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Confessions coquines des copines de Cathy

Confessions coquines des copines de Cathy



Je m’appelle Cathy, j’ai 51 ans et je ne m’en porte pas plus mal. Après tout, j’ai presque l’âge de Julia Roberts. Bon, je sais, je n’ai pas son physique mais je me tiens encore très bien. Dans le lycée où je suis documentaliste, on m’appelle « madame melon » à cause de mes seins qui défient toujours les lois de la pesanteur. Mon petit fessier bien rond n’est pas mal non plus et mes cheveux tout frisés me rajeunissent, dit-on. Mais ce qui fait surtout ma fierté, c’est mon ventre. Alors que tant de femmes de mon âge donnent l’impression d’être enceintes, mes abdos (fortifiés il y est vrai à grand renfort de cours de gym) ne sont pas relâchés. Et croyez-moi, j’y tiens.
Mais je ne vais pas parler de moi ici. Enfin, pas tout de suite et pas tout le temps. Je vais vous parler de mes copines. Elles s’appellent Gaby, Corinne, Coralie, Muriel, Viviane et Agnès. Elles ont toutes plus ou moins cinquante ans et bénéficient de la liberté que donne cet âge. Mariées, divorcées ou célibataires, elles ont toutes des petites histoires coquines (ou carrément cochonnes) à raconter quand on se retrouve entre filles. J’en ai appris de belles et j’avoue que j’ai du mal à les garder uniquement pour moi. Alors, lisez.

GABY

Commençons par Gaby. Elle est prof d’anglais dans le même bahut que moi. Rousse tendance auburn, la cinquantaine bien tassée, toujours vêtue d’une jupe courte et d’un sweater qui lui moule les seins qu’elle a abondants, elle fait encore fantasmer nombre de potaches qui l’ont surnommée « madame cuissous » parce qu’elle montre souvent ses cuisses blanches en classe, jupe courte oblige. Une fois que l’on prenait le thé ensemble dans un bistrot de la ville, elle m’a raconté une mésaventure vraiment pas triste. Je lui laisse la parole.

« Mon mari voulait absolument m’emmener dans un club échangiste et après avoir longtemps résisté, j’ai fini par m’incliner à condition que ce soit en dehors du département. Nous nous sommes donc pointés un soir dans un endroit très discret qui trompait son monde puisqu’à l’intérieur, tout était surprenant. Il y avait même une voiture aménagée pour y faire l’amour. Après avoir visité les lieux et enfilé notre peignoir, on a mis le cap sur la piscine. Me retrouver à poil avec d’autres gens à poil ne me posait pas de problème particulier car nous sommes naturistes. Je ne déteste pas mon corps malgré quelques kilos superflus. J’étais un peu plus étonnée de voir des couples forniquer à moitié dans l’eau mais j’ai fini par me laisser gagner par l’ambiance. Mon mari m’a fait asseoir sur la margelle et a entrepris de me lécher la chatte. Un type est venu se mêler au jeu et mon mari l’a invité à venir me taquiner l’entre-cuisses. Et je me suis laissée faire. Après tout, on n’était pas venu pour jouer au rami.
Ensuite, j’ai pris à la direction du glory hole, un lieu où, au cas où au cas où tu ne le saurais pas, les mecs mettent leur bite dans un trou et de l’autre côté, les femmes volontaires sucent.
– Et ton mari était d’accord ?
– Je le lui ai pas demandé son avis car au même moment, il se faisait sucer par une belle métisse. J’ai estimé que j’avais le droit d’aller où je voulais et ce glory hole m’intriguait. J’ai attendu un peu pour voir comment cela tournait quand une bite superbe a surgi. Une bite comme on en voit que dans son imaginaire, une vraie corde à noeud. Je te le dis sans honte : je me suis précipitée en grillant une brune à peau mate qui visait le même objectif et je me suis gavée, vraiment gavée de cette queue splendide. Avec un certain succès puisque le gars, que je ne pouvais pas voir, m’a envoyé une bonne giclée sur le museau.
– Et tu as retrouvé ton mari ensuite ?
– Oui, il voulait m’amener dans le hammam, un lieu que j’aime bien parce que j’ai l’impression de me purifier. Là, un type s’est présenté dans le brouillard en me demandant gentiment s’il pouvait me faire un cunni. J’ai regardé mon mari, qui m’a dit oui de la tête. Le mec m’a magnifiquement léchée si bien que j’ai eu un vrai et bel orgasme en lui serrant la tête entre mes cuisses tout en transpirant abondamment. A dire vrai, je ne voyais que sa chevelure tant la brume était épaisse. Devant son succès, il m’a proposée de l’accompagner dans un coin câlin, en fait une alcove pour baiser. Encore chahutée par le cunni, j’ai dit oui.

– Et ton mari était toujours d’accord ? Il n’a rien dit quand tu te faisais lécher ?
– Non, cela lui plaisait de me mater et c’est pourquoi il m’a aussi accompagnée dans le coin câlin. Mais je ne t’ai pas dit la meilleure. Figure-toi que mon lécheur était celui que j’avais sucé, je l’avais reconnu à sa bite et ce n’était pas fait pour me décourager. Nous voilà donc dans la chambrette, le gars qui bandait déjà (il rechargeait vite) se mettait une capote avant de me prendre et je dois dire que je n’attendais que ça car il m’avait bien chauffée. Et là, que vois-je lorsqu’il s’est présenté entre mes cuisses ? Chambergeau. Oui, Chambergeau, l’élève de terminale qui avait eu son bac deux ans plus tôt dans notre lycée. Lorsque j’ai lâché son nom, le gars a répondu en prononçant le mien et il était tout aussi surpris. On s’est regardé, un peu interdits et il a dit : « bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant, madame, on baise ou pas ? » J’ai hésité deux secondes et j’ai répondu : « ne m’appelle pas madame, baise-moi, je suis venue pour ça ».
Mon mari ne comprenait pas trop ce qui se passait. Alors, j’ai pris la bite de Chambergeau et je l’ai guidée vers ma chatte. Au début, j’avais une impression étrange, comme si je transgressais quelque chose mais le garçon était vraiment gaillard et j’ai vite perdu les pédales. J’ai dû dire des choses très cochonnes car il y avait un petit attroupement autour de nous. Je me suis tellement lâchée que j’ai eu un orgasme terrible, à défaillir. D’être regardée, au lieu de m’inhiber, pas stimulée et libérée. J’avais l’impression d’avoir l’âge de mon partenaire. Mon mari était ravi. Et Chambergeau aussi, cela va sans dire.
Après, je lui ai fait jurer de ne rien raconter de tout ça, en particulier aux élèves du lycée, anciens ou actuels. Heureusement, il n’habite plus à proximité. Et jusqu’à présent, je n’ai entendu parler de rien ».
Et on a fini notre thé en gloussant. Sacrée Gaby, elle m’étonnera toujours…

CORINNE

Je vais vous parler maintenant de Corinne. Cette fois, il ne s’agit pas d’une collègue mais d’une voisine. C’est une blonde aux longues jambes qu’elle met toujours soin à mettre en valeur par des jupes courtes ou par des mini shorts lorsqu’elle est en repos à la belle saison. Elle affiche de fait sa sexualité bien que mariée à un garçon tout ce qu’il y a de plus gentil. Tellement gentil que pour son cinquantième anniversaire, il lui a offert un voyage sous les tropiques en sa compagnie dans un village pour touristes en bord de mer. La suite, c’est elle qui la raconte alors qu’on bronzait toutes les deux à poil au bord de sa piscine.
« Un soir, on se trouvait au restaurant du village, comme d’habitude, quand un couple s’est installé non loin de notre table. L’homme était face à moi, la femme de dos. J’ai tout de suite remarqué son air viril, vraiment séduisant. Il ne cessait de regarder mes jambes, très découvertes par ma mini robe, et essayait de capter mon regard. J’ai fini par le soutenir pour le défier. Il ne s’est pas dérobé. A la fin du repas, il s’est levé et nous a proposé de prendre un verre avec sa femme. Nous avons accepté et nous nous sommes lancés dans une longue discussion vacancière. Il me transperçait littéralement de son regard et j’ai évidemment compris qu’il voulait coucher avec moi. A force, son magnétisme a fini par m’envahir. Sa puissance était telle que je me sentais de moins en moins capable de résister.
– Et ton mari ne s’apercevait de rien ?
– Non. Il discutait avec la femme de manière badine, en plaisantant. A un moment, l’homme a avancé son pied vers le mien. Je l’ai retiré, il a insisté, je l’ai retiré à nouveau, il a insisté encore et j’ai fini par accepter sa pression. Il avait gagné. Lorsqu’on s’est séparé, on s’est fait la bise et il a profité d’un moment d’inattention de nos conjoints pour me murmurer à l’oreille : « à minuit derrière le terrain de tennis ».

Je n’ai pas répondu. Mais à peine couchée, une chaleur intense m’a envahi le bas-ventre. Je me suis masturbée, j’avais la chatte toute poisseuse mais ça ne faisait que m’exciter davantage. J’ai voulu prendre l’air et je suis sortie après avoir enfilé juste un short et un tee shirt. Mon mari dormait profondément. J’ai fait quelque pas et j’ai vu le terrain de tennis. Entre l’ange qui me dictait de ne pas y aller parce que mon mari m’avait offert ce voyage pour mes cinquante ans et le diable qui m’attirait vers l’assouvissement de mes pulsions, c’est encore le diable qui a gagné. Ce n’était pas la première fois. J’ai toujours eu du mal à résister à mon goût pour le sexe. Y compris extra conjugal. J’ai dû naître les jambes écartées. Et je suis allée pieds nus vers le terrain de tennis.

Il m’attendait tranquillement en fumant, assis sur un petit banc, sûr de son fait. Je te prie de croire que les préliminaires ont été vite expédiés. On s’est embrassé sauvagement, il m’a attirée dans un coin un peu caché, on s’est pris le sexe à pleine main, il avait une queue longue et fine, une queue qui va loin et…
– Arrête, tu me mets le feu.
– Tu as voulu l’entendre, tant pis pour toi. On a étendu nos affaires par terre, il m’a couchée dessus et il m’a pénétrée aussitôt, comme je le réclamais, pour me soulager. Je me suis ouverte au maximum en me tenant par les pieds et il m’a labourée consciencieusement, sans se presser, cherchant à aller plus loin possible en moi mais tranquillou. Au début, je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier mais le plaisir a pris le dessus quand il s’est mis à accélérer son rythme et il a été obligé de me baillonner avec sa main pour que je n’ameute pas tout le village. Mais j’ai voulu changer de position, le chevaucher pour encore mieux le sentir, et j’ai attrapé mon tee shirt pour me le mettre dans la bouche et mordre dedans. Pendant que je cavalais sur sa bite, j’ai tellement mordu que j’ai déchiré le tissus. Un tee shirt tout neuf que je m’étais offert pour le voyage. C’est comme ça que je l’ai fait jouir, quand il a vu dans quelles transes il m’avait mise. Je l’ai essoré avec ma bouche et après avoir repris nos esprits, on n’est revenu à pas de loup vers nos chambres et nos conjoints. Je lui ai fait promettre de ne plus me solliciter à nouveau. C’était un « coup d’une nuit ».
– Oui mais quel coup. Tu m’as donné une sacrée envie de baiser avec ton récit. Et cela s’est terminé comment ?
– Eh bien, chacun est revenu dans son coin. D’ailleurs, il repartait le surlendemain vers une autre destination. On ne s’est même pas dit au-revoir. C’est juste devenu un beau souvenir. Tu me jures que tu le gardes pour toi, hein ?
– Bien sûr. Je ne veux pas briser ton ménage. D’ailleurs, moi-même, je ne suis pas exemplaire sur le sujet et je te le raconterai un jour. Comme ça, on sera quitte.
– J’y compte bien. Bon allez à l’eau maintenant, je crève de chaud.
MYLENE
Celle que je vais faire parler maintenant, pour clore ce premier chapitre, s’appelle Mylène. Elégante et racée, toujours habillée avec classe, cheveux auburn mi-longs, elle a la cinquantaine rayonnante. Son physique très entretenu se remarque par un fessier très charnu, bombé, mais bien intégré au reste de son corps. C’est une copine de longue date mais nous avons choisi des voies différentes : elle dans les affaires, moi dans la documentation. C’est à l’issue d’un cours de gym, alors que nous papotions avant de nous séparer, qu’elle m’a fait cette confession comme je lui demandais si elle continuait à s’investir en politique.
« Oui, la politique m’intéresse toujours mais je m’implique moins qu’il y a quelques années. A ce moment là, j’étais tout feu tout flamme. Est-ce que je t’ai raconté mon aventure avec notre leader de l’époque, M.X (elle me dit son nom mais je le cache ici) ?
– Ah non, jamais. Raconte.
– Il était alors en campagne électorale et j’avais eu la chance dans la foule d’être placée au premier rang, juste devant lui trônant à la tribune. Quand il parlait, il semblait s’adresser souvent à moi et j’étais comme fascinée. Puis un autre orateur est arrivé et je l’ai vu qu’il parlait à l’oreille d’un jeune homme de son entourage en me désignant de l’oeil. Le jeune homme est arrivé à mon côté et m’a murmuré également à l’oreille : « M. X veut vous voir tout à l’heure après le meeting à son hôtel. Montez directement chambre… » J’ai oublié de te dire que mon mari n’était pas présent. La politique ne l’intéresse pas beaucoup.

J’ai compris tout de suite qu’il y avait un lézard. M. X était réputé pour son activisme sexuel et il ne m’invitait pas dans sa chambre pour me parler politique. Mais à l’époque, j’avais atteint la quarantaine, j’étais installée et je n’étais pas non plus une de ces groupies de vingt ans prêtes à entrer dans n’importe quel lit pour trouver un job. Je me demandais si on ne lui avait pas parlé de moi comme une bonne militante et s’il ne voulait pas me récompenser. Restait à savoir comment. L’idée de coucher avec lui ne me déplaisait pas a priori. Tu le sais, je ne suis pas une oie blanche, j’ai eu des aventures et quitte à tromper mon mari, autant que ce soit avec une grande personnalité, tu ne crois pas ?
– Bref, tu as baisé avec lui.

– Attends, ne sois pas si pressée. Lui aussi était pressé et je l’ai calmé tout de suite lorsqu’il est entré après que j’ai bien poireauté dans la chambre. Il commençait à défaire sa cravate en me disant : « chère madame, je pensais que vous seriez déjà déshabillée ». Je lui ai répondu : « cher monsieur, j’ai 42 ans, je ne suis plus une minette qu’on saute en cinq minutes douche comprise ». Il m’a regardée, l’air surpris, et a éclaté de rire : « excusez-moi, je suis un peu énervé après ce meeting. Voulez-vous que je fasse monter du champagne ? » J’ai acquiescé, on a discuté puis on a bu et au bout d’un bon moment, j’ai accepté qu’il déboutonne ma robe. Je voulais le faire languir. Il s’est encore écoulé un bout de temps avant que je sois à poil et que je voie sa bite.
– Elle était comment, sa bite ?
– Pas mal. Bien raide en tout cas, à force de le faire lambiner, je l’avais fait durcir. Il était très impatient de me la mettre mais j’ai exigé d’abord un 69, moi dessus. Je voulais le tenir à ma merci, le dominer, lui le dominateur. Sans qu’il ait eu le temps de se relever, je me suis empalée sur lui. Je voulais qu’il voie mon cul en mouvement, c’est mon atout charme. Et de fait, il s’est exclamé : « putain, quel cul madame ! » J’ai louvoyé, virevolté, je me suis mise sur mes pieds, il me tenait les fesses en les écartant et en me mettant son pouce dans l’anus. C’était évident qu’il voulait me sodomiser. Puis je me suis retournée et je l’ai chevauché face à lui en lui tenant les bras. Quand enfin je l’ai relâché, il m’a littéralement sauté dessus et m’a mis de grands coups de bite en éructant. C’était sauvage, mais c’était terriblement bon. Je me sentais vraiment baisée. Il avait mérité d’avoir ce qu’il voulait, à savoir mon cul. Je me suis mise au bord du lit à quatre pattes et je l’ai regardé en lui disant : « encule-moi maintenant puisque c’est ce que tu veux, n’est-ce pas ? »
– Tu le tutoyais maintenant ?
– Oui puisqu’il m’avait abreuvé de cochonneries pendant qu’il me limait et je lui avais répondu sur le même ton. Plus tard, il m’a avoué avoir été très surpris par ma vulgarité, que ça ne collait pas avec mon image bcbg. Mais que ça l’avait terriblement excité. Bref, il m’a enculée, assez doucement au début, heureusement pour moi mais virilement ensuite si bien qu’il a joui dans mon rectum. Et j’ai joui aussi car je suis très sensible par là à force d’y avoir été honorée.
– Et vous vous êtes quittés définitivement ?
– Ben oui. Il avait eu ce qu’il voulait, il n’était pas déçu et moi non plus. J’ai gardé de lui une image particulière. J’y pense chaque fois que je le revois à la télé. Mais j’ai tout gardé pour moi et tu peux te vanter d’être une des rares personnes qui sait que j’ai couché avec lui. Remarque, on est tellement nombreuses que ce n’est même pas un privilège. Juste un bon souvenir. Bon, ce n’est pas tout mais il faut que je rentre maintenant, j’ai du boulot qui m’attend. Allez Cathy, bisous et à la prochaine à la gym. »

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