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baisée sur une aire de repos

baisée sur une aire de repos



Un soir, dont je me rappellerai toujours, j’étais en train de boire mon café devant la télé et voilà que ma femme me rejoint et me dit : « chéri, j’ai envie de bites ! ». avec une grosse excitation dans la voix
alors là, pas de soucis je lui répond en commençant ouvrir mon pantalon.
« Non, pas de ta bite, mais d’autres bites, de plusieurs bites ».
devant mon air ahuri elle rajoute.
« depuis que tu m’a fait jouer la salope avec les godes pour simuler une partouze, je n’arrête plus d’y penser, c’est peut être l’apéro un peu trop chargé mais j’ai la chatte trempé et je veux goûter a de vraies queues là maintenant et ce sera avec ou sans toi. »
La pensée de ma femme devenant le réservoir foutre d’autres mecs, de sa chatte chaude remplie de leur sperme m’a fait bander encore plus dur.
« et où veux tu trouver des mecs pour te baiser maintenant ? »
«  10 minutes sur l’aire de repos la sortie de la ville. »
J’attrapais les clés de la voiture et ma femme en espérant qu’elle ne change pas d’avis. Elle passa les 10 minutes de trajet à se doigter la chatte et à me dire de me dépêcher.
Je n’ai pas pu compter combien de camions étaient garés. Ceux ci étaient alignés sur 2 rangées face a face de part et d’autre d’une bande de gazon où il y avait des tables en bois comme sur toutes les aires.
« Tu es sùr chérie, tu veux des bites ? »
« Oui, regarde l’état de ma chatte, dans ma tête c’est encore pire. Il faut que je me fasse baiser et vite. »
Il y avait 2 routiers qui discutaient à coté de leur camion avec un sourire en coin qui disait on va bien s’amuser. Je pense qu’il connaissait ce genre de situation.
« Alors vas y chérie assie toi sur la table enlève ta culotte et écartes les jambes ».
je regarde les 2 gars et leur dit « servez vous ».
ni une ni deux, le 1er sortait une bite longue et épaisse qu’il enfourna sans préliminaires, d’un coup dans ma chérie. Vu comment elle s’était doigtée dans la voiture ce ne fut qu’une formalité. De suite elle se mit hurler de plaisir et à onduler du bassin pour bien prendre toute la bite du gars. Les cris de ma chérie ont attiré l’attention des conducteurs des autres camions. En attendant pour la faire taire un peu le pote du 1er gars s’est positionné sur la table et à enfoncer sa queue dans la bouche de ma chère et tendre. Du moins l’était elle encore un tant soit peu. J’étais envouté par la vision de ces 2 gars, l’un besognant ma femme comme si il avait pas baisé depuis 15 jours et l’autre forçant le passage entre ses lèvres, ces lèvres que j’embrassais tous les jours. Plusieurs autres gars s’étaient rapprochés et mataient. Les 2 qui s’occupaient de ma femme éjaculèrent en même temps en prenant soin pour le 1er a la faire au plus profond de sa chatte, tandis que l’autre l’avait attrapé derrière la tête et la maintenait fermement pendant qu’il déchargeait. Il la laissaire jambes écartées moule ouverte, du foutre commençant a couler de sa chatte sur ses cuisses, haletante la bouche ouverte un filet de la semence du second coulant au coin des lèvres. Cette créature n’était plus ma femme, elle était la salope de cette aire de repos qui voulait se faire sauter. Elle regardait les autres gars et dit : « Je veux encore des bites, plus de bites ».
Ils ne se firent pas prier. Ils lui arrachére sa robe. Elle était à poil sur une aire de repos entourée par je pense entre 5 et 10 mecs. Par moment je ne la voyais plus au milieu de ces mecs, par contre je l’entendais bien, même très bien pendant le peu temps ou elle n’a pas eu une bite dans la bouche.
« baisez moi bien, je suis votre pute, baisez votre pute ».
Quand je pouvais la voir elle était penchée sur la table avec une bite dans la chatte ou dans le cul en suçant une 3eme, ou prise à 4 pattes en dp toujours avec une 3ème queue en bouche. Ce n’était plus de la baise, mais du labourage. Il l’utilisait comme elle l’avait voulu, comme une salope, comme un objet. D’ailleurs pour elle tous ces mecs n’étaient eux aussi que des objets, des jouets pour son plaisir à elle. Elle a réclamé une double vaginale, une double anal et cela toujours avec une bite dans la bouche. Elle était possédée. Ils se sont bien amusés, et l’ont laissé là, allongée sur le dos sur la table. Le démon qui avait du la possédée l’avait finalement quitté. Cette chose lubrique, dépravée était redevenue ma femme. Je la regardais, elle était haletante, souillée par leur foutre. Elle en avait sur les cheveux, sur le visage, sur le ventre, sur sa chatte, ses cuisses en étaient inondée. Elle était recouverte de tellement de foutre qu’il avait du venir d’autres mecs que je n’avais pas vu. Je la regardais donc, avec amour, je baissais mon pantalon, la bite bien dure, m’allongeait sur elle enfonçant lentement ma queue dans cette chatte déjà bien remplie, tendrement et en l’embrassant langoureusement je lui dis combien je l’aimais et je lui lâchait une sacrée dose de foutre.

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