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Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d

Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d



Zoulikha est probablement la plus belle et plus sensuelle fille de la famille. Il s’agit d’une cousine germaine (enfin germaine, je ne sais pas trop ! Elle est la fille du demi-frère à mon père, par sa mère. Je ne sais pas trop comment on qualifie une telle cousine) de deux ans ma cadette et qui dès son plus jeune âge avait des grandes dispositions pour la gaudriole. Je n’ai réellement connu cette fille, que quand j’étais venu suivre des études supérieures à Alger. Je venais de ma Kabylie natale et comme tout boursier (c’est-à-dire qui n’avait pas les moyens financiers pour louer un appartement, même à plusieurs et vivre en dehors du monde estudiantin) je vivais en cité universitaire.
J’avais un oncle paternel – le fameux demi frère à mon père, par sa mère – qui vivait à Alger depuis très longtemps et qui avait cinq enfants, dont deux filles. Mon père m’avait demandé de me rapprocher de lui pour le cas où j’aurais besoin de quelque chose de particulier. J’avais trop d’orgueil pour m’abaisser à faire appel à la solidarité familiale pour vivre ; j’avais donc pris un travail à mi-temps pour compléter une bourse d’études nettement insuffisante. Je me débrouillais assez bien et n’avais donc aucun besoin d’aller quémander quoi que ce soit chez mon oncle.
J’avais été tout de même rendre une visite de courtoisie à la famille, pour annoncer ma présence à Alger (si je m’étais abstenu, la famille aurait très mal pris la chose et je risquais de créer un conflit malvenu entre frères). C’est à ce moment là que j’avais fait la connaissance de toute la famille: l’oncle, un ancien moudjahid qui avait atteint un âge avancé et qui souffrait des séquelles des tortures qu’il avait endurées au cours de la guerre de libération nationale; il était plutôt sympa avec moi, en qui il trouvait une oreille attentive pour ses récits de guerre et ses analyses de la situation politique du pays (en fait je crois avoir beaucoup appris à son contact, sur l’histoire du mouvement national algérien, auquel il avait très fortement contribué depuis son plus jeune âge) ; sa femme, beaucoup moins sympathique, mais qui avait tout de même fini par accepter ma présence qui allait devenir quasi permanente dans sa maison, parce qu’elle trouvait en moi un mentor pour les études de ses deux filles, qui devaient toutes les deux passer leur baccalauréat (Zoulikha pour la troisième fois); les trois frères dont le plus grand était ingénieur, le deuxième employé de banque et le troisième s’était engagé dans l’armée après son baccalauréat et était élève officier à l’Académie Interarmes de Cherchell.
Dès ma première visite à la famille de mon oncle, qui habitait à deux pas de l’université, j’avais été conquis par la beauté de ma cousine Zoulikha. Elle était grande et devait bien faire un mètre soixante-dix-huit, ce qui à cette époque – il y a maintenant une trentaine d’années – était très rare. Mais elle avait des rondeurs partout : rondeurs sur sa poitrine, qu’arrivait difficilement à contenir un chemisier sous lequel pointaient deux énormes seins, en forme d’obus de canon de gros calibre ; sur ses hanches larges et rondes ; sur son fessier bombé et haut perché ; ses longues jambes blanches et brillantes, comme si elles avaient été polies ou cirées, avaient un superbe galbe, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds super bandants (c’était d’ailleurs sur ses genoux, qui apparaissaient sous sa jupe légère et courte, que j’avais flashé en tout premier lieu) et des cuisses dont je ne n’apercevais que ce que ne cachait pas sa jupe et qui annonçaient un enfer de sensualité.
Son visage lui-même était rond. Pas joufflu ! Rond ! De cette rondeur délicieuse qui annonce une personnalité joviale et extravertie. Ce qui ne gâchait rien, ma belle cousine était une vraie blonde – une blonde kabyle, couleur blé doré – avec de superbes yeux verts, un petit nez légèrement retroussé et une bouche qui était un véritable piège à fantasmes. Ce n’était pas une de ces grandes bouches comme les avaient les actrices américaines ou italiennes que j’avais l’habitude de voir au cinéma ! Non une bouche de taille moyenne, tout le temps à demi ouverte, entourées de magnifiques lèvres ourlées et légèrement avancées (elle donnait l’impression d’être toujours en quête d’un baiser, tant ses lèvres étaient avancées !) laissant apparaître deux rangées de petites dents blanches et pointues ressemblant à des quenottes de chaton. Cette fille respirait la sensualité par tous les pores de sa peau. Et quand j’eus l’occasion de mieux la connaître j’ai découvert chez elle, non seulement de la sensualité, mais aussi une soif inextinguible d’érotisme que je n’avais encore jamais rencontrée jusque là.
Dès le début, mous avions sympathisé. Je n’étais pas mal de ma personne, sans être réellement beau. J’étais moi-même grand et pratiquais régulièrement du sport (J’étais à l’époque ceinture marron de judo et je m’apprêtais à passer les épreuves pour décrocher la ceinture noire). Et j’avais à cette époque déjà la prétention d’être assez viril pour satisfaire les besoins de n’importe quelle femelle en chaleur. J’avais eu auparavant quelques aventures – toutes avec des femmes mariées – qui m’avaient rendu vraiment prétentieux en matière de relations sexuelles.
J’avais bandé pour Zoulikha dès le premier jour. Elle n’avait pas attendu longtemps pour mettre la pression sur mes sens. Elle savait qu’elle était belle et bandante. Elle aimait transformer les garçons en boucs en chaleur et s’en amusait beaucoup. Elle avait une manière provocante de bouger et de mettre en valeur ses charmes ; une manière espiègle de me regarder, me sourire, sortir légèrement sa langue pour humecter ses lèvres ; et surtout une manière de s’assoir en remontant sa jupe pour laisser apparaître …sa culotte. Dès cette première fois, j’avais eu envie de la tirer et je sentais qu’elle aussi était partante pour une telle aventure. Il ne fallait qu’un déclic pour tout déclencher. Et c’est ce déclic que je mis longtemps à trouver.
Il me manquait l’endroit où l’amener. Cela ne pouvait pas être la chambre de la cité U, que d’ailleurs, je partageais avec deux autres camarades, qui pouvait faire l’affaire. Et je ne connaissais personne qui disposait d’un appartement et, surtout, qui pouvait me le prêter. Je ne voyais pas d’autre solution que la maison de mon oncle: elle était immense et chacun des membres de la famille disposait d’une chambre. Il en restait même une de libre, celle du frère qui était à la caserne de Cherchell pendant toute la semaine. Je me disais qu’il fallait trouver la solution pour que, de temps en temps, je passe la nuit dans la maison de mon oncle. Je ne me posais même pas la question de savoir si Zoulikha était d’accord : pour moi elle était totalement acquise ; il fallait seulement trouver où et quand (Quand je disais que j’étais prétentieux !)
Je mis beaucoup de temps pour trouver la solution. J’avais dû attendre les vacances universitaires d’hiver, pour mentir à mon oncle, en prétendant que la cité universitaire devait fermer pour les vacances et que, devant encore passer deux examens, je devais rester à Alger ; mais que je ne savais pas où aller. Mon oncle tomba dans le piège, surtout qu’il était bien content de trouver une oreille attentive à ses histoires sur la guerre et sur tous ses compagnons morts au maquis ou en prison.
Il me restait à convaincre la femme de mon oncle qui était plus réticente. La solution fut trouvée par la jeune sœur Farida, qui m’aimait beaucoup et qui prétexta qu’elle avait besoin de cours de philosophie et de littérature pour pouvoir décrocher son baccalauréat. Elle devait passer son bac cette année et comptait le décrocher, contrairement à sa grande sœur qui l’avait raté deux fois d’affilée et qui, elle devait le repasser.
Au cours de la première nuit que je passais dans la maison, je consacrais d’abord près d’une heure à mon oncle à discuter avec lui de l’histoire algérienne immédiate. Je le laissais parler, en relançant de temps en temps la discussion par une question. Mon oncle n’avait besoin que d’une écoute, même distraite, pour se lancer dans un long discours qui mêlait plein de choses : ses années de prison, la torture (un jour, il m’avait fait comprendre, à demi-mots, parce que ces choses là ne s’avouent pas, qu’il avait été émasculé par les paras de Bigeard au cours d’une séance de tortures visant à lui faire indiquer où se trouvaient ses compagnons de la bataille d’Alger), les premiers partis nationalistes, les trahisons, etc. Au bout d’une heure, son âge avancé aidant, il alla dormir.
Sa femme m’indiqua ensuite la chambre dans laquelle je devais dormir, après avoir donné son cours à Farida. C’était dans la chambre de Zoulikha que j’aidais Farida à comprendre les subtilités de la philosophie de l’absurde, telles que mises en valeur par Albert Camus. Pendant ce temps, Zoulikha était allongée dans son lit, lisant et relisant, elle-aussi, un cours de philosophie, auquel elle ne semblait rien comprendre (c’était la troisième fois qu’elle devait présenter son baccalauréat ; et cette fois-ci, j’en comprendrai les raisons un peu plus tard, elle présentait non seulement le bac algérien, mais aussi le bac français).
– Tu m’expliqueras après qu’est-ce que cela veut dire l’existentialisme ? dit-elle, en s’adressant à moi.
– Bien sûr ! Dès que nous aurons terminé, Farida et moi !
En la regardant avec plus d’attention, je remarquais qu’elle avait les épaules nues et que le drap qui la couvrait était simplement posé sur ses seins. Je les voyais qui pointaient fièrement sous le drap. Je venais de comprendre qu’elle était toute nue en dessous. Elle avait suivi mon regard et avait vu mes yeux qui brillaient de désir. Sa sœur lui tournait le dos; elle ne pouvait donc pas voir ce qui se passait derrière elle. Zoulikha me lança une œillade assassine et rabaissa le drap qui lui couvrait la poitrine pour me monter ses magnifiques seins nus, dardant vers le plafond. Mes yeux voulurent sortir de leurs orbites, tellement j’étais excité par la vision de rêve qui s’offrait à mes yeux. Heureusement que Farida était occupée avec son cours de philo ! Sinon elle aurait immédiatement compris, à ma bouche ouverte et à mes yeux brillant de luxure, qu’il se passait quelque chose d’impudique derrière son dos !
Et Zoulikha ne s’arrêta pas là ! Décidée à me provoquer et à faire bander comme un âne, elle se mit à se caresser les seins, en me regardant droit dans les yeux, avec un sourire ironique au coin des lèvres. Elle jouait avec ses deux tétons à la fois en les enroulant entre les doigts de ses deux mains. De temps en temps, elle léchait ses doigts et les ramenaient sur ses seins, comme si elle voulait les mouiller. Je n’y tenais plus ! Je voulais lui sauter dessus pour la tirer ! Mon sexe me faisait mal, tant il était tendu mais comprimé dans mon pantalon. Je voulais le sortir pour qu’il soit plus à l’aise et pour le monter à Zoulikha, afin qu’elle sache ce qui l’attendait. La présence de Farida m’empêchait de faire quoi que ce soit.
Je voulais qu’elle parte ! Qu’elle quitte la chambre ! Qu’elle aille dans la dormir ou étudier, qu’importe! Qu’elle nous laisse ensemble Zoulikha et moi ! J’avais envie de la prendre par le col et de l’emmener dans sa chambre ! Je la détestais de rester là à m’empêcher d’assouvir mon désir a****l de tirer sa sœur ! Et la garce de Zoulikha, qui devinait l’état dans lequel elle m’avait mis, poussa encore plus loin son avantage. Tout en continuant ses caresses sur un sein, elle releva ses jambes et fit remonter le bas du drap sur son ventre, laissant toutes nues ses cuisses et…sa chatte ! Je crois que je me mis à baver, tant le spectacle qui s’offrait à mes yeux était bandant ! Je n’avais jamais vu une chatte aussi belle !
Certes j’avais apprécié et aimé celles des quelques femmes que j’avais connues intimement : elles étaient belles, attirantes et excitantes. Mais il n’y avait aucune commune mesure avec celle j’avais sous les yeux, cette nuit là. C’était l’image du paradis ! Un mont de vénus en triangle, légèrement brun, bombé, brillant et parfaitement épilé ! Des grandes lèvres longues et dodues, de couleur mate, sans un seul poil ! Je me faisais la remarque qu’à dix neuf ans, elle savait s’épiler mieux que toutes les femmes que j’avais connues; y compris celles qui sortaient du hammam et qui venaient s’offrir à moi, avant de rejoindre leurs maris; je me rappelais qu’elles m’expliquaient le rite du hammam et de l’épilation comme une préparation à une nuit d’amour exceptionnelle avec leurs maris. L’épilation complète avait toujours dans nos contrées une résonance érotique.
Zoulikha ne se contenta pas de me montrer sa chatte. Elle entreprit aussi de la caresser, en même temps qu’elle continuait de caresser un sein puis l’autre. Elle introduisait un doigt entre ses grandes lèvres en me regardant droit dans les yeux, et le faisait aller et venir dans la fente en souriant. Elle voyait combien elle m’excitait et en profitait pour continuer à se masturber devant moi, sachant qu’à un moment ou un autre, j’allais me révolter et prendre possession d’elle. Et arriva le moment où ce fut elle qui ne résista plus. Elle regarda sa sœur et lui dit méchamment :
– Tu ne veux pas aller dormir et nous laisser seuls, Ali et moi !
Farida leva ses yeux du livre qu’elle étudiait, me regarda, regarda sa sœur et se leva pour quitter la chambre. Me regardant fixement, avec des larmes dans les yeux dont je ne comprenais pas encore la cause, elle dit :
– Je vais aller dormir ! Méfie-toi de Zoulikha elle va te vampiriser !
– Fous le camp ! te dis-je, répéta Zoulikha dune voix où s’exprimait de la méchanceté, que je n’arrivais pas non plus à comprendre. Tu sais bien que rien ne m’arrêtera ! J’ai envie de lui et il sera à moi !
Je ne comprenais rien de la guerre qui était entrain de se dérouler devant moi. J’avais envie de tirer Zoulikha et elle aussi avait envie que je la tire. Farida s’y opposait, pour je ne sais quelle raison. Moi je me fichais de tout ce qui n’était pas Zoulikha et son corps offert. Je la voulais ! Elle me voulait ! Et quoi de plus important? Quand Farida partit, je restais seul avec sa sœur dont le corps nu m’était offert. Je bandais très fort. Je m’approchai du lit pour mieux admirer la nudité de Zoulikha. Elle me fit signe de m’approcher encore plus près pour s’emparer de mon sexe très fortement compressé dans le pantalon, et qui ne demandait qu’à sortir. Elle le sortit et le regarda un moment sans rien dire. Je ne savais pas s’il lui plaisait et si elle le trouvait à son goût.
J’avais toujours pensé que j’avais un sexe, plutôt imposant ! D’une taille respectable ! Mais à la moue que venait de faire Zoulikha, je venais de comprendre qu’elle en avait vu de plus imposants. Je ravalais les mots de triomphe qui voulaient sortir de ma bouche et dit :
– Il n’est pas assez bien pour toi ?
– Si, mais j’en ai vu d’autres plus gros et plus grands. J’aime les gros zobs. Je jouis mieux avec eux ! Mais tu n’es pas un manchot ! Je crois que si tu sais y faire, je prendrais beaucoup de plaisir avec toi. Laisse-moi faire et tu verras ! Tu y trouveras autant de plaisir que moi !
C’est peut-être le moment de vous expliquer le quiproquo qu’il y avait entre Zoulikha et moi : je pensais avoir affaire à une jeune fille innocente et vierge qui avait des fantasmes sexuels, mais qui n’avait pas encore franchi le pas qui séparait les fantasmes de la réalité. Or Zoulikha, j’allais le comprendre à mes dépens (et c’était là que l’avertissement de Farida avait toute sa valeur) n’était ni vierge, ni innocente. C’était déjà une femme qui avait une bonne expérience des relations sexuelles, et qui plus est, avait des besoins de nymphomane !
Toujours pris dans mon désir de la tirer, je m’approchais d’elle, lui fit lever très haut ses jambes, mis la pointe du gland de mon sexe entre ses grandes lèvres et me mis à la tirer en force. Je m’attendais à ce qu’elle hurle de douleur, parce que je venais de la dépuceler ! Que nenni ! Elle accueillit mon sexe avec facilité et sans aucune espèce de douleur visible. Je continuais à la tirer, pour lui faire sentir la force de mon sexe et surtout pour lui donner du plaisir avant que j’en prenne moi-même. Elle gémissait doucement, mais ce n’était pas ce à quoi je m’attendais. Je n’étais maître de rien : pas même de la jouissance de ma maîtresse.
Je faisais faire à mon zob des allers-retours dans sa chatte qui coulait comme une fontaine. J’entendais les clapotis indécents que faisait mon sexe à chaque va-et-vient et je regardais ma belle sous moi, espérant la voir partir dans un très fort orgasme, qui m’aurait rendu fier de moi. Au bout d’un moment ce fut moi qui eus une éjaculation, assez forte pour me faire crier de plaisir, mais auquel manquait la jouissance de ma partenaire. Malgré tous mes efforts, je n’avais pas réussi à donner à ma partenaire le plaisir qui l’aurait faite hurler! Quelle honte ! Comment pourrais-je la regarder en face ? Ce fut elle qui parla la première :
– Ne t’inquiète pas ! Tu n’es pas le premier ! Je suis une nymphomane ! Une vraie ! J’aime le sexe ! Mais il m’en faut beaucoup pour me faire monter au septième ciel ! Parfois, je dois faire l’amour avec plusieurs hommes pour jouir et pour être rassasiée !
– Je croyais que tu étais vierge ! Tu n’as que vingt ans ! Et je viens de me rendre compte que, non seulement tu n’es pas vierge, mais qu’en plus j’ai été incapable de te satisfaire ! Je ne sais vraiment pas quoi penser ! Je suis si nul que ça ? J’avais toujours cru que j’étais un bon coup pour mes maîtresses !
– Non tu n’es pas nul ! Tu es un mec normal !
Normal ! C’était comme si elle m’avait poignardée ! Je venais de prendre pour mon grade ! J’étais un blanc-bec qui venait de recevoir une leçon ! Je voulais comprendre comment Zoulikha – ma belle Zoulikha – pouvait ne plus être vierge et surtout ne pas se contenter d’un sexe comme le mien et de mes coups de boutoir. J’étais ulcéré et… curieux ! Je lui demandais de s’expliquer. Elle hésita un moment et me raconta son histoire :
« Tu vois, cette année, ce sera la troisième fois que je me présenterai au baccalauréat. Les deux premières fois j’ai échoué, avec des notes vraiment ridicules. Je ne m’étais jamais réellement investie pour le décrocher. J’avais passées ces deux années à prendre mon pied avec des hommes. Mon professeur de physique – un coopérant français d’une quarantaine d’années – m’avait fait découvrir mon corps et le plaisir que je pouvais prendre, et celui que je pouvais donner, grâce à lui. Il était beau, grand et superbement viril. Il vivait avec une compatriote – une polynésienne – très belle, elle aussi prof de physique, qui l’aimait plus que tout et avec laquelle il avait des expériences érotiques particulières.
« Marc était beau ! Je fantasmais sur lui depuis le premier jour où il était entré en classe, pour nous donner un cours de physique. Je n’avais jamais rien compris à la physique et je m’en fichais éperdument ! Tout ce qui m’intéressait pendant ses cours, c’était lui ! Je m’imaginais entre ses bras ! Je le dévisageais sans vergogne, pour admirer ses magnifiques traits. Je fantasmais sur son corps et j’imaginais son sexe – non circoncis – entrain de bander pour moi ! Je mouillais ma culotte rien qu’en le regardant et en pensant à tout ce qu’il allait me faire, quand il acceptera de me prendre !
« Il avait remarqué que je ne m’intéressais pas à ses cours ! Il avait d’ailleurs fini par ne plus m’interroger et ne plus me faire monter au tableau, pour me ridiculiser devant mes camarades. Il avait compris, à mes regards de groupie, que j’étais amoureuse de lui et que rien d’autre ne comptait. Et puis un jour, au milieu de la première année, il me demanda de rester après le cours pour me parler. Je pensais qu’il allait me faire la leçon pour que je fasse des efforts pour m’intéresser à la physique. Au lieu de cela, il m’attrapa par la taille et se mit à m’embrasser avec passion (Je n’avais encore jamais été embrassée comme cela par un homme !) en me disant que je lui plaisais et qu’il avait envie de moi. C’était le dernier cours de la journée et nous étions seuls dans la salle de classe.
« Il me caressa les seins, dénuda ma poitrine, la trouva superbe et me dis qu’il avait envie de me dépuceler ici même. J’étais aux anges ! Je voulais vraiment qu’il fasse ce qu’il venait de dire : me dépuceler ! Je n’avais absolument aucun problème avec la virginité ! Je voulais m’offrir à Marc ! Je voulais qu’il soit celui qui déchirera ma membrane ! Celui qui me fera grimper aux rideaux ! Il ne pus pas le faire cette après-midi là à cause de l’agent de service qui vint nous déranger ! Mais le soir même,il en parla à sa compagne.
« Jacqueline m’invita le lendemain chez elle, à Ben Aknoun, dans le logement de fonction que le ministère de l’enseignement avait mis à leur disposition, son compagnon et elle. J’étais psychologiquement prête à toutes les aventures sexuelles, mais je ne m’attendais pas à celles qu’ils allaient me faire vivre. Cette après-midi là, Jacqueline m’avait fait découvrir l’amour homosexuel (elle m’avait presque violée pour me faire apprécier l’amour avec une femme) puis m’avait offerte à son compagnon pour qu’il me dépucelle et me fasse prendre mon pied. Marc me dépucela, pendant que Jacqueline me caressait les seins et m’embrassait. Je découvris ce jour là la signification de la formule « monter au septième ciel ».
« Il ne prit aucune précaution pour me préparer au dépucelage ! Il y alla à la hussarde et me fit très mal avec son immense gourdin ! Mais mon Dieu, aujourd’hui encore, je me remémore le plaisir que j’avais pris ce jour là, malgré – ou grâce à – la douleur et le sang du dépucelage. J’avais longuement hurlé mon plaisir et j’en redemandais ! Cette après-midi là, Marc m’avait tirée trois fois. J’étais rentrée à la maison, dans un état de béatitude totale, pleine de sang et de sperme. C’était comme si je venais de vivre un de mes nombreux rêves érotiques !
« J’en avais parlé à Farida, qui était encore très jeune. Il me fallait partager mon bonheur avec quelqu’un, et il n’y avait que Farida pour cela. D’ailleurs depuis, je lui raconte tout. Elle n’est pas d’accord avec la vie dissolue que je mène, mais elle n’a jamais caftée. Ma mère me croit encore vierge et rêve de me voir épouser un jeune homme de la bonne société. Mais moi tout ce qui m’intéresse c’est de baiser et de prendre mon pied. J’ai eu beaucoup d’amants depuis ; la quasi totalité était des amants que Marc et Jacqueline me présentaient et m’imposaient. Marc surtout adorait me partager avec des amis de passage.
« Jacqueline était plus possessive, parce qu’elle était tombée follement amoureuse de moi. Elle n’acceptait de me partager qu’avec son compagnon. Elle faisait la tête chaque fois qu’il y avait d’autres personnes avec nous, parce qu’elle savait que cela se terminait toujours par une partouze. Et c’était toujours moi qui faisais l’objet de la partouze ! Et j’adorais cela ! Plus il y avait de grosses bites en moi, plus j’étais heureuse !
« Et puis tu as débarqué dans ma vie ! Tu es mignon et j’ai tout de suite pensé que j’aimerais que tu participes aux séances chez Marc et Jacqueline ! Marc sera certainement content que j’amène un homme chez lui pour qu’il me baise devant lui. Il n’a jamais arrêté de me dire que tant que je ne saurais pas trouver par moi-même un amant qui m’aimerait et qui accepterait de me partager, je serais toujours une profane; une apprentie en amour ! Et moi je veux qu’il me considère comme une vraie pro ! Je veux qu’il me respecte, comme il respecte Jacqueline qui a une vie sexuelle et érotique, en dehors de lui. Tu veux bien m’accompagner chez eux, demain après-midi ?
J’étais abasourdi ! Je ne savais absolument pas quoi penser de ce que venait de me raconter Zoulikha ! J’étais même tenté, tant la chose me paraissait invraisemblable, de croire qu’il s’agissait d’une histoire à dormir debout qu’elle avait inventée de toutes pièces ! Mais en la regardant dans les yeux, je vis qu’elle était vraiment sérieuse.
J’avais reçu une éducation traditionnelle. Il m’était impossible de penser que je pourrais un jour participer à une réunion en groupe comme cela. Surtout d’y amener ma petite amie et la partager avec les participants; même si en retour, j’étais assuré de tirer la petite amie de quelqu’un d’autre. L’idée même que quelqu’un pouvait coucher avec Zoulikha m’était odieuse. Il m’était encore plus odieux d’assister à des orgasmes qu’elle aurait grâce à un autre homme (ou à d’autres hommes). Dans ma tête, depuis que j’avais décidé qu’elle serait ma maîtresse, je m’étais mis en tête que Zoulikha m’appartenait. Et même si ma première expérience avec elle n’avait pas été très concluante, j’avais décidé que lui ferais atteindre les plus hautes cimes du plaisir la prochaine fois qu’elle s’offrira à moi.
Je lui dis qu’il n’était pas question pour moi d’accepter de la partager avec qui que ce soit ! Que j’étais un Homme (avec un grand H) ! Que je l’aimais ! Et qu’elle m’aimait ! (je ne savais pas trop pourquoi je lui avais dit ça !). Elle ne pouvait appartenir à personne d’autre qu’à moi !
– Tu tiens vraiment à avoir des cornes ! Je suis incapable de me contenter d’un seul homme ! Même Marc, que pourtant je suis sûre d’aimer et qui sait me donner du plaisir est incapable de me satisfaire à lui seul ! Je ne prends réellement mon pied que quand il y a foule dans mon lit. Y compris avec Jacqueline qui vient se mêler à nous, mais que personne d’autre que moi n’a le droit de baiser ! Si tu es d’accord pour venir avec moi, non seulement tu me baiseras autant que tu veux, mais je t’offrirai Jacqueline qui n’aime pas trop les hommes (en dehors du sien) mais qui acceptera de s’offrir à toi, si je le lui impose ! Dis oui ! Ce sera super pour nous tous !
– Cela veut dire que je ne compte absolument pas pour toi ! Tu veux m’utiliser pour satisfaire l’homme que tu aimes vraiment : Marc !
– Oui ! Tu acceptes ?
Je ne répondis pas, mais je savais – et elle aussi – que j’avais abdiqué. Le bel amour que je croyais vivre avec Zoulikha était entrain de se transformer en cauchemar. Mais je ne voulais pas abandonner. Je voulais encore croire qu’elle finira par m’aimer et se contenter de l’amour que je lui donnerai. Je me dis qu’il valait peut-être mieux l’accompagner dans ses expériences amoureuses à plusieurs, pour être là au moment où elle décidera de tout arrêter et de me revenir.
Elle n’arrêta rien et surtout ne me revint pas ! Le lendemain, nous prîmes tous les deux le bus des étudiants pour nous rendre à Ben Aknoun. Nous nous rendîmes à la cité où vivait la colonie des coopérants techniques étrangers. Zoulikha sonna à la porte d’un appartement dans un bâtiment de quatre étages. La porte s’ouvrit sur une splendide plante, de type asiatique, grande, mince et brune. Elle était habillée d’une simple nuisette bleue qui ne cachait absolument rien de son corps de sirène : épaules larges et rondes; poitrine large avec une paire de petits seins oblongs, hauts perchés et tendus vers l’avant; un ventre plat; une taille fine; des hanches étroite; un fessier de pouliche super cambré et des jambes longues et fines. Elle avait un merveilleux sourire sur sa grande bouche lippue; sourire destiné exclusivement à Zoulikha, qu’elle prit dans ses bras et à qui elle roula une longue pelle de femme amoureuse. A la forte passion contenue dans le baiser, je compris qu’entre elles il y avait beaucoup plus que de l’amitié ou du sexe : Jacqueline était amoureuse folle de Zoulikha !
Quand elles se séparèrent Zoulikha me présenta à son amie qui m’embrassa moi aussi sur la bouche; avec, bien entendu, beaucoup moins de passion !
– Entrez mes chéris ! fit-elle, d’une voix où perçait un étrange accent (que je sus plus tard être originaire de Tahiti, en Polynésie française; ce qui expliquait aussi ses légers traits d’asiatique). Marc est au salon entrain de corriger des copies ! Allons le rejoindre !
Zoulikha s’élança comme une folle vers le salon. En arrivant quelques secondes plus tard devant l’entrée du salon, je me trouvais devant une scène surréaliste: ma cousine était entrain d’embrasser sur tout le visage un mec en robe de chambre; elle défaisait fébrilement le cordon qui fermait la robe, écarta les pans et continuait ses baisers fiévreux sur la poitrine velue qui se présentait à elle. Sa main alla immédiatement vers le bas ventre de l’homme à la recherche du membre, qui commençait à grandir et grossir dans sa main. Ebahi, je regardais le sexe prendre des proportions gigantesques. Le mec avait un sexe énorme ! Comparé à lui, le mien que jadis je croyais être de bonne taille, me paraissait tout riquiqui. Je me rappelais et compris la moue qu’avait faite Zoulikha quand elle l’avait vu.
Ayant complètement oublié ma présence (ou s’en fichant éperdument) Zoulikha se mit à genoux devant l’homme et se mit à embrasser, lécher et sucer avec avidité l’énorme manche. Pleins de sentiments s’entrechoquaient en moi, qui allaient de la honte de voir ma cousine aux pieds d’un homme, à la jalousie de découvrir son amour pour ce même homme, en passant par la curiosité de connaître jusqu’où tout cela pouvait aller, jusqu’à l’excitation qui s’insinuait petit à petit en moi et qui allait en grandissant. Je regardais Jacqueline qui était restée debout à mes côtés à l’entrée du salon, souriait de toutes ses dents en observant la scène. Elle se tourna vers moi pour me dire :
– Je te présente Marc, notre maître !
J’allais de surprise en surprise. Marc était le maître ! Cela signifiait qu’elles lui étaient totalement soumises et qu’il pouvait faire d’elles tout qu’il voulait. Je pensais que je venais de tomber dans une espèce de secte et que j’assistais à un rite initiatique.
– C’est comme cela à chacune de nos rencontres ici, dans cet appartement : chaque fois que nous rencontrons Marc, nous devons nous occuper de réveiller sa virilité et lui appliquer une fellation d’enfer. Regarde bien comment va s’y prendre Zoulikha pour faire jouir son maître avec sa bouche et comment elle va ostensiblement avaler son sperme.
Je ne répondis rien et continuais de regarder la scène avec curiosité et jalousie: je n’étais pas gêné que Zoulikha suce une belle queue, je voulais seulement que cette queue soit la mienne. Je voulais qu’elle prenne autant de plaisir à me bouffer le manche, qu’elle le faisait avec Marc. Je voulais qu’elle me fasse jouir dans sa bouche et qu’elle avale mon foutre. Je voulais que ce soit moi son maître, pas ce géant blond, au regard bleu acier, aux traits dessinés à la serpe et au sexe aussi immense que celui d’un étalon. Elle était entrain de s’enfoncer le gros dard jusqu’au fond de sa gorge, tout en le masturbant avec énergie. Je voyais le regard de l’homme se voiler et sa bouche s’ouvrir légèrement pour laisser passer de tous petits gémissements à peine audible. Il prenait du plaisir en silence. Il ne disait rien. Il se contentait de commander les mouvements que faisait la bouche de sa maîtresse sur son sexe. Pour cela, il tenait la tête de Zoulikha avec une seule main et exerçait sur elle des petites pressions pour lui indiquer d’accélérer le rythme ou bien au contraire de le ralentir, d’aller plus au fond dans sa gorge ou de sortit complètement le monstre pour le faire repartir de plus loin.
Zoulikha ne semblait aucunement gênée ou incommodée par cet énorme sexe qui pilonnait sa bouche. Au contraire, elle semblait prendre du plaisir à manœuvrer le manche autant avec sa bouche et sa langue, qu’avec sa main qui continuait de le branler énergiquement. Je regardais le visage de l’homme qui commençait à changer de physionomie : ses yeux se voilaient de plus en plus; sa respiration devenait très rapide et haletante; ses lèvres se tendaient et de la salive commençait à dégouliner de la commissure de ses lèvres. De toute évidence, il allait jouir. Il le fit en attrapant Zoulikha par les cheveux et en l’obligeant à faire aller sa bouche de plus en plus vite sur son manche. Il éjacula une première fois dans la bouche de sa maîtresse (pas dans la gorge, comme moi je l’aurais fait) et toutes les autres fois sur le visage et le cou de sa partenaire, en substituant sa main à celle de Zoulikha et en continuant lui-même l’opération de masturbation.
Elle était pleine de foutre blanc et épais, qui dégoulinait d’entre ses lèvres et de son menton. J’assistai alors à une autre scène surréaliste : Zoulikha ouvrit la bouche pour montrer à son maître tout le sperme qu’elle avait gardé sur la langue, se tourna vers moi et Jacqueline, nous fit un sourire de femme heureuse et avala tout le sperme avec délectation. L’homme regarda alors sa compagne et lui fit signe d’approcher et de venir se servir elle aussi. Elle fonça droit sur Zoulikha, se mit à genoux en face d’elle et se mit à lui lécher le visage et le cou pour avaler tout le sperme qui y était étalé. Elle la déshabilla totalement et ma cousine se retrouva toute nue devant nous, exhibant avec fierté son fabuleux corps. Elles étaient restées à genoux toutes les deux (j’avais la vague impression que cette situation de femmes à genoux devant l’homme était une posture volontaire, peut-être même imposée par lui) Je vis deux femmes l’une à côté de l’autre, les yeux brillant de bonheur, regardant leur maître avec reconnaissance. Je ne savais plus quoi penser. Je n’avais plus une seule idée claire.
Par contre je remarquais que mon sexe était en érection. J’avais été très excité par tout ce que je venais de voir. Marc me regarda un long moment comme s’il me jaugeait et qu’il voulait lire en moi ce que je pensais et ressentais. Au bout d’un moment, il s’adressa à Jacqueline :
– Notre jeune homme est tout émoustillé ! Occupe-toi de refroidir ses instincts.
Jacqueline, toujours à genoux en face de Zoulikha, se retourna et me fit signe de m’approcher d’elle. J’allai vers elle en trainant un peu la patte, ne sachant pas à quelle sauce j’allais être mangé. Arrivé à son niveau, elle tendit les mains vers ma braguette pour l’ouvrir et en sortir le sexe. Je bandais mais pas encore très fort. Zoulikha, vint se mettre à côté d’elle et se mit de la partie. Jacqueline caressait très légèrement mon manche, juste ce qu’il faut pour que je ressente comme une légère décharge électrique. Mon sexe fit un bond et se mit à frémir. Je voulais contrôler mon érection sans y arriver. Tout m’échappait. J’étais à la merci des deux femmes qui se passaient l’engin à tour de rôle : l’une, Jacqueline, me masturbait en douceur, l’autre Zoulikha me suçait avec vigueur. L’une, Zoulikha imposait le rythme par les mouvements d’allers-retours qu’elle faisait faire à sa bouche sur mon membre; l’autre Jacqueline me masturbait, en profitant du moment où mon sexe était le plus à l’extérieur de la bouche de Zoulikha, pour faire repartir sa main en sens inverse.
Je croyais avoir connu toutes les sensations du plaisir sexuel ! Quelle prétention ! Ce que je ressentais là dépassait de très loin tout ce que j’avais déjà éprouvé et même ce à quoi je n’avais fait que rêver. La bouche de Zoulikha était chaude, humide et moulée exactement aux dimensions de mon manche. Elle le faisait pénétrer sans aucun effort jusqu’au delà de sa glotte et le faisait ressortir jusqu’à quelques centimètres de ses lèvres, pour le réintroduire d’un seul coup au fond. C’était comme si je baisais cette bouche qui était aussi douce, chaude et gluante qu’un vagin. La main qui me masturbait était aussi très douce ; elle profitait de la salive que mon sexe ramenait de la bouche de Zoulikha pour l’utiliser comme lubrifiant. Cette double sensation de pénétration et de masturbation était tellement agréable que j’aurais voulu qu’elle dure éternellement.
Mais le plaisir était si fort que j’avais un mal fou à me retenir. Je sentais l’orgasme arriver à toute vitesse et j’étais incapable de le retenir. N’y tenant plus, j’attrapais la tête de Zoulikha et l’obligeait à aller plus vite sur mon membre. Elle obéit et, immédiatement, elle reçut une très forte giclée de sperme qui, contrairement à celle de Marc, alla au fond se gorge. Elle retira vite sa bouche et laissa faire Jacqueline qui continua à me masturber, cette fois-ci avec énergie pour faire sortir tout le reste du foutre qui alla s’étaler sur le visage, le cou et les seins de Zoulikha. Quand je n’avais plus rien à éjaculer, Jacqueline se désintéressa de moi, pour s’occuper de lécher son amie et d’avaler tout le foutre qu’elle avait sur le corps.
Elle en profita pour l’embrasser passionnément et lui caresser toutes les parties de son corps. Jacqueline, de toute évidence éprouvait de la passion pour Zoulikha : elle l’aimait et aimait son corps. Sa manière pleine de tendresse de l’embrasser et de la caresser, prouvait ce trop plein d’amour. Et Zoulikha se laissait faire ; je ne savais pas si elle avait pour son amie, les mêmes sentiments, mais elle aussi, semblait apprécier les caresses et les baisers de Jacqueline. Elles en étaient là à sa bécoter pendant un moment quand je vis Marc s’approcher de Zoulikha, par derrière, se mettre à genoux lui aussi, lui prendre les hanches et les relever et enfoncer son immense sexe dans l’un des trous de ma cousine. De là où j’étais, je ne voyais pas s’il l’enculait ou s’il s’occupait de sa chatte.
Zoulikha poussa un petit cri de joie, se retourna et lança un superbe sourire à son amant. Je le vis qui la tenait fermement par la taille et qui se mit à pilonner le trou qu’il investissait avec brutalité. Zoulikha criait que c’était bon, qu’il fallait qu’il continue à la tirer, qu’elle aimait être enculée (c’était donc son cul qu’il pilonnait comme cela !) par son maître. Elle n’arrivait pas à retenir sa salive qui coulait à flots sur les épaules de Jacqueline qui continuait à l’embrasser avec tendresse et à lui caresser les seins. Marc leva la tête vers moi et dit :
– Qu’est-ce que tu attends pour baiser Jacquie (c’était comme cela que lui appelait sa compagne).
Je ne savais pas quoi faire. Tout ce que je savais, c’est que je devais obéir au maître. Tous dans cette maison obéissaient au maître ! Et moi aussi, me dis-je ! Je me mis moi aussi à genoux derrière Jacqueline, lui relevai les pans de sa nuisette sur le dos, abaissai la petite culotte noire qu’elle portait et relevai ses hanches pour qu’elles soient à hauteur de mon sexe. Je plongeai mes doigts entres ses grandes lèvres (que je ne découvris qu’à ce moment là et que je trouvais aussi belles et aussi bandantes que celles de Zoulikha !) pour vérifier leur degré d’humidité, trouvai qu’elles coulaient d’excitation, et plaçai le gland à l’intérieure de la raie. Jacquie, ne se retourna même pas pour voir ce que j’étais entrain de lui faire; elle cambra davantage ses reins et s’offrit à la saillie, comme la superbe pouliche qu’elle était. Je la pénétrai d’un coup et découvrit un autre monde de plaisir intense : la chaleur, l’humidité, la viscosité, l’élasticité du lieu me donnait une telle sensation de plaisir et de bien-être que j’avais peur de défaillir. Mon sexe qui avait adopté le même rythme que celui imposé par Marc dans le cul de Zoulikha, avait trouvé le paradis dans le vagin de Jacqueline.
Il moulait mon manche, comme s’il avait été créé pour lui. Furtivement, je me demandais si Marc la tirait souvent, parce qu’avec le monstre qu’il avait entre les cuisses, il ne pouvait pas avoir gardé le vagin de sa maîtresse dans cet état d’étroitesse. Je n’avais de ma courte vie d’amant, jamais rencontré une femme qui avait un vagin aussi élastique; aussi moulant. J’avais l’impression qu’une main très douce et ferme attrapait mon sexe et le masturbait à l’intérieur du tunnel. Quelle merveilleuse sensation ! Je crois que sans même m’en rendre compte, j’avais rempli le dos nu de ma partenaire de salive. Je devais baver comme une fontaine, tellement j’avais de plaisir !
Je regardai Marc en face de moi ; il avait levé la tête et je voyais à son visage, qu’il n’allait pas tarder à jouir. Comme tout à l’heure dans la bouche de Zoulikha, je le voyais qui haletait et gémissait doucement. Je voyais ses lèvres se tendre et un filet de salive sortir de la commissure de ses lèvres et aller s’étaler entre les omoplates de son amante. Je le vis qui tirait de plus en plus fort sur les hanches de sa maîtresse et celle-ci accélérer sa respiration et accroitre l’intensité de ses cris. Il n’y avait que Jacquie qui ne montrait rien ; elle était toujours blottie entre les bras de son amie qu’elle continuait de caresser et d’embrasser. Et puis tous les trois, Zoulikha, Marc et moi, partîmes d’un énorme râle de plaisir et déchargeâmes. J’éjaculais tout ce qui restait en moi de sperme dans le vagin de ma partenaire, qui, elle, continuait à ronronner entre les bras de son amante, mais qui ne paraissait pas avoir déchargé de cyprine supplémentaire montrant qu’elle avait joui.
Marc avait éjaculé à l’intérieur du rectum de Zoulikha et continua un moment de la pilonner pour totalement se vider. Quand il se retira, il resta un moment contemplatif derrière sa maîtresse, regardant avec un œil amusé d’enfant, le sperme blanc, mélangé à un liquide plus marron, couler de l’anus de sa belle. Il plongea subitement son doigt dans le cul de sa partenaire et le porta à son nez pour en humer l’arôme.
– Ton cul sent toujours aussi bon ! dit-il à Zoulikha, en l’embrassant sur l’arrière du cou, presque aussi tendrement que le faisait toujours Jacquie.
Moi-même je sortis de la chatte de ma partenaire et m’affalai sur son dos. Elle ne me laissa pas y rester longtemps. J’avais joui comme jamais je ne l’avais fait, mais je sentais une espèce de gêne vis-à-vis de la femme que je venais de tirer. De toute évidence, elle n’avait pas pris de plaisir à se faire prendre par moi. J’en avais honte et me fis une espèce de complexe. Je lui demandai pourquoi elle n’avait pas aimé être pénétrée par moi. Elle ne répondit pas. Elle se contenta de me sourire et de regarder son compagnon avec un regard qui semblait dire beaucoup de chose : la fierté d’avoir fait ce que lui voulait qu’elle fasse : il l’avait offerte à un garçon et elle avait accepté ! Il avait exigé d’elle qu’elle avale mon sperme et elle l’avait fait ! Il la voulait à genoux devant lui et moi, elle s’était mise à genoux !
Ce fut Zoulikha, quelques moment plus tard, quand tout le monde se retrouva rassasié et assis, qui sur le canapé qui sur les fauteuils du salon, qui m’expliqua que Jacqueline n’aimait pas faire l’amour avec les hommes. A l’exception de Marc, qui lui était son maître et parfois seulement son amant, elle n’appréciait pas d’être pénétrée par le sexe d’un homme. Si elle m’avait laissé faire, c’était par amour pour elle, Zoulikha, et par obéissance à Marc, son maître. Je n’avais donc pas à me formaliser de son manque de réaction à mes coups de boutoir.
– Mais elle a une chatte merveilleuse, élastique, chaude et moulante ! Faites pour accueillir un zob et l’emmener au paradis ! Ce n’est pas normal qu’elle n’aime pas se faire tirer avec une telle chatte !
– C’est comme ça !
Nous restâmes ainsi environ deux heures à discuter de tout et de rien. Marc avait repris ses corrections des copies de ses élèves et Zoulikha resta assise à même le parterre, à le regarder avec des yeux pleins d’amour et de tendresse. Le même regard, que Jacqueline lui portait à elle! A un moment la sonnette de la maison retentit et Jacquie partit ouvrir. C’était deux amis du couple, des coopérants eux-aussi, qui étaient venus prendre l’apéritif. Trouvant Zoulikha à la maison tous les deux se précipitèrent sur elle et l’embrassèrent avec enthousiasme. Ils semblaient la connaître très intimement; ils la tripotaient en même temps qu’ils l’embrassaient et discutaient avec elle. Elle ne semblait ni gênée, ni incommodée. Au contraire, elle semblait apprécier la présence des deux hommes. Ses yeux se remirent à briller. Je commençais à bien connaître la signification de ces yeux qui brillaient de luxure. Elle avait reniflé le sexe et en bavait par avance !
Mais ceci est une autre histoire qui me fit découvrir jusqu’où la nymphomanie de Zoulikha pouvait aller.

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