Résumé: Michel est enfin passé à l’acte avec Claudine.
Mais quand elle se réveille, elle découvre que ce n’était qu’un merveilleux rêve.
Chapitre 6 :
Claudine aguiche tellement Michel qu’elle va trop loin, il décide de passer à l’acte.
La journée s’écoule lentement, Claudine est hantée par son rêve, c’était tellement réel.
Son fils ne va pas tarder à rentrer et comme prise de folie elle part dans sa chambre pour se changer. Elle enfile une paire de bas noirs, une jupe ultra –courte sur son string rouge, un corsage si serré lui comprimant son opulente poitrine.
– Salut maman, je suis rentré !
– Bon…, bonjour, mon chéri !
Son rêve érotique lui revient comme un choc, il était si réel. Son corps tremble, elle ne sait pas comment le regarder.
– Maman ? Ça va ?
– Oui, oui, excuse-moi, je suis un peu fatiguée !
Elle le regarde, hantée à l’idée de savoir si son fils a vraiment de l’attirance pour elle.
Ils passent un moment de détente dans le divan avant le repas, elle hésite, mais voulant en avoir le cœur net, elle écarte de plus en plus les jambes, faisant remonter la jupe, son fils peut ainsi voir son string en dentelle qui a du mal à cacher ses grandes lèvres.
Il ne la regarde même pas, plongé dans un jeu vidéo.
Ils sont passés à table. Elle veut tenter autre chose, elle retrousse sa jupe et laisse tomber son couteau par terre, au pied de son fils.
-Tu peux le ramasser, il a rebondi vers toi.
– Bien sûr maman !
Elle écarte les jambes, montrant son string qui dissimule sa chatte gonflée d’excitation
mais il ne réagit toujours pas lui redonnant son couteau.
Le repas se termine, Claudine débarrasse la table et remplit le lave-vaisselle.
Michel est allé faire ses devoirs dans sa chambre.
Elle est perplexe et songe qu’elle est complètement folle de s’exhiber dans une telle tenue devant son fils mais son rêve devient une obsession, malgré sa complète immoralité.
Elle monte à l’étage voulant gagner sa chambre mais entend du bruit.
Elle est pieds-nus, ne faisant pas de bruit, elle marche et s’arrête devant la porte entrebâillée de son fils.
Elle regarde dans l’entrebâillement de la porte et a un mouvement de recul tellement ce qu’elle voit la choque.
Il est allongé, le dos appuyé sur la tête de lit complètement nu…, il renifle le string qu’elle portait hier et se masturbe comme un fou, son corps bouge tellement que ça fait grincer le sommier.
Claudine est fascinée par ce spectacle, sa verge est encore plus grosse et longue que dans son rêve et a des proportions phénoménales.
Pendant deux longues minutes elle est comme paralysée, son entrejambe dégouline littéralement de mouille, sa main se rapproche de sa chatte mais dans le mouvement son coude a poussé la porte.
Surpris, Michel tourne vivement la tête, toujours la main sur sa verge et découvre sa mère le regardant la main dans le string.
Pendant quelques secondes qui semblent durer une éternité, ils de regardent.
– Mam…, maman !!!
– Michel, je…, tu…, mais qu’est ce que tu fais avec mon string, comment peux-tu faire une chose pareille???
– Ben…, je…, c’est pas ce… !
Claudine se sauve bouleversée de la chambre.
Michel s’éjecte du lit et la ratt**** dans le couloir ne réalisant pas sa tenue, sa formidable verge balance de tous cotés dans sa course.
– Maman, excuse-moi, mais tu m’as tellement aguichée ce soir qu’il a fallu que je trouve un dérivatif ou je te sautais dessus !
– Mais Michel, comment peux-tu dire…, peux-tu faire ça, je suis ta mère !
Mais elle est allée trop loin, il la prend par la main et la traîne dans sa chambre.
-Michel, lâche-moi, tu me fais mal
– Non maman, cette fois ci, c’est allé trop loin, ça passe ou sa casse !
Il la jette sur le lit et se couche sur elle
Voyant ou il veut en venir, elle l’adjure de renoncer, mais rien n’y fait.
– Oooh, Michel, pas ça, il ne faut pas!
– Pardonne-moi, maman, mais je ne peux plus me retenir, tu es tellement désirable!
La jeune queue est coincée entre leurs corps et Claudine sent cette virilité impressionnante qui lui arrive pratiquement jusqu’à la poitrine.
Il est en extase devant le corps de sa mère, jamais il n’a eu la queue aussi dure.
Michel arrache son chemisier et son soutien gorge libérant ses deux énormes mamelles.
Ses seins libérés bougent dans tous les sens, il glisse son mandrin entre les deux obus et comme dans le rêve de Claudine donne des coups de rein projetant sa teub dans cette merveilleuse poitrine, son sexe est si long qu’il vient toucher son visage à chaque poussé.
‒ Micheeelll, non… !
Chevauchant toujours le corps de sa mère, il progresse sur ses genoux et pose son gland sur la bouche maternelle et pousse en avant entre ses lèvres.
Elle ferme la bouche devant cette tentative d’intrusion mais il lui pince le nez, et contrainte et forcée, elle doit ouvrir la bouche pour respirer.
Aussitôt, il enfonce son gland turgescent dans cet antre chaud et humide
Claudine est complètement perdue, elle se rebiffe mais en même temps son rêve est devenu réalité.
La dure réalité, car l’énorme engin de son fils est encore plus massif et rigide que dans ses rêves.
Les mâchoires distendues, les lèvres collées sur la hampe dont quelques centimètres uniquement ont pu rentrer dans sa bouche complètement envahie par un gland trigonocéphale.
Il entre et sort à une cadence infernale, sa bite repousse la luette et essaie de se frayer un chemin dans sa gorge, lui coupant la respiration.
Seuls des borborygmes sortent de sa bouche.
-Oooh oui, maman, suce-moi, suce-moi!
‒ Mmm, mmm, mmmmmm, mmmmm… !
Il se retire enfin lui laissant reprendre son souffle, elle halète.
Il réussit à glisser une de ses jambes entre les siennes puis sa 2ème jambe rejoint la 1ère et il la force ainsi à écarter ses cuisses de plus en plus.
Il lui tient les poignets derrière la tête, prend son sexe avec son autre main et tâtonne quelques instants avant de trouver l’entrée de sa chatte que le string ne cache même plus.
-Michel, nonnn, ne va pas plus loin, je t’en supplie !!!
Il la regarde au fond des yeux, et lui souriant, pousse et entre en elle. Claudine croit être coupée en 2 tellement sa bite est épaisse.
Elle écarte les jambes le plus qu’elle peut afin de ne pas avoir trop mal.
– Oooh Michel, Putain que t’es gros! Tu es monté comme un mulet… Tu me défonce le vagin, retire-toi, tu ne peux pas me faire subir ça !
Il continue sa poussée l’investissant cm après cm. Elle cherche de l’air en ouvrant grand la bouche.
Mais il est déchaîné, il la retourne à quatre pattes, elle est sur les genoux.
Elle sait qu’il va continuer à la prendre mais ne le refuse plus même si ses paroles disent le contraire.
Il déplace d’une main le string sur le coté, se positionnant derrière elle, sa verge tendue à l’horizontale trouve immédiatement le chemin et il donne une poussée profonde.
Le gland disparaît dans son fourreau généreux, suivi par la colonne de chair disproportionnée.
– Oooh maman, comme ma queue se sent bien en toi… !
Il la lime comme un fou, elle est tellement profonde qu’il arrive pratiquement à rentrer son pénis en totalité dans cette grotte immense.
Claudine est en train de subir une levrette qu’elle n’est pas prête d’oublier.
Le gland vient frapper au plus profond de sa matrice dans des endroits encore vierge jamais défrichés par aucune bite.
Ses gros seins se balancent violemment à cause de la férocité de ses assauts.
– Ooh, mon cœur, c’est encore mieux que dans mon rêve… !
– Ton rêve…, quel rêve, maman ?
– J’ai…, j’ai rêvé que tu me prenais avec ta grande queue…, oh mon dieu, c’est de la folie, qu’est ce que je dis… !
– Et dans tes rêves, tu as pris du plaisir avec moi, tu jouissais… ?
– Oooh oui, mon chéri, je jouissais comme jamais sur ta grosse queue… !
Michel explose de joie d’entendre de telles paroles de la bouche de sa mère et met encore plus de cœur à l’ouvrage.
Il sent le plaisir monter d’un coup.
– Ooooh maman, je sens que ça vient…, ton fils va jouir en toiiiii !
– Noon, mon amour, pas dans mon sexe, je ne prends pas la pilule, nooon… !
– M’en fou, je vais tout verser en toi…, haaaaa !
Il décharge dans le puits d’amour de sa mère criant son plaisir, elle crie autant que son fils. Finalement, son rêve est devenu réalité.
Ce rêve i****tueux au goût d’interdit l’a menée à ce plaisir sulfureux mais d’une intensité qu’elle n’avait jamais connue.
Mais que vont–t-ils faire maintenant ?
C’est un amour interdit mais maintenant qu’elle y a goûté, elle ne va plus pouvoir s’en passer.
Mais pour Michel, ce n’est pas encore fini, il veut lui exploser le trou du cul.
Mais acceptera-t-elle l’intromission d’une telle matraque ?
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