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Dans l’ascenseur

Dans l’ascenseur



Depuis de nombreuses années je n’ai pas cessée de renouveler les expériences sexuelles très diverses, c’est un besoin que je ne peux pas refréner, ce récit en est encore un exemple.

Un grand centre commercial avec un supermarché s’est ouvert il y a quelques mois dans ma ville à côté de la gare SNCF, pas loin de mon lieu de résidence.
Il y a beaucoup de magasins sur deux étages et je m’y promène souvent.
Je prends beaucoup de plaisir à passer d’un magasin à l’autre en essayant des vêtements la plupart du temps sans acheter.
Beaucoup ont du personnel exclusivement féminin.
Ce n’est que lorsque je dois faire un cadeau à mon mari que je m’intéresse à ceux qui vendent des vêtements masculins. Je prends mon temps et j’en visite beaucoup cherchant à me faire remarquer par les vendeurs et accaparer leur attention ce qui n’est pas bien difficile avec mon air aguicheur et ma tenue sexy.

Dans un magasin d’articles pour hommes un vendeur avec beaucoup de patience me conseille et je suis très indécise, je reviens plusieurs fois voir les mêmes choses à plusieurs jours d’intervalle.
L’homme est assez grand, brun et mignon et je ne dirais pas non pour une petite aventure avec lui, en réalité c’est ce que je cherche.
La même personne se précipite à chaque fois et semble plus attirée par moi que par une vente. Comme la bonne salope que je suis je décide d’en profiter.
Pour commencer je joue les allumeuses.
En plus des regards appuyés et des sourires je me baisse pour regarder longuement les articles placés les plus bas sur les étagères et évidement quand je suis courbée ma jupe courte ne dissimule pas mon string ni mes fesses, je me penche également en avant pour voir les articles posées sur les tables centrales et avec mon maillot à bretelles mes seins ont tendances à sortir du vêtement, je fais semblant de ne m’apercevoir de rien lui laissant largement le temps de s’user les yeux et de fantasmer.
Le vendeur troublé ne peut détacher son regard du spectacle que je lui offre.
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Je ne suis pas à un mensonge près moi qui ai déjà monnayée des achats en écartant les cuisses.
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lors de ma troisième visite je viens habillée très sexy, à son regard je note qu’il n’est pas indifférent à mon charme, j’avance mes pions.
Ce n’est pas la remise qu’il peut me faire qui m’intéresse mais l’homme.
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Il ne sait plus ou il en est ni quelle attitude adopter.
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Je continue à parler un moment avec lui pour bien le mètre en condition.

Le lendemain je suis ponctuelle et quand Daniel le vendeur me voit arriver il sort rapidement du magasin et me demande d’aller l’attendre devant une porte de service au bout d’un couloir.
Heureusement qu’il m’a bien décrit les lieux car il faut emprunter une dédale de couloirs et je me serais perdue.
Quelques minutes plus tard il arrive poussant un chariot rempli de cartons vides qu’il a aplatis.
Nous atteignons un ascenseur, il pénètre à l’intérieur et je le suis, il y a de l’espace car il sert pour les livraisons qui arrivent souvent par palettes.
Arrivés à destination il actionne un interrupteur sur le tableau de commandes et l’ascenseur s’immobilise.

Excité et pressé il me plaque contre une paroi et m’embrasse, nos langues s’activent dans des baisers qui durent.
Je sens contre mon ventre son sexe bien gonflé et qui me semble avoir de bonnes dimensions, je le caresse par dessus son pantalon.
Tout en m’embrassant il se montre impatient une de ses mains se glisse dans mon maillot, soulève mon soutien-gorge et caresse mes seins.
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je retire mon maillot, il les regarde et les malaxe.
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Voracement il lèche et embrasse ma poitrine puis il suce les tétons comme s’il tétait.
Pendant ce temps une main à soulevée ma jupe et s’est glissée dans mon string, il caresse mon sexe puis un doigt s’introduit dans mon intimité.
Pour ne pas être en reste j’ai déboutonné son pantalon et descendu le zip, le vêtement gît maintenant à ses pieds accompagné de son caleçon.
Je triture et caresse sa grosse queue bien érigée.
Il dégrafe ma jupe qui tombe au sol, je l’aide pour que mon string la rejoigne.
Nous posons nos habits devenus inutiles sur les cartons.
Daniel regarde mon corps pendant un moment.
<<ça te conviens, tu n'es pas déçu>>.
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Accroupie j’embrasse et lèche son gros pénis pendant qu’il caresse mes cheveux une main posée sur une de mes épaules, son corps frémit.
Il sursaute quand je prends sa queue dans ma bouche et que je la fais pénétrer jusqu’au fond de ma gorge mais pas entièrement car elle est trop longue.
Je suce avec application malgré qu’avec ses belles dimensions sa verge écartèle ma mâchoire.
Son corps bouge pendant que je lui fais une fellation, il me paraît très sensible.
Ma bouche fait des aller-retour rapides sur sa queue et ne tarde pas à déclencher sa jouissance, elle augmente encore de volume et avec des soubresauts importants éjacule au fond de ma gorge pendant que les mains de Daniel broient mes épaules. j’avale une bonne quantité de sperme.
Je me relève, il me plaque jambes écartées contre la paroi de l’ascenseur et face à moi plante son pieu dans ma chatte et ses jambes un peu pliées, ses mains placées sur mes fesses il défonce ma chatte tout en arrêtant de temps en temps les va-et-vient de sa queue pour me pétrir les seins, agacer les tétons ou m’embrasser, je caresse son dos avec une main pendant que de l’autre je me cramponne à lui.
Il ne me fait pas de cadeau, sa grosse queue qui force les chairs de mon intimité commence à me faire de l’effet et je mouille.
Il s’active un bon moment et le plaisir monte dans mon ventre jusqu’au moment ou son corps se raidit et agité de tremblements il éjacule dans mon vagin.
Il se retire et me courbe les bras en appui sur les cartons et de nouveau sa queue s’enfonce dans ma chatte pendant qu’il me prend en levrette puis il se recule.
Son pénis bute dans la raie de mes fesses, avec une main il le positionne contre mon anus puis s’aidant du poids de son corps il le fait coulisser dans mon cul.
Bien que gluante de sperme la verge pénètre difficilement et écartèle les chairs. La pénétration est un peu douloureuse.
Les aller-retour de sa verge enserrée dans mon anus sont d’abord lents puis il les accélère petit à petit quand il sent que le coulissement devient plus facile.
Il me défonce longtemps pendant que je caresse ses bourses et que lui masturbe mon clitoris ou triture mes tétons, le plaisir redevient insupportable dans mon ventre et avec des contractions de mon vagin j’ai un orgasme pendant que de la cyprine s’échappe de ma chatte.
Il continue à me défoncer pendant que le plaisir que je ressens ne baisse pas et qu’enfin il arrose mes intestins.
Nous nous rhabillons et il va mettre les cartons dans un local puis remet l’ascenseur en route pour remonter à l’étage. Ce qui est bien quand l’ascenseur s’arrête à cet endroit personne ne peut y accéder sans avoir la clé de la porte du local.
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Il remet l’ascenseur en route et quand arrivé à l’étage la porte s’ouvre plusieurs personnes sont là à attendre énervées et les réflexions fusent.
Dans les couloirs en regagnant son magasin il me demande d’attendre avant d’y entrer afin qu’on ne nous voient pas ensemble.
J’ai quand même le temps de l’embrasser et de caresser son sexe sans qu’il aie le temps de m’en empêcher.
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Quand j’entre dans le magasin Gabriel est en train de raconter à ses collègues qu’il s’est trouvé bloqué à l’étage des poubelles car quelqu’un avait monopolisé l’ascenseur.
Il se précipite vers moi le sourire aux lèvres.
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Je le suis à la caisse et constate en regardant le ticket de caisse qu’il ne s’est pas moqué de moi.
Je paie et lui murmure:
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Il sourit.
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Je sors du magasin mon achat à la main satisfaite de la petite récréation et prête à renouveler l’expérience une autre fois avec cet homme ou un autre s’il me plait.

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