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un soucis financier

un soucis financier



Ma belle sœur était dans l’embarras depuis quelques semaines, nous savions que la perte de son travail lui avait fait un coup au moral, et puis financièrement, elle ne savait plus trop comment rembourser ses différents crédits. Elle pensait d’abord que les assurances prendraient le relais, mais à priori elle avait souscris à des contrats un peu bidons, et le ponpon c’est que son mec (qu’elle ne connaissait que depuis deux mois, mais qu’elle aimait bien) venait de la quitter.
Elle venait souvent à la maison, elle mangeait avec nous le soir, ça lui changeait un peu les idées, et on essayait de l’aider dans la recherche d’un nouveau boulot.
Un jeudi soir, elle est venue à l’heure habituelle, sauf que cette fois ci, ma femme n’était pas encore rentrée du travail. Je lui ai proposé un apéro, qu’elle a gentiment décliné, et puis je voyais que ça n’allait pas.
– je pensais que mon père allait m’aider un peu financièrement, mais au lieu de ça il m’a engueulée. il ne voit pas que la vie est dure aujourd’hui ? je comptais beaucoup sur lui… là je suis dans la merde.
– pourquoi ? qu’est ce qui t’arrive ?
– bah entre le credit auto, mes crédits conso, et le loyer, je ne m’en sors pas, et mon compte est au maximum de son découvert. je ne vois pas comment faire.
– on peut te dépanner nous !
– non, je ne veux pas demander à ma sœur. elle va me faire chier avec ca aussi, surtout si papa n’en mele encore…
– j’ai mon compte perso, je peux te preter, elle n’en saura rien.
– c’est adorable, mais je ne sais pas … ca va te gener non ?
– tu as besoin de combien ?
– 3000 euros, pour dans deux jours maximum
– ah oui quand meme…!!
– je t’avais dit, et encore, ça c’est juste pour payer ce que je dois…
– ecoute, je vais te faire un cheque de 3000 euros tout de suite, et tu me diras en fin de semaine de combien tu as encore besoin d’accord ?
Amalia s’approcha de moi tandis que je sortais mon chèquier, et commençait à remplir un chèque. elle me fit un grand sourire et je la sentis soulagée quand je lui tendis le chèque. elle se serra contre moi et m’embrassa doucement la joue.
– je peux te demander quelque chose à mon tour ?
Amalia rangeait son chèque dans son sac à main et me regarda avec interet :
– oui, bien sur.
– tu me fais voir tes seins ?
– heu wooow… quoi ??
– tu as bien compris… je t’ai dépanné secrètement, je ne demande pas à ce que tu me rembourses, par contre, tu me donnes tes seins de salope tout de suite.
Amalia était un peu pantoise face à mon changement de ton, et comme elle ne bougeait pas, je soulevais son haut pour mettre à l’air son soutien gorge noir qui maintenait ses deux magnifiques seins.
Je passais mes mains sous le soutien gorge, le contact était chaud, sa peau douce et généreuse, je fis sortir ses mamelons pour les prendre un à un dans la bouche.
– ohhh comme tu es bonne…
Amalia ne disait rien, elle était perturbée dans la situation, ne savait trop comment réagir. Elle tenta un :
– stop, je vais te rendre ton chèque.
je la regardais ironiquement.
– tu es sure ?
elle baissa un peu les yeux.
je continuais de mordiller ses mamelons qui débordaient du soutien gorge, et plongea ma main vers son pantalon. je fis sauter son bouton habilement, et plongea ma main directement sous sa culotte, contre sa chatte poilue. je me mis à la masturber à toute vitesse, aussi fort et rapidement que je le pouvais. ses seins étaient tendus et étaient devenus très durs. Amalia était completement génée.
– Dis moi merci, salope. non seulement je te donne du pognon, mais en plus je te fais jouir.
Amalia ne tenait plus, sa chatte trempait contre ma main, la gene dans son regard était trahie par les bruits mouillés de sa chatte, et j’accelerais sans arret la cadence.
– Jouis, sale pute !
– Aaaaaaahhhhh ouiiiiii
Amalia serra les cuisses et ne put retenir quelques larmes, les yeux rougeoyants. Sa respiration était haletante.

On entendit la porte de l’appartement s’ouvrir. Ma femme arrivait.
Amalia se precipita de reboutonner son pantalon, et à redescendre son haut (laissant ses seins sortis du soutien gorge).
Tandis que ma femme venait lui faire la bise, je la regardais en me lechant les doigts, savourant son jus de chatte qui jusque là m’était interdit, et qui subitement devenait abordable.

Amalia fit celle qui allait mieux, parla un peu de sa confrontation avec son père, bref… son détachement et le fait qu’elle cache notre secret à ma femme m’excita encore plus.

Le soir, j’ai sodomisé ma femme pendant plus d’une heure, et je lui ai giclé dans le cul en imaginant que c’était le cul d’Amalia. Je sais qu’elle reviendra de toute facon un soir prochain.

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