l’extérieur de son avant-bras gauche en disant :
— Je ne suis pas mauvaise au couteau, contrairement ce qu’on pourrait penser en voyant mes cicatrices.
Elle montre le grand barbu aux cheveux longs :
— Lui, c’est Hans. Le Black, c’est Bludge (matraque) rapport à son sexe…
Ils rigolent… nous aussi, mais mollo. Elle désigne le basané en disant :
— Lui, c’est Attila, champion de lutte. Et enfin, TNT.
C’est le mec avec la queue de cheval. Non, pas le Black, l’autre, sans doute quelqu’un qui aime jouer avec des explosifs.
À nous de nous présenter. Je montre Josiane en disant :
— Elle, c’est Josiane, mon amie et la belle mère des jeunes gens dont j’oublie toujours le prénom, alors on dit N° 1 et N° 2. Moi, je m’appelle Samia. Par terre, c’est Giulia. Enfin Julien, mon mari.
Kniv demande :
— Et que faisaient ces deux jeunes gens à ce pauvre Julien/Giulia ?
Qu’est ce que vous voulez que je réponde ? A part la vérité :
— Ils voulaient… euh… l’élargir… pour…
Elle me coupe :
— J’ai compris. Alors on va faire notre choix, prendre qui on veut. Vous n’y voyez pas d’inconvénient ?
Ah ben si, on en voit des inconvénients ! On ne dispose pas des gens comme ça ! Je lui sortirais bien : « Non mais dites donc, vous, on n’a pas gardé les Yamaha ensemble ! », mais ma prudence naturelle m’incite à dire plutôt :
— Non, non, je vous en prie…
— Bon, moi, je te prends ! Viens près de moi.
Je me lève pour aller me mettre à côté d’elle. Putain, elle est grande ! Elle me colle contre son corps moite. Elle sent la bikeuse viking qui traverse l’Afrique sans trop se soucier des douches. Elle continue :
— Bludge va régler le problème de ton mari.
Ouch ! Il va déguster. Après Bludge, il sera vraiment accueillant. Elle poursuit :
— Attila, tu veux qui ?
— La rousse.
Un regard de Kniv et Josiane va se mettre à côté du Turc. Kniv continue :
— TNT et Hans aiment bien les jeunes gens.
Têtes des jumeaux qui ont comme l’impression qu’ils vont bientôt l’avoir dans le cul. C’est pas mal dans le cul, moi j’aime bien. Mais bon, je suis une fille. Kniv dit à Bludge…
— L’enfile pas tout de suite. Fais-toi sucer d’abord..
J’ai l’impression qu’il va bientôt griffer les mains de sa mère, Julien. C’est une image car ma belle mère est dans le Ch’nord !
A suivre.
Si vous aimez cette histoire, levez le pouce, ça me fera plaisir…
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