Chap XXV
Une correction en privé. 3eme Round
Viviane récupère de l’intense orgasme qu’elle vient de subir. Je n’ai pas détaché ses seins ni ses mains. Ils sont violets maintenant la peau est tendue à l’extrême. Les coups ont laissé des marques parfois profondes sur ses seins. Les tétons qui ont pris leur lot de coups sont gonflés on peut dire que leur volume a doublé. Viviane à le souffle court, sa peau est luisante, couverte d’une fine sueur. L’intérieur de ses cuisses est trempé d’un savoureux mélange de sueur, de mouille et d’urine. La vision d’un corps attaché luisant comme huilé m’a toujours fait un effet incroyable. Là c’est encore le cas.
J’approche d’elle, elle est en chien de fusil, la tête appuyée sur le canapé, ses mains toujours liées derrière sa nuque les coudes en l’air. Je passe ma main sur son front, il est brûlant et moite. JE descend le long de sa joue. Elle me regarde, un pâle sourire sur ses lèvres qui forment un baiser à mon intention. Puis elle embrasse le creux de ma main. J’essaye de deviner si elle va dire le mot ou pas. Si elle ne le dit pas je vais continuer à lui faire endurer ce qui me passera par la tête.
« Tu veux me dire quelque chose Esclave ? » demandais-je
« Non maître… je suis prête » dit elle dans un souffle les yeux levés vers moi.
Je mentirais si je ne disait pas qu’a ce moment j’ai un pincement au cœur car je sais que je vais devoir continuer. A ce moment de notre relation j’avais encore ce genre de réactions, de prévention. J’ai perdu ensuite la faculté de m’apitoyer sur elle.
Je redresse Viviane sur ses genoux. J’aime la voir dans cette position. Je tourne autour d’elle. Elle se demande maintenant ce que je vais lui faire. Arrivée à ce stade Viviane est tendue comme un archet. Elle est secoué par un tremblement qui ne s’arrêtera qu’au moment ou on cessera le jeu. Et encore. Sa respiration est courte. Ses aisselles ruisselles de sueur. Son corps est zébrés de traces plus ou moins rouges, vestiges des coups de fouet de cravache et de baguette.
Moi je bande toujours, la voir ainsi me procure un plaisir de plus en plus trouble. Je passe ma queue sur ses lèvres.
« Ouvre !! allez vite » dis-je
Comme elle n’obtempère pas assez vite une gifle lui cingle la joue. J’ai frappé assez fort pour me faire mal à la main. Viviane me fixe de ses yeux pales que les larmes emplissent avant de ruisseler sur ses joues. J’ai frappé trop fort je le sais. Je pousse quand même mon sexe dans la bouche qu’elle a ouverte, mais je le fais glisser doucement et de ma main je caresse sa joue meurtrie. Elle me regarde et je sais a son regard qu’elle pardonne se dérapage. Je pousse ma queue dans sa gorge. Elle hoquette avant de s’étouffer, je me retire, elle bave , me mouillant la queue.
Je me fais sucer pendant quelques minutes, l’étouffant de temps en temps. Lui pinçant le nez. Je prends le martinet. Elle regarde l’instrument.
« Debout Salope !! Allez vite. » criais-je
Viviane se relève péniblement, car les bras attachés essayez de vous relever vous verrez. Debout, au devant moi, Viviane est tremblante. Ses muscles semblent transformés en gelée. C’est incroyable comme elle est agitée. Elle redoute, elle espère encore plus de souffrance. Au fil du temps entre elle et moi c’est instauré un dialogue muet. Ses attitudes, ses regards me disent mieux que des mots ce qu’elle attend. Parfois il y a des gestes tendres, des baisers amoureux. C’est le cas, je passe ma main sur sa joue, mon pouce dessine le contour de ses lèvres Elle prend mon pouce entre ses lèvres, le suce le lèche. Viviane me sourit.
« Écarte les cuisses, ma salope. Allez montre moi ta chatte. » dis-je
Elle se met en position, pieds bien écartés, sa chatte s’ouvre comme une fleur. Ses petites lèvres abhorrées pendent entre ses cuisses, le clito saillant et gonflé trône en haut de sa fente. Je passe ma main sur son sexe, il est ruisselant, chaud, brûlant même. Son clito que j’effleure a peine est ultra sensible. Je le prend entre mon pouce et mon index je le tord, le pince elle tremble plus fort. Ses jambes ploient sous elle. Elle manque même de tomber.
« ouhhhh noooonnn onnnn hummmm » sont toutes les choses qu’elle peut dire.
Je vais dans le sac, je trouve la boite que je cherche, quelques compresses et le spray. Viviane voit dans mes mains les ustensiles. Ses yeux s’arrondissent, elle fait non de la tête puis.
« Oh non maître pas çà.. pas çà… » supplie t-elle
« Depuis quand tu choisi ? Tu me donnes des ordres ? »
« Non maître non.. Comme vous voulez » murmure t-elle baissant la tête.
J’ouvre la longue boite en métal, elle contient un assortiment d’aiguilles, des aiguilles de seringue tout ce qu’il y a de plus classique. Mais aussi de très longues aiguilles médicales fines, surtout une douzaine d’aiguilles achetées spécialement dans une boutique pour artistes, ce sont des aiguilles de fakir elle font environ 25 cm de long.
Petit coup de spray antiseptique sur les seins de Viviane. Je nettoie avec une compresse. Viviane à les larmes qui coulent le long de ses joues. Elle me regarde comme pour me supplier d’arrêter. Elle sait comment tout arrêter. Je continue donc. Une fois les seins nettoyés. Je prend une longue aiguille. Je pose la pointe sur la peau tendu de son sein droit, je la picote un peu.
« Tu sais ce que je vais te faire chienne ? » demandais-je
« Oui Maître.. oh s’il te plait non.. » supplie t-elle.
« Je vais faire ce que je veux, j’ai envie de te percer tes gros seins de pute, en croix tu veux ? » dis-je en la regardant et lui montrant l’aiguille.
Je pose la pointe sur sa lèvre.. je pousse un peu.. comme pour la rentrer Viviane tremblante renifle.
Maintenant, je pose la pointe de l’aiguille sur le haut du sein droit, à 3 cm derrière son aréole. Je commence à pousser, sans laisser mon regard quitter les yeux de Viviane. J’y lis la peur, le désir, l’abandon, la douleur. La peau se creuse, résiste, forme un petit cratère autour de la pointe de l’aiguille. Un petit coup sec, la pointe perce la peau, la petite dépression disparaît. L’aiguille est entrée d’un cm pas plus. Viviane à la lèvre inférieure totalement affolée elle tremble. Je pousse plus fort. L’aiguille entre doucement.
Vous ne pouvez pas savoir avant de l’avoir fait, la force qu’il faut pour percer de part en part le sein d’une femme. Le léger crissement de l’acier dans la chair. C’est ténu subtil, mais bien présent. Mon sexe se tend. Je n’en suis pas fier mais faire cela m’excite vraiment.
L’aiguille pénètre, les yeux de Viviane ont tendance se révulser. Ma main gauche glisse entre ses cuisses, je caresse son sexe tandis que je pousse l’aiguille. Maintenant la pointe pousse la peau qui se tend, ne voulant pas céder. Un petit coup sec fait passer la pointe. Je fais aller et venir deux ou trois fois l’aiguille dans le sein. Viviane mord sa lèvre.
Je passe au sein gauche, j’ai un peu plus de mal, Viviane gémit, elle a mal, le pousse un coup sec l’aiguille entre a demi. Nouvelle poussée, l’aiguille perce totalement. Viviane halète le tremblement de ses jambes est encore plus intense.
Je recule d’un pas. Je la contemple, la main sur mon sexe, je bande vraiment comme un dingue. Elle a les yeux qui papillonnent. Je prend le martinet. Et je donne quelques coups sur ses cuisses. Puis entre ses cuisses cinglant son sexe.
« arggggggggggggghhhhh aiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ohhh ohhh » crie t-elle
Puis je donne quelques coups sur ses seins. C’est hypnotique de voir ces longues aiguilles en acier traversant les globes de chair gonflés. Viviane à la bouche ouverte elle à du mal à respirer et ses bras la font souffrir.
Je détache ses mains, et ses bras. Les mains sont engourdies, violettes. Viviane apprécie énormément d’avoir ses mains détachées.
« Voilà c’est mieux non ? » dis-je à Viviane.
Elle hoche la tête tout en massant ses mains.
« Bien alors maintenant que tu à les mains libres tu va pouvoir travailler » dis-je.
« Oui maître. » dit elle
« Bon, prend cette aiguille, allez prend là. Et tu va te percer le sein gauche ma chérie ! » dis-je
« Ohhhhhhh Maître !! c’est dur !! » dit elle
« Oui mais je veux te voir faire çà.. allez tu va me faire bander salope ! » dis je
Avec le martinet je frappes ses cuisses et sa chatte. Elle geint. Puis elle pose l’aiguille contre son sein.
Viviane me regarde secoue la tête en dénégation. Elle soupire prend sa respiration Elle à du mal à se décider. Un coup de martinet sur son clito la rappelle a son devoir. Elle serre les cuisses gémis. Se plie en deux. Un autre coup sur les fesses la redresse.
« Allez chienne perce toi !! »
« Aiiiiiiiiieeeeeee ai ahhhh ohhhhhh » crie t elle
Elle pousse l’aiguille qui entre dans son sein, cm par cm elle à du mal, au lieu de pousser franchement elle va doucement se faisant souffrir bien plus. Tandis qu’elle pousse l’acier en elle. Ma main caresse son clito, elle vibre.. se tend. Elle est en proie au plaisir sous mes doigts, à la douleur avec l’aiguille.
C’est trouble comme sensation croyez moi.. j’ai été dans la situation de Viviane. On ne sait plus ce qui donne le plaisir ce qui donne la douleur. Tout se mêle.
Viviane, continue pousse lentement l’aiguille. La peau se tend, une pointe de chair incongrue nait que la face interne de son sein gauche. Je ne l’aide pas. Elle doit le faire seule. Elle regarde sa peau tendue à l’extrême. C’est ce moment qui est le plus douloureux. Soudain la peau cède, l’aiguille qu’elle pousse avec force se fiche dans l’autre sein de guère plus d’un cm.
« Ouuuuillllle aiiie ohhhhhh Maître!!! » crie t-elle.
« Ah c’est bien esclave.. très bien. Allez continue. Pousse encore enfile là a fond. » dis-je
Viviane me regarde, ses yeux pleins de larmes, les pupilles dilatées, sa lèvre tremble violemment. Elle pousse le talon métallique de l’aiguilles touche la peau. Elle halète, mes doigts qui vont et viennent dans sa fente son trempés.
Je lui approche mes doigts de la bouche, elle les lèche, les suce. Ma queue se frotte à sa chatte, je la glisse entre les lèvres et me frotte sans la pénétrer. Je dois arrêter bien vite sinon je vais gicler.
« Allez chienne encore une aiguille à mettre et tu l’enfile a fond » ordonnais-je.
Je lui met l’aiguille dans la main droite. Viviane pose la pointe contre son sein. Elle me regarde, je vois son visage se crisper, et elle pousse comme une folle, l’aiguille travers le globe de chair rapidement et se fiche dans l’autre sein. Elle à la tête en arrière. Sa poitrine se soulève au rythme heurté de sa respiration. Une goutte de sueur, glisse jusqu’à son nez et tombe sur ses lèvres qui sont agitées de tremblements incoercibles.
Le tableau est totalement excitant et pervers. Viviane à les seins liés totalement gonflés et violets maintenant. Les coups ont marqués les chairs tendres et dessinent un entrelacs plus sombre. Les coups de baguette ont ouvert la peau et quelques gouttes de sang ont perlé. Ses tétons on doublé de volume ils sont violacés eux aussi. Son ventre est marqué de stries rouges, ses cuisses sont rougies par le martinet. Les lèvres de sa chatte gonflées par les pinces maintenant à terre. Son clito est gonflé, saillant, luisant de la mouille que j’ai été chercher dans son sexe pour le caresser. Elle tremble de tout son être. Dans l’attente de nouveaux sévices mais également par le plaisir trouble qui la submerge. Viviane n’est jamais aussi excitée que dans l’attente. Son cerveau marche a 100 à l’heure. Elle me regarde, son regard est a****l, pénétrant, étrange et dérangeant.
Je la regarde, meurtrie, torturée mais heureuse que j’accède à ses sombres instincts. Heureuse que je cède aux miens. Elle est le révélateur, jusqu’à notre rencontre je me savais assez masochiste et soumis. Je ne me savais pas aussi dominateur, pervers et sadique. Je me découvre. Plus notre relation avance dans le temps, plus je me découvre une âme de tortionnaire, de salaud intégral. J’ai un problèmes avec ce que je fais, ça me fais honte, je me dégoute. Mais d’un autre côté je ne peux qu’admettre le plaisir que je tire de tout cela. Je ne peux nier que ces jeux m’excitent au plus haut point. Je jouis de ces situations et pas au figuré, au sens propre, nombre de fois j’arrive à l’orgasme sans autre sollicitation que ce que je suis en train d’infliger à Viviane. Bien sur surtout ne pensez pas que ces jeux c’était tous les jours. Surtout quand on poussait loin les sévices. Il lui fallait du temps pour se remettre.
Ce soir là en vacances c’était la première fois ou seuls nous allions aussi loin. C’est pour cette raison que ce soir là fut important.
Viviane était toujours vibrante. Je m’allumais un cigare. M’assis sur le canapé, me serais un verre de scotch. Ma queue étaient gonflée à m’en faire mal. Mon gland totalement décalotté était trempé et il laissait échapper un long fil translucide qui coulait le long de mon sexe.
Le temps semblait arrêté. Quelques minutes je la contemplait ainsi. Puis
« Allez espèce de truie.. branle toi.. je veux te voir jouir » dis-je
« Oui maître. » dit elle avec entrain.
Viviane crevait d’envie de prendre du plaisir maintenant qu’elle était percée, marquée totalement à ma disposition. Ses doigts s’activaient sur son clito, envahissaient sa fente. Elle tremblait de plus en plus sur ses jambes. Ses yeux disaient le plaisir qui montait en elle. Ses doigts se couvraient d’une mousse onctueuse. Sa bouche entrouverte laissait couler un fil de salive sur son menton. Plusieurs fois je vis des gouttes dorées s’échapper de son sexe. Elle gouttait, coulais de tout côté. Viviane se liquéfiait. Dans moins d’une minute elle allait jouir.
« Stop!!!! Arrêtes!! ca suffit!! Ne jouis pas salope!! » hurlais-je
Instantanément elle arrêté sa masturbation, mais je vis à son visage qu’elle avait envie de conclure. C’était une nouvelle torture que je lui infligeais. Ses genoux ployaient sous elle par moment. Il n’aurait pas fallu beaucoup de chose pour qu’elle s’écroule par terre. J’approchais d’elle. Son front emperlé de sueur luisait, tout son corps luisait. Les veines de son cou palpitaient. Sur sa tempe une grosse veine saillait. Elle peinait à reprendre sa respiration. Je posais mon verre froid, a cause des glaçons, contre son front. Je la rafraichissais, puis je posais le verre contre ses seins, lui tirant un gémissement profond. Je laissais glisser le verre le long de son ventre. Il se creusait, elle se cambrait. Puis je finis par le poser contre son clitoris turgescent. Elle poussa un cri. Elle était au bord de l’orgasme, si j’avais encore reposé le verre elle aurait sans doute jouis.
Je tirais sur mon cigare, là une trouble envie me vint. Je fis tomber la cendre, soufflais sur le bout rougeoyant. Viviane lu dans mon regard ce qui venait de me traverser la tête. Elle pâlit, son souffle devint plus court encore, ses yeux roulaient. Elle avait les pupilles dilatées par la peur. J’approchais le bout rouge du cigare de la peau de son sein droit. Sa respiration s’accélère. Elle sent la chaleur, j’approche plus. Elle mord sa lèvre. Encore plus elle souffle comme une forge. Encore quelques millimètres elle pousse un cri de douleur.
« Arrrrrrgghhhhhhhhhhhhhhhhh!!!! »
Je ne l’ai pas touchée. Mais la chaleur est intense. Je tire à nouveau sur mon cigare. Cette fois je choisis son téton gauche qui est fort marqué. J’approche le cigare, graduellement. Elle regarde avec des yeux fous l’extrémité brulante qui est sous son téton. La chaleur monte se fait brulure. A nouveau elle hurle.
La sueur ruisselle sur son visage. Je suis persuadé que Viviane va dire le mot. Je l’espère même. Je m’agenouille, mon visage est à la hauteur de son sexe. Ses grandes lèvres rebondies son bien ouvertes, les petits lèvres toutes mouillées mais gonflées à cause des pinces sont pendantes. Son sexe goutte, ses cuisses sont striées de petites rigoles aussi brillantes que du mercure.
Viviane tremble encore plus fort.
Je tire sur mon cigare, le bout est rougeoyant. Je l’approche de son sexe. Elle sent la chaleur monter. Ses jambes tremblent, elle pousse un grondement continu, une plainte qui enfle au fur et à mesure que je remonte le bout de mon cigare vers ses petites lèvres. J’arrête, puis avec mon verre glacé je rafraichis le sexe de Viviane. Puis le cigare encore. J’approche millimètre par millimètre le bout incandescent. Elle geint la plainte s’amplifie. Puis je suis tellement près que j’entends le grésillement de l’humidité de sa chatte sou l’effet de la chaleur. Elle crie.. tremble.. J’éloigne le cigare. A tout instant je m’attends à qu’elle me dise « Rouge » le mot , ce fameux mot qui arrêterais sa souffrance, mais aussi son plaisir.
Je souhaite l’entendre et je redoute de l’entendre. Je me délecte de ces instants, je me repait de sa souffrance qui est ma jouissance et aussi sa jouissance. Nous sommes au delà de ce que peut comprendre monsieur tout le monde. Au delà de ce que l’esprit tolère. Au delà des règles, au delà des tabous. On à brisé les barrières. Nous ne sommes même pas ravalé au rang a****l, car l’a****l n’aime pas la douleur. Il n’y a que l’esprit humain pour confondre plaisir et douleur, que l’homme pour jouir de sa propre souffrance. Analyser tout çà n’est pas chose aisée et je n’ai jamais vraiment essayé. Ce que je sais c’est que mon désir, mon plaisir est multiplié par ces situations. Mon plaisir, mes orgasmes sont d’autant plus violents que nous avons poussé le jeu au plus loin. Viviane aussi, plus nous poussons le jeu, plus elle souffre, plus ensuite elle porte les stigmates plus sa jouissance est forte, énorme, ravageuse.
Je me relève, pour regarder son visage. Viviane est comme ailleurs, elle me regarde mais c’est un peu comme si elle ne me reconnaissais par. Elle est dans un monde autre, la douleur, le plaisir tout est mélangé. Elle attend , plus, autre chose. Mais elle est dans une sorte d’état ou le plaisir est à porté de main, mais il se refuse. Je ne savais pas encore l’emmener au terme de ce processus. Je ne savais pas qu’on pouvait aller plus loin. Je ne l’avais pas encore vue totalement déchainée, prête a tout accepter même le pire, surtout le pire et l’appeler de ses vœux.
Je tire sur mon cigare, en la regardant dans les yeux. J’approche mon verre et lui fais boire une gorgée de scotch, elle à soif. Une deuxième rasade semble ranimer la flamme de ses yeux.
« Tu aimes.. la chaleur? Tu aimes que je te brule comme çà? Réponds salope! » je hurle littéralement.
Elle ne dit rien, mais me regarde intensément. Sa langue passe sur ses lèvres. Et elle hoche la tête pour dire combien elle aime ce que je lui fait.
« Tu en veux plus? Tu veux que je te touche avec? » dis-je lui montrant le cigare.
Même regard appuyé, et nouveau hochement de tête. Elle accepte l’augure d’être non plus échaudée, mais vraiment brulée. J’ai proposé cela par jeu. Je ne pensais pas qu’elle acquiescerais de cette manière. Mais maintenant je ne peux plus reculer.
Je sent ma queue qui palpite. Depuis qu’elle m’a dit qu’elle voulait plus. Je bande encore plus. Maintenant j’ai mal, mes couilles qui ne demandent qu’a être vidées semblent si lourdes. J’ai la sensation qu’elles pendent. Elle sont sensibles. Je peux à peine les toucher.
A nouveau j’aspire une bouffée de mon cigare. J’approche l’extrémité incandescente, de son téton droit. Elle se crispe, serre les dents. Une plainte monte de sa gorge, rauque, un grondement. Elle tremble comme une feuille. J’approche, ma queue se tend. La braise touche la peau qui grésille, l’odeur est instantanée.
Viviane hurle à m’en déchirer les tympans. Bouche ouverte elle halète. Elle c’est un instant détournée, comme pour se protéger. Mais se remet en position.
Cette fois j’ai le feu au joues, ma tête semble dans du coton, je suis dans une sorte d’état second, mélange d’excitations, d’alcool le tabac aussi sans doute. Je suis sorti de moi. Je m’observer presque en train de torturer celle que j’aime. Son sein porte la trace de la brûlure.
Viviane plante son regard dans le mien et d’une voix blanche et ténue.. me dit
« Encore….. »
Je tire sur le cigare, je choisis le même endroit sur l’autre sein. J’approche lentement. Elle geint, cries, tremble. Maintenant ses mains sont entre ses cuisses, elle se branle avec frénésie. Le bruit mouillé de ses doigts qui pataugent dans son sexe vient ajouter son obole au plaisir qui enfle.
Ma main tremble, je me retiens pour ne pas écraser le cigare, pour la marquer profondément. J’en ai envie à cet instant.
Encore une fois ce bruit léger, l’odeur de brûlé.. Elle hurle.. ses jambes se dérobent sous elle. Elle se branle comme une damnée. Viviane est sur le tapis.. cuisses écartées..
Je ne tiens plus, je la renverse en arrière. Je plonge mon sexe en elle. Fournaise et inondation. Mon sexe la pénètre a fond. Mes mains appuyées sur ses seins gonflés, percés brulés.. la font hurler de plus belle. Je vais et vient en elle, son sexe est plein de convulsions. Totalement affolé son vagin masse ma queue totalement tendue. J’ai mal, envie de jouir et à la fois de retarder l’explosion. Viviane n’en peux plus. Elle est tellement dans un état second qu’elle à la bave aux lèvres. Elle a agrippée mon dos.. elle me laboure la peau avec ses ongles.
Tout en la prenant, lentement, j’att**** la tête d’une aiguille celle qui perce verticalement son sein droit. Je tire, elle résiste.. plus fort.. gémissement de Viviane qui regarde l’aiguille qui lentement sors de son sein. Elle est enlevée, je la jette loin. Un grosse goute de sang se forme que chaque orifice Puis ruisselle le long des globes. Je prend la seconde je tire la ressort presque puis la pousse à nouveau dans son sein. Elle se cambre.. hurle et me laboure encore plus le dos. Le sang s’écoule des deux petits trous. Je caresse ses seins, mes mains sont rougies. Elle tremble, crie plus fort. Elle m’agrippe et prend ma bouche. Nous nous mordons mutuellement les lèvres. Je mords sa langue.. elle reste un instant pendue entre mes dents. Elle se jette en arrière. Viviane prend les têtes des deux aiguilles.. Et écartant violemment les bras elle les arrache littéralement. De ses seins.. Le sang ruisselle sur ses seins, imbibant les cordes qui nouent ses mamelles. Puis goutte sur le sol.
Mes mains pressent ses seins, elle à les siennes agrippées à mes bras. Je baise ses seins, lèche le sang le goût cuivré m’enivre. Les yeux de Viviane se retourne, elle jouis sous moi elle se se cambre. Son orgasme et le mien se répondent. Je suis planté en elle.. je gicle.. mes reins cambrés je sent le sperme qui se déverser en elle, après avoir brulé dans mon sexe. J’ai l’impression de jouir de la lave. C’est incroyablement fort. Puissant, violent. C’est hors norme. Les yeux de Viviane viennent de s’ouvrir sur des yeux totalement retournés et palpitants. Elle hurle.. elle est en proie a des convulsions cela dure je ne sais pas.. Elle semble ne plus pouvoir s’arrêter, elle manque d’air.. Ses mains se crispent sur mes bras. Avant qu’elle devienne totalement molle.. se laissant aller, la tête en arrière comme désarticulée.
Le tableau doit être saisissant. Elle est complétement abandonnée, cette fois elle reste inconsciente plus de 1 ou 2 minutes. Seule sa poitrine qui se soulève est rassurante. Elle est ensanglantée, oh la quantité n’est pas énorme, mais mes mains ont barbouillé son corps. J’ai du sang plein les mains, le torse ainsi que sur mes joues et ma bouche. Une photo à cet instant aurait donné un drôle de résultat.
Je reste aussi quelques temps prostré, ne pouvant retrouver mon souffle, incapable de mettre deux idées cohérentes bout à bout. Je n’ai jamais pris de drogue mais j’assimile mes sensations à une prise de drogue. Viviane qui elle prenait de la drogue n’était pas d’accord avec mon analyse. Mais peu importe. Ces moments restent des sensations que l’associe au plaisir extrême.
Doucement Viviane, revient à elle, j’ai commencé à dénouer les cordes de ses seins. Elle grimace, crie.. même plus. Car le retour de la circulation sanguine dans ses seins à un niveau normal La fait intensément souffrir. Nous sommes au sol, elle reste accrochée à moi, dans mes bras. Elle m’embrasse. Elle se frotte contre moi, Ses bras m’enlacent. On ne se parle pas. On se caresse .
Enfin elle lève les yeux, me regarde intensément, prend mon visage entre ses mains. Elle me sourit.
« Oh je t’aime.. je t’aime.. c’était génial… mon Maître » dit Elle.
Je pose ma main sur son front, je le caresse, lissant ses cheveux.
« Ma chérie, tu est folle, pourquoi ne pas avoir dit le mot… » demandais-je
« C’était trop bon… jamais cela n’avait été comme çà.. promet moi que tu sera toujours aussi dur avec moi… Plus même. » Dit Viviane en baissant la tête dans une posture soumise.
Si le chemin vers l’enfer du SM comportait dix marches. Nous n’étions que sur la seconde qui nous menait vers d’autres moments inimaginables. Aurais-je le cran de raconter les autres paliers? JE ne sais pas.. en aurais je le droit.. je ne sais pas . Peut être que le ciseau du censeur passera par là.
J’exhorte tous ceux qui me lisent. SURTOUT NE JOUEZ PAS A CES JEUX.
Ils sont dangereux, physiquement dangereux. Mais ils sont encore plus dangereux pour l’esprit. Ne croyez pas que l’on peut faire ce genre de choses sans garder des traces, des blessures qui ne sont pas physiques.
Ne vous méprenez pas. Je ne renie rien. D’une certaine façon je ne regrette rien. Mais certaines des choses que j’ai faites, souvent je rêve de ne pas les avoir accomplies. Vous comprendrez quand vous lirez la suite.
A ceux qui pensent qu’il faut être dingue pour faire çà. Je dirais non, il faut être deux et le vouloir. Je précise en outre que jamais je dis bien JAMAIS je n’ai fait quoique ce soit qui n’ai été accepté par ma (mon) partenaire. De même que je n’ai jamais rien subis que je n’avais accepté
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