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BAISEE EN PLEIN VOL

BAISEE EN PLEIN VOL



LU SUR LE NET

Béatrice est ivoirienne, 37 ans, mariée

A l’aéroport de Roissy, lors de l’enregistrement, j’ai reconnu un compatriote à son passeport. Je l’ai abordé pour discuter, ravie de croiser un « frère » après des années de séparation d’avec le pays.

Nous avons très vite sympathisé. Lui repartait au S d’où il rentrerait définitivement au pays. J’ai fais les présentations (mon mari et lui) et repris la conversation en notre langue. G ne comprenait rien de la portée de ce dont on discutait, ayant toujours refusé d’apprendre ma langue. Je pouvais alors discuter à coeur ouvert avec ce « frère » qui m’avait séduit.

Rassuré par ce climat, il s’est mis à me draguer ouvertement, me faisant des compliments sur ma beauté, mon physique et tout particulièrement mon cul dont il disait qu’il déstabiliserait tout homme. Ses propos sont allés tout droit en mon coeur et j’en ai ressentis une agréable sensation. Je lui ai répondu qu’il était lui même très craquant et qu’il m’attirait beaucoup. Nos regards se sont croisés, pleins de désir et d’envie. La conversation vira sur la sexualité. Nous causions fesses et bites. Je commençais à être émoustillée. X m’a avoué avoir un faible pour les femmes dotées d’un cul comme le mien. Je répliquais en lui demandant s’il n’entendait pas par là qu’il désirait me sauter. Instantanément, mon ventre s’est mis à couler.

Quelques temps après, nous avons embarqué à bord de l’appareil. Il y’avait peu de passagers dans l’avion. J’ai demandé à X de rester à mes côtés. Ainsi, je me suis retrouvée assise entre mon mari (côté hublot) et lui (côté couloir). X a poursuivit sa cour, indifférent à la présence de G. Je buvais ses paroles, de plus en plus excitée.

Après avoir mangé, mon mari a voulu dormir contrairement à X et moi qui avions la tête à autre chose. Il m’autorisa à continuer la conversation avec mon « frère » à condition qu’on se déplace. Je me suis levée ravie suivant X quelques mètres plus loin vers le fond de l’appareil où plusieurs sièges étaient vides. Nous avons pris place et instantanément, nous avons laissé libre cours au feu qui nous brûlait depuis l’aéroport, le feu du désir et de l’envie. Nous avons échangé un long baiser. X m’a caressé les seins en plongeant les mains sous ma chemise déboutonnée. J’ai soupiré d’aise, parcourue par de douces ondes agréables. Nous nous sommes embrassés et caressé longuement. J’ai remonté ma robe sur les cuisses pour lui permettre de me caresser la chatte. Sa main a glissé dans ma culotte, cherchant la fente abondement mouillée. X m’a fouillé longuement et profondément, m’arrachant soupirs et gémissements. Je me frottais sur ses doigts enfoncés en moi en balançant les hanches d’avant en arrière jusqu’à ce qu’un orgasme fulgurant me dévaste. J’ai ouvert la braguette de mon amant pour sortir sa queue. Elle a surgit, aussi longue qu’épaisse et bien dure. Je l’ai sucé, léché en avalant ses sécrétions abondantes. Ensuite, je me suis débarrassée de ma culotte et me plaçai sur le côté en lui offrant mes fesses. Il s’est installé du mieux qu’il pouvait et très lentement m’a pénétré. Sa grosse bite m’a envahis jusqu’au fond. Il jeta une couverture sur mes fesses et il s’est mis à me baiser. J’avais du mal à contenir mon plaisir. C’était divin, insolite. X s’agitait en moi avec de grands coups de rein qui me propulsaient contre la parois de l’appareil. J’ai jouis énormément. X céda aussitôt et s’est abondement répandu dans mon cul. Nous sommes restés emboîtés un moment, ivres de plaisir, rassasiés.

Je me suis levée pour filer aux toilettes nettoyer le flot de sperme qui dégoulinait dans ma chatte. Je me regardai dans le miroir, n’en revenant pas d’avoir baiser avec cet inconnu en plein vol et pire, en présence de mon mari…

Le voyant lumineux s’est mis à clignoter, signalant un atterrissage imminent. L’aéroport de Rabat était en vue. Nous devrions y prendre d’autres passagers avant la destination finale d’Abidjan. J’ai regagné mon siège et embrassai X. Une hôtesse qui passait par là nous regarda, perplexe. Connaissant bien mon mari, elle était surprise de me voir embrasser un autre. Mais je m’en foutais littéralement. Au sol, les autres passagers ont embarqué. Une dame a occupé le siège à côté d’X. Quelques temps plus tard, nous avons décollé en direction de

la Côte

d’Ivoire. J’ai dormis, apaisée, contre la poitrine de mon amant. De nouveau, mon envie s’est éveillée et je le dis à X. Il a placé la couverture sur mes cuisses et discrètement a plongé la main dans ma culotte. M’étant débarrassé de ma culotte, je me donnai aisément. Je faisais d’énormes efforts pour contenir le plaisir montant, mais les doigts savants de X me rendaient de plus en plus folle. Malgré moi, je commençai à soupirer, en me tordant dans tous les sens. La voisine de siège sembla s’être rendu compte car elle demanda à X si sa « femme » (moi) était souffrante. Il s’est contenté de sourire. Elle a dû comprendre…

Moi j’ai dû jouir de nombreuses fois jusqu’à Abidjan.

Nous avons débarqué de l’avion, suivis par mon amant jusqu’à l’enregistrement. J’étais si collée à lui que beaucoup nous lancèrent des regards perplexes. Mon mari absorbé à discuter avec une collègue ne s’était rendu compte de rien.

Connaissant bien la ville, X s’est chargé de nous trouvé le taxi qui nous conduisit à l’hôtel. Il nous a aidé à monter les bagages jusqu’à notre chambre et s’apprêtait à repartir. Je l’ai fait attendre, le temps de me soulager puis je l’ai raccompagné. On se tenait par la main comme des amoureux. Mais au lieu de prendre l’ascenseur, je me suis engagée dans les escaliers entraînant X qui comprit instantanément ce que j’attendais de lui. Je voulais à nouveau me faire baiser et l’ascenseur ne permettait pas une étreinte complète. Nous nous sommes enlacés, ravis de renouer avec le plaisir. X m’a fait penché en avant. Je me suis calée contre le mur en appui sur les mains offrant mon cul à mon amant. Il m’a pénétré par derrière. Un long soupir s’est échappé de ma gorge. X me baisa plus longuement cette fois ci, me tenant fermement par les hanches. J’ai jouis et jouis. Heureuse d’être honorée autant.

X m’a quitté en me promettant de repasser me prendre le lendemain. En remontant j’ai pris l’ascenseur. En arrivant dans la chambre, j’ai découvert mon mari qui m’attendait tout nu sur le lit la bite tendue. Sans me caresser, il m’a déshabillé et m’a pénétré sans me caresser. C’était le comble, mon mari me prenait après que mon amant m’ait sauté. J’étais la femme la plus heureuse du monde. Il m’a avoué qu’il a ressentit un plaisir fou en imaginant que X m’avait dragué. Son aveu a déclenché mon orgasme et j’ai hurlé en criant le nom de X.

Comme promis, il passa le lendemain pour m’emmener.

De là commençait pour nous une nouvelle vie. Nous passons des journées entières à baiser et à nous balader main dans la main. G acceptant désormais que nous nous voyons à notre guise… N’est ce pas le bonheur?

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