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Les révisions du bac

Les révisions du bac



Les révisions se poursuivent. C’est la dernière ligne droite et il ne faudrait pas que la concentration se relâche. Madame Martin me retient pour bavarder de plus en plus longuement à chaque nouvelle visite. Il semble que cette mère inquiète soit encore plus énervée que son fils. Ce dernier aborde l’épreuve avec une détermination qui n’est sans doute pas étrangère à notre dernier pacte. La réussite du BAC avec mention contre une invitation chez moi. Et cette fois, j’ai bien l’intention de passer à l’acte. Cette aventure avec le jeune puceau m’aura bien fait languir mais je ne regrette pas cette progression sur la pente de ses fantasmes.

Mes propres surveillances d’examens occupent mon esprit durant les jours qui me séparent du but désiré. Je ne peux m’imaginer un échec. Je serais bien attrapée s’il ne parvenait pas à franchir la barre que je lui ai fixée ! Voilà que je me mets à partager les angoisses de sa mère, mais pour des raisons bien différentes ! La première semaine d’épreuves est terminée. La seconde ne comporte pour lui qu’un oral d’anglais. Encore un peu de patience, bientôt les résultats.
La semaine suivante, alors que je rentre de courses en ville, un message m’attend sur mon répondeur.

– Bonjour Karine, c’est Etienne. La mention BIEN ça marche pour notre accord ?Bon ben, j’attends votre appel. Aurevoir.

Enfin ! Oooh, ça va être bon ! Je décroche le combiné. Madame Martin répond. À sa voix, je l’imagine en train de trépigner sur place. Je reste aussi sereine que possible mais il me faut bien 10 minutes avant de pouvoir la persuader de me passer Etienne. Après quelques mots sans importance pour ne pas éveiller les soupçons de madame, je lui donne mon adresse et un rendez-vous pour le lendemain après-midi en me retenant de dire des mots plus compromettants qui me brûlent pourtant les lèvres.

Nuit tendue, douche revigorante, déjeuner frugal. Voyons, que mettre ? Je choisis de rester classique : du blanc. Je serai virginale pour son dépucelage ! Un ensemble de dessous en maille transparente pour l’affoler, des bas blancs pour le faire craquer, le tout recouvert d’une courte robe bleue fermée par une ceinture. Des sandales en velours noir dont les sangles s’enroulent autour de mes chevilles avec des talons carrés de 8 centimètres devraient achever de le mettre à ma merci ! Je me regarde dans la glace et j’avoue que pour un peu je me trouverais mouillante !
L’heure du rendez-vous approche. L’interphone !

– Oui ?
– C’est Etienne.
– Je t’ouvre, troisième étage.
– OK.

Je fais les cent pas en l’attendant. J’ai laissé ma porte entrouverte pour que le rai de lumière dans le couloir le guide jusqu’ici. Toc, toc !

– Entre Etienne.

Comme une fille bien sage, je l’attends dans le salon, mains croisées devant moi. Il pénètre dans la pièce et avant toute parole me regarde de la tête aux pieds. Je dois lui plaire ! Nos yeux se font les plus tendres aveux alors qu’il avance vers moi et pose son blouson sur le dossier du fauteuil. Je baisse les yeux comme une jeune fille timide.

– Cette fois Etienne. C’est moi qui me plierai à tes désirs, mais tutoie-moi, je t’en prie.

Il ne répond rien, s’approche encore, tourne autour de moi, puis me dit :

– Déshabille-toi Karine tu es si belle nue.

Sa première parole ! Elle me fouette le sang ! Je cherche nerveusement son regard. Il est comme enivré. Je délace ma ceinture et la laisse tomber à terre. J’écarte les pans de ma robe, il m’aide à l’enlever. Ses yeux fous plongent sur mes seins dont les aréoles n’apparaissent que trop bien sous le fin soutien-gorge. Il me tourne encore autour. Son souffle chaud glisse sur mes épaules, dans mon cou. Ses lèvres effleurent ma peau. Les yeux fermés je gémis doucement. Ses mains caressent ma taille, remontent sur ma poitrine. Fébriles, ses doigts rampent sur les globes fermes de mes seins, tapotent sur mes aréoles dont les mamelons excités ne tardent pas à se dresser. Mes mains rejoignent les siennes et je guide ses doigts, lui apprenant à jouer avec mes pointes sensibles. Je soupire, lui fais comprendre le bien qu’il me procure. Son corps se colle au mien, je sens le renflement de son pantalon sur mes fesses. Il ondule imperceptiblement, je l’encourage :

– Vas-y chéri, frotte-toi bien. Excite-toi contre moi.

Il se plaque encore plus et entame des mouvements de va-et-vient, durcissant sa jeune virilité contre mes fesses. Parfois ses doigts se crispent alors je le calme d’un mot tendre. À son initiative, le doux préliminaire cesse et il dégrafe mon soutien-gorge qui se retrouve au sol lui aussi. Ses mains entourent à nouveau mon corps et vont saisir mes mamelons tendus entre le pouce et l’index, les faisant rouler délicatement. Son souffle dans mon cou est troublé et mes rondeurs m’informent de la persistance de son érection. Je gémis, je mouille, j’ai envie ! Entre deux soupirs, je l’explique à mon jeune puceau.

– Tu sais Etienne, quand tu fais ça à une femme, au bout d’un petit moment elle a très envie d’être pénétrée.

Pour lui faire bien comprendre, je saisis un de ses poignets et le guide, par derrière, entre mes jambes. Ses doigts palpent le renflement de ma vulve. L’étoffe de mon slip est gorgé de mon désir. Ses doigts frottent le tissu qui s’enfonce entre mes lèvres gonflées. Par réflexe je pousse mon bassin à la rencontre des doigts. Je soupire :

– Enlève ma culotte chéri…

Ses mains s’affairent sur ma taille, glissent sons l’élastique et entraînent la fine lingerie sur mes jambes. Les bas crissent à ce contact qui s’achève sur mes chevilles. Prestement, il m’en débarrasse et reste agenouillé, le visage à hauteur de mes fesses et de ma conque luisante. J’écarte ostensiblement les jambes et me penche en avant, posant mes mains sur mes genoux, attendant son initiative. Ses mains glissent sur mes bas, se posent sur mes fesses. Son souffle est là, mes muqueuses sensibles me transmettent sa chaleur. Je pousse mon bassin en arrière, comme une invitation. Ses doigts écartent mes bouclettes, ouvrent mon coquillage. Oooh s’il pouvait… OOh ouiiiii! ouiiii! il le faiiit !

– Oooh séb!, Ouiii, ouiii ta langue !

L’appendice buccal serpente dans mes replis, explore ce monde inconnu. Il se guide à l’intensité de mes cris pour atteindre mes zones les plus sensibles ! Comme il doit être excité ! Je ne sens plus qu’une de ses mains entre mes jambes, j’imagine ce que l’autre est occupée à faire. Sa bouche est collée sur ma fleur dont il butine le pistil. C’est encore maladroit mais peu importe ! Mon envie d’être possédée est à son comble. Je me soustrais à ces délicieuses caresses, me retourne et m’agenouille devant lui, l’air hébété, le sexe érigé dans la main. Sa bouche luit encore de mes sécrétions ! Je l’embrasse toute langue dehors et entreprends de le déshabiller. En quelques secondes, il se retrouve plus nu que moi. Je l’entraîne sur le canapé tout proche, l’installe confortablement tandis que je reste assise sur mes jambes à même la moquette. De la main, je me suis emparée de sa jeune virilité. Sa respiration s’accélère comme il regarde, les yeux exorbités, la douce main d’une femme coulisser le long de l’axe de son plaisir. Prise dans l’anneau formé par le pouce et l’index, sa verge palpite à chaque va-et-vient. D’un mouvement plus ample, je repousse sa peau fine sur son gland violacé et referme mon poing sur ce bout sensible recouvert de son prépuce. Son corps se tend. Je lance une rapide vibration de mon poignet qui lui fait pousser des gémissements étouffés. Oh comme il aime ça mon joli puceau ! Il peut lire sur mon visage le plaisir que je prends à le masturber ! Mais pas question de le laisser venir ainsi. Je descends à nouveau le long de son érection en décalottant sa fraise turgescente. Une goutte transparente perle du méat ouvert. Je masse doucement ses testicules. La peau fripée et contractée plaque ses délicates ovoïdes contre son pubis, prémices de sa jouissance proche. Je me relève, place mes genoux sur le canapé de part et d’autre de ses cuisses. Ses yeux sont exorbités, sa respiration suffoquée. Tout en fixant mon regard dans ses yeux j’abaisse mon bassin, saisis sa dureté entre deux doigts et écarte mes lèvres intimes. Son gland glisse dans ma fente, se place au creux de ma vulve. Il gémit. Je soupire en descendant encore mon bassin, mon fourreau se dilate, la tige glisse naturellement, se love dans son nid. Comme c’est booon ! Je pose mes mains sur ses épaules et empale ma féminité jusqu’à ce que mes fesses reposent sur ses cuisses. Mes lèvres s’ouvrent et se posent sur les siennes. C’est sa langue qui vient dans ma bouche, lape ma salive. Ses mains palpent mes hanches, mes cuisses, griffent mes bas qui crissent sous la caresse. Je monte et descends le long de cette hampe inflexible. Il pousse de petits cris !

– Oui séb… Mon petit homme… Tu me baises bien là…

Râles, cris, soupirs lascifs deviennent notre vocabulaire du plaisir. J’accélère le rythme avec de petits mouvements. Je me sens partir moi même, mais mon jeune amant ne peut se retenir plus longtemps. J’accueille par des soupirs appuyés l’aspersion vaginale qu’il m’offre avec son pucelage. Ses gémissements spasmodiques s’apaisent. Nous restons un moment lovés l’un contre l’autre. Je sens mon vagin se désemplir de sa virilité satisfaite et j’embrasse doucement son visage angélique. Il ne dit rien mais son regard est éloquent de tendresse. Je lui propose d’aller dans la chambre. Il approuve. Par la main je l’attire dans mon antre. Je m’allonge dans une pose féline, mettant en avant mes jambes blanches et mes talons hauts provoquants ! Je ne dois pas être si éloignée des filles sur lesquelles il gaspille sa liqueur à longueur de nuits. De fait, il me regarde avec fascination, debout à coté du lit. J’ai pris mon air le plus mutin pour formuler cette requête, un doigt sur mes lèvres. Il sourit puis grimpe me rejoindre sur la couette. Je m’allonge sur le dos, att**** les barreaux de la tête de lit dans un geste qui met ma poitrine en valeur.

– Tu peux tout regarder, tout toucher.

Ses doigts caressent, soupèsent, massent mes globes fermes. Il me lance des regards coquins. Envolée la timidité devant la prof de maths! Sans préavis il ouvre la bouche, gobe un sein, sa langue frotte le bout souple du mamelon, je serre les poings sur les barreaux de fer. Son aspiration délicieuse tend mon bourgeon mammaire en quelques secondes. L’excitation me fait frotter les jambes l’une contre l’autre. Sa langue relâche son étreinte et descend sur mon ventre, furète autour du nombril. J’écarte mes cuisses pour l’inviter à poursuivre son chemin. Il se redresse. Son regard balaye mon corps, des sandales au visage. Il est à nouveau intimidé. Respect craintif devant le creuset de nos différences. Je ramène une jambe contre ma poitrine, offrant une vue très ouverte de mon abricot, camouflé sous ses bouclettes blondes.

Sa main se pose sur le renflement de mon entre-jambes et commence à en flatter la douce fourrure. Parfois, son pouce vient heurter mes lèvres au creux de mon vallon. Je me mords la lèvre. Satisfait il se redresse, exhibant une belle érection. Oh oui… Je la veux sa bite ! Je relève mes deux jambes vers le plafond, offrant ma féminité impatiente. Je dois avoir l’air d’une vraie salope avec mes bas et mes talons hauts, à clamer mon envie sans aucune pudeur, agrippée aux barreaux du lit comme si j’y étais attachée. Je suis sûre que ça l’excite ! Il s’approche, darde sa sonde charnue entre mes muqueuses lubrifiées. Il pousse ! Oh ouii ! Son désir écartèle le mien d’une intromission inflexible !

Il râle, s’enfonce encore, gémit, pousse son pubis à la rencontre du mien. En appui sur ses bras, qui me maintiennent les jambes, il entame un va-et-vient. Je soupire et l’impudeur de mes accents n’est pas feinte. Il me possède réellement, profondément ! Il se mord la lèvre et contemple mon visage défait par la jouissance. C’est bon. Son jeune sexe en moi ! Cette envie de me donner à lui enfin satisfaite ! Comme une vague incessante, il polit avec endurance l’anse ma féminité, érode mon bout de corail rose qui explose à chaque pénétration. Il dévore avec des yeux fascinés le plaisir tout neuf de mener une femme à un état d’impudeur totale. Oh je viens ! Il sent mes contractions, voit mes mains griffer la couette, mes jambes qui ne m’obéissent plus ! Je halète, plongée dans l’ouate de mon orgasme. Les tensions de mon corps ont également porté son excitation à son comble. Il accélère, me baise avec force, v******e… se crispe ! Il jouit ! Sa semence de jeune mâle nappe mon intimité qui ondule et me fait ronronner de plaisir ! Ah, le bonheur des cours d’appoint !!!!!Merci d’avoir réussi ton BAC Etienne …..

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