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Avant (4)

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Lorsque Germaine commença de s’occuper de mes doigts de pied avec la langue, ses yeux rivés vers mon anus et mes couilles, je ne pus m’empêcher de me caresser les seins, de me pincer les tétons. Ma grand-tante, tout occupée à manier le bas-ventre de celle-ci, ne le vit pas tout d’abord. Mais au bout d’un moment, Germaine n’y tenant plus à son tour étendit sa main entre mes jambes et commença à me caresser l’intérieur des cuisses Ordure ! cria ma grand -tante (elle s’exprimait en ces termes !) laisse-le, ne le touche pas ce salaud. Lève-toi ! elle m’a dit. Mets-toi à quatre pattes et viens lécher Germaine sous les bras. C’était une touffe âcre, je respirais l’odeur du bonheur, j’en étais bien conscient. Soigneusement, je la léchais du mieux que je pouvais, m’efforçant, du bout de ma langue, de récupérer toute la sueur que Germaine y avait accumulée. Impossible ouvrage ! Ses aisselles ruisselaient, au point que bientôt tout mon visage était inondé du fruit de son plaisir passif. Moi seul alors, je crois, put entendre ce que Germaine me chuchota de ses lèvres tremblantes : Je serai toujours ta grosse putain, mon petit chéri, je suis une chienne, tu sais, je suis…
Viens-là ! m’a alors dit ma grand-tante (qui, décidément, ne respectait plus rien).

Ce que je fis, relativement chancelant. Je contournai le gros corps blanc de Germaine et vins m’agenouiller aux côtés de ma grand-tante. Ce que je vis confinait à l’extase. L’immense chatte rousse de Germaine, dont les contours mangeaient les cuisses et remontaient presque sous le nombril, était fendue d’un ourlet grandiose d’un rouge carmin brillant. Un liquide avait dû en couler, le carrelage était tout mouillé entre ses cuisses, mais d’un liquide inconnu, tiède, foncé et d’une odeur extraordinairement chaude. Lèche-là, elle m’a dit. Je me suis accroupi, ma grand-tant a appuyé brutalement sur mes fesses et je me suis retrouvé allongé sur le ventre sur la carrelage gras, la tête plongée entre les cuisses de Germaine. L’odeur a failli me faire défaillir, je craignais de jouir sur le sol mais je me suis concentré sur la merveilleuse ouverture que je découvrais pour la première fois : le sexe d’une femme ! Je mâchouillai et dardai ma langue à l’instinct entre les plis de la chair pendant un temps que je ne pus déterminer précisément, je ne voyais n’y n’entendais rien que les cris de Germaine. Jusqu’au moment où ma grand-tante me prit par les cheveux, me tira la tête en arrière en vint enfoncer sa langue dans ma bouche pour un baiser d’amour vrai, comme jamais depuis je n’en reçus, jamais. Ordure, elle m’a dit. Je ferai de toi une ordure à jouir.

Je n’en demandais pas tant, bien que je n’eusse pas encore joui, justement. Quelque chose me disait que le moment était mal choisi pour le lui rappeler. Du reste, l’instant d’après elle se tournait vers Germaine pour l’embrasser avec la même ardeur. Maintenant, tu vas pousser, elle lui a dit. Pousse, et ouvre-toi comme tu sais. Sa voix avait changé, elle était plus douce désormais. Reste où tu es, elle m’a dit. Regarde bien entre les fesses de Germaine. Alors Germaine s’est mise à l’effort, je l’ai vue se cambrer légèrement. Un renflement apparut sous sa chatte, que je vis gonfler puis devenir aussi rouge que l’était son vagin, et puis son cul s’est retourné comme un gant, délivrant une colonne de chair rouge et tuméfiée, une vision surréelle. Là, tu as le droit, à dit ma grand-tante. Comme je ne devais pas avoir l’air de bien comprendre, elle a pris la tige de chair entre ses mains et m’a dit : viens mon petit chéri, vient mettre ton petit bout dans le cul de Germaine, je vais t’aider. Elle m’a pris la queue entre ses mains gluantes, je n’avais plus qu’à donner un coup de reins et me voici, pour la première fois de ma vie, à l’intérieur d’une femme. Ma grand-tante avait gardé le cul retourné de Germaine entre ses mains, elle le pressait de façon à le garder bien serré. Comme une vierge, elle m’a dit, tu vas jouir comme dans une vierge. Ce que je fis, et ça a duré prodigieusement longtemps, les yeux dans ceux de ma tante qui me disait : petite salope, tu es notre petite salope, ta maman ne te fera jamais ça, il n’y a que nous qui savons traire ton sperme, ta maman ne sait pas bien le faire.

Ce qui, on le verra plus tard, était faux. Mais l’introduction dans le monde du vice était réussi, rendons grâces à celles qui l’auront initié. Lorsque j’eus joui tout mon saoul, deux fois de suite crois et sans débander (ô jeunesse…), ma grand-tante vint elle-même lécher l’anus de Germaine pour « le nettoyer » dit-elle, en fait pour l’aider à se remettre en place et boire le surplus de liquide — dont mon propre foutre — qui s’en échappait. Elle est goulue, la cochonne, pensais-je. Germaine s’est alors relevée, nous a pris tous les deux tendrement dans ses bras, nous a dit : je vous aime bien, tous les deux (je rebandais déjà comme un porc) je vous aime bien. J’aimerais que le petit fasse la connaissance de ma petite-fille, qui est paraît-il une sacrée cochonne m’a dit sa maman. Ce serait gentil de les faire se branler ensemble devant nous, ils sont tellement jeunes, tu ne crois pas Gabrielle (c’était le prénom de ma grand-tante).

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