Ils se retrouvèrent comme convenu à la terrasse d’un café. Ce n’était plus vraiment l’après midi ni vraiment le soir et un doux soleil de fin d’été venait réchauffer les clients du bistrot encore assez courageux pour prendre un verre dehors.
Elle était déjà là, quand lui venait d’arriver. Ils se reconnurent tout de suite, bien qu’ils ne s’étaient jamais vraiment vu autrement qu’en photos via des messages interposés sur internet. Il s’assit et commanda un long café, puis par politesse proposa à sa convive si elle désirait une autre boisson. Elle prit une limonade.
Un observateur assis non loin d’eux aurait remarqué malgré le peu de mots échangé qu’une grande complicité régnait déjà entre les deux individus. Tout dans leurs regards indiquait qu’un jeu de séduction était en cours, les yeux malicieux et pétillant de désirs l’un pour l’autre, des gestes et des postures plein de sensualité pour séduire l’autre. De toute évidence ; des amants.
Ils échangèrent des banalités…tu as fait bon voyage ? Tu n’es pas fatigué etc… mais derrière ces mots, une oreille attentive aurait décryptée tout autre chose de bien plus équivoque. Visiblement ces deux la étaient prêt à se jeter l’un sur l’autre avec passion à la moindre opportunité.
Ils finirent leurs consommations, puis partir se balader dans les ruelles anciennes de la ville sous les derniers rayons du soleil. Les vieilles bâtisses baignées dans cette lueur crépusculaire, prenaient des teintes ocres et orangées entrecoupé de saignés d’ombre. Dans la semi obscurité, ils descendirent le long des rives bercées par le doux murmures de la rivière.
Passant sous un pont, ils profitât de la pénombre et que les lieux fussent désert pour plaquer sa compagne contre la parois. Il l’embrassa avec fougue et accompagna ce geste en relevant d’une main experte sa robe et la glissant immédiatement dans sa culotte. Son autre main vint prendre la gorge de la femme, puis sa bouche vint goutter la naissance de sa poitrine dans le décolleté. Sous la culotte, sa paume caressait le sexe en de ferme vas et vient. Puis de ses doigts ils commençât à fouiller entre ses lèvres, tantôt écartant celles-ci, tantôt cherchant son clitoris ou bien encore tentât de rentre plus profond en elle.
Il la plaqua à nouveaux fermement contre le mur avec sa main qui lui tenait la gorge et de l’autre lui arracha sa culotte puis vint lui fourrer dans la bouche. Il reculât d’un pas et observât l’excitation de sa partenaire. Il jetât un œil aux alentours pour s’assurer de leur intimité, encore que dans ce genre d’endroit ils n’étaient pas à l’abri d’être surpris en flagrant délit. Il lui demanda de relever sa robe et de se toucher devant lui.
Recrachant sa culotte a terre, elle le fixa de ses yeux pénétrant et fit jouer sa langue sur sa lèvre haute. Elle tira sur son décolleté puis dévoila un sein, le pinçât et réussi en se contorsionnant un peu à lécher du bout de sa langue son téton percé. Elle fit de même avec son autre sein et les caressât , les pétrit, les léchât et se tortillât les tétons.
Enfin elle obéit et relevât le bas de sa robe pour dévoiler son abricot bien entretenue surmonté d’un petit triangle de duvet tondu court. D’une main elle continua de jouer avec ses seins et de l’autre elle caressa sa chatte en y insérant de temps en temps un doigts ou deux.
Malgrès la pénombre des lieux, il vit alors qu’elle se caressait, le reflet des bijoux accrochés aux lèvres. Hypnotisé il la contemplât un long moment se donner du plaisir avec ses doigts et sentit son désirs monter en lui. Il bandait déjà sachant jusqu’où il pourrait dans la lubricité aller avec cette femme . Ils s’étaient confessés leurs fantasmes et parfois elle lui faisait peur tellement ses envies a elle était voraces et sauvages, mais d’un autre coté cela l’excitait au plus haut point. Mais là ; en cet instant, il la voyait réaliser sa volonté et c’était bon !
Il sortit de ses rêveries quand il l’entendit gémir. Elle n’avait cessé de se masturber devant lui et il voyait sur son sexe et au creux de ses cuisses qu’elle mouillait déjà. Il ne put se retenir et vint se mettre à genoux devant elle pour lécher ce fluide le long de son entre-jambe puis remontât fourrer sa langue dans sa chatte gonflée de désirs. Il lui bouffa littéralement le sexe, mordilla ses lèvres quand il ne glissait plus sa langue contre son clitoris ou ses piercings.
Bien que l’envie de goûter à sa chatte plus longtemps lui faisait plaisir ; il interrompit son léchage pour lui enfourner le majeur et l’annulaire de sa mains droite dans son sexe. Il se redressa et la saisi à nouveau à la gorge avec fermeté, mais sans vraiment étrangler. Il agitât avec fébrilité sa main dans le sexe de sa compagne, remontant et descendant, avançant et reculant, il fit monter le plaisir en elle et vit au bout de longues minutes de branlage intensif une belle giclée de son jus jaillir entre ses doigts.
Elle commençait à devenir bruyante, alors sa main qui lui entourait la gorges vint se placer devant sa bouche, restreignant sa respiration et étouffants les petits cris de plaisirs. Il profitât de cet interlude pour déballer sa queue toute gonflée et tendue dans un bel angle, prête a décoller telle une fusée. Puis il repris la chatte de sa partenaire en main avec fermeté et inséra ses doigts pour la faire mouiller de nouveaux tout en mordillant un de ses seins remonté par dessus son décolleté.
Elle gicla encore après quelques minutes de furieux vas et vient des doigts de son amant. Il profitât de son long flot de jus bien tiède pour placer sa verge dessous et sentir tout ce fluide le recouvrir. Et dégouliner contre ses bourses bien rasées. Il la forçat à s’agenouiller et venir lécher ses couilles humide de son jus à elle. Elle lécha consciencieusement les testicules bien pleines de son partenaire et sentit contre son visage sa queue toute dure et toute chaude hormis l’anneau froid de son prince albert juste au sommet de son front. Accroupie ainsi elle se doigtât d’une main et de l’autre saisi la verge tendue.
Avant même qu’il ne puisse dire quoique ce soit, elle engloutit ses deux couilles entières dans sa bouche et aspira comme pour les avaler. Il sentit la peau de ses bourses s’étirer dans la bouche goulue de son amante et la petite douleur qui accompagne ce genre de tension sur ses testicules. Elle commençât à le masturber, puis à le branler de plus en plus vite. Elle relâchait de temps en temps son emprise sur ses couilles pour venir lui lécher le gland et jouer avec son piercing.
Elle se fit jouir elle même avec ses doigts et sa main fut inondée de son humeur salée et bien chaude. Encore dégoulinante de tout ce jus expulsé, elle profitât de se lubrifiant naturel pour fourrer un doigt dans l’anus de son amant. Doucement mais sûrement elle remontât pour lui masser la prostate. L’effet fut immédiat, la queue de son partenaire émis un soubresaut et un peu de liquide séminal s’écoula par l’urètre et dégoulinât sur son prince albert. Elle lécha ce fluide visqueux du bout de sa langue, retira son doigt, se leva et vint faire goûter à son amant son propre jus. Il accueillit sans dégoût le liquide sortit de sa bite et l’embrassa dans la foulée en lui pelotant les seins.
Il la saisi ferment contre lui, mais elle le repoussât, fit un pas en arrière et pris dans ses cheveux l’élastique qui les retenait. Elle revint prés de lui et ligotât les couilles de son partenaire en faisant deux trois tours autours de celles-ci avec l’élastique. Bien attachées ; elles pendaient comme détachées du reste de son sexe, la peau bien tendue, on voyait parfaitement le contour ovale des testicules plein. D’une pichenette, elle les fit ballotter d’avant en arrière, adressant une légère douleur à son compagnon.
Elle se mit fasse à lui et lui intima de se branler tendit qu’elle enfourna de nouveaux ses doigts dans sa chatte. Ils se regardèrent ainsi, face à face en train de se masturber durant de longue minutes ; contemplant le désir de l’autre pour alimenter le sien. Mais l’envie de se faire jouir l’un l’autre les rapprocha à nouveaux.
Elle saisi la queue dure comme du bois et de son autre main tira sur l’élastique autour des testicules, le tendit encore pour réussir à faire deux tours à la base de sa verge. Ses couilles et sa bite trop serrées devinrent violette et les veines ressortirent encore plus avec tout ce sang prisonnier, son gland ne présentait plus aucune rides et donnait l’impression d’être prêt à exploser . Elle crachât dessus pour le lubrifier puis le branla furieusement, agitant par la même occasion ses bourses de bas en haut. Elle les entendit et les sentit taper contre le dos de sa main. Elle voyait à son visage qu’il avait mal mais qu’il prenait du plaisir en même temps.
Sa compagne le traitait comme un dieux, alors il prit sur lui pour faire de même et glissa dans sa chatte presque tout ses doigts, seul son pouce restait en dehors pour venir frotter son clitoris. Il imprima un mouvement de vas et vient tout en l’attirant vers lui. Il amplifia les allé-retour dans son vagin bien humide et faisait de petites pauses pour mieux titiller son clitoris ou bien pour tirer un peu sur les piercing de ses lèvres. Sentant le jus couler doucement sur le dos de sa main, il la retira, remis son pouce dans sa chatte et glissât son majeur dans l’anus de sa partenaire et doigtât consciencieusement les deux orifices.
Ils se donnèrent du plaisir ainsi pendant un moment qui parut interminable, se caressant de leur mains libre, s’embrassant. Il sentit son amante jouir à nouveaux et libérer son jus en de longue giclée sur sa main. Lorsque le flot fut tarit, il cessa de la masturber et il lécha ses doigts pour apprécier son goût. Cette sensation l’excita tellement qu’il se sentit lui aussi prêt à jouir, mais c’est ce moment que choisis son amante pour le diriger toute en le traînant par la queue vers le bords de la rivière. Elle se plaçât derrière lui, l’orientât face à l’autre rive puis le masturbât à nouveaux avec fermeté en de lent mais ample mouvement, appuyant bien sur son gland en bout de course. De son autre main elle introduit son pouce recouvert de sa salive dans l’anus de son amant et appuya de nouveaux sur la prostate pour stimuler ses sécrétions.
Il sentait son désir à son paroxysme. Cette main habile lui délivrant une monté de plaisir continue et ce pouce faisant remonter un peu de jus dégoulinant le long de son gland , il sentit l’orgasme arriver en une bouffée de chaleur lui remontant au visage, une tension au creux du ventre. Il ferma les yeux et se retint encore quelques secondes pour mieux apprécier le moment de la délivrance.
Quant vint l’instant de relâcher tout son désirs il entrouvrit les yeux et vit dans la pénombre de la rive adverse une femme se promener et compris que lui était dans la lumière des réverbères sur sa berge ; il aurait voulut se cacher, mais il était trop tard ; quelques coup de poignet bien ferme de la part de son amante dissimulée derrière lui, le firent jouir, il avait atteint ce point de non retour.
Dans un long râle entrecoupé d’injures ; il éjacula plusieurs fois de longs filets de sperme qui vinrent s’abîmer dans la rivière, et dans les derniers spasmes de plaisir, il sentit son foutre couler le long de sa verge, probablement recouvris le dos de la mains qui le branlait encore et enfin dégouliner le long de ses couilles.
Sur la berge opposée, la femme s’enfuit en courant et maugréant une suite de remarques acerbes, choquée par la scène.
Derrière lui, sa compagne ricanait tel un garnement satisfait de son méfait.
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