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Dogging!!

Dogging!!



Un an!

Un an que tu es entré dans ma vie! Dans ma tête! Dans mon corps!

Un an à allumer le feu dans nos entrailles, nos âmes, à la faveur d’un mot, d’une image.

Je suis toujours aussi charmée, séduite par cette capacité que nous avons l’un et l’autre, l’un avec l’autre à nous allumer, à nous faire plaisir, à nous faire jouir.

Plus tu me regardes, plus tu me parles, plus je prends de l’assurance. Je ne me suis jamais sentie aussi femme que depuis que je soumets régulièrement mon corps, si imparfait, à ton regard, à la douceur de tes lèvres, à la rugosité de ta barbe.

Je peux, en fermant les yeux, me souvenir de ton odeur, de ton contact, de ta douceur.

Ce soir un mot t’a fait décharger:

Mamelles

Je n’ai pas parlé de mes seins mais de mes mamelles!

L’effet a été immédiat. Une décharge longue, puissante, libératrice.

Nos échanges, ce soir, du foot à la politique en passant par la religion nous permettent de parler, sans enjeu, du moins feignons nous de le croire. En réalité toi et moi ne sommes pas dupes. Nous sommes chacun attirés, excités par un détail chez l’autre.

Parler de tout et de rien, une seconde de silence, un instant suspendu, sentir la bascule, chez toi, chez moi, chez nous.

Cette seconde où la sensualité, l’a****lité, le désir occupe l’espace. Cet instant précis où tu peux lire dans mon regard mon appétit, ma soif de toi.

Cet instant précis où ton sourire se fait plus grave. Inutile de parler. Je comprends, tu comprends.

Nous savons toi et moi à quel point notre plaisir tient à notre capacité à nous transporter en pensée en des lieux, en des situations, des scénarios qui ont le don d’allumer un brasier dans notre ventre.

Attentif à ma jouissance, à mon plaisir, tu remarques que malgré le scénario choisi ce soir, je peine à trouver le détail qui fera exploser mon plaisir.

Alors détail après détail tu modifies le scénario. Tu observes mon visage et la manière dont celui ci répond à chaque petit détail.

Tu souris.

La turgescence de mes aréoles, mes tétons dressés, la cambrure de mon bassin, l’aspect brillant de mon entre jambe te renseignent et te confortent.

Tu es dans la bonne direction.

Je me découvre à travers tes mots fille de joie le temps d’une nuit d’été orageuse.

Ecrasée par cette chaleur de fin d’été je me suis égarée dans la forêt voisine à la recherche d’un peu de fraicheur. L’orage m’a surprise. Le tissu léger de ma robe, trempée par cette pluie d’été, colle à ma peau.

Je remets mes sandales et tente de retrouver mon chemin dans cette forêt où tout se ressemble.

J’entends des voix sur ma gauche.

Sauvée!!

Je me dirige vers les voix qui peu à peu se transforment en grognements. Je suis curieuse. Je m’approche sans faire de bruit. Je perçois d’abord les véhicules.

Une modus et une camionnette de déménagement.

En arrivant tout à l’heure j’ai laissé mon auto sur un parking avant de m’enfoncer dans les bois. Ce n’est visiblement pas le bon parking car je n’aperçois pas ma petite uno.

Le bruit a cessé, j’entends les portes de la camionnette claquées et les voix s’éloigner. Je ne sais pourquoi je me glisse entre les véhicules pour me faire discrète et aller voir ce qui se passe.

Sur le parking une femme penchée en avant semble chercher quelque chose dans le coffre de la modus dont l’arrière est rabattu.

Je m’apprête à sortir de ma cachette quand je perçois un mouvement du coté de la camionnette. A nouveau, claquement de portière, des voix qui s’élèvent, des rires.

Des hommes. 3, 4, 6 !

6 hommes en tenue de travail, ils sortent d’un chantier.

Inquiète, mon regard se porte vers la femme de la Modus. Celle ci, perchée sur des talons hauts, est toujours penchée dans le coffre mais elle a retroussée sa jupe sur ses hanches.

J’aperçois son porte jarretelle, ses bas et son énorme postérieur.

Je vois ces hommes s’approcher d’elle en riant grossièrement. Je n’entends pas les propos mais je les devine aux mouvements de leurs mains et de leurs bassins.

Ce qui se passe ensuite me choque et allume instantanément et simultanément quelque chose dans mon cerveau et un brasier dans mon ventre.

Je regarde ces hommes prendre cette femme les uns à la suite des autres, le suivant éjaculant dans le foutre du précédant.

Je me surprends à vouloir être à sa place.

Chacun de ces hommes, en mal de femelle, glisse un billet entre les seins volumineux de cette femme dont je ne vois toujours pas le visage.

Puis, les mains sur ses hanches, il s’applique à la besogner lentement ou brutalement, chacun ayant sa manière de faire.

Autour d’eux, comme une ronde, les autres l’encouragent de leurs cris, branlant leur propre queue avec énergie.

Adossée contre un arbre, j’ai relevé ma robe, les yeux fermés je me caresse. Je suis trempée.

Trempée de pluie, de sueur, de mon excitation.

Là bas les bruits s’estompent, j’entends à nouveau le bruit des portières et le véhicule qui démarre.

La femme s’est adossée au coffre pour fumer une cigarette.

Je me demande si le foutre chaud de ces mâles qui coulent entre ses jambes gainées de bas la dérange.

J’attends encore, hésitant sur ce que je dois faire. Elle semble absorbée par la lecture d’un message sur son portable. Elle réajuste sa jupe, ses bas, remontent ses énormes mamelles dans une brassière qui peine à les contenir. Alors que je m’apprête à l’interpeller, j’entends au loin un véhicule.

La camionnette!!

Un mouvement sur la droite attire mon attention. Je jette un oeil. Tu es là. Adossé à un arbre tu as observé la scène.

Du moins tu m’as observé, observer la scène.

Je ne te connais pas encore, mais je n’ai pas peur. Je suis juste gênée, me demandant depuis quand tu es là et ce que tu as vu exactement.

Tu t’approches de moi et d’une voix chaude tu me demandes mon prénom.

-Soraya

-Soraya, tu as compris ce qui se passe là?

D’un mouvement de la tête je fais signe que oui.

-Soraya, c’est la première fois ?

-Oui

-Soraya, tu voudrais être à sa place?

Le rouge de la honte me monte aux joues.

Je te regarde, je voudrais dire non mais un oui rauque m’échappe malgré moi.

Avec un sourire, ce sourire par lequel tu as damné mon âme, tu te diriges vers la femme.

Tu lui chuchotes quelque chose à l’oreille en tendant le bras vers moi.

Elle éclate de rire, te fait une bise sur la joue, remonte dans sa voiture et s’en va.

Tu reviens vers moi, me prends par la main et me ramène au milieu du parking. D’un pas assuré tu te diriges vers la camionnette et t’adresses au chauffeur. Puis tu reviens vers moi.

-Soraya, ce soir tu vas te faire payer pour chaque queue que tu vas libérer. Pour chaque éjaculation. Je te préviens, ils sont déchaînés car ils ont compris que c’est ta première fois. Que tu n’es pas une professionnelle.

-Fais les jouir Soraya!

Je suis très maladroite avec mon premier client, c’est la première fois que je fais ça. Il est grossier, son sexe sent très fort. Dans un français approximatif il me demande de m’agenouiller et de le sucer.

Son odeur, ses manières me soulèvent le coeur.

Dieu merci il éjacule en quelques minutes. Je me retire à temps.

C’est une limace de passage qui bénéficiera ce liquide malodorant.

Les hommes m’entourent en se branlant.

-Elle vous plait? Vous la voulez ? Payez la comme elle le mérite. Chacun votre tour.

Tu te diriges vers le plus jeune . Tu lui parles. Je ne sais pas ce que tu lui dis mais je le vois s’exciter de plus en plus , te donner plusieurs billets en haletant.

Je comprends à ses gestes qu’il souhaite que je prenne la même position que la femme tout à l’heure. Alors je m’appuie contre un arbre pendant qu’il me laboure le ventre de son sexe dur, court et épais.

Mes mamelles ne résistent pas à ce traitement et s’échappent de leur prison de tissu fin. Ce mouvement provoque chez nos voyeurs un mouvement de branle plus énergique, des mains s’emparent de ma poitrine .

Je comprends pourquoi ce genre de pratique est nommé »Dogging ». Collé contre moi, je sens son souffle dans ma nuque pendant qu’il me baise encouragé par ces copains.

Une contraction, un dernier coup de butoir et je sens le foutre chaud de cet homme couler entre mes cuisses.

Je n’ai pas le temps de me remettre de ces émotions qu’une autre queue me prend. C’est pour cela qu’ils payent. Pouvoir me prendre dans le foutre d’un autre.

Pendant que tu me racontes ce scénario tu m’observes par écran interposé. Nous sommes tous les 2 très excités.

J’observe sur l’écran le mouvement de ta main sur ton sexe. Tu observes sur ton écran mon visage. Tu sais exactement ce qui se passe en moi et à quel moment changer le scénario.

-Stop Soraya.

-Ils dégagent !!

-Ils dégagent tous!

-Je veux te faire l’amour. Je veux te pénétrer doucement, avec douceur . T’embrasser. Caresser ta peau de mes lèvres, de mes mains. Coller ma poitrine contre la tienne et te regarder quand tu souris.

-Je veux te faire l’amour encore et encore jusqu’à te faire jouir, jusqu’à me faire jouir et exploser dans ton ventre.

-Puis m’écrouler à tes côtés, rire, te laisser me rendre dur à nouveau pour te reprendre dans mon foutre.

-Soraya, tu m’excites tant.

Toi aussi Corto tu m’excites tant.

Tu assistes sur ton écran à une explosion de plaisir qui déclenche en moins d’une minute ton propre plaisir.

Un jet puissant suivi de plusieurs petits jets et soubresauts de ton sexe qu’il me tarde de prendre en bouche pour le rendre dur.

Nous sommes épuisés.

Un sourire.

Un baiser .

Nous nous déconnectons et sombrons chacun de notre côté dans un sommeil réparateur.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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