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La maman dévergondée, 14° partie

La maman dévergondée, 14° partie



Résumé des épisodes précédents : après bien des hésitations, j’ai fini par me laisser convaincre par Maman de l’épouser. Cette noce a été des plus dévergondées ; les goûts masochistes de ma nouvelle épouse se sont exprimés à plein.

Après le mariage, nous sommes tous les deux rentrés dans notre appartement. C’était au petit jour, et pour respecter la tradition, j’ai porté ma femme au moment de franchir le seuil de notre logis. Quand nous avons vu qu’un homme nous attendait chez nous, tranquillement assis dans un fauteuil, nous avons eu un geste de recul. Son visage était dans l’ombre. Qui était ce visiteur mystérieux, qui possédait nécessairement une clé afin d’entrer sans effraction ?

Maman l’a reconnu en premier. Quelle surprise ! C’était mon père, que l’avais pas vu depuis de nombreuses années.
Il nous a raconté qu’il était allé aux États-Unis afin de faire fortune, mais qu’il avait échoué à faire prospérer les affaires qu’il avait montées. Après avoir exercé la profession d’acteur porno, profitant de dispositions sexuelles hors du commun, il est revenu en France sans un dollar en poche, et ne sachant où aller, il s’est souvenu qu’il avait toujours la clé de notre appartement. Physiquement, il avait peu changé, malgré le temps : quelques cheveux blancs peut-être, mais toujours un physique élancé et une élégance qui plaisait aux dames.

Il comptait renouer avec Maman, comme si les années qui s’étaient écoulées depuis son départ pouvaient disparaître magiquement. Mais les bras lui en sont tombés quand nous lui avons annoncé notre mariage. Dépité, il avait remis sa veste et s’apprêtait à nous quitter, cette fois pour toujours, lorsque ma mère et désormais épouse lui a dit :

– Non, reste. Je te pardonne pour ce que tu as fait. Dans mon cœur et dans cet appartement, il y a de la place pour deux hommes. Tu es d’accord, Stéphane ?
– Mais oui, Papa. Nous t’aimons tous les deux, et nous ne voulons pas que tu t’en ailles.

Maman a enlevé sa robe de mariage, s’est mise toute nue devant nous, puis a été prendre une douche. J’ai surpris le regard de mon père, plus émoustillée que jamais devant celle qui m’a donné le jour dix-neuf ans plus tôt. Pendant qu’elle se lavait, lui et moi nous sommes résumés en quelques phrases les années de vie qui nous avaient séparés.

– Venez, a-t-elle dit une fois séchée. Prenez-moi ensemble. J’ai besoin d’être remplie de vos virilités réunies.

Rempli par le remords de nous avoir abandonnés, Papa est tombé à genoux, en larmes, et a commencé à sucer la chatte poilue de Maman, en tenant les deux globes fessiers à pleines mains. Je me suis déshabillé rapidement, et me tenant dans le dos de ma mère, je lui ai caressé doucement les seins en lui murmurant à l’oreille :

– Je suis content que notre famille soit de nouveau réunie.
– Moi aussi. J’aime tellement baiser qu’il me faut au moins deux hommes. Vous vous partagerez mon corps. Vous verrez qu’il y aura de l’amour et du sexe pour chacun de vous, à profusion. Vous n’en manquerez plus jamais.

Je n’en doutais aucunement.

J’ai glissé mon pénis dans le sillon fessier pour bien faire sentir à ma mère combien j’étais dur, excité comme un satyre en rut, puis je me suis lubrifié de salive et j’ai sodomisé ma douce Maman d’un coup de reins bien ferme. Son cul s’est ouvert comme une fleur accueillante à souhait pour que j’entre complètement, et quand je suis arrivé au fond, elle a poussé un « ah » de satisfaction, d’autant que mon père poursuivait son cunnilinctus. Je l’ai sentie au bord de la jouissance, mais je voulais qu’on y arrive ensemble, alors je lui ai pincé les seins, fermement, pour l’empêcher de jouir trop vite.

Papa s’est relevé, a retiré lui aussi ses vêtements, et a pénétré Maman, par devant. Ma mère a toujours aimé la double pénétration, être remplie par tous les trous. Je devinais qu’elle aurait voulu un troisième membre viril à sucer, mais elle a dû, pour le moment, se contenter de nous deux.

À ce moment, je me suis demandé si j’avais été conçu dans cette position. Plus tard, j’ai su que oui, et qu’il y avait également un deuxième homme qui enculait ma mère, et que ce monsieur n’était autre que mon grand-père, décédé depuis dans les bras d’une fille à l’âge de soixante-dix ans, le cœur épuisé d’avoir trop baisé.

Au visage de mon père, je voyais bien qu’il était sur le point de lâcher sa purée. Mes parents auraient bien pu concevoir un petit frère ou une petite sœur. Moi aussi, j’étais très chaud. Nous nous sommes retirés, Maman s’est mise à genoux, la bouche grande ouverte vers le haut, et ensemble, nous avons déchargé entre ses lèvres. Papa n’avait pas dû baiser depuis des lustres, parce qu’il s’est délesté d’une quantité incroyable de foutre, en une dizaine de salves copieuses. Ma mère a tout avalé avec gourmandise. Elle nous a même pompé en même temps, double pipe, histoire de vérifier que nous avions bien déversé toute notre substance.

Ensuite, nous nous sommes couchés sur le lit, fatigués. Papa nous a demandé des nouvelles de ma demi-sœur Adrienne, dont il est également le père. Il a été déçu d’apprendre qu’elle préférait les femmes et vivait en couple avec Laetitia, parce qu’il l’aurait bien honorée aussi de sa virilité, le coquin. Mais il s’est consolé quand Maman a appelé Adrienne pour lui annoncer la bonne nouvelle du retour de notre père, en les invitant toutes les deux à déjeuner, le midi. Puis nous avons dormi quelques heures, pour nous remettre de cette folle nuit blanche.

Au cours de l’apéritif, alors que nous étions tous les cinq réunis sur le canapé familial, mes parents, Adrienne, Laetitia et moi, nous avons regardé la vidéo de notre mariage de la veille. Rapidement, nous nous sommes excités sur ces images de partouze religieuse, et tant qu’à faire, j’ai appelé le père Daniel afin qu’il se joigne à notre retour de noces.
En attendant l’arrivée de notre invité, ma sœur et sa compagne nous ont gratifiés d’une charmante démonstration de sexualité lesbienne, tout en charme, en souplesse et en lèchements. Papa a été ébloui par ces tribades impudiques qui étaient seins contre seins et chatte contre chatte, ruisselantes de mouille et pleines d’amour l’une pour l’autre.
Quand notre ami prêtre est arrivé, nous l’avons immédiatement dépouillé de sa soutane noire sous laquelle il était nu, comme à son habitude – c’était afin de pouvoir copuler rapidement avec les paroissiennes, entre deux portes, à l’insu de leurs maris quotidiennement cocufiés par l’homme d’Église. Je voyais bien que ma mère lui plaisait beaucoup. Il bandait comme mon père et moi. Nous arborions tous de belles érections pour la femme que nous nous apprêtions à nous partager.

Maman s’est accusée de s’adonner au péché de fornication avec une constante complaisance, ce qui, à vrai dire, était absolument exact. Alors elle voulait expier dans sa chair et le prêtre, prévoyant, a sorti une petite cravache de la mallette dont il ne se séparait jamais. Il maniait l’instrument de main de maître, habitué à traquer, partout où il allait, le mal sur le derrière des femmes, car celles-ci étaient nombreuses à lui demander ce pieux service. À croire que par un diabolique effet du désir féminin, la douleur qu’elles recevaient se transformait en plaisir, et qu’elles appréciaient sentir leurs fesses devenir toutes rouges sous l’effet de la flagellation. Effectivement… surtout qu’il avait l’habitude de les enculer, à la fin, pendant qu’elles récitaient des prières afin que Dieu leur pardonne leurs fautes. Ma mère n’était pas la dernière à bénéficier de cette façon d’administrer le sacrement du pardon. La veille de Pâques, en attendant leur tour pendant des heures et tout en papotant, les femmes faisaient la queue, avant de recevoir finalement celle-ci dans leur derrière, et de repartir toutes contentes d’avoir reçu la rédemption virile par le trou de Sodome.

Docilement donc, ma mère a relevé sa robe, abaissé sa culotte blanche – elle aimait, à l’occasion, s’habiller façon « petite fille sage en apparence, mais très coquine » -, puis s’est mise à genoux, face contre le sol, attendant d’être fustigée avec toute la sévérité qu’elle savait mériter. Le prêtre prenait son temps avant de procéder à la correction, car il savait que la douleur imminente que l’on attend est plus amère que celle qui est au présent. Pour patienter, elle bécotait les orteils délicats des quatre pieds d’Adrienne et de Laetitia. Les deux gougnottes, toujours entièrement nues, se partageaient face à face un double godemiché qui pénétrait en même temps leurs petites chattes. Papa regardait la scène en se branlant tranquillement, juste pour ne pas perdre son érection : habitude d’acteur porno.

Quant à moi, je filmais avec la caméra de ma sœur, avec des gros plans sur la belle croupe rose d’où dépassaient, en dessous, les poils bruns de la chatte. Je l’aurais bien pénétrée sans crier gare, mais un autre programme était prévu et je ne tenais pas à ce qu’un curé me fouettât le cul.

Maman a subi le châtiment réservé aux plus dépravées, dans toute sa rigueur : la tige de cuir sifflait dans l’air et s’abattait en rythme sur son postérieur, sans forcer, mais sans faiblesse non plus, laissant à chaque passage une marque sur les globes fessiers qui en sont devenus écarlates. À moins d’avoir une âme de martyr, beaucoup de femmes, et même d’hommes, auraient pleuré sous l’effet du supplice. Mais pas ma mère ! En effet, l’insolente, non contente d’aimer se faire punir de la sorte, au lieu de prier dévotement pour accueillir la sainte souffrance et arracher le péché de son cœur, au contraire, augmentait sa culpabilité en ressentant de la volupté, et même se caressait en même temps, jusqu’à parvenir à la jouissance !

Le prêtre s’apprêter à finaliser son sacrement en enfonçant son grand braquemart dans le petit trou borgne de sa charmante pécheresse, mais il s’est ravisé au dernier moment en se disant que non, ce n’était pas suffisant qu’elle souffrît d’avoir l’oignon écartelé à cause de l’épaisseur du gourdin : il lui en faudrait deux, énormes de préférence ! Dans cet objectif de garnir le fion maternel le plus possible, mon père était particulièrement bien équipé. Le père Daniel lui a donc demandé de s’approcher afin de l’accompagner dans cette double pénétration anale, et le moins qu’on puisse dire est que mon paternel ne s’est pas fait prier.

J’ai participé à la fête lubrique en glissant sous le trio afin de glisser mon membre dans le vagin de ma Maman chérie, afin de finaliser la triple pénétration : deux bites dans le cul et une autre, la mienne, dans trou vaginal. Nous trois pilonnions joyeusement à virils coups de reins. Ma mère était on ne pouvait mieux farcie.

D’autant que le couple de lesbiennes n’est pas resté inactif : elles se sont procuré un second gode double. Chacune des tiges de plastique coloré de rouge pour l’un et de vert pour l’autre était enfoncée dans un vagin par l’une de ses extrémités, et l’autre était fourré dans la bouche de Maman. De plus, ces objets de silicone souple étaient munis d’un trou les traversant dans leur longueur, de sorte que les liqueurs féminines copieusement sécrétées par les sexes excités se déversaient directement dans la bouche de ma mère qui devait tout avaler, gavée de cyprine autant qu’une oie du Périgord l’est de maïs. Les deux jeunes filles étaient très coquines, parce qu’elles s’embrassaient à pleine bouche tandis qu’elles enfouissaient leurs godemichés comme s’ils étaient vraiment des bites de chair, en les glissant profondément dans la gorge de leur soumise. Celle-ci en éprouvait des haut-le-cœur, et les deux jeunes complices éprouvaient du plaisir de cette drôle de fellation comme si ces phallus artificiels appartenaient à leurs corps. De là où je me trouvais, allongé sur le dos, je contemplais ce spectacle magnifique depuis le raz du sol, en regardant vers le haut les cuisses des deux gougnottes.

Maman ne pouvait pas parler, mais elle a montré qu’elle appréciait ce qu’on lui faisait subir en enfonçant un doigt dans les deux culs féminins qui se présentaient. Surprises, Adrienne et Laetitia se sont laissées faire. Celle-ci s’est mise à frémir. Ce geste, associé aux mouvements du godemiché planté au creux de son con, a soudain déclenché un orgasme. Son amante lui a empoigné les seins et Laetitia a eu des convulsions, les yeux révulsés. Et Adrienne a joui à son tour.

Mon père et le prêtre, inspirés par ce qu’ils voyaient, ont déchargé à leur tour, puis moi aussi. Enfin, Maman a dégagé les godemichés de sa gorge, et poussé un hurlement de joie. Comme la fenêtre était ouverte, des voisins ont accouru pour voir ce qu’il se passait. Ils ont vu. Les plus hardis ont aussitôt abaissé leur braguette et se sont rués vers ma mère qui les a chaleureusement accueillis. Adrienne et Laetitia ne voulaient pas que des hommes les touchent. Mais des femmes, par contre, elles voulaient bien, les coquines. La partie fine lesbienne s’est déroulée sur le canapé, non loin du gang-bang hétérosexuel dans lequel ma mère était au centre de toutes les attentions viriles. Une flaque de sperme et de mouille mélangés s’étendait sur le sol.

J’avais laissé la caméra d’Adrienne posée sur la table, en train de capter des images. Quand je les regarde encore, j’en ai la queue qui se dresse. Maman regarde avec moi, au début, puis elle me suce pendant que je continue à visionner ce film. Elle est aujourd’hui septuagénaire, mais elle adore toujours autant le sexe. Parfois, ma sœur nous accompagne, avec l’une de ses conquêtes féminines. Nous formons vraiment une famille de foutraques, unis dans l’amour et la fornication.

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