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Chap 26 : La commerciale (fin)

Chap 26 : La commerciale (fin)



Cela fait bientôt 2 mois que Clémence et moi avons débuté une relation particulière. Tous les 15 jours, quand son fils est chez son père et surtout au gré de ses envies, la commerciale divorcée me reçoit chez elle 1 à 2 fois par semaine. Je n’attends rien de plus d’elle et elle, rien de plus de moi, nous sommes juste des « sexfriends ».
Nous sommes toujours très complices, on rit beaucoup ensemble et sexuellement c’est l’extase.
Au travail, cela a un peu évolué. On se fait la bise tous les matins, mais rien de plus qu’un « Salut, ça va? »
Manu, l’un de mes collègues était étonné que je lui dise bonjour.
– Depuis quand tu salues cette greluche toi?
J’ai prétexté que j’avais dû m’entretenir avec elle au sujet d’un éventuel client qui désirait connaître les tarifs de ma société et que depuis par politesse, je lui disais bonjour.
– Tu lui as tapé dans l’œil c’est sûr?
– Pourquoi tu dis ça?
– Tu la vois souvent dire bonjour cette connasse? Et mise à part les gradés, elle serre plutôt la main. Je te dis, je suis sûr elle te kiffe
– Pfff n’importe quoi, je suis sûrement pas son genre, en plus, elle doit être mariée.
– Elle n’a pas d’alliance mec.
– Ouais, enfin je ne pense pas qu’elle s’intéresse à des mecs de mon âge.
– T’en sais rien, c’est peut-être une cougar. Je suis sûr que sous ses airs de petite femme parfaite, il y a une grosse chienne qui aime la bite.
Il n’avait pas totalement tort, si seulement il savait…

Le truc qui me fait marrer avec Clémence, c’est sa façon d’agir d’une semaine à l’autre. Un peu comme si elle était bipolaire. Les semaines où son fils est là, notre relation reste simple et amicale. Pas d’entrevue le soir, pas de discussion à propos de sexe. Et dès que son môme quitte le domicile, elle se transforme en nymphomane volcanique. Elle multiplie les masturbations, m’écrit des trucs cochons et devient torride comme ce jour où elle a décidé de me soumettre.

Un matin, ne la voyant pas au travail, je lui envoie un petit message.
« Coucou, ça va? Tu ne travailles pas aujourd’hui? Tu es malade? »
Sa réponse m’est arrivée qu’en milieu d’après-midi.
« Salut Chris, non je ne bosse pas aujourd’hui, je suis en RTT. »
« A oui, c’est vrai, j’avais zappé. Tu as bien de la chance, qu’est ce que tu fais de beau? »
« Je me détends dans mon bain »
« Tu dois t’ennuyer toute seule? »
« Mais je ne suis pas toute seule »
Son message est agrémenté d’une photo de ses seins avec 2 petits amas de mousse qui cache ses tétons et un gode couleur chair coincé entre eux.
« Miam, ça donne envie »
« Rejoins-moi quand t’as fini. »
J’ai ensuite reçu diverses photos d’elle, avec son jouet en plastique comblant tous ses trous.
Je bande comme un ours dans mon fourgon, limite prêt à m’arrêter dans un coin tranquille pour me soulager.
« Tu me donnes trop envie. »
« Es-tu prêt à m’obéir sans réfléchir? »
« Si ça reste raisonnable, oui. Tu veux jouer la dominatrice? »
« Je veux surtout que tu t’occupes bien de moi. »
« Avec plaisir, à tout à l’heure »
Pendant la période qui a suivi mon entrée chez elle, je me suis demandé ce qu’elle voulait vraiment. J’espère pas un truc sado-maso.

Clémence m’attendait nue chez elle, uniquement chaussée de hauts talons aiguille d’un noir brillant. Elle est soigneusement maquillée. Son rouge à lèvres scintille tout comme ses deux gros anneaux boucles d’oreilles.
Dans ses yeux, je lis une lubricité extrême, jamais auparavant, je ne l’avais vu aussi excitée.
– C’est moi ou tu as l’air d’humeur très coquine?
– Bonne déduction Sherlock! Approche, il faut que je te montre quelque chose.
Elle me demande de m’assoir sur le canapé et allume son ordinateur. Elle me met un film porno dans lequel une femme joue une princesse entourée d’esclaves masculins, un vrai harem, qui a la moindre de ses envies, lui obéissent.
– Je me suis caressée toute la journée sur ce film, je l’ai regardé plusieurs fois.
– Donc c’est ça que tu veux? Tu veux que je sois ton esclave ce soir?
– Oui, j’aimerais beaucoup que tu acceptes.
– Ok, pourquoi pas, je n’ai jamais fait ça, mais pas de trucs bizarres?
– Non t’inquiète pas, ce sera soft.
– Pas trop quand-même, dis-je en souriant.
– Les règles sont simples, tu exécutes le moindre de mes ordres en silence. Tu ne parles pas, tu ne rigoles pas, tu ne gémis pas, je ne veux pas entendre le moindre bruit.
– Très bien, on commence quand?
– Maintenant. Lève-toi et fais-moi un striptease.
Facile pour démarrer. Debout devant elle, je me déshabille sensuellement sur une musique douce. Elle me regarde, ouvre ses cuisses. Sa chatte est déjà trempée. Je continue mon show sans discuter, mais avec l’envie de lécher cette fente humide. Je retire mon pantalon, mes chaussettes, mon boxer. Elle se masturbe en voyant mon sexe érigé. Elle m’excite. Je prends mon sexe en main et entame des va-et-vient.
– Arrête ça, je ne t’ai pas dis que tu pouvais te caresser, lance-t-elle d’une voix autoritaire.
Je retire ma main. Clémence se lève, ramasse ma ceinture, l’accroche autour de mon cou pour s’en servir comme d’une laisse. Elle me promène par la lanière jusque dans sa cuisine.
– Fais la vaisselle.
Je me plie à sa volonté.
– Sers moi un verre de vin.
J’obéis. Elle me trimballe au salon, m’installe debout à côté du canapé. Elle s’assoit, prend un magasine et le feuillète, jambes croisées en buvant son verre de vin. Debout à côté d’elle, j’attends ses prochaines directives, mais rien. Elle continue de lire son torchon pendant plus d’une demie-heure. Soudain, elle tend son verre vide.
– Donne-moi encore du vin.
Je remplis son verre et reprends ma place. Ma « maîtresse » poursuit sa lecture sans bruit, comme si je n’existais pas. Je commence à trouver le temps long et pas aussi excitant que ce que j’avais espérer. Je fais office de pot de fleurs.
Elle pose son verre de vin vide et glisse sa main sous mes testicules. Elle les malaxe comme des boules anti-stress, puis sans détourner le regard de sa revue, empoigne mon sexe et commence à me branler.
Je durci rapidement et la perverse me paluche de plus en plus vite. Je contrôle mes gémissements avec brio. Mais lorsque je sens que la sève monte, je grimace pour ne pas émettre un son. Elle me fait éjaculer parterre sans m’avoir regardé une seule fois. Elle se lèche les doigts.
– Va chercher une éponge.
Ce que je fais.
– Mets-toi à quatre pattes, essuie!
En véritable surbordonné, j’accomplie cette tâche humiliante.
– C’est bien esclave. Maintenant, allume-moi une cigarette et masse-moi les pieds.
Je m’exécute.
– Maintenant, lèche-les.
Ce petit jeu de domination commence à m’exciter de plus en plus. En suçant ses orteils, je me souviens de la fois où elle était partie en vrille grâce à ça. J’espère que ce sera à nouveau le cas. Je l’entends ronronner alors que je suis toujours à quatre pattes à ses pieds.
Elle écarte ses cuisses.
– Bouffe-moi la chatte.
Enfin!!! me dis-je. Ma langue circule dans ses nymphes, titille son clitoris joufflu. Clémence fait des vocalises en se pinçant les tétons sous mon regard avide. Je rentre ma langue dans son vagin, j’aspire ses lèvres dégoulinante de mouille. Elle adore ça. Puis elle se retourne, s’agenouille les jambes un peu écartées, les fesses dans le vide, elles aussi entrouvertes. A quelques centimètres de mon visage se trouve son anus si beau, si rond.
– Renifle-le.
Elle prend ma tête et la plaque fermement contre son cul. Mon nez est écrasé contre son orifice anal. J’hume tant bien que mal ce parfum qui m’enivre, j’ai une furieuse envie de lui éclater le cul, mais je dois me contenir.
Elle me tire par les cheveux pour ôter ma tête.
– Alors, il sent bon mon cul hein? Fous-y ta langue.
Ma dominatrice me colle à nouveau le visage entre ses fesses. J’étire ma langue le plus possible et l’enfonce directement dans son colon et dodeline de la tête. Mes va-et-vient lui procure des sensations de plaisir inégalées, à moins que ce soit le pouvoir de disposer de moi comme bon lui semble, qui la rend si jouissive.
Toujours à genoux au sol avec une trique d’enfer, je commence à avoir mal à la langue, mais cette « MILF » de 36 ans s’en moque, elle ne me signifie pas d’arrêter. Son trou du cul est entièrement enduit de ma salive.
– Mmmmhhh, j’ai trop envie de me faire prendre.
Je suis ravi, pensant qu’elle va m’autoriser à la pénétrer. Mais non. La sadique se lève, part dans sa chambre et revient avec son gode fétiche. Elle reprend sa position initiale.
– Ouvre la bouche.
J’obtempère et reçoit le morceau de plastique à l’envers.
– Encule-moi.
Je mord le tube et vise son sphincter. Il s’immisce facilement. Je secoue ma tête d’avant en arrière pendant qu’elle se cramponne au dossier du canapé. Je me sens frustré, humilié, méprisé et pourtant je suis carrément excité en l’écoutant crier de bonheur. Elle se cajole le clito et part dans un orgasme incroyable.
Remise de ses émotions, elle m’a relevé en me tenant par ma laisse et m’a emballé amoureusement.
– Merci esclave, c’était extra.

Il est plus de 22h, cela fait 5h que je suis son obligé, 5h que je me dévoue corps et âme sans un mot. J’ai faim, j’ai soif, je suis fatigué car ma souveraine de luxure ne me laisse pas de répit. Après mes prouesses linguistiques, j’ai dû lui faire à manger, j’ai dû faire son lit en mettant des draps propres, je lui ai fait un massage dorsal, puis un massage mammaire. J’ai eu le droit de la sodomiser avec vigueur. Je lui ai ensuite fait du thé et pour finir elle m’a ordonné d’aller jeter son sac poubelle dans le conteneur en bas de l’immeuble. Heureusement pour moi je n’ai croisé personne. Je joue le jeu à fond, mais je commence à en avoir marre. J’ai besoin de prendre une douche, de me remplir l’estomac.
Je lui annonce donc que j’aimerais que ça se termine.
– Tais-toi esclave, de quel droit oses-tu m’adresser la parole? Mets-toi à quatre pattes sur la table.
J’ai envie de me rebeller, mais son sourire m’indique qu’elle veut s’amuser encore une fois.
Je prend place à genoux sur la table basse.
Clémence murmure à mon oreille.
– Je vais te punir pour avoir parler. Pour ta dernière épreuve, je vais te faire subir un châtiment qu’aucun homme ne peut endurer en silence.
En position de faiblesse, la ceinture autour du cou et mes burnes qui pendent dans le vide, je flippe un peu, imaginant mon futur traitement. Je sais pourtant qu’elle ne me fera pas de mal, mais je la sais vicieuse. Je m’attends au pire en réfléchissant à ce que j’ai pu voir des situations SM. Va-t-elle me fesser sévèrement ou me fouetter? Va-t-elle faire couler de la cire chaude? Ou pire, va-t-elle m’enfourner un de ses godemichet dans le fion? Je ne suis pas prêt pour ça…
Elle me fait languir en déambulant autour de moi en talons.
– Tu as été très vilain de répondre à ta maîtresse, je vais te faire souffrir, s’amuse-t-elle.
Elle glisse sa main entre mes cuisses, choppe mes bourses et les serre fort quelques secondes. Elle relâche la pression et tourne encore autour de moi. Elle saisit ma queue et me branle comme pour me traire. Mon cœur tambourine de plus en plus vite. Elle continue sa ronde et s’accroupie derrière moi. Elle tapote mes couilles, elle s’éclate à les faire balloter d’avant en arrière comme un pendule. La voilà qui les gobe l’une après l’autre. J’adore cette torture, mais je résiste à pousser des soupirs. Elle aspire la peau de mes rouleaux en m’astiquant plus rapidement. Je me mord les lèvres pour ne pas vociférer. Elle tire ma queue en arrière et la suce comme une tarée. Elle crache sur mes parties les gobe à nouveau, suce ma tige de plus belle. Je n’en reviens pas et comprend qu’au final c’est une récompense pour la soirée que je lui ai offerte. Sa langue tournoie sur mon gland, je vais exploser. Je regarde entre mes jambes, elle me branle à vive allure en visant sa langue qu’elle a sorti à quelques centimètres de ma queue. J’éjacule abondamment en gémissant bruyamment. Elle récupère toute ma semence et avale le tout avec gourmandise.

Après cela, elle a ôté la ceinture autour de mon cou comme pour m’affranchir et me libérer de son emprise.
Nous avons pris une douche, puis nous nous sommes coucher.
Elle me demande:
– Ca t’a plu?
– C’était un peu long, mais j’ai bien fait d’être patient.
On se sourit et elle ajoute.
– Moi j’ai adoré, c’était trop jouissif. Je ne pensais pas être aussi psychologiquement excitée. Pouvoir faire ce qu’on veut à un mec c’est juste génial.
– Je m’en doute, mais je ne ferais pas ça tous les jours. D’ailleurs la prochaine fois, c’est toi qui sera mon esclave.
– Si tu veux…
Nous avons fait l’amour tendrement, car après toute cette folie, un peu de douceur ne pouvait nous faire que du bien.

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