Après cette débauche chez leur voisine, Carole s’est sentie souillée malgré l’extase qu’elle avait ressentie. Elle s’estimait trahi par son mari qui lui a avoué l’avoir trompée avec cette nymphomane de Josette juste pour le sexe surtout parce qu’elle lui autorisait toutes les turpitudes.
Franck fut privé d’attentions plusieurs semaines mais aujourd’hui tout est rentré dans l’ordre et l’histoire est derrière eux, Carole prenant plus de plaisir à faire l’amour. Ils continuent à voir leur voisine mais seulement dans leur jardin, avec la séparation du grillage. Personne n’est jamais revenu sur cette soirée.
Toutefois, Carole trouve qu’elle est insatisfaite malgré l’attention que lui porte Franck, elle a l’impression qu’il lui manque quelque chose lorsqu’elle jouit. Ces frasques lui ont révélé un aspect d’elle qu’elle ne soupçonnait pas, un côté putain comme l’a dit Josette.
Un soir, en rentrant du bureau où elle est comptable, elle annonce à son époux que son patron, Jean Lustau, organise un week-end de loisirs dans un grand complexe hôtelier de la région pour fêter les 15 ans de la société et que celui-ci aura lieu en fin de semaine, du vendredi après le bureau au dimanche midi.
– Il y aura qui à ce séminaire questionne Franck
– L’ensemble des employés de la société, soit 11 personnes ainsi que le patron bien sûr. Tu es jaloux demande-t-elle.
– Non mais c’est la première fois que tu pars seule un week-end alors je m’informe répond-il.
– Oui, oui, tu es jaloux et je trouve ça gratifiant assure-t-elle en lui déposant un baiser sur les lèvres.
Le vendredi matin arrive et Carole quitte la maison avec une petite valise à roulettes car c’est en mini-autocar, prévu à la sortie du bureau, que les employés rejoindront leur lieu de villégiature. Le complexe est somptueux avec une immense salle de restaurant, un magnifique salon-bibliothèque, une piscine couplée à une salle de sports et même un sauna. Carole, comme ses collègues, n’en croit pas ses yeux et est stupéfaite par tant de luxe.
Après le repas du soir, tout le monde regagne sa chambre et le lendemain matin, après le petit déjeuner, c’est matinée piscine.
– Vous n’êtes pas en maillot Carole l’interpelle Mr Lustau.
Confuse, elle répond qu’elle ne sait pas nager et qu’elle a peur de l’eau.
– Ne vous en faites pas, ce n’est pas une obligation rassure-t-il.
Elle s’assied donc sur une des chaises disposées le long du bassin et se met à observer ses collègues. Elle sourit intérieurement en les regardant déambuler en maillot de bain, sans pudeur, à la vue de tous. Mais son regard est surtout attiré par ses collègues masculins et notamment par leur slip de bain car le caleçon est interdit dans cet hôtel. Cela l’émoustille quelque peu car il met en valeur les attributs de chacun et lui permet de faire des comparaisons sur la grosseur des bosses visibles sur leurs maillots.
– Non mais tu vas pas bien dans ta tête, arrêtes ça tout de suite se sermonne-t-elle.
L’après-midi se passe entre promenades autour du complexe, lecture au salon, verres au bar, discussions et rires entre collègues jusqu’au repas du soir. Avant d’aller se coucher, Carole descend à la salle de sports où elle fait une demi-heure de vélo d’appartement. Après l’effort, elle se dirige vers le vestiaire pour récupérer ses vêtements qu’elle a laissés après s’être changée et en ouvrant la porte, elle trouve son patron, nu comme un ver, qui se sèche après quelques longueurs de piscine. Avant qu’elle ne referme la porte, il l’apostrophe :
– Ne vous sauvez pas Carole. Vous n’allez pas me faire croire que la vue d’un homme nu vous fait fuir.
Elle répond négativement de la tête mais ne bouge pas de l’encadrement de la porte.
-Entrez et fermez cette porte. Faites ce que vous avez à faire et surtout, n’ayez pas peur, je ne vais pas vous manger ajoute-il dans un grand éclat de rire.
Carole finit par entrer et s’installe le plus loin possible. Elle se pose sur un banc et retire ses baskets tout en jetant un coup d’œil à son patron qui ne lui prête aucune attention. C’est un homme d’une cinquantaine d’année, pas très grand et râblais, avec les cheveux grisonnants. Cependant, elle ne peut s’empêcher de regarder son entrejambe et de constater qu’il a un sexe aux belles proportions, même au repos. Ce n’est pas une spécialiste mais il est plus gros que les deux qu’elle a vus dans sa vie, à savoir celui qui l’a déniaisé et celui de son mari.
Rassurée par son comportement, elle se lève et, dos à son patron, elle enlève son mini-short avec le slip intégré et son mini-haut qui n’a pas grand chose à cacher. Une fois nue, elle s’aperçoit qu’il n’y a plus de bruit derrière elle et lorsqu’elle se retourne, elle découvre son boss qui la contemple, avec son membre dressé qui est aussi long mais moins large que le dildo de sa voisine.
– Vous êtes très jolie. Vous avez un beau petit cul et de mignons petits seins constate-t-il. Juste une question, Carole. Pensez-vous que mon sexe puisse pénétrer votre chatte qui doit être étroite continue-t-il.
Les yeux rivés sur l’engin, elle lui répond sans réfléchir :
– Il n’y a qu’une manière de le savoir.
Il n’en fallait pas plus pour que le directeur se précipite vers elle, la plaque contre son torse pour lui pétrir ses petites fesses de ses grandes mains et ses doigts ne tardent pas à fouiller son intimité sans douceur, ce qui lui fait un peu mal. Puis, il s’assied sur un banc, l’attire à lui et elle s’empale d’un coup sur le sexe tendu, poussant un petit cri.
– Je ne pensais pas t’embrocher si facilement. Ton mari doit avoir une grosse queue pour que ça rentre sans peine.
Carole lui confie que Franck n’est pas si bien équipé mais tait comment elle s’est faite élargir. Concentrée, elle monte et descend sans aller trop vite, bouge son bassin. C’est la première fois qu’elle est prise dans cette position, assise dos à son partenaire, et elle adore ça. De plus, elle se fait peloter ses petits nichons qui disparaissent totalement sous les mains de son directeur. Après quelques minutes, il la retire, se lève et lui ordonne :
– Maintenant, tu vas me sucer.
Sans discuter, Carole se met à genoux, prend en main le membre bien dur qu’elle branle avant de le lécher délicatement sur toute sa longueur pour arriver au gland qu’elle contourne du bout de sa langue avant de le gober et de procéder à quelque succions qui font frémir de satisfaction Mr Lustau.
– Putain, que c’est bon gémit-il.
Elle lui malaxe ses grosses couilles pleines et le pompe en descendant de plus en plus jusqu’à ce qu’il entre entièrement dans sa gorge. Avant qu’il n’explose dans sa bouche, son patron lui lève la tête.
– Tu suces comme une salope Carole, je ne pensais pas ça de toi reconnaît-il avant de la mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette.
Les grands coups de reins contre ses fesses enfonce profondément sa longue bite et pousse Carole jusqu’à l’orgasme. Dans la foulée, il se retire et lui crache une énorme quantité de sperme sur les fesses et le bas du dos.
– Tu caches bien ton jeu. Je ne te croyais pas aimer le sexe avec tes petits airs prudes. Je suis content d’avoir organiser ce séminaire qui m’a fait découvrir de jolies choses relève-t-il en se rhabillant.
Carole aussi est heureuse car elle ne culpabilise pas d’avoir trompé Franck et qu’elle s’est découverte une face cachée. C’est une sorte de Dr Jekyll et Mrs Hyde.
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