CHAPITRE III – REPAS CHAUD AVEC DESSERT
Ne me voyant pas dans le salon, Jacques demande à Laurent :
– Où est Katia ?
Le plus naturellement du monde, Laurent répond :
– Elle est allée s’habiller !
Discrètement je sors de la salle de bain et entre dans la chambre, à pas feutrés, puisque je suis censée me changer.
Je mets une mini-jupe écossaise et un chemisier blanc dont je n’arrive pas à fermer les boutons du haut à cause de mes gros seins.
Quand je reviens dans le salon, il n’y a que Laurent. Doucement il me dit :
– Il est aux toilettes !
Puis il me regarde, surtout mon décolleté et me dit :
– Tu te débrouilles comme tu veux, mais je veux que tu me montres tes seins pendant tout le diner ! Je vais m’asseoir en face de toi !
Moi :
– Non Laurent ! Je ne peux pas !
Lui :
– Débrouilles toi ! Tu sais il peut m’arriver de gaffer et de faire comprendre à Jacques ce que tu as fais cet après-midi !
Le salaud me fait du chantage. Je baisse la tête en signe d’approbation.
Jacques revient. Moi je file dans la cuisine et m’écris :
– Merde quelle conne !
Jacques :
– Qu’est ce qu’il y a ?
Moi :
– Je viens de déchirer les boutons de mon chemisier !
Jacques :
– C’est pas si grave je t’en achèterais un autre !
J’entre dans le salon en tenant les pans de mon chemisier bien serrés sur mes seins et dis :
– Si c’est grave ! J’ai les seins à l’air et j’ai rien d’autre à mettre ! Tout est au sale !
Inutile de vous dire que j’ai volontairement arraché les boutons du chemisier. Laurent veut voir mes seins pendant le repas, et bien il va les voir. Le pire de tout c’est que je vais lui montrer avec plaisir, malgré son petit chantage.
Je lâche alors les pans du chemisier. On devine le début auréoles de mes seins. Au moindre geste que je ferais, un sein se libérera. Je me sens bien. Je suis terriblement excitée et le pire de tout c’est que Jacques ne dit rien. Laurent est un de ses amis et ça ne le choque pas que je sois presque seins nus devant lui. Je dis « presque » car je le répète, on voit bien mes globes mais les pans du chemisier s’arrêtent sur mes tétons, qui sont ainsi cachés. Il pense que son ami ne pensera pas à mal. O combien il se trompe.
Je vais à la cuisine pour préparer le repas. Ca me fait tout drôle de faire la cuisine les seins nus, car évidemment en faisant des gestes que ce soit pour att****r des ustensiles que pour préparer les plats, les pans du chemisier se sont complètement ouvert et c’est la poitrine complètement dénudée que je travaille.
J’entends Laurent dire :
– Je vais dresser la table en attendant que ce soit prêt !
Je crains le pire, car je sais que Jacques ne bougera pas le petit doigt pour l’aider à mettre la table. Il est bien trop macho pour ça. Pour lui c’est un travail de « gonzesse » comme il dit si bien.
J’entends les pas de Laurent dans la cuisine. Je respire un grand coup car je sens, je sais, qu’il va se passer quelque chose.
Au bout de quelques secondes, je sens ses mains passer sous ma jupe. Il commence à masser mes fesses doucement et une envie de faire l’amour monstre me prend. Laurent, ce gros cochon, abandonne mes fesses et ses mains se placent sur mon ventre. Je pousse un soupir et me mords les lèvres car il va certainement me toucher les seins.
En effet, ses mains se collent à mes seins nus, car bien sûr, je n’ai pas pris le soin de resserrer le chemisier contre moi. Ses mains massent ma poitrine tendrement. Puis il prend chacun de mes tétons entre son pouce et son index, et les pince tendrement. Puis il les fait tourner doucement, les martyrise avec art. Je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement de plaisir. Un gémissement léger, pour ne pas que Jacques l’entende.
Puis il m’abandonne, prenant les assiettes pour les porter sur la table.
Très vite j’entends à nouveau ses pas dans la cuisine. Une fois de plus, ses mains se collent à mes fesses. J’ai de plus en plus de mal à cuisiner, je n’ai pas le cour à ça, je suis trop troublée par les caresses de Laurent sur mes fesses. Sa main droite se fait coquine et passe entre mes cuisses. Instinctivement, j’écarte légèrement les jambes, suffisamment en tout cas pour laisser sa main glisser jusqu’à mon minou.
Je sens alors la tranche de sa main glisser entre mes grandes lèvres, touchant mon bouton d’amour qui n’a jamais été aussi gonflé. Je gémis doucement pendant qu’il fait aller sa main d’avant en arrière, me donnant un plaisir fou.
Puis une nouvelle fois il disparaît après avoir pris les verres.
Son absence ne dure pas longtemps. Je suis restée les jambes écartées. Je sens alors une main soulever ma cuisse droite. Un bruit de zip qui descend. C’est pas possible ! I va quand même pas me prendre là, dans la cuisine alors que Jacques est juste dans la pièce à côté. Pourtant, je ne peux pas résister. Je ne fais aucun geste pour me débattre. J’attends. J’attends avec impatience qu’il me pénètre et me fasse l’amour. C’est fou, mais je ne peux pas résister à cette envie dingue.
Son gland se colle à ma vulve. Je lâche la cuillère de bois que j’ai dans la main pour prendre appui sur le plan de travail.
Je me cambre au maximum de plaisir lorsque le sexe de Laurent pénètre en moi. Je me mords une fois de plus les lèvres, ne pouvant échapper un gémissement plus fort que les autres.
Puis le sexe de Laurent ressort de mon minou. J’entends un bruit de couverts qui s’entrechoquent. Laurent repart vers le salon avec cuillères, couteaux et fourchettes.
Le salaud me rend folle. J’étais prête à faire l’amour avec lui dans la cuisine, en oubliant complètement, ou plutôt en me foutant complètement que Jacques nous voit. Je voulais jouir sous ses coups de boutoirs.
Mais non ! Il me tient en haleine le cochon !
Lorsque j’arrive dans le salon avec le repas, je suis toute rouge. Pas de honte, mais d’envie. Mon ventre me brûle, j’ai besoin d’un sexe.
Je suis toute pantelante. Jacques occupé à regarder la télé avec Laurent, ne s’aperçoit de rien.
Je me laisse le temps de récupérer de mes émotions puis je m’installe sur un côté de la table et non pas au bout, car je sais que je devrais montrer mes seins à Laurent pendant le repas.
Laurent se lève le premier, en se précipitant presque vers la place en face de moi. Sans doute craignait-il que Jacques s’y installe avant.
Je n’ose pas le regarder et j’ai mon regard fixé dans mon assiette.
Jacques s’installe à côté de moi, car Laurent a bien pris soin de ne pas mettre son couvert en bout de table, pour que Jacques ne me voit pas quand je lui montrerais mes seins. Nous commençons à manger. Laurent tient la conversation pour que Jacques le regarde à lui et donc pas à moi. Puis il me jette un regard. Je sais que c’est maintenant qu’il va falloir que j’agisse.
Alors j’agis. Discrètement, j’écarte les pans du chemisier. Je sens mes tétons qui sortent du chemisier. Laurent a tout loisir de les regarder. Je n’ose pas croiser son regard.
Pourtant à un moment donné, je ne peux m’empêcher de lever les yeux. Laurent continue de parler à Jacques. Quand je croise son regard, il fronce les sourcils. Je comprends alors qu’il n’en a pas assez. Il veut en voir plus. Il veut que je lui exhibe mes seins dans leur totalité.
Alors inconsciente à cause de l’excitation, j’écarte complètement les pans de mon chemisier.
J’ai les seins complètement nus devant les yeux de Laurent alors que Jacques continue de parler, les yeux rivés dans son assiette. Je devrais me sentir mal à l’aise, pourtant je me sens bien. Je suis heureuse. Heureuse d’offrir mes seins à Laurent, heureuse qu’il les voit complètement. Laurent à l’air satisfait, car lorsque ses yeux croisent les miens, il me sourit coquinement. Jacques se lève brusquement. D’un geste prompt, je referme les pans du chemisier. J’ai des sueurs froides car j’ai vraiment cru qu’il s’apercevrait de la situation.
En plus, tel que je le connais, il m’aurait considérer comme fautive de provoquer son ami.
Ses amis pour lui sont comme des frères, ce qui ne semble pas être le cas pour ceux-ci.
Il se dirige vers les toilettes.
Laurent me regarde et me dit :
– Maintenant coquine ! Tu attends qu’il revienne s’asseoir et tu dégrafes ta jupe ! Mais attention ! Quand je dis dégrafer, c’est que je veux te savoir la chatte et le ventre totalement nus sous la table ! Ta jupe ne devra plus rien cacher !
Moi :
– Laurent ! Je crois qu’on va un peu trop loin là !
Lui :
– Souviens toi bien ce que je t’ai dis tout à l’heure ! Si je raconte ce que tu fais dans son dos, il me croira et tu le sais très bien !
Moi :
– Salaud !
Laurent éclate de rire. Je suis rouge de colère. J’essaie de me calmer car Jacques revient. J’ai envie de tout lui avouer comme ça le problème sera réglé.
Pourtant je n’arrive pas à ouvrir la bouche. Je n’y arrive pas car Laurent me jette un regard autoritaire qui me fait complètement craquer.
Pire que ça encore, sans qu’il me le demande, j’ouvre en grand les pans de mon chemisier pour lui exhiber une nouvelle fois les seins. J’ai tellement envie de lui dévoiler mon corps que je ne sais même pas si je serais capable de recouvrir mes seins si Jacques se lève à nouveau.
Je suis folle, dingue d’envie. Laurent me rend folle, inconsciente. Je passe les mains sous la table. Un a un je dégrafe les boutons de ma jupe, puis enfin le dernier qui tient la robe à la taille. Je sens les pans de ma jupe s’échapper sur mes cuisses. Je suis nue. J’ai les seins nus, le minou nu, plus rien ne le cache.
Ma jupe est sous mes fesses, un point c’est tout.
Laurent a du voir mon petit manège, car au bout de quelques minutes, il échappe sa fourchette. Je suis sûre que sa maladresse n’est pas innocente.
Il est très malin, car plutôt que de se contenter de se pencher pour la ramasser sans avoir à se lever ni a regarder sous la table, il dit :
– Merde ! Elle est sous la table !
Je rougis de honte car je sais ce qu’il va faire. Il se lève de la chaise, se met à quatre pattes, passe sous la table. Une envie folle me prend alors, une envie à laquelle je ne peux pas résister.
J’écarte mes cuisses autant que je peux, en prenant soin tout de même de ne pas toucher la jambe de Jacques qui se demanderait pourquoi j’écarte les cuisses autant.
Je ferme les yeux et j’imagine alors Laurent en train de loucher sur mon minou trempée de liqueur d’amour, car je mouille comme une folle.
Un doigt effleure mon clitoris. J’ai un sursaut car j’ai failli gémir. Je me suis mordu les lèvres avec tellement de force que je pense que je saigne.
Laurent remonte de dessous la table sa fourchette à la main. Il me sourit d’un air satisfait qui ne me plait pas du tout, mais qui m’excite terriblement.
Nous mangeons alors tranquillement, moi le minou et les seins à l’air, car une promesse est une promesse. Tout à coup, je sens le pied de Laurent passer entre mes cuisses.
Je ne peux pas m’empêcher de les ouvrir à nouveau. Son pied glisse lentement sur ma cuisse droite. Je retiens ma respiration, car dans la seconde qui va suivre, son pied va se coller à son minou. Encore une fois, je suis obligée de me mordre les lèvres. Oui ! Son pied vient de se coller à mon minou. Le coquin à le dessus du pied contre mon minou, et je ne peux m’empêcher de bouger mes reins d’avant en arrière pour me frotter contre. Mon clitoris, délicieusement torturé par mes mouvements sensuels, me donne des envies folles.
J’ai envie de sauter sur Laurent, envie qu’il me prenne dans la position qu’il voudra. J’ai envie qu’il me fasse l’amour là tout de suite, et tant pis pour Jacques.
Et alors là, comme hypnotisée par le plaisir, je lâche mon couteau et ma fourchette et je porte mes mains à mes seins nus. Je suis folle, j’ai trop envie de faire l’amour, trop envie de jouir. Je commence à me caresser, a masser mes mains tendrement.
Laurent écarquille les yeux car il sait que je vais faire une grosse bêtise. Il enlève brusquement son pied de ma chatte.
Je soupire de regret mais aussi de soulagement, et je le vois en train de s’éponger le front.
Nous avons eu chaud tous les deux. Il faut que nous stoppions ce petit manège qui est devenu bien trop dangereux.
J’ai très envie qu’il recommence et je sais qu’il a très envie de recommencer, mais il a décidé d’être désormais raisonnable, beaucoup plus que moi en tout cas, et je sais que ce ne sera pas ce soir qu’il me fera l’amour.
Je suis très déçue car j’ai une envie folle de lui. De lui ? Pas forcément ! J’ai envie de faire l’amour, envie d’être prise point final.
Je rabats les pans de mon chemisier car Laurent ne me demandera plus désormais de m’exhiber.
Je rabats également les pans de ma robe sur mes cuisses, agrafe les boutons : voilà ! Je suis redevenue celle d’avant le début du repas.
Je pense à ce coquin de Laurent qui a tout fait pour que je ne jouisse pas, que ce soit quand Jacques est parti acheter le pain et qu’il m’a prise contre la vitre de la fenêtre, ou lorsqu’il a enfoncé son sexe en moi, dans la cuisine, ou encore pendant le repas.
Nous finissons le repas comme les amis que nous étions avant ce soir, sachant très bien que ce ne serait plus jamais pareil. Il ne sera désormais plus question d’amitié entre nous, le désir, le sexe est passé par là et a peut être tout gâché.
Laurent se lève et dit :
– Bon ! les amis, il faut que je parte ! Merci pour cet excellent repas Katia, c’était un délice !
Il me regarde avec des yeux légèrement pervers, me faisant comprendre que son repas n’était pas les petits plats que j’ai préparé, mais MOI !
Je réponds :
– Oh je n’ai rien fait d’extraordinaire !
Bises amicales, poignée de main, il s’en va !
La visite de Laurent m’a transformé, mon comportement avant et pendant le repas a été des plus salaces.
Me faire baiser devient une obsession. Car maintenant, ce n’est plus faire l’amour dont j’ai envie, j’ai envie de me faire baiser.
J’aurais tellement aimé que Jacques m’emmène un inconnu ce soir, car j’aurais pu faire me faire baiser sans crainte d’être surprise par Jacques puisque c’est ce qu’il aurait voulu. Je peste presque après Laurent d’être venu. Il m’a excitée au possible, sans que ça ne puisse aller plus loin.
Jacques :
– Bon je vais me doucher et au lit !
Il me fait un bisou avant d’entrer dans la salle de bain, puis la douche se met à couler.
Je m’installe dans un fauteuil après avoir allumé la TV. Je la regarde sans la regarder vraiment tellement mon esprit est ailleurs.
Je n’arrête pas de penser à ce qui s’est passé ce soir, cet après midi, la veille et l’avant veille.
Hier soir encore, je voulais dire à Jacques qu’il fallait arrêter ce petit jeu, mais maintenant j’ai envie qu’il continue. Je veux tellement continuer à jouer, que je joue sans Jacques, et ça, ça n’était pas prévu du tout. Je l’ai trompé cet après-midi avec son meilleur ami et Fabien et j’ai recommencé ce soir, avec un autre de ses amis. Le jeu prend une mauvaise direction et étrangement, contrairement à hier soir, je ne le regrette absolument pas.
Je sors de mes pensées car le portable de Jacques sonne.
Comme je le fais d’habitude car il me le demande, je prend le portable, et réponds :
– Allo ?
Une voix d’homme :
– Oui bonjour ! Est ce que je pourrais parler à Jacques ?
– Ah je suis désolée mais il est dans la salle de bain ! Je peux prendre un message ?
– Vous êtes son amie ?
– Oui !
– Ah c’est donc pour vous que je devais venir ce soir !
– Pardon ????
– Vous vous appelez bien Katia ?
– Oui !
Je commence à réaliser que Jacques avait bien prévu quelque chose pour moi ce soir.
– Jacques devait me rappeler pour que je vienne heu .te satisfaire, mais il ne l’a pas fait !
Ca se confirme !
Moi :
– C’est quoi cette histoire ? et puis d’abord de quel droit me tutoyez-vous ?
– Ben disons que j’ai devant moi la photo d’une merveilleuse jeune fille, métis, de longs cheveux brun, de gros seins extraordinairement bien faits, une joli petit minou imberbe et un grain de beauté sur le sein droit. Et quand on voit dans quelle situation cette jeune fille est sur la photo, ça ne peut qu’entraîner de la familiarité !
Moi :
– Mais c’est quoi cette photo ? D’ou la sortez-vous ?
L’homme à un rire narquois a l’autre bout du téléphone et dit :
– Si j’étais toi, je jetterais un coup d’oil dans l’attaché case de ton copain !
Tout en tenant le portable je vais jusqu’au cartable de Jacques. Je l’ouvre et ne met pas longtemps à trouver une grande enveloppe non fermée. Je l’ouvre et retire les documents qui sont à l’intérieur. Je rougis de honte en découvrant dans cette enveloppe, il y a une dizaine de photos de moi format A4. Je suis nue, les cuisses bien écartées. Je suis cambrée au maximum et je suis empalé sur le sexe de Fabien.
C’est la fameuse position que j’ai prise pour bien faire bander Jacques lorsque Fabien me faisait l’amour sur la chaise.
Le salaud de Jacques m’a donc pris en photo alors que j’étais en train de prendre mon pied sur le sexe Fabien.
L’homme :
– Alors ça y est ! tu as trouvé !
Moi, presque en pleur :
– Oui !
– C’est bien toi n’est ce pas ?
Je ne réponds pas.
Lui :
– Qui ne dit mot consent ! Tu sais que tu es drôlement bandante comme ça ! Le mec qui te baise à un sacré bol !
Je le laisse parlé énormément déçue par ce qu’a fait Jacques.
– Quand je pense que je devrais être à sa place ce soir et te prendre comme une chienne.
Et moi en regardant la photo, je commence à l’imaginer à la place de Fabien. J’imagine ce mec, que je n’ai jamais vu, en train de me prendre dans cette position et mon ventre commence à chauffer.
Lui :
– Huummm putain je te ferais bien ma brouette spéciale! Tu sais ce que c’est ma brouette spéciale!
Je ne réponds pas, mais j’imagine que c’est une position des plus perverses qui soit et ça m’excite de plus belle.
Lui :
– Bon de toute façon, c’est pas la peine de rêver, ce soir il est trop tard ! Bon je te laisse ! Salut !
Moi :
– Noon ! Attends !
C’est sorti tout seul. Un cri du cour, j’ai une envie folle que cet homme me fasse l’amour.
Je l’entends rire dans son téléphone et c’est terriblement humiliant. Je viens de le supplier en lui demandant de ne pas raccrocher.
Lui :
– Tu as donc envie que je vienne te satisfaire !
Dans un soupir je réponds :
– Oui !
Il devient vicieux :
– Qu’est ce que tu vas faire quand tu vas me voir !
Moi timidement, et déjà honteuse de lui demander de venir, je mets quelques secondes avant de répondre
– Je me mettrais contre toi et je t’embrasserais !
Lui :
– Tu n’as pas mieux ? c’est pas un tellement bon accueil pour celui qui va te donner du plaisir !
Et moi de répondre :
– Je m’agenouillerais devant toi et je te ferais une fellation !
Je suis morte de honte en disant ça, et ça ne fait que s’accroître quand il dit :
– Je suis là dans ½ heure ! Je frapperais à la porte et c’est toi qui devras m’ouvrir !
Il raccroche.
Voilà ! Je suis bien dans la merde. Un inconnu va arriver dans 20 minutes et la première chose que je devrais faire en guise de bonjour, c’est de lui faire une pipe. Mais pourquoi ai je dis ça ? Pourquoi ? Parce que j’en ai une envie folle tout simplement.
Je tourne en rond jusqu’à ce que Jacques sorte de la douche. Il y a combien de temps que l’homme a raccroché ? ? d’heure, 20 minutes ? Il faut que Jacques sorte vite de la douche et aille se coucher car je sens que ce je vais faire ce soir ne va pas être ordinaire.
Jacques sort enfin. A peine sorti, je lui dis :
– Tu vas te coucher chéri ?
Lui :
– Oui ! Tu es contente que je ne t’ais emmené personne ce soir ?
Moi, en mentant :
– Oui !
Jacques répond à mon grand étonnement :
– Je suis content aussi ! J’en ai un peu marre de tout ça !
Je rougis comme une pivoine car dans quelques minutes, un homme va arriver et Jacques ne sera pas du tout content. Je commence à flipper, car j’ai fait une grosse connerie.
Jacques va se coucher après m’avoir embrassée.
Je regarde l’heure sur le portable de Jacques. 23h30. Il y a combien de temps que l’homme a raccroché ? Je n’en ai plus aucune idée.
Je m’assois sur le canapé, anxieuse. Le mieux c’est que je lui dise que je ne veux plus de lui quand il arrivera. Il ne me violera tout de même pas.
J’ai les yeux fixés sur l’heure du portable. 5 minutes se sont écoulées depuis que je l’ai pris en main. A mon avis la demi-heure est dépassée. Je me mets à espérer qu’il ne vienne pas lorsque j’entends 2 petits coups contre la porte d’entrée.
Un frisson d’angoisse parcourt mon corps. Je m’approche lentement de la porte. J’entends Jacques ronfler dans la chambre et ça me rassure un peu. Je prends la poignée de la porte et doucement j’ouvre. En ouvrant je percute que j’ai les seins à l’air car je n’ai pas changé de chemisier depuis le repas. Mais c’est trop tard je suis déjà devant un homme complètement nu, le sexe dressé. Je ne vois que ça, ce sexe dressé, dressé pour moi et une énorme bouffée de chaleur envahit mon corps. J’oublie Jacques, j’oublie l’angoisse, je ne pense qu’a ce sexe dressé, alors, comme je lui avais promis, je me laisse tomber à genoux, prends le sexe entre mes mains et me mets à déposer des petits bisous sur le gland en disant :
– Bonsoir vous !
Je ne sais même pas pourquoi j’ai dit ça, en tout cas je dois passer pour une véritable salope de parler à un sexe. De toute façon son propriétaire le savait très bien avant de venir et le fait qu’il soit nu devant la porte le confirme. Il savait très bien que je l’accueillerais comme ça.
Je prends alors le sexe dans ma bouche en serrant mes lèvres autour du manche et je mets à faire aller ma tête en avant et en arrière. Puis je suis tellement excitée qu’une envie folle me vient. Une envie irrésistible. Je mets le sexe entre mes 2 gros seins. Je les compresse bien fort avec mes mains et tout en prenant le sexe bien au fond se ma gorge, je fais bouger mes seins de haut en bas pour branler la queue de l’homme entre tout en le suçant. L’homme commence à pousser des râles de plaisir.
Sans doute est-il prêt à jouir car il me dit :
– Stop ! Mets-toi à 4 pattes !
Je tourne sur mes genoux, tombe en position de levrette. Aussitôt je pousse un petit cri car le sexe dur vient de pénétrer dans mon ventre. Enfin je vais être prise, enfin je vais prendre mon pied comme ça, dans le hall d’entrée, juste devant la porte de notre chambre. Il y a de grande chance que Jacques se réveille car je sens que je vais crier comme une folle, mais tant pis, j’en ai trop envie.
A ma grande surprise, l’homme passe ses mains sous mes cuisses, et son sexe toujours au plus profond de moi, il soulève mon arrière train. Mes genoux ne touchent plus le sol et je comprends alors ce qu’est la brouette spéciale. L’homme donne un coup de rein et je suis forcée d’avancer une main pour ne pas m’écrouler. Un 2ème coup de rein et j’avance l’autre main.
Alors à chaque coup de sexe dans mon ventre j’avance vers le salon. C’est merveilleux, je ne peux m’empêcher de pousser des petits cris de plaisir. C’est terriblement humiliant et ça rend la chose encore plus excitante.
Je ne peux plus me retenir. A chacun de ces coups de boutoirs je pousse un cri, je l’encourage :
– Ohh ouuiii ! Plus foooooort ! Ohhh huuuum ouuuuiiiiiiiiii ! Ohhh fais moi jouiiiiiiirrr !
Et lui avec un calme olympien :
– Tu es vraiment une belle salope toi !
Il continue de me percuter, m’obligeant toujours à avancer. Ses coups de boutoirs sont de plus en plus puissants et je suis obligée de faire de plus grandes avancées avec mes bras. Chacun de ses coups de sexe me fait crier encore un peu plus. Je suis au bord de la jouissance. Il accélère maintenant, je ne peux plus tenir sur mes bras. Je m’écroule sur le plancher. Il tient toujours mes cuisses en l’air et me pénètre encore plus. C’est beaucoup plus facile pour lui, maintenant que je ne bouge plus. Je n’en peux plus, il va vite, il va fort, il va trop vite et trop fort. Je pousse alors un :
– Huuuuuuuuuuuuuuuuummm oooooooooooooh je jouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Et je joins l’acte à la parole, je jouis comme jamais je n’ai jouis encore.
Je suis avachi sur le sol et le coquin me donne encore quelques coups de boutoir.
Puis il sort de moi. Il me prend par les cheveux, m’obligeant à me lever. Je lui suis entièrement soumise et accepte qu’il me malmène comme ça. Il m’a merveilleusement fait jouir et il a le droit de faire ce qu’il veut de moi.
Il me guide jusqu’au bar en me tenant toujours par les cheveux.
Il me soulève avec force, pour que je puisse poser mon buste sur le comptoir du bar. Seules mes fesses et mes cuisses sont dans le vide.
Je le vois alors prendre une chaise et l’apporter derrière moi.
Puis je sens ses mains à l’intérieur de mes genoux. En les poussant, mes jambes se plient, et je me retrouve les cuisses largement ouvertes, presque en grand écart. Je lui suis toute offerte. Mon minou est complètement ouvert et ça va être un plaisir pour lui de me pénétrer sans aucune difficulté. Je l’imagine debout sur les barreaux de la chaise pour avoir son sexe dressé à la hauteur de mon minou. Je sens son gland sur ma vulve.
Il n’a même pas besoin de pousser avec ses reins, le gland pénètre en moi avec une facilité déconcertante. Je me cambre sur le bar, m’accroche au rebord de la planche qui sert de comptoir. Et là il pénètre en moi d’un seul coup, m’arrachant un cri de douleur mais surtout de plaisir.
Puis il se met à me prendre. Il va et vient dans mon ventre en tenant toujours mes cuisses bien écartées. Son gland cogne au plus profond de mon minou, c’est l’extase.
– Oh ouii ! Ouiii ! Encoooooreee ! Plus fooort ! Pluuus vite ! Oh prend moi comme une chienne ! Preend moooiii comme une chieeeeeeeennee !
Ca l’excite encore plus. Il souffle fort tellement il fait des efforts pour me donner du plaisir. Il dit :
– Tu es une véritable truie !
– Ohhh ouiuuuoooiii ! Je suis une truiiiie ! Je suuiss ta truuiiiiieee ! Ta saloopeeee ! Baiiiiseeeeeeeeee moi foooooort ! Défooonceee moiiiii !
Puis j’entends la voix de Jacques :
– Mais qu’est ce que vous foutez bande d’enfoiré !
Mon amant se fout complètement de la présence de Jacques .et moi aussi. Il accélère dans mon ventre et moi de crier :
– Huuuuuuum oh oh oh aaaaah ! Oh tu vas me faire jouuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirr ! Continuuuuuuuuuuuuueee ! C’est trooooop boooon! C’est trooooooooooop! Huuuuum aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Je viens de jouir pour la seconde fois. Mon amant sort de moi et me fait descendre du bar.
Il me porte jusqu’au canapé et me jette dessus. Je me retrouve assise. Il me pousse violement pour que mon dos se colle au dossier.
Puis il prend mes chevilles, écartent mes jambes, les pousse en les collant contre ma poitrine. Une fois de plus et même encore plus, je lui suis offerte. Je suis ouverte, disponible. Il colle son buste sur mes jambes, et son manche pénètre automatiquement en moi.
Jacques dit :
– Katia arrête !
Moi en gémissant sous les allées et venues de mon amant inconnu :
– Huuum ! Pourquoi arrêter ! huumm oh ouuuiii plus foooort ! c’est tellement booon ! Tu n’as qu’à prendre des photoooooos en attendant ! Huum oh ouuiiiii ! Encoooore encooooreee !
J’ai eu ma petite vengeance, mais je devrais le remercier d’avoir donné ma photo à cet homme, car c’est grâce à cela que je suis en train de prendre un pied fabuleux.
L’homme accélère, il me fait crier comme une folle. Il va vite, de plus en plus en ahanant de fatigue et de plaisir ! Moi je ne fais que crier, l’encourager. Je sens une nouvelle fois les doux frissons de la jouissance monter en moi. Le salaud en est train de me faire jouir encore. Non seulement il accélère toujours, mais il cogne le fond de mon minou de plus en plus fort.
Puis il sort brusquement de moi. Je crie :
– Ooooooooooooooooooooooooooooooooooooh ! aaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrgh ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! Oh c’est boooooooooooooooooooooon !
Puis il lâche mes jambes et se jette sur le canapé, se met a genoux a coté de moi. Son sexe est à côté de mon visage. Le cochon se masturbe deux ou trois coups, et je reçois une giclée de sperme sur le visage. J’ouvre la bouche pour prendre les dernières giclées bien au fond de ma gorge. Puis il plonge son sexe au fond de ma gorge et je me mets alors à le pomper comme quand il est arrivé. Le goût âpre de son sperme est délicieux. Il le sort de ma bouche. Le sperme qui s’est écrasé sur mon visage, descend lentement vers ma bouche. Avec ma langue, j’en ramasse le plus possible pour le mettre dans ma bouche.
L’homme secoue son sexe pour laisser tomber les dernières gouttes. Moi j’ouvre la bouche pour les avaler.
Il s’assoit sur le canapé, épuisé :
– Viens ! mets toi à califourchon sur mes genoux et love toi contre moi !
Avec beaucoup de plaisir, j’obéis et me love contre lui amoureusement. D’une voix essoufflée il me dit :
– Tu es une sacrée salope toi ! Tu vaux le détour !
Moi je le serre encore plus dans mes bras.
Il me pousse par les épaules pour que je me redresse.
Il regarde mes seins et me dit :
– Putain t’es vraiment bandante !
Je me cambre pour lui offrir encore plus mes seins. Je sens son sexe grossir sous mes fesses.
– Salope ! T’en as jamais assez !
Pour le provoquer encore plus, je prends mes seins dans mes mains et je me mets à les masser en remuant des reins. Je sens son sexe grossir peu à peu sous mes fesses, et je me dandine, je l’excite jusqu’à ce que son manche soit bien raide.
Alors, je lève légèrement les fesses, et d’une main je prends son sexe. Je le dirige vers mon minou, le colle à ma vulve, et je m’assois, m’empale sur le manche bien dur.
Puis doucement en me massant les seins, je me mets à monter et descendre sur son sexe. Il pénètre bien jusqu’au plus profond de moi.
Il enlève mes mains de mes seins et prend mes globes dans ses mains. Pendant que je me baise sur son sexe, le coquin me masse les seins fortement, il tire sur mes pointes, les tords dans tous les sens. Je gémis, j’accélère. Il martyrise mes seins de plus belle et j’accélère encore. Je ne gémis plus, je pousse des petits cris. Je transpire, je suis dans un état second, j’ai la chair de poule, je frissonne. Je ferme les yeux pour mieux déguster ce manche qui va et vient en moi, pour mieux profiter de la torture délicieuse que mon amant prodigue à mes seins.
Une nouvelle fois je suis au bord de la jouissance. Mon amant se met à pousser des cris rauques :
– Ohhh salope ! Salope ! t’aimes vraiment la queue toi !
– Huum ouiii j’aime la queue ! J’aime ta queue ! Huum oh ouiiiiii ! fais moi maaaal !
Il griffe alors mes seins et se met à donner des coups de reins pendant que je monte et descend sur son sexe dressé. Ca me rend dingue. Je me tortille, j’ondule des reins.
– Ohhh salope ! Ohh tu vas me faire cracher !
J’ondule de plus en plus en hurlant :
– huuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuumm oooooooooooooooooooooh ouiiiii !
Puis il donne un grand coup de boutoir. Je manque m’en étrangler et j’explose de jouissance dans un cri fou en même temps que je reçois sa sève au plus profond de mon ventre.
Je m’affale contre lui et nous restons lovés l’un contre l’autre pendant de longues minutes.
Puis il me repousse et me dis :
– Il faut que je parte ! Je bosse demain ! Mais t’inquiètes pas ! Je reviendrais !
Moi :
– Oui ! Autant que tu voudras !
Je me lève avec beaucoup de mal. Il se lève aussi. Je le raccompagne jusqu’à la porte d’entrée.
Il ouvre la porte. Il passe ses habits pendant que j’admire son corps nu se couvrir petit à petit.
Une fois habillé il me dit en me regardant dans les yeux :
– Si j’avais encore de la force, je te baiserais encore ! T’es bonne tu sais !
Je lui souris. Je me colle une dernière fois contre lui, l’embrasse sur la bouche, puis je le laisse partir.
Je reviens dans le salon où je vois Jacques debout et catastrophé.
Je détourne les yeux de désintéressement et vais nue vers le bar pour me servir un whisky. J’attends une réaction de Jacques qui ne tarde pas à venir.
Il a regard haineux et me dit :
– T’es vraiment une salope !
Moi j’explose :
– Une salope ??? et toi t’es un véritable enculé !
Puis je cours vers son attaché case et en sort les photos :
– Et ça ! c’est quoi espèce d’enfoiré ! Tu distribues mon corps nu et dans des positions on ne peut plus explicites à n’importe qui et c’est moi la salope ? Tu te le cherches bien mon pote si tu es cocu ! Tu m’amènes des mecs pour qu’ils me baisent, c’est toi qui a voulu tout ça et te plains pas si j’aime qu’ils me baisent et que je prends mon pied. Oui je prends mon pied ! Jamais je n’ai pris un pied pareil ! Et c’est entièrement de ta faute ! Je n’ai rien demandé moi ! C’est toi qui à tout manigancé ! Alors viens par te plaindre maintenant ! C’est bien fait pour ta gueule !
Puis j’envoie balader les photos dans le salon.
Jacques ne réponds pas car il sait de toute façon que j’ai raison. Il n’avait pas prévu que j’entre avec autant de volonté dans son jeu. Tant pis pour lui, je ne le plains même pas.
Je m’assois dans le canapé et allume la TV. Il sort de la pièce pour rejoindre la chambre. Je n’ai pas envie de dormir avec lui, j’ai pas envie de le voir, alors je m’endors doucement la télé allumée.
Je suis réveillé le lendemain matin par la bonne odeur du café qui est posé sur la table du salon. J’entends la porte d’entrée claquer. Je suis pleine de remords. Jacques à pris soin de me servir le café malgré ce qui s’est passé la veille, c’est gentil tout de même. Je suis pleine de remords, mais je ne regrette pas pour autant de m’être donné à cet homme dont je ne connais même pas le prénom.
A peine ais je finis mon café que la sonnette retentit. Qu’est ce que c’est encore ? Je vais dans la salle de bain pour prendre ma sortie de bain. La sonnette retentit à nouveau alors que je suis en train de la passer.
– Oui j’arrive !
J’ouvre et tombe nez à nez avec un homme d’une cinquantaine d’année pas vraiment terrible physiquement. Je fais beaucoup plus attention au physique des hommes depuis 3 jours. Comme si chaque homme était une opportunité.
Je serre bien les pans de ma sortie de bain contre moi pour ne pas laisser apparaître mes seins.
L’homme a le regard méchant et me dit :
– Bonjour ! La prochaine fois que vous foutez un bordel comme ça la nuit, j’appelle la police !
Moi :
– Quel bordel ?
Lui :
– Vous vous foutez de ma gueule ou quoi ! Vous avez hurlé de jouissance en criant des phrases obscènes pendant 2 heures ! Si vous savez pas rester discrète pendant que vous vous faîtes baiser allez dans des endroits prévus pour ça !
Il rajoute :
– En plus, cet après midi ça a été pareil ! Avant de manger, pendant que votre pauvre cocu est allé faire une course, ça a recommencé ! Et si je lui disais moi à votre mec que vous vous faîtes tringler par tout le monde, vous croyez qu’il apprécierait ! Pauvre mec ! Ca me fait chier pour lui ! Merde ! c’est dégueulasse, quand je vais le voir je lui dirais !
Moi, prise de panique :
– Non ! S’il vous plait ! Faites pas ça !
Je flippe car, bien que j’ai joui avec un autre 4 fois hier soir devant lui, il ne sait absolument pas que Fabien et Rémy m’ont fait l’amour ainsi que Laurent. Et ça, je ne veux pas qu’il le sache. C’est de la trahison.
Lui :
– Si je ne le dis pas, il me faut quelque chose en échange !
Il a pris un air vicieux et m’a regardé de haut en bas. Je comprends ce qu’il veut. L’enfoiré veut me baiser un point c’est tout.
Il rajoute :
– Enlève ta sortie de bain !
Je deviens toute rouge et ne fais pas un geste.
Il se met en colère :
– Enlève la salope ! Ou je dis tout à ton mec !
Je me résigne. En tremblant, j’ouvre les pans de ma sortie de bain, la laisse glisser sur mes épaules. Je suis nue devant mon voisin. Je sens que mon visage est écarlate. Il me regarde de haut en bas avec des yeux plein d’envie, plein de vice.
Puis il me dit :
– Dans les jours prochains, je viendrais te chercher et nous passerons un bon moment chez moi ! Tu es d’accord ?
Il dit ça d’un air menaçant, si bien que je hoche la tête de bas en haut en guise d’accord.
Je referme la porte, et remet ma sortie de bain. Je suis très très malheureuse. Je passe pour la plus salope des salopes. C’est vrai que j’aime faire l’amour, que je suis insatiable depuis quelques jours, mais ça ne fait pas de moi une putain pour autant. Je ne veux pas le faire avec n’importe qui. Mais là, je n’ai pas le choix, je dois lui donner mon corps contre son silence.
Je reste ½ heure à me morfondre. Je m’imagine déjà en train de me donner à lui. Le salaud va me demander sans doute de lui faire tout un tas de chose pas possible. Je vais certainement devoir le sucer, il va, j’en suis sûre, fourrer ses doigts vulgairement dans mon minou. Il va pétrir mes seins comme un porc. Il va torturer mes tétons. Il voudra me prendre en levrette et il le fera parce que je n’ai pas le choix.
Je m’aperçois alors qu’une chaleur intense vient d’envahir mon ventre. Cette chaleur qui me revient si souvent ces derniers jours. Oui ! Je suis excitée ! Excitée à l’idée de me soumettre à cet enfoiré de première.
Je fais tout pour sortir de mes pensées car je me fais peur. Je sens que je file du mauvais coton et je découvre un côté de moi que je ne connaissais pas. Ca me fait peur, oui j’ai peur d’être une NYMPHOMANE !
Ajouter un commentaire