Durant toute mon enfance, je suis allé passer les vacances d’été dans une maison de famille près d’Arcachon, dans les terres. Arrivé à l’âge adulte, j’ai continué à aller passer quelques jours par an à cet endroit, qui a toujours été synonyme de détente.
Il y a environ un an, j’ai décidé d’aller passer le week-end de Pentecôte à la maison de famille, accompagné de ma nouvelle petite amie. Une fois arrivés là-bas, nous nous sommes aperçus que mon oncle, sa femme et ses enfants, avaient eu la même idée. La maison étant très vaste, cela ne posait pas de problème particulier de logistique, et nous étions finalement plutôt contents d’avoir de la compagnie pour le week-end.
Je présentai ma nouvelle amie, Kelly, rencontrée à la fac, à ma famille, et lui présentai à mon tour ma famille. Mon oncle était un businessman dans la cinquantaine, et il était visiblement fatigué de son travail incessant. Je présentai ensuite mes deux cousins et ma cousine : Vincent, 12 ans, Geoffroy, 10 ans, et Julie, 16 ans. Les trois enfants semblaient être mécontents de venir s’enfermer dans ce trou paumé, et n’affichaient aucune envie de communiquer. Les trois ados se sont d’ailleurs rapidement installés devant la télé, et l’on n’entendit plus parler d’eux pendant un moment.
Ensuite, je présentai ma tante à Kelly. Justine, 41 ans, avait épousé mon oncle alors qu’elle avait 19 ans. Comme son mari travaillait beaucoup, et gagnait plutôt bien sa vie, c’est à elle que revenait la dure tâche d’élever les enfants. Et visiblement, dans ce travail il n’y avait pas de vacances. Cette pauvre Justine essayait d’apprendre à ses enfants à participer aux tâches ménagères, même en vacances, mais devait faire face à une motivation mitigée de la part de ses rejetons.
Chacun s’installa dans ses quartiers, et le week-end commença par une bonne sieste pour tout le monde. Pour Kelly et moi en tout cas, la sieste fut de courte durée. À peine sous les draps, ma jolie étudiante commença à me caresser le dos et à me susurrer des mots cochons à l’oreille. Je savais parfaitement ce qu’elle voulait. C’est avec moi qu’elle avait découvert les plaisirs du cunnilingus et elle en profitait depuis, outrageusement. Je commençai à remonter ma main sous sa jupe, et m’aperçus que sa culotte avait déjà disparu. Je caressai ses fesses rondes et douces, et atteignis son sexe, qui était déjà chaud et humide. À ce contact, je la sentis ronronner de plaisir, et je commençai à descendre mon visage vers la toison blonde qui décorait son entrejambe. Instinctivement, Kelly entrouvrit les jambes, et avança ma tête vers son sexe, comme prise par un désir immédiat. À mesure que ma bouche s’approchait d’elle, je la sentais de plus en plus offerte.
Quant à moi, je respirais doucement les senteurs salées émanant de ses lèvres, qui suintaient de son liquide d’amour, de plus en plus présent. J’approchai ma langue de ses lèvres extérieures, et sous ses gémissements, et commençai mon travail par l’extérieur, me rapprochant petit à petit de son clitoris par de doux coups de langue. De mes mains, je caressais ses hanches, et parcourais le haut de son corps jusqu’à malaxer ses seins, si doux eux aussi, et dont les tétons offraient une accroche à mes doigts baladeurs. Je plaquai alors ma bouche sur son petit bouton et, ce faisant, je sentis Kelly se laisser parcourir de spasmes, tout en caressant mes cheveux. Je continuai par quelques coups de langue et descendis un peu, pour lécher l’intérieur de son sexe, maintenant franchement ouvert. J’adorais entrer ma langue dans cette grotte chaude et humide, et essayer d’en atteindre les parois avec le bout de ma langue. C’était presque frustrant de ne pas avoir une langue plus longue pour mieux en profiter, mais visiblement ce traitement faisait son petit effet. Je sentais Kelly souffler de plus en plus fort, à intervalles rapprochés. Je remontai alors vers son clitoris, et infligeai des coups de langue rapides sur ce bouton en érection. De la main droite, je caressai son sexe, et hasardai un doigt en son orifice. Ne rencontrant aucune résistance, je l’introduisis doucement, explorant enfin cette grotte avec avidité. Les gémissements de Kelly devinrent encore plus forts, et finalement, je la sentis libérer sa jouissance, dans un râle expressif. Je quittai alors ma position pour me remettre à son niveau, et contemplai son visage satisfait.
— J’espère que tu vas me rendre la pareille, lui dis-je en plaisantant.
Je savais qu’après un orgasme, Kelly ne souhaitait qu’une chose : dormir.
— Peut-être tout à l’heure ? me dit-elle en riant. Pour l’instant, je suis fatiguée…
— Tout à l’heure, alors ! Je te le rappellerai, ne t’inquiète pas.
Kelly se retourna en poussant un gémissement de plaisir, et elle ne tarda pas à s’endormir comme une masse. Le voyage avait été long depuis Paris, et elle comptait bien profiter de son week-end pour se reposer. Soit, me dis-je, mais moi, je reste sur ma faim.
Je n’avais pas envie de dormir, et je me dis que j’allais me prendre une douche. J’attrapai une serviette, et me dirigeai vers la salle de bains qui se trouvait au fond de la maison. À mesure que je m’approchais, j’entendais ma tante, Justine, qui élevait la voix contre Vincent. Visiblement celui-ci ne souhaitait pas participer au nettoyage de la maison. C’est alors que je l’entendis prononcer ces horribles paroles d’enfant pourri gâté :
— De toute façon, c’est ton boulot de nettoyer la maison. Moi, je suis en vacances.
Sur ce, Vincent détala, probablement pour s’enfermer dans sa chambre. Je vis alors Justine, le visage défait, déconcertée par tant d’arrogance de la part de son propre fils. Elle réalisa ma présence, et son visage sembla se détendre un peu.
— Je suis désolée que tu aies assisté à ça, dit-elle. Ce n’est pas une mince affaire, d’élever ses enfants.
Je la sentais néanmoins au bord des larmes, et je m’approchai pour la réconforter. Je mis une main sur son épaule, et lui dit :
— Écoute, il finira par prendre du plomb dans la tête, et il se rappellera de tous les efforts que tu as faits, tôt ou tard. Attend un peu qu’il arrive à l’Université ! Il apprendra bien vite à nettoyer son appart s’il veut que quelque jolie fille lui rende visite !
Ces mots semblèrent la réconforter, mais je sentais qu’elle n’était pas convaincue. Je lui proposai alors de nettoyer la salle de bain ensemble, sachant qu’elle n’avait pas dû être utilisée depuis un bon bout de temps. Elle sourit, et me dit que c’est ce qu’elle avait essayé de faire avec son fils, avec le succès que j’avais constaté. Nous nous mîmes en action et, au fur et à mesure que nous frottions les murs, je sentais que le fait de se bouger un peu semblait la calmer, aussi navrant cela soit-il de la consoler en faisant ce que son fils avait refusé de faire.
Nous discutions de choses et d’autres, de sa vie, de la mienne à l’Université, et le climat général semblait s’améliorer rapidement. Une fois la salle nettoyée, nous nous sommes assis sur le rebord de la baignoire, pour nous reposer. Justine, qui était alors près de moi, posa sa tête sur mon épaule, en soufflant de fatigue. Ses cheveux bruns sentaient bon, et ses boucles me chatouillaient le cou. Je mis alors un bras autour de ses épaules, en geste amical. Nous continuions à discuter, et le sujet dériva sur Kelly.
— Vous semblez bien vous entendre, vous deux, me dit-elle. Je n’ai pas pu m’empêcher de vous entendre tout à l’heure, pendant la « sieste », me dit-elle avec un sourire en coin.
Cette révélation m’empourpra rapidement, mais Justine n’en avait pas fini. Elle souleva sa tête de mon épaule, tout en me disant :
— Je me demande bien ce que tu lui as fait pour qu’elle gémisse comme…
Justine s’arrêta au moment où son nez, au niveau de ma bouche, sentit l’odeur du sexe de Kelly, encore présente sur mon visage.
— Je crois que j’ai compris ! s’esclaffa-t-elle.
Quant à moi, ne sachant plus où me mettre, j’essuyai maladroitement ma bouche du revers de la main, tout en rougissant toujours plus. Justine, elle, riait toujours, d’un rire cristallin, fière que sa petite remarque ait fait mouche.
— Tu n’as pas à avoir honte, dit-elle, en prenant ma main d’un geste maternel. Kelly a plutôt de la chance d’avoir quelqu’un pour satisfaire ses besoins…
Dans cette dernière remarque, je sentis que Justine insinuait que sa vie sexuelle n’était plus ce qu’elle était. Comme pour confirmer mes pensées, elle se mit à parler de mon oncle, qui travaillait souvent, loin, et que leur couple en souffrait. Tout à coup, son masque se brisa, et elle se mit à sangloter. Toute cette situation me mettait mal à l’aise, mais malgré tout j’étais peiné pour elle, et je remis mon bras autour de ses épaules. Justine tremblait dans mes bras, et je vis sa poitrine sursauter sous sa chemise, à mesure que ses sanglots la parcouraient. Le fait de l’avoir entendue parler de sexe, de faire des remarques si naturelles sur mes ébats avec Kelly, me firent réaliser que ma tante était une femme, et qu’elle aussi devait avoir une vie sexuelle. Du haut de mes 23 ans, je la vis pour la première fois au travers, non du filtre de la famille, mais de celui d’un homme, qui regarde une femme si belle que l’on se serait retourné sur elle dans la rue.
Avec sa vie de mère de famille, elle ne cherchait plus à se mettre en valeur, et pourtant sous sa chemise je distinguai ses seins lourds qui caressaient le tissu, et je la désirai immédiatement. Je me rendis compte également que son corps, bien qu’il ait subit trois grossesses, avait acquis des hanches et des fesses voluptueuses, que l’on distinguaient sous la toile de son pantalon. Le désir me montait à la tête, mais quelque part j’entendais une voix qui me rappelait que cette femme était ma tante, que j’avais une petite amie, que tout ça ne devrait même pas être envisagé. En luttant contre mes envies sauvages, je posai ma main droite sur l’arrière de sa tête, en signe d’apaisement, et je plongeai mon visage dans ses cheveux. Mon cœur battait furieusement dans ma poitrine, et je craignais qu’elle ne remarque mon désarroi. Son visage était maintenant tourné vers mes cuisses, et le désir que j’essayais de réprimer, après avoir dévoré son corps du regard, commençait à devenir visible, sous la forme d’une bosse de belle taille sous mon bermuda. Justine m’enserra alors de ses bras, le droit passant dans mon dos, rejoignant le gauche qui glissa sur mes abdominaux. Je sentis alors que mon côté venait se lover entre ses deux seins si généreux, et à cet instant, je me dis que tout était perdu, que j’étais sous son emprise, et que quoi qu’elle fasse, je l’aurais suivie jusqu’au bout du monde.
Tel était mon état d’excitation, lorsque Justine releva la tête, prit mon visage dans sa main gauche, et emmena mes lèvres vers les siennes. Je goûtai alors à ses larmes qui coulaient sur ses joues, telle la mousson, et nos bouches s’ouvrirent, pour s’emboîter en un baiser lent et délicieux. La langue de Justine semblait avoir pour objectif de goûter à chaque parcelle de la mienne, et il me sembla à cet instant que Justine était une femme très déterminée.
Ses mains glissèrent depuis mon visage vers ma poitrine, et enfin vers la bosse qui déformait mon short. Je tressaillis lorsque ses doigts se refermèrent sur mon sexe, et posai ma main sur la sienne, comme pour vérifier que tout ça était réel. Justine m’infligeait un massage très agréable, et je m’enhardis en découvrant son corps à mon tour. Je caressai son dos, et descendis jusqu’à ses fesses, que j’agrippai fermement. Justine rompit notre baiser pour me regarder en souriant, visiblement satisfaite de ma réaction. Elle plaqua à nouveau ses lèvres sur les miennes, et commença à soulever mon tee-shirt. Je me retrouvai torse nu, et ses mains caressaient ma poitrine, jouant avec mes tétons, caressant mes abdominaux, et finalement, elle s’attaqua à ma ceinture.
De mon côté, je déboutonnai fiévreusement sa chemise, et je pus enfin prendre en main l’un de ses magnifiques seins. Je le soupesai, le caressai, j’étais au comble du bonheur. Tout en l’embrassant, je sentis le sourire de Justine se dessiner sur son visage, et elle aussi accéléra le pas, pour libérer mon sexe, prisonnier de mon bermuda. Enfin, elle le libéra et le prit à pleine main. Le contact de sa main sur ma peau lança en moi des ondes de plaisir, qui parcoururent mon corps jusqu’à ma main droite, qui malaxa plus fort encore, ce sein si beau.
Justine se dégagea alors un peu, en gémissant, puis sans prévenir, se mit à genoux et enfonça mon sexe dans sa bouche, en effectuant un mouvement de va-et-vient avec gourmandise. Je sentis qu’il en faudrait peu pour que j’éjacule dans sa bouche, et je n’en avais pas fini avec ma belle Justine. Je stoppai doucement son mouvement, et nous nous relevâmes de concert, nos corps collés l’un à l’autre. Justine se tourna alors, et enleva son pantalon. Elle portait une mince culotte en coton, et je pouvais sentir l’odeur de son désir lorsque le tissu descendit sur ses cuisses. Justine posa la main gauche sur le lavabo, et de sa main droite emmena mon sexe entre ses fesses. Je ne mis pas longtemps à trouver l’entrée de son sexe, et je commençai à appuyer légèrement.
Justine passa sa main libre entre ses jambes, et m’aida en écartant ses lèvres de ses doigts, puis en dirigeant mon sexe vers l’intérieur. Je pénétrai alors facilement son vagin, y rentrant doucement, d’abord, savourant chaque centimètre carré des parois brûlantes de Justine, ma tendre Justine, qui avait tellement envie. Je voyais son bassin qui ondulait, et qui me semblait vouloir gober mon sexe tout entier, comme sa bouche l’avait fait quelques minutes plus tôt. Je poussai alors mon exploration plus loin, pour finalement la pénétrer jusqu’à la garde, et sentir mon gland toucher au fond. Justine avait maintenant les deux mains posées sur le lavabo, et je voyais dans le miroir son visage, se tordant de plaisir, les yeux fermés et la bouche haletante. Je restai un instant au fond, puis je sortis mon sexe en entier, avant de replonger comme dans un océan chaud et moite. J’allais et je venais en elle, tout en m’agrippant à ses hanches. Alors que je trouvais un rythme que me permettait de profiter de l’instant, tout en retardant l’inévitable explosion, je laissais mes mains parcourir ce corps, pour lequel je brûlais d’un désir fou.
Mes mains s’attardèrent sur sa croupe, puis descendirent vers son ventre et son sexe. Je découvris une toison fournie et moite, presque poisseuse, qui attisa mon désir. Je laissai son bouton de côté, de peur de déclencher son orgasme trop tôt. Mais mains remontèrent alors vers ses seins, qui bougeaient en rythme avec mes coups. Je les attrapai, et les soupesai, avec un râle de plaisir. Cette position m’avait toujours hautement excité, et le fait de soutenir sa poitrine, tellement magnifique, tout en la pénétrant par derrière, me rendant complètement fou. Malgré tout, je m’arrachai à ce plaisir pour continuer mon exploration, et ma main droite vint caresser son cou, alors que ma main gauche attrapait sa chevelure brune et bouclée, pour la tirer légèrement en arrière. Je n’étais pas sûr que Justine aime cela, aussi y allais-je doucement. Mais elle gémit doucement alors que je tirais, et je fus rassuré et accentuai très légèrement la pression.
Justine se cambra alors, et écarta les jambes, comme pour m’inciter à aller toujours plus loin en elle. Je sentis l’inexorable fin venir pour moi, et je descendis ma main droite vers son clitoris, dans l’espoir de sentir son orgasme alors que j’étais en elle. À peine mes doigts effleurèrent-ils sa toison, que je sentis monter en moi le point de non-retour. Je réussis néanmoins à atteindre son bouton, et le caressai fortement. Justine fut prise de spasmes, et jeta la tête plus en arrière, en gémissant des paroles incompréhensibles. Quant à moi, je déversai ma purée en elle, au plus profond, alors que son vagin se resserrait autour de mon sexe.
Nous sommes restés quelques instants dans cette position, haletants, avant que je m’extraie de son corps. Elle se retourna alors, et m’embrassa, avec passion. Je pressai mon sexe contre son ventre, plein de mon sperme, et je sentis sa toison frotter doucement contre mes testicules. Ses seins, écrasés contre ma poitrine, m’emmenaient au paradis.
Justine enfouit alors sa tête dans mon cou, et me murmura :
— C’était fantastique, merci.
Elle n’avait pas idée à quel point ça avait été merveilleux pour moi, mais sur l’instant je ne trouvai pas les mots pour le lui dire, et quand bien même je les aurais trouvés, je n’aurais pas réussi à les prononcer.
Justine se baissa délicatement, et entreprit de lécher mon sexe avec application. Elle suçait les dernières gouttes de sperme qui restaient sur ma hampe, et les avalait avec délectation. Je n’avais jamais vu, de ma vie, une vision aussi affolante que cette femme, qui possédait un corps si excitant, lécher mon sexe avec autant d’envie. Lorsqu’elle eut fini, je la vis remettre rapidement sa culotte.
— J’ai envie de garder un peu de toi en moi, mon petit chéri… J’aime beaucoup le sperme. J’espère que je ne te choque pas.
Rien n’aurait pu me choquer à cet instant, et je trouvais au contraire très naturel d’avoir envie de garder ma semence en elle, c’était un acte très érotique qui me plaisait beaucoup.
— Et moi alors ? lui répondis-je, je n’ai pas droit à un souvenir ?
À vrai dire, sa culotte trempée de mouille m’aurait fortement plu, et je m’imaginais déjà la respirant quelques jours plus tard, en repensant à nos ébats. Je vis Justine réfléchir un instant, puis s’approcher de mon oreille :
— La prochaine fois mon chéri…
Il allait donc y avoir une prochaine fois… J’étais l’homme le plus heureux du monde.
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