Je suis une belle black de 35 ans et j’aime bien baiser. Mais je n’ai jamais rien fait de spécial côté fantasme. Cette fois, je voulais passer à l’acte. Cela faisait plusieurs jours que je me branlais 3 à 4 fois de suite.
Déjà toute excitée et mouillée car je ne m’étais pas finie cette fois, je décidais de mettre une micro-jupe et un chemisier, ainsi des cuissardes.
J’arrivais dans le bois de Boulogne vers 16h et garais ma voiture. J’avais un peu peur de descendre car des gens de bonne famille et des enfants se promenaient. Mais très excitée par ma tenue et par ce vent, je souhaitais tout simplement me promener dans le bois en sentant ce vent sur ma peau.
Quand le danger semblait écarté, je descends rapidement de voiture en me disant tu ne peux plus faire marche arrière.
Je marche vite puis ralentie en me disant:
Cool, t’es pas la seule femme à te trimbaler avec une jupe aussi courte.
Je me détends alors et marche mes clefs de voiture à la main.
J’emprunte aussitôt un petit sentier: je me sens bien. le vent sur ma peau, la liberté. je mets mes mains dans mes cheveux et souris de plaisir.
Un homme me croise alors. Je le regarde à peine. quand il me dépasse, je me retourne: il me regarde et fait demi-tour. il marche hésitant.
Je suis alors très excitée: je me penche volontairement pour faire mine de ramasser quelque chose en face de moi. Je ne porte pas de culotte et sais qu’il voit mes fesses. Je mouille et poursuis ma route. Un second homme me croise, me sourit. Je lui réponds à son sourire plus sûre de moi. Je m’enfonce dans les bois, souhaitant qu’on m’ait repérée et qu’on me suive. J’ai envie d’exciter un homme. Je me dis que si ça se passe mal, si je ne maîtrise plus rien, je prendrai un autre sentier pour les semer.
Je continue ma route en ralentissant parfois. personne ne vient. Je suis excitée et déçue. J’ai envie que l’on me suive, j’ai envie d’allumer. Je m’arrête alors un instant en pensant que j’ai peut-être marché trop vite.
Alors, le second homme arrive: que faire? Demi-tour? Ou jouer encore un peu? Trop tard, il est là.
Bonjour, on se promène.
Oui j’adore ça. toute seule sans personne pour m’embêter.
Tu as raison, il fait beau. Tu es belle.
Il s’agit d’un portugais d’une 50 aine d’années, très quelconque. qu’importe. L’essentiel est que je l’excite et que je me casse après.
Je marche alors en me dandinant et me penche pour prendre une feuille, ou plutôt pour qu’il relooke mon cul. C’est chose faite.
Oh, t’es bien foutue
Ça suffit, laissez moi tranquille. Je me promène disais-je comme une hypocrite;
Je n’avais qu’une envie: qu’il me pelotte le cul.
T’as raison, il faut en profiter.
Alors que je m’enfonce davantage dans le bois volontairement excitée en me disant que personne ne pourrait me voir ni me secourir en cas de besoin.
J’avais en effet ce désir d’être suivie par un inconnu, voir importunée. Je mouillais de plus en plus en me disant mais il va me régler mon compte.
J’avançais rapidement quand il mit sa main sur mon cul:
C’est beau. Fais voir comment est ta chatte.
Il mit alors sa main sur ma chatte et sentit que j’étais mouillée.
Je me débattis et avançai encore plus vite afin de l’exciter.
Le résultat ne se fit pas attendre. Il me rattrapa et me caressa le clito. je me mis à geindre aussitôt écartant les jambes. Je m’offrais comme une salope.
Le liquide ruisselait entre mes cuisses. J’étais heureuse. Il passa alors son pouce à l’entrée de mon cul.
Hypocritement, je lui dit:
Non.
Il poursuivait sans s’occuper de moi. Je me collais alors sur un arbre, lui présentant mon cul. Il me caressait inlassablement la chatte et le cul.
Puis il me dit:
Y’a un autre homme qui t’a remarqué. Tu veux qu’il nous rejoigne.
Oui.
Alors qu’il partit le chercher, je repris mes esprits en me disant qu’avec 2 mecs je risquais bien d’être pénétrée. Je n’en n’avais pas réellement envie.
Le second homme arriva et je fis la sainte-nitouche.
Pourquoi me suivez-vous tous les 2?
Le portugais:
Arrête. Montre-lui ton cul. Il est beau
Il s’approcha de moi et souleva mon bout de tissu. Je marchais alors voulant les éviter mais mon cul leur était visible à cause de la jupe trop courte qui ne s’était pas rabaissée.
Les 2 hommes pressèrent le pas. J’étais excitée et haletante. Tous 2 s’approchèrent de moi et je sentis leurs mains sous ma jupe. Je me laissais en gémissant de plaisir.
Vas-y. Entre, elle demande que ça.
Je ne le souhaite pas mais mon corps dit tout le contraire. D’ailleurs je touche la queue du nouvel inconnu. Il commence à bander. Alors qu’il me tripote la chatte, je presse sa main pour lui montrer combien c’est bon et recule mon cul vers sa bite.
Il hésite alors et dit au portugais:
Elle n’a pas de capuchon.
Il a raison, j’en ai pas.
Reviens demain avec un préservatif me dit le portugais.
Je lui dis oui à 16 h et m’enfuis honteuse et un peu remise de mes émotions.
Bien entendu ils ne me reverront jamais.
Je n’ai jamais été aussi excitée.
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