Cette histoire est la suite de :
Partie 2 : Samedi, Laura sauve la fête
Après une nuit torride avec ma filleul et sa meilleure amie d’enfance, le lendemain matin je fus réveiller de la façon la plus merveilleuse possible… Par une fellation de Meriem ! Lorsque je me réveillais et que je compris ce qui était entrain de se passer, mon sexe se durcit immédiatement. C’était la première fois qu’on me réveillait ainsi et j’adorais ça !
Laura finit par se réveiller, et immédiatement, Meriem alla lui faire un cunni tout en me branlant. La fille timide de la nuit dernière avait totalement disparu pour notre plus grand plaisir à Laura et moi. Puis, ces deux jeunes femmes vinrent s’occuper de moi. Meriem repris sa fellation pendant que Laura lécher mes bourses.
Quelques minutes plus tard, Meriem, en bonne amie, lâcha mon sexe pour le partager. C’était, un bonheur de voir ces deux jeunes femmes s’occuper de mon pénis de bon matin. Elles s’échangeaient ainsi régulièrement mon membre, mais également des baisers. Je pouvais voir leurs langues pleines de salive, s’enrouler l’une avec l’autre, et parfois inviter mon gland dans la partie. Je n’ai jamais eu autant de difficulté pour me retenir d’éjaculer !
Pour éviter cela et faire durer notre plaisir à tous, je me relevais et j’écartais les jambes de Meriem en grand. Sans plus attendre, j’enfoncais mon sexe dans sa chatte baveuse. Je demandais ensuite à Laura de s’occuper des seins de sa copine, ce qu’elle fit de bon cœur. Meriem ne tarda pas à jouir, tout comme moi d’ailleurs.
Quand je retirais ma queue, elle était luisante de mouille. Je l’approchais de la bouche de Laura en lui demandant de la nettoyer avec sa bouche puis je lui demandais d’aller nettoyer le sexe de Meriem. Laura descendit sur son ventre, lui lécha le nombril, s’attarda sur son pubis avant de lui écarter les cuisses pour goûter à sa petite chatte encore chaude et humide après notre rapport. Meriem gémit et se tortilla sous les caresses de ma filleul.
Je laissais ces deux femmes entres elles pour partir prendre une douche puis un petit déjeuné. Les autres invités se levèrent à midi et demie du matin, après un rapide repas, tout le monde se dirigea vers la piscine pour bronzer ou se baigner tout simplement.
La suite de l’après-midi fut très calme alors que la musique fit son retour en début de soirée mais celle-ci devait être un peu trop forte car mon voisin que je n’appréciais que très modérément sonna à porte pour venir se plaindre comme à son habitude.
Voisin : Cette fois-ci j’en ai plus que marre !
Moi : De quoi ?
Voisin : De cette fichue musique ! Je vais appeler la police !
Moi : Je fête l’anniversaire de ma filleul.
Voisin : Je n’en ai rien à faire !
Moi : Mais on a 20 ans qu’une fois alors si je vous promet de baisser grandement le son, vous passez l’éponge ?
Voisin : Non, pas question !
Moi : Mais pourquoi ?
Voisin : Ca fait deux jours que ça dure !
J’en avais plus que marre de l’entendre parler, je n’avais qu’une envie, lui en coller une mais juste à ce moment là, Laura sorti nous rejoindre.
Laura : Que se passe t-il au juste ?
Moi : Mon voisin veut appeler les flics à cause de la musique et rien ne le fera changer d’avis.
Laura : Vous êtes marié ?
Voisin : Euh oui mais pourquoi cette question ?
Laura : Depuis quand vous n’avez pas baisé pour être aussi aigri ?
Voisin : Pardon ?!
Laura se baissa et baissa le jean de mon voisin pour y sortir son sexe.
Laura : Tient, je n’aurais jamais cru qu’il soit aussi grand.
Elle commença alors à lui prodiguer une fellation dont elle a le secret.
Voisin : Non mais vous êtes folle ? Arrêtez !
Laura : C’est pas ce que votre bite me dit !
Ensuite, elle se pencha pour le reprendre en bouche. Je n’en revenais pas de ce que je voyais. Je regardais les lèvres de ma filleul coulisser sur le gland de mon voisin qui était devenu une nouvelle victime de Laura. Elle se mis alors à gober l’un après l’autre les grosses couilles velues de son nouvel ami avant de remonter le long de son torse pour atteindre ses lèvres et y plonger sa langue.
Ne voulant pas le faire jouir trop vite, Laura cessa ses attouchements pour nous entraîner dans mon garage. Elle fit allonger mon voisin sur un lit de camp pour ensuite le chevaucher. Elle reprit son pénis en main et l’appuya à l’entrée de son vagin gluant d’excitation.
Quelques minutes plus tard, il lui demanda de se mettre en levrette pour la prendre plus profondément encore, ce qu’elle accepta immédiatement. Il plaça son gland sur le bord du vagin, puis il l’a pénétra doucement en la saisissant par les hanches. Il coulissait dans son sexe avec une extrême lenteur, il voulait vraiment apprécier ce moment.
Après plusieurs minutes d’intense pénétration, Laura se dirigea vers moi pour laisser la pression redescendre chez mon voisin. De mon coté, ma queue était presque douloureuse tellement elle était tendue. Laura me la sortit de mon short et se pencha vers elle. Elle ouvrit grand la bouche, et lui donna quelques petits coups de langue. Mon souffle se fit court pendant que sa bouche se referma maintenant sur mon membre. Elle commença de lents va et vient, après m’avoir fait glisser le short et le boxer aux genoux.
Laura : Je vous veux tous les deux en moi !
Mon voisin et moi étions comme hypnotiser par Laura, nous voulions la satisfaire à tout prix ! De ce fait, mon voisin s’allongea sur le lit. Elle s’empala alors sur lui reprenant les va-et-vient tandis que ses fesses s’offraient à moi. Sans plus attendre, je commençais la sodomie.
Je dois bien avouer que mon voisin et moi avions du mal au début à coordonner nos mouvements mais une fois qu’on y parvenait enfin, Laura cria comme jamais je ne l’avais entendu crier. Puis, on finit tous deux par jouir en elle quasi en même temps, mettant fin à cette partie à trois.
Voisin : Mon Dieu mais qu’est-ce que j’ai fait ?
Laura : Vous avez juste pris votre pied comme jamais auparavant.
Voisin : Mais je suis marié !
Laura : Et votre femme ne mérite pas votre bite.
Moi : On est d’accord, on oublie l’idée d’appeler les flics ?
Voisin : Euh oui… Je vous dois bien ça.
Mon voisin retourna chez lui tandis qu’avec Laura, on alla prendre une douche avant qu’elle ne retourne faire la fête, tandis que moi, j’allais me coucher, épuisé mais heureux en ayant hâte de découvrir ce que le dimanche me réservé.
Ajouter un commentaire