Premier trio.
Comme beaucoup de maris, j’avais envie de partager ma femme. Je voulais voir une autre queue que la mienne pénétrer peu à peu dans sa chatte gourmande et baveuse. Au départ elle n’était pas du tout partante. Elle disait que je lui suffisais, qu’elle ne voyait pas l’intérêt d’un autre homme.
Puis profitant de sa forte libido certains soirs, je lui faisais remarquer que si nous étions deux pour la satisfaire elle y trouverait surement un plaisir décuplé.
A force de dialogues, de persuasion, elle finit par dire qu’elle voulait bien essayer.
Après cet accord de ma chère et tendre, comme on dit qu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud, je ne perdais pas de temps et me jetais sur le………. « minitel » !
Eh oui les amis. Nous ne sommes pas des perdreaux de l’année nous avons maintenant dépassé la soixantaine. Et donc, à l’époque, point d’Iphone, point de tablette et internet, face book, etc… Le bon vieux 3615 seulement. Mais bon, cela fonctionnait tout de même et je pus trouver quelques candidats sans problème.
Après un premier tri par téléphone, je retenais 3 hommes qui, je le pensais pouvaient plaire à ma femme. Je leur fixais RDV dans une brasserie à 30 mn d’intervalle et le jour dit, je m’installais à une table de façon à ce que ma femme assise non loin puisse les voir sans être vue ou du moins sans qu’aucun ne puisse savoir qu’elle était là.
Pour commencer le premier nous fit faux bond. Cela commençait bien. J’espérais juste qu’il n’arriverait pas en retard alors que j’en recevais un autre. Ce ne fut pas le cas. Les deux suivants sont arrivés à l’heure et je leur ai précisé notre recherche en leur expliquant bien qu’il s’agissait d’une première tentative. J’ai dit ce que nous attendions et que probablement il n’y aurait pas de suite, s’il devait y en avoir une, c’est ma femme qui le déciderait.
Ma femme est ensuite venue me retrouver à ma table et je lui ai demandé son appréciation. Elle me confia que j’avais bien choisi, que les deux lui plaisaient bien mais avec une petite préférence pour le dernier. Une fois rentrés, je rappelais les deux prétendants, signifiant à l’un que nous n’avions pas retenu sa candidature du moins pour cette fois mais que je conservais ses coordonnées s’il le voulait bien. En revanche j’invitais l’autre à venir un soir dîner à la maison et lui proposais une date qu’il accepta.
Les dés étaient jetés. Nous avions 3 ou 4 jours devant nous je ne me souviens plus trop, et nous parlions beaucoup de cette future rencontre. Je m’assurais auprès de ma femme qu’elle était toujours partante. Nous convenions d’un signal au cas ou elle aurait voulu arrêter l’expérience en cours. Nous échafaudions quelques plans quant au déroulement de la soirée et nous avons organisé l’absence des enfants pour deux jours.
Le fameux soir, à l’heure dite, notre nouveau partenaire est arrivé. Une bouteille de champagne dans une main et un joli bouquet de fleurs dans l’autre. Classe !
Je le soulage de ses encombrants présents et le fait entrer dans le salon. Je remets le champ’ au frais, les fleurs dans un vase et lui propose de se défaire de sa veste. On s’installe, lui dans le canapé et moi dans un fauteuil juste au moment où ma femme chérie fait son entrée. Entrée triomphale devrais-je dire. Même moi qui la connais sous toutes les coutures, j’étais « baba ». Et que dire de notre hôte ? J’ai cru qu’il allait se décrocher la mâchoire. Certes il l’avait vue en photo lors de notre prise de contact. Vue d’ailleurs en tenue très dénudée. Mais là, ouahhhh !!! A couper le souffle. A l’époque elle avait 38 ans, pas ronde mais disons en chair. Une belle paire de seins bien fermes. Du 95B je crois me souvenir. Un cul rebondi et de belles jambes assez fines. Pour l’occasion elle avait revêtu une petite robe noire plutôt moulante et assez courte. Si bien qu’il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir qu’il n’y avait rien en dessous à part des bas et un porte jarretelles.
Une fois sa bouche refermée, notre nouvel ami, François se leva pour la saluer. Ma femme lui fit la bise d’entrée, sans hésiter. Il resta un peu pantois puis réagit et se rassit dans le canapé où ma femme vint le rejoindre. Vous vous doutez bien que sa robe ne suffirait pas à lui cacher les cuisses. Je peux même dire, étant assis en face d’eux, qu’à quelques centimètres près c’est sa chatte qui aurait été à l’air.
François hésitait sur l’endroit où porter son regard. Les cuisses ? Le décolleté plongeant ? Les pointes des seins prêtent à déchirer le fin tissu ? Je le voyais un peu désemparé. Alors pour lui permettre de se reprendre, je servais l’apéritif et je lançais la conversation. Tout y passait. La pluie, le beau temps, la politique, le travail, les enfants. Bref, tout, sauf le cul. C’était encore trop tôt.
Surtout que moi, dès lors que le RDV était pris, je vivais et revivais une scène que pourtant nous n’avions pas encore vécue. Je fantasmais. Je me faisais des films. Et plus ça avançait, moins je me voyais faire une simple partie de cul à trois mais plus j’imaginais ma femme prendre du plaisir dans les bras d’un homme généreux de sa tendresse, de ses caresses, de ses coups de reins. Qu’il lui fasse crier ses orgasmes. Petit à petit je m’étais mis au second plan. Il fallait qu’elle soit heureuse. C’est tout.
On passe à table. Je laisse François et ma femme à leur discussion et je vais en cuisine afin de mettre la touche finale au plat que nous avions préparé auparavant.
Finalement notre choix s’avère concluant, François est un hôte charmant. Il est intéressant. Parle bien et nous avons pas mal de goûts communs. Il s’essaie timidement à quelques compliments sur ma femme. J’en profite pour orienter un peu nos propos vers quelque chose de plus coquin. Pour servir le vin, plutôt que de rester assis, je me lève et fait le tour de la table avec ma bouteille. Au passage, je fais « malencontreusement » tomber une bretelle de la robe sur le bras de ma femme et lui fais un clin d’œil. Elle comprend le message et ne réagit pas. Si bien qu’à moins d’être aveugle encore une fois, François ne peut pas rater les ¾ d’un sein juste devant son nez.
Afin de rentrer encore un peu plus dans le vif du sujet et surtout de bien mettre François à l’aise. Je lui demande ce qu’il pense de ce qu’il voit en ce moment et si c’est aussi bien que la photo qu’il connaît. Dans un premier temps il est un peu gêné mais ça ne dure pas et il me confit que l’originale est bien mieux que la photo. Ma femme le traite de flatteur en minaudant mais lui bien sur, l’assure de son honnêteté.
Je vous passe un peu les détails mais sachez que l’ambiance était bonne et propice à ce que nous voulions faire.
À la fin du repas, je propose que nous allions dans notre chambre pour y prendre le café car nous avons une grande chambre avec un petit salon canapé. C’est à l’étage et ma femme en tête, nous montons les escaliers lestés soit d’un plateau avec les cafés, soit de la bouteille de champagne.
On s’installe. Tous les trois dans le canapé, ma femme au milieu. La conversation reprend. On aborde un peu les raisons de la venue de François. On ne rentre pas trop dans les détails. Surtout moi car je ne sais pas ce que pensera ma femme de mes nouvelles aspirations. On boit le café. Je débouche le champ’. Mais rien ne se passe. Ma femme ne semble pas vouloir provoquer quoi que ce soit. François ne doit pas se sentir le droit de commencer. Alors je prends les choses en main.
Tout en discutant, je baisse les deux bretelles de la robe qui n’est plus maintenue maintenant que par les deux tétons tendus. Ma femme me regarde en souriant. C’est bon, elle a compris. Je caresse sa cuisse de mon côté et fais un signe du menton à François. Voilà, ça y est, il a compris aussi. Sa main se saisit de l’autre cuisse. Ma femme se cale bien au fond du canapé, la tête légèrement en arrière et mine de rien, écarte un peu ses cuisses. Je fais tomber complètement sa robe et dévoile ses deux obus dressés, durs, tendus. Je fais un clin d’œil à François qui ne se fait pas prier et se jette bouche en avant sur l’objet de son désir. Il suce, il tête, il mordille. Ma femme râle doucement ce qui l’encourage encore plus. Sa main a rejoint la mienne alors je lui laisse la place sur une fente trempée, gonflée qui s’entrouvre doucement.
Nous avons chacun un tétons en bouche. Ma femme nous prend par le cou et pousse nos têtes sur ses seins prêts à éclater. Je laisse François s’occuper seul de ma femme et je me fous à poil. Il y avait pénurie de logement dans mon slip. De fait ma bite sort tel un diable de sa broîte. J’en ai presque mal tellement je bande. Déjà rien que ça. Voir ma femme se faire peloter par quatre mains dont celles d’un quasi inconnu. C’est super excitant. J’en rêvais et c’est là. Maintenant, sous mes yeux. Je suis debout à côté du canapé, la bite au garde à vous, et ma femme, ma petite femme, ma princesse, l’amour de ma vie se fait tripoter la chatte, bouffer les nichons par un autre que moi. Et surtout, elle y prend plaisir. C’est génial.
D’ailleurs elle voit que je les observe. Alors elle se lève. Sa robe tombe à ses pieds. Elle vient contre moi, met ses bras autour de mon cou et me roule une putain de pelle. Moi je lui malaxe son petit cul. Je lui écarte les fesses. J’espère que François se rince l’œil. Il se lève à son tour. Je lui prends le bras et l’attire vers nous. Il se colle à ma femme prise ainsi en sandwich. Puis il nous quitte pour se déshabiller à son tour. Pendant se temps j’emmène ma dulcinée sur le lit tout proche. Je la couche sur le dos, lui écarte les cuisses et je me jette sur sa chatte comme un mort de faim.
A suivre….
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