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Une collègue bien envahissante

Une collègue bien envahissante



Il est vrai qu’à 42 ans, les deux enfants partis de la maison j’avais le sentiment du devoir accompli. Étant rentière j’avais une situation confortable, pas aisée mais suffisante pour vivre sans travailler. Je tombais alors quelque peu dans l’ennui et beaucoup de choses ne m’intéressaient plus. Pour le plus grand malheur de mon mari le sexe en faisait partie.

Cédric était pourtant bel homme brun aux yeux marrons, 1 bon mètre 82 pour 75 kilos, baraqué, viril plus dans l’attitude que dans le sexe cela dit et le tout avec un sexe de 18 cm par 4. Il était désirable et entreprenant néanmoins il se heurtait à un mur.

D’autant que sans vouloir me vanter j’étais encore bien conservée. Les cheveux châtains, les yeux verts, 1m74, 70 kilos, pulpeuse, un 90c moelleux et rond mais qui se tient, des fesses bien formés sans être trop grosse.

Mais j’avais la prétention de me dire que j’avais joué le rôle qui m’était donné et je n’avais plus envie de faire d’effort. Quant à lui il travaillait beaucoup il était manager dans une grosse société quelque fois en déplacement mais surtout de gros horaires.

Ces derniers temps il m’a souvent reproché toutes ces choses et surtout l’arrêt quasi complet de notre activité sexuelle. Je ne fis pas attention que cela s’arrêta d’un coup pendant quelques semaines. Jusqu’à un soir ou il m’appela pour m’indiquer que sa collègue venait boire un coup. Cela ne m’enchantait guère, recevoir du monde signifiait faire des efforts et cela m’ennuyait beaucoup.

Je sortis donc de quoi faire cet apéritif quand ils arrivèrent tous les deux, ils riaient fort dans l’allée puis arrivèrent dans la maison. C’était son assistante, Sandra, il m’en avait déjà parlé. De ses propres mots une femme à poigne, sévère et sans pitié pour obtenir ce qu’elle voulait. On ne pouvait pas dire que c’était une femme mannequin. Elle faisait dans les 1m72 pour 68 kilos environ. Brune, yeux marrons, un bon 90d et plutôt pulpeuses pour ne pas dire un peu ronde mais pas grosse. Cependant elle dégageait quelque chose, une assurance, un certain charisme.

Après s’être dit bonjour, ils reprirent leur conversation, finissant par s’asseoir autour du canapé en continuant à discuter sans me prêter attention. Cela dura des longues minutes. Tout à coup mon mari partit se doucher car il avait une grosse journée ce qui me paru bizarre en plein milieu d’un apéritif me laissant seule avec sa collègue.

Il y eut un silence qui dura jusqu’à ce que Sandra entende le bruit de la porte de la salle de bain se fermer pour me dire sans détour :

– Alors comme ça c’est toi Marine, sa branleuse de femme ?

Je répondis interloquée un simple pardon ?!

– Pas la peine de faire l’outrée Cédric me raconte tout. Tu ne travailles pas, tu as pris une femme de ménage, tes enfants sont partis et vous ne baisez même plus !

– Non mais ça va pas de me parler comme ça ?! Et d’où tu sors ça ?

– D’accord tu es complètement à côté de la plaque en fait. Cédric me raconte tout, me dit tout et me baise par la même occasion, tu ne t’en doutais pas ?

– De quoi ?!!, répondis-je presque en criant ne comprenant pas ce qui arrivait.

– Mais réfléchis tu as 40 ans et tu te comportes comme une mamie. Mais ce n’est même pas ça l’essentiel. Tu fais la fille outrée alors que tu devrais me remercier.

– Te remercier mais tu te fous de ma gueule !

Elle se leva, se rapprocha de moi pointant son doigt accusateur sur moi et pris un tout autre ton, sévère et direct :

– Tu vas me parler avec un peu plus de respect connasse. Si ton mari m’a amené ici,c’est pour une bonne raison te donner une chance de le récupérer. Je lui ai dis de te laisser tombe comme la merde que tu étais mais non tu vois il est trop gentil.

Je m’apprêtais à intervenir énervée et à la fois complètement perdue par la situation, mais avant que je ne parle elle repris la parole :

– Non tu fermes ta gueule et t’écoutes pour l’instant ! Cédric c’est un mec 1000 fois trop bien pour toi, pour moi t’es qu’une merde de pas tout faire pour le satisfaire. Si tu veux le récupérer tu vas devoir te montrer digne de lui et c’est ps sur le plan intellectuel que tu vas le combler. Alors je lui ai dis que la seule façon, la seule chance qu’il pouvait te donner c’était que tu sois une bonne épouse attentionnée, mais en bonniche et en chienne a son petit soin et là pour répondre à ses envies. Pour ça je vais te dresser je vais te remettre à ta place et là t’auras une chance de le récupérer.

Je restais bloquée, figée sur place essayant d’encaisser tout ce flux d’événements, quand elle se dirigea vers son sac en sortit un collier de chienne et le jeta à mes pieds.

– Pourquoi tu crois qu’il est allé de doucher ? Le deal est simple si quand il redescend tu n’es pas à ta place c’est à dire à poil avec le collier de chienne autour du cou à mes pieds ça veut dire que tu ne l’aimes plus et que tu ne veux pas le reconquérir donc s’en est fini de votre couple. Libre à toi de décider à mon sens tu ne le mérites pas.

J’étais donc là assise sur le canapé face à la maîtresse de mon mari, qui allait être mon ex-mari si je n’acceptais pas de me soumettre à cette même maîtresse. Situation inimaginable qui me paraissait inextricable. Et puis en un instant des dizaines de pensées se sont mises à me parvenir, m’imaginant seule et toutes ces promesses imaginées par mes pensées étaient glauques et déprimantes.

Sans tellement réfléchir je me levais alors et commença à me déshabiller, j’avais arrêté de penser, réfléchir. J’enlevais mes vêtements me retrouvant nue, tête baissée face à Sandra, espérant honteusement qu’elle prenne les choses en main pour éviter de rester ainsi idiote.

« T’es peut-être pas aussi conne que je le pensais et t’as un bon physique de chienne je vais pouvoir m’amuser avec toi c’est bien ».

Tandis que je en répondis rien elle m’enfila le collier autour du cou, m’intima de me mettre a a genoux. A ce moment là le temps s’est arrêté, je me voyais honteuse, à quatre pattes aux pieds de la maîtresse de mon mari ne savant même quoi attendre.Puis j’entendis avec soulagement la porte de la salle de bain s’ouvrir, pensant intimement que tout ça n’était qu’une mauvaise blague.

Mon mari arriva dans le salon habillé pour sortir.

« Bien je me doutais que tu n’étais pas totalement perdue, tu vas voir Sandra va bien s’occuper de toi et peut-être qu’après tu feras une femme convenable. Je vous laisse entre vous moi je sors avec Pat et Fab »

Devant mes yeux ébahis d’être confronté à la réalité il partit sans un mot ni un regard vers moi, simplement en embrassant langoureusement Sandra. Elle referma la porte derrière lui se retourna et me dit :

« Très bien on va commencer sale chienne maintenant je ne veux entendre ta voix que si je le demande et mon nom pour toi c’est Maîtresse ! »

Je ne me doutais pas encore réellement de qui m’attendait.

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