A l’époque où j’étais étudiant, je donnais des cours à domicile pour arrondir mes fins de mois.
Mes élèves en général étaient plutôt agréables, à part un, un dénommé Billy, archétype de l’enfant gâté, qui se moquait royalement des efforts qu’on pouvait consentir pour lui.
Au bout des quatre ou cinq premiers cours, j’eus l’envie de rendre mon billet tellement cet ado était insupportable d’arrogance. Mais je ne le fis pas, car si Billy était détestable, sa maman au contraire, qui m’accueillait à la porte chaque mercredi avant le cours, était tout à fait charmante.
C’était une bourgeoise, toujours bien apprêtée, se consacrant à tenir en ordre le domicile familial pendant que son mari, homme d’affaires, parcourait le pays en quête de nouveaux contrats juteux.
Un mercredi, un de plus, où Billy abrégea la demi-heure de cours sous prétexte qu’il devait retrouver ses copains. A peine Billy éclipsé, Sylvie, sa mère, me proposa de boire un café avant que je parte. J’acceptai sans me faire prier. Sylvie ce jour-là était ravissante comme jamais : robe rouge moulante lui tombant à mi-cuisses et escarpins vernis noirs à fin talons aiguilles.
Assise sur le canapé en face de moi, elle commença à s’entretenir des difficultés qu’elle éprouvait avec Billy, me parlait de son mari qui n’était jamais là. Le moment était gênant. J’avais fini mon café et était sur le point de partir quand elle chercha à me retenir :
« Voulez vous un autre café ? Ou autre chose ? Un petit verre de vin ? J’en ai une très bonne bouteille entamée depuis lundi, ce serait une occasion de la finir. » Et elle se mit alors à rire, comme honteuse de ce qu’elle venait de dire.
Mais va pour le verre de vin.
Elle déposa deux verres à pied sur la table basse, puis ramena la bouteille de vin et nous servit.
Je bus une gorgée puis une deuxième et grisé quelque peu, mon regard quittait de moins en moins les cuisses de mon hôtesse. Un fin voile de nylon les habillait. Bas ou collants ?
Mon verre de vin terminé, j’avais une envie pressante et demandais à Sylvie où se trouvaient les toilettes. J’eus du mal à pisser tant ma queue était raide en pensant aux cuisses de Sylvie.
Quand je fus de retour, un nouveau verre m’avait été servi. Sylvie me demanda de m’asseoir à côté d’elle pour le déguster. Elle continuait de s’épancher sur ses malheurs, le vin rendant volubile, pendant que je m’enhardissais, posant ma main sur son genou. Cela ne l’effraya pas, et ma main remonta tout en haut de sa cuisse. Elle portait un collant finalement. Faut pas rêver.
Elle, de son côté, se mit à me caresser au travers de mon jean. Je bandais de plus belle. L’instant d’après j’avais ma queue dans sa bouche!
Pendant qu’elle me pompait je lui faisais part de mes reproches :
« Je croyais que tu portais des bas »
« J’en porte quand je reçois mes amants… tu veux que je me change ? »
« Non. Continue à me sucer pour l’instant »
« Tu es sûr ? »
« Oui »
Je regardais et caressais ses fesses moulées dans son collant pendant qu’elle me pompait, qu’elle me suçait comme la dernière des salopes. Sans prévenir je déchargeai dans sa bouche, ce que je ne m’étais jamais autorisé avec mes petites copines. C’était moins une car Billy rentrait.
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