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Controle toujours plus

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Je vous redonne des nouvelles de mon cochon de mari.

Le retour à la maison et la soirée avaient été difficile pour lui. Malgré les privations que je lui avais infligées, il avait pris du plaisir avec cette gentille grand-mère, succombé à ses formes fatiguées..
Cela le perturbait, conscient du cheminement de ses fantasmes.

Fantasmes que je lui modelais selon mes humeurs au fil des semaines.

Il était silencieux, honteux et songeur et ne dormit pas beaucoup cette nuit là.
Pour ma part, la journée m’avait titillé les sens et il avait du honorer plusieurs fois mon sexe de sa langue. Cela m’avait procuré beaucoup de plaisir et mon sommeil fut lourd.

Moi-même restais pensive toute la semaine sur l’éducation de mon cochon de mari. Il avait retrouvé sa cage de chasteté habituelle et je lui avais imposé de porter à nouveau cette culotte plastifiée une fois lavée. Il devait la laver tous les soirs. Cela le perturbait toute la journée, au bureau. Son sexe emprisonné, il s’y habituait désormais. La culotte rose sous son pantalon à pince, beaucoup moins..
Je n’avais pas tenté à nouveau l’expérience de la culotte ‘scotchée’ avec l’impossibilité d’uriner. Mais j’étais décidée à améliorer le système. Internet m’y aida !

J’achetais avec sa carte bleue un joli ustensile qui correspondait parfaitement à mes projets. Je laissais passer la semaine et le weekend.

Au bout de quelques jours, Le manque sexuel de mon cochon de mari se manifestait déjà.
Je le surprenais plusieurs fois à frotter son sexe en cachette contre les portes. Au supermarché je le surprenais à accrocher du regard des décolletés profonds ou des culs aux déhanchés qui le rendaient fou.
Avec grande satisfaction, je le voyais de plus en plus orienter ses regards sur les ‘ménagères de plus de 70 ans’ aux formes arrondies, aux hanches et seins lourds. Je le sentais prêt à embrasser ces fessiers imposants. L’expérience avec Yvette avait eu son impact !

Le lundi matin suivant, il fut surpris quand je lui tendis la clé de sa cage au sortir de la douche. Sa période de sevrage était trop courte, il flairait des problèmes ! Comme il me connaissait bien !

J’avais pris soin de lui tendre son collier à pointes à placer à son cou. Méthode que j’adoptais pour le rendre plus docile : il ferma le cadenas du collier et eu seulement le droit de prendre la clef pour ouvrir sa cage.
Comme d’habitude, son sexe racorni prit de l’ampleur face à sa liberté retrouvée ! Il me suivi dans la chambre pour découvrir mes nouveaux achats. Bien sur il fallut le ‘persuader’ de passer sa nouvelle tenue, à défaut d’aller au bureau avec ce joli collier cadenassé ! Un argument de poids !

Au tout début, il y a un siècle maintenant quand je lui avais tendu la première fois sa cage de chasteté, nous croyions réellement tous les deux que cette situation ne durerait que quelques jours. Que cet équipement l’aiderait à arrêter ses branlettes devant notre ordinateur ou au boulot. Il m’avait traité de tous les noms et avait claqué la porte. Un siècle vous dis-je !
Et puis, revenu le soir plus calme, il n’avait pas réussi à m’amadouer, avait fini sur le sofa. Il avait tenu un mois comme ça(moi aussi !).Et puis réconciliés, nous avions fait l’amour, fous de désir, comme a nos débuts.
Une fois alanguis, j’avais sorti la cage de chasteté de la table de chevet et l’avait persuadé de la porter jusqu’à la prochaine fois. Comme tout homme lorsque ses couilles sont vidangées, il avait fini par accepter pour me prouver que c’est de mon corps qu’il fantasmait en regardant ses vidéos (si, si !).
Insensiblement j’avais pris gout à cette situation : son manque le rendait docile, attentionné, demandeur, respectueux, fiévreux de désir. Mon emprise sur notre relation augmentait de semaines en semaines. Mes envies devenaient des règles…

Lui, comme un lion en cage, au départ, menaçait de partir du domicile dès que la clef ouvrait son étui. Il ne supportait pas d’attendre le weekend pour pouvoir ‘ baiser sa femme’…Un siècle vous dis-je ! Et puis sa fierté de mâle fondait face à ses nuits sur le canapé, son petit confort à la maison, sa femme boniche qui l’attendait à son retour, ses impératifs au boulot.
Bref le petit oiseau retournait de plus en plus docilement dans sa cage.
Pour y rester 6 jours.
Puis une fois le rythme pris, le fauve résigné, le rythme de sortie diminua pour passer progressivement à 15 20 25 puis 30 jours.

Avec le temps et les privations son caractère devenait de plus en plus docile et un simple froncement de sourcils lui clouait souvent la parole. Son envie sexuelle ne lui faisait miroiter que l’autorisation mensuelle de ‘jouir’ en quelques minutes. Il savait et acceptait au plus profond de lui-même désormais que s’il se rebellait, sa récompense serait repoussée de 30 longues journées minimum. Il n’avait qu’à bien se tenir.
L’épisode précédent avait rompu une digue dans son amour propre. Sa couche remplie d’urine et de sperme avait dégouliné sur ses jambes quand il était remonté en selle. Au retour je lui avais parlé comme à un enfant fautif sale. Il avait du tout nettoyer, sécher. Et avaler son amour propre…

Mais cela se passait un weekend. Aujourd’hui c’était lundi et journée de bureau…

L’heure tournait et il allait se mettre en retard !

Finalement, battu par mes arguments, il fini par prendre la couche que je lui tendais. Oui une véritable couche pour adulte incontinent cette fois, avec des scratchs sur les côtés ! Suivit un slip de latex délicieusement transparent qui vint étanchéifier tout ça par des pressions sur les côtés et des élastiques autour des cuisses bien serrés.
Garanti 100 % étanche par le fabriquant, je lui expliquais qu’il était tranquille avec ce slip. Des mois de privation et l’épisode en vélo l’avait rendu doux comme un agneau. Sa révolte d’avant s’était muée en bouderie, mais je devais toujours me montrer ferme.
Quand je lui tendis son short, il devint perplexe. Au premier abord, celui-ci faisait penser à un short moulant en cuir pour les gays.
Il n’y était pas.
Le cuir était là pour sa robustesse. Il le remonta sur ses cuisses et je lui fis la démonstration. Deux petits cadenas venaient resserrer des sangles de cuir autour des cuisses pour éviter toute ‘intrusion’. Un plastron rabattable de forme triangulaire pendait et laissait accessible le sexe (en l’occurrence le slip de latex avec sa couche qui ressortaient).
Je remontais les fermetures éclairs qui se refermaient sur les côtés et plaquaient ce plastron très épais composé de plusieurs épaisseurs de cuir contre son sexe. Les fermetures se finissaient par une boucle dans lesquelles passait la ceinture robuste qui les condamnait en position haute et hermétique. Je serrai fermement la ceinture. Un clic signifia la condamnation de la ceinture par un nouveau cadenas. Mon cochon de mari regardait abasourdi ce système génial qui le condamnait à ne plus pouvoir enlever ce short démoniaque sans les clefs que je détenais.
Je vérifiais, amusée la robustesse du cuir en plusieurs épaisseurs, notamment devant le sexe, évitant toute tentation de …frottement ! Le sexe était maintenu dans ce compartiment bien protégé limité par les fermetures éclairs. Le short était très moulant et avec sa couche lui dessinait un joli cul bien rond, que je frappais d’une bonne claque !

‘Vraiment un bel achat ! Le prix était élevé, mais justifié ! Allez remontes ton pantalon, tu vas te mettre en retard ! ‘

Son pantalon à pince du coup était du coup un peu étroit, mais recouvrait totalement son accoutrement. Hors mis les empreintes laissées par les 3 cadenas et son cul inhabituellement volumineux.

Je le laissais enfin partir, de sa démarche gênée par sa nouvelle couche.
Sa journée de travail allait lui paraitre bien longue !

Je souris en pensant aux regards appuyés de ses collègues femmes qui allaient peut-être lui faire la remarque de ce beau cul cambré…. D’autant que ce lundi comme tous les lundis était le jour des réunions à n’en plus finir, dont il se plaignait régulièrement.
Je l’imaginais gaiement se tordre sur sa chaise après avoir refusé étonnamment tout café ou thé.
Le moment viendrait où ne pouvant plus se retenir, il lâcherait un jet d’urine l’inonder dans sa couche.

Le grand bol de café du petit déjeuner allait faire du dégât..
Peut être pendant qu’on lui reposait une question, qu’il n’avait pas entendue. Un premier jet allait le soulager momentanément, mais une nouvelle envie surviendrait encore.
La couche prendrait du volume au cours de la longue matinée… Viendrait le moment de la cantine avec ses collègues, qui ne comprendraient pas qu’il ne paye pas son apéritif. Un repas bien copieux comme d’habitude. Il n’aurait beau ne boire que le minimum pour étancher sa soif, ses reins devaient se soulager et souiller à nouveau son encombrante couche !
J’étais très satisfaite de la qualité de son nouveau short.
En prétextant un passage aux toilettes, il ne manquerait pas de tenter vainement de trouver une astuce pour se libérer. Peut être arriverait il à passer un doigt sous une boucle ? , son sexe enfermé derrière ce plastron resterait inaccessible…Son excitation d’être libéré de sa cage n’en serait que plus frustrante.
Puis ne trouvant pas de solution, il se soulagerait légèrement, imbibant d’autant plus sa couche, vérifierait son étanchéité, pas d’auréoles indélicates sur son pantalon L’après midi viendrait, longue et humide dans cette couche saturée et dans ce slip de latex qui activera l’humidité et la chaleur.
Son sexe emprisonné dans la chaleur et l’humidité de son slip tenterait de grossir en fantasmant sur ses collègues aux formes convoitées.
Peut être serait il convoqué dans le bureau de sa chef pour expliquer son manque d’efficacité de ce lundi ? Il s’y rendrait en rasant les murs, cachant son beau cul rond. Il croiserait les jambes une fois assis pour imaginer contrer ses envies de pisser ou cacher les traces des cadenas.
Oui une belle journée en perspective, je regrette de ne pas voir ça !

Tiens je vais inviter une copine à venir boire un thé à la maison, quand mon cochon de mari rentrera en croyant se débarrasser de sa couche. Ce sera une terrible surprise.
Le spectacle sera garanti !

Le soir venu,il en sourira d’aise et de bonheur en retrouvant sa cage en silicone pour la nuit.
A moins que je poursuive l’expérience..Après tout j’ai du acheter un sac complet de rechange, ce
serait dommage de ne pas les utiliser !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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