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L’iris pourpre – Partie 2

L’iris pourpre – Partie 2



(Partie 1 disponible ici : )

La nuit était déjà tombée, et la pleine lune illuminait ma chambre. C’était de la folie mais ça allait se faire. J’avais prise quelques photos hot avec ma webcam et tout balancé sur un site spécialisé, avec une annonce. A peine une heure s’était écoulée que j’avais déjà reçu un appel.

Pour ce rendez-vous, j’avais enfilé un string en dentelle et des porte-jarretelles que j’avais achetés en cachette. Mes parents ne m’auraient jamais laissé porter ceci. La mystérieuse voix au téléphone m’avait donné rendez-vous à l’hôtel. J’étais à la fois excitée et anxieuse. Étais-ce sérieux ? Non. Risqué ? Probablement. En avais-je envie ? Plus que jamais.

J’avais beau avoir la chatte dilatée depuis longtemps à force de m’insérer des trucs, ce soir, c’était le grand soir. J’allais coucher pour la première fois. J’étais loin des contes de princesse moralisateurs du style « il faut se donner uniquement à celui qu’on aime ». Ce soir, j’allais baiser avec un parfait inconnu.

Je marchais dans la rue en tenue légère sous mon imperméable. Les néons bleus de l’hôtel illuminaient mon visage. « L’iris pourpre ». Drôle de nom qui ferait plutôt penser à une maison close qu’à un hôtel.

Je rejoins non sans mal la chambre 217, dans laquelle m’attendais mon partenaire. Pleine de détermination, je frappais à la porte, qui ne tardait pas à s’ouvrir.

« -Salut ! Coquinette, c’est ça ? »
Je réalisais à cet instant à quel point le pseudo que j’avais choisi était ridicule.

« -Euh… Oui c’est moi.
-Entre, entre ! Met toi à l’aise ! »

J’enlevais mon imper, laissant apparaître un bustier en dentelle rouge, avec un string et des porte-jarretelles assortis.
Je me sentais étrange. Quand j’étais seule chez moi, je me sentais très chaude, mais face à un garçon, j’étais frustrée. J’en mourrais d’envie mais je n’arrivais pas à prendre les devants.

Mon partenaire devait avoir à peu près mon âge, et il était plutôt sexy. Comme je ne disais pas un mot et que je ne bougeais pas, il s’occupa de tout. Il s’approcha doucement, commença à m’embrasser en dégrafant mon haut, puis enleva mes bonnets. Il malaxa mes seins tout en continuant de m’embrasser, sur la bouche, puis dans le cou. Il descendu enfin sur mes tétons qu’il suça fermement, ce qui me fit lâcher un soupir de soulagement.

L’adrénaline commençait à monter. J’étais toute mouillée, mes jambes commençaient à trembler. Quand il en eu marre des préliminaires, il me choppa fermement et me porta jusqu’au lit. J’enlevais tranquillement mes porte-jarretelles pendant qu’il enfilait une capote, puis il arracha mon string.

A la fois excitée et soucieuse, j’avais les yeux fixés sur sa bite. Il la prit entre des doigts et caressa doucement de haut en bas l’entrée de mon vagin. De petits sursauts trahissaient mon plaisir lorsqu’elle venait chatouillait mon clito.

Quelques secondes plus tard, il se pencha sur moi, mis ses mains de chaque côté de ma tête pour mieux saisir mes cheveux, ce qui m’excita encore plus. D’un coup sec, il entra en moi. Je voyais son gland disparaître et réapparaître, de plus en plus vite. Dans le lit, il faisait une chaleur du diable. Il s’assit sur le lit et me fis grimper sur lui. Corps contre corps, nous étions en transe. Mes bras tremblaient de plus en plus. Pour m’immobiliser, il me serra fort contre lui. Je n’avais aucune expérience, mais assise sur lui, j’essayais de faire des petits sauts sur sa queue pour lui donner du plaisir à lui, mais surtout à moi-même.

Au bout d’un moment, il se retira et me demanda de me mettre à quatre pattes. Il passa derrière moi, et appuya sur mes épaules pour que ma tête se rapproche le plus possible du matelas, tout en restant cambrée et en gardant le cul en l’air. Il reprit la cadence de plus vite, en tapant dans ma chatte de plus en plus profond. Il commençait à pousser des grognements, pendant que je soupirais de plus en plus fort. J’avais très chaud, j’avais la chatte dégoulinante et la poitrine lubrique. Je me contractais comme une folle. L’orgasme ne tarda pas. J’avais jouis comme jamais, j’étais exténuée, mais ça continuais encore.

Au bout de quelques minutes, il s’arrêta d’un coup sec, se retira et me retourna brusquement en arrachant sa capote. Je pris sa bite veineuse dans ma main en faisant des va et viens. Celle-ci durcit encore plus, puis se contracta violemment plusieurs fois, tandis que son sperme vint inonder mes seins.

Il s’allongea sur le lit et fouilla son sac d’une main.

« -Tiens ma belle. Généralement on fais ça avant, mais bon… »

Il me tendit deux billets de 100 euros. Le frisson de la honte me rattrapa. Qu’avais-je fait ? J’avais pris un plaisir immense, c’était le plus bel orgasme de ma vie, mais c’était ni plus ni moins de la prostitution…

Sans prendre le temps d’essuyer le sperme qui continuais de couler sur mon corps, je m’habillais en vitesse, mis les billets dans ma poche et rentrais chez moi.

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