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Belle maman, ma soumise … (2)

Belle maman, ma soumise … (2)



La soirée se passe, Philippe est rentré. Nous débriefons de sa semaine autour d’un verre sur la terrasse. Florence me regarde, je pensais qu’elle serait inquiète, apeurée. Je suis conscient que je la soumets en échange de mon silence sur son infidélité. Malgré le plaisir que j’éprouve à lui imposer quelque chose d’aussi dingue dès le premier soir, je culpabilise. C’est contre nature, c’est malsain. Pourtant quand je vois Florence ce soir, je la sens encore plus libérée, plus joyeuse que les autres soirs. Aurai-je réveillé quelque chose en elle ? Et dire qu’elle porte une culotte pleine de mon sperme au beau milieu de cet apéro familial. Elle me regarde, elle le sait, elle le sent.

Je pense à cet instant que cette histoire de soumission est éphémère, une semaine tout au plus avant qu’elle reprenne conscience, avant qu’elle me renvoie dans les cordes. Autant jouer vite et fort. J’ai déjà eu mille pensées perverses, je n’ai qu’à trouver celles qui sont jouables dès ce soir.

Florence se lève pour aller mettre la table, je lui propose mon aide.

– Avec plaisir David, me dit elle en souriant.

Nous arrivons dans la cuisine :

– Vous avez froid ? Si vous préférez nous dînons à l’intérieur ?
– Absolument pas David, pourquoi dis tu ça ?
– Malgré votre soutien gorge, je vois vos tetons bien durs… Ou serai ce de l’excitation ?
– Je ne sais pas..
– Bien sûr que vous savez. Avouez le… Dites le moi.
– Je devrai avoir honte, mais je n’y arrive pas. Ma culotte est trempée de ton sperme, ma fille s’est essuyée avec. Comment puis-je accepter cela ?! Je vous ai écouté baiser à quelques centimètres… Mon oreille était collée à la porte quand elle te sucait. Elle faisait de ses bruits avec sa bouche comment est ce possible ? Non ne réponds pas je ne veux pas savoir.

– Parce que jusqu’à maintenant, vous suciez Philippe ou Alain comme une pucelle. Je vous apprendrai à vous laisser baiser la bouche. Avez vous déjà senti un gland dans votre gorge ? Vraiment profondément je veux dire.. N’ayez pas honte, c’est notre secret. Assumez le. Puis… Un jour vous finirez bien par goûter mon sperme… Peut être même votre fille.

– Ahahaha, je dirai stop bien avant cela David.

Cette conversation se fait dans une étrange décontraction, nul besoin d’être autoritaire. Je crois qu’elle comprend que je ne lui veux que du bien..

– Nous verrons Belle maman… Vous n’avez pas encore baissé votre garde. Je m’en charge… D’ailleurs, ce soir je voudrais votre gode pour Émilie, vous pouvez me le prêter ?
– Comment sais tu que…
– Là n’est pas la question Florence. C’est d’accord alors ?
– Oui c’est d’accord.
– Au fait, comment vous appelez vous dorénavant ?
– Florence ta petite soumise. Pourquoi…?
– Quand Philippe dormira, je sais qu’il est couche tôt, et que j’aurai commencé les préliminaires, je pretexterai le besoin d’aller pisser. Je veux que vous m’attendiez dans les toilettes au rez-de-chaussée, le gode sur le plateau qui te sert de plateau repas le soir. 22h soyez prête, même si vous devez attendre une heure avant que j’arrive. D’accord ?

– OUI.

Après le dîner Philippe, comme prévu, part se coucher, je vois Florence finir de ranger la cuisine, nous l’a saluons et allons-nous coucher. Ce ne fut pas difficile de chauffer Émilie, cette semaine d’abstinence l’a rendu Gourmande. Ce soir là, je lui pose sur les yeux ce genre de masque que l’on trouve dans les avions pour dormir. En levrette évidemment… J’adore lui donner la fessée sans qu’elle les voit venir. Elle adore ça aussi.. Je vois sa petite chatte trempée, un filet de cyprine commence même à ruisseller sur sa cuisse.

– Il faut que j’aille aux toilettes d’abord, et j’ai un cadeau pour toi. Je reviens…
– Reviens vite David, j’en peux plus…

Je pense qu’elle m’entend descendre l’escalier. J’ouvre la porte des toilettes, elle est là, en chemise de nuit, elle pointe encore. Je referme doucement la porte des toilettes. Je suis debout face à elle, assise sur les toilettes, elle fixe ma queue raide sous mon caleçon.

– Vous voulez la goûter ?
– Je… Enfin… Comme ça…?
– Pose le plateau sur tes genoux, baisse le caleçon. Je pourrai voir son cœur sortir de sa poitrine tellement je la sens dépassée par ma demande.

Voilà, enfin, ce jour est arrivé, ma queue est à quelques centimètres de ses lèvres. Elle voit venir ma requête.

– Sentez la, sur toute sa longueur, du bout du nez.

Je bande tellement raide que j’en ai presque mal.

– Tu aimes cette odeur ?
– Oui David… J’adore cette odeur.
– C’est l’odeur du jus de gorge de ta fille… Qu’est ce que ferait une maman soumise maintenant selon vous ? Quand sa fille fait des saloperies, ce n’est pas à maman de nettoyer ?
– Sans doute David…
– alors dites le moi, assumez qu’au delà de cette soumission vous voulez la sucer ?
– Je ne pense pas être prête David. Même si lécher la salive d’Émilie sur la queue de mon beau fils me fait perdre tous mes moyens.. Je ne sais pas. C’est à toi de décider, je ne peux rien de te refuser.
– Alors ne la sucez pas. Vous n’etes pas prête, vous l’avez dit. Par contre, ce gode ne rentrera pas dans le vagin de votre fille si facilement. Crachez dessus, lubrifiez le.

Quelques minutes se sont écoulées déjà, il faut que je remonte.

– Ne faites pas attendre votre fille Florence, crachez dessus. Encore, encore. Mon dieu il faut tout vous apprendre. Laissez vous faire, et restez silencieuse.

Toujours nu devant elle assise sur les toilettes, je lui demande d’ouvrir la bouche, lui explique que je vais aller chercher moi même cette salive. Elle commence par sucer mon doigt. Je pense que j’ai pris autant de plaisir qu’avec une fellation, étrange. Je plonge à présent 2 doigts dans sa gorge doucement, elle retient des râles, ce n’est pas un plaisir.

– Voulez vous arrêter ? La lubrification ne sera pas totale, ça serait dommage.

Quelques larmes perlent sur ces cils, mais voilà qu’elle crache un premier jet de salive bien epais.

– Non continue, mais doucement me dit elle.

Je m’applique donc à baiser la gorge de ma belle mère dans les toilettes pendant que son mari dort et que sa fille m’attend sans doute encore en levrette sur le lit. Elle a bien astiqué son jouet. Je le prends sur le plateau. L’embrasse sur le front et lui demande de ne remonter que dans 10 minutes.

– David, puis je retirer la culotte à présent ?
– Bien sûr Florence, c’est degueulasse voyons.

Je reviens dans la chambre entièrement dans le noir, saisie le gode à deux mains, croyez moi il faut bien ça. Je crois que je n’avais autant dilaté Émilie auparavant. Nous avons l’habitude des godes mais elle m’avoue que ce nouveau jouet est dingue.

Puis j’entends l’escalier qui craque, Florence remonte. Elle va passer devant la porte, j’en profite pour pénétrer fort et profond cette petite chatte dilatée. Émilie lâche un énorme gémissement qu’elle n’a pas pu retenir. Elle s’excuse même. Mon dieu comme c’est bon… Après cette pénétration, elle ne sentira plus rien. Je ne suis pas monté comme un âne, même si je ne suis pas à plaindre. Je lui dis donc qu’elle a pris son plaisir, à moi de me finir.

– Jeu du soir, mon amour… Je ne suis pas Émilie mais ta vide couille. Tu as 1 minute pour jouir ou je te laisse comme ça.

J’adore… Vous pensez bien qu’il m’a fallu moins d’une minute dans cet état d’esprit.

Nous sommes dimanche, il est temps de rentrer chez nous. Je reste sur un nuage de cette première soirée. Philippe lit son journal, Émilie semble heureuse et Florence souriante..

Philippe aide son père à charger la voiture, Florence me demande :

– Et maintenant ?
– Maintenant ? Vous attendez mes consignes. La vie continue normalement. Pensez à récupérer ton gode, il est dans la table de nuit. Nettoyez le.

Avant qu’ils ne reviennent, je lui fais une bise, pour une fois nous sommes collés l’un à l’autre. Je sens son cœur battre.. Le mien tout autant… Cette situation est tellement dingue…

Florence est prete, je peux maintenant assouvir mes fantasmes les plus tabou, les plus trash….

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