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Encore une nuit sur une aire de repos… Souvenir

Encore une nuit sur une aire de repos… Souvenir



Fin février, j’étais en déplacement en province. Comme souvent dans ces cas-là, j’avais repéré, sur Internet, des coins « fréquentés » dans les environs…
Et ce soir-là, excitée comme une puce, je décidais de passer à l’action…

En préparant mon sac, je commençais déjà à fantasmer sur ce qui m’attendait… Ma tenue, mes jouets, du lubrifiant et des capotes…
Je monte dans la voiture de loc et prends la route vers l’inconnu… J’en tremble d’excitation… C’est toujours particulier d’aller à un nouvel endroit. On ne sait pas à quoi s’attendre. Et-ce qu’il est vraiment propice à ces « rencontres » que j’apprécie tant ? Y a t’il plus de risques de se faire surprendre ? Bien des questions qui ne trouveront de réponses qu’en arrivant sur place…
Le plus vicieux dans tout çà, c’est que cette notion de risque amplifié est terriblement excitante… Et je me rends compte que plus ça va, au fil de mes « sorties », plus je vais loin dans la réalisation de mes fantasmes…

En chemin, je m’arrête pour me changer… Je passe un nouveau cap ce soir : je ferai les derniers kilomètres en tenue de coquine… prenant le risque d’arriver sur place sans connaître la configuration de l’aire de repos…
Et si je me faisais griller dès mon arrivée ? …

Un petit haut noir à bretelle, une petite jupe volante, mon tanga en dentelle bleue et mes bas résille noirs… Une perruque brune et des lunettes de soleil larges et très féminines…
Je fais quelques pas ainsi avant de remonter dans la voiture… Mmmmmmmmm… c’est agréable de se sentir sexy… provocante… j’adore…

Les derniers kilomètres sont interminables… Ma vitre est grande ouverte, l’air qui s’engouffre s’amuse avec ma jupe, la soulevant, la relevant sur mes cuisses… la douceur du tissu et la fraîcheur se font caresses… Mmmmmmmm… je suis troublée…
Je suis les indications pour enfin voir le panneau d’entrée vers l’aire de repos… L’appréhension est délicieuse…
Je ralentis en amorçant le virage et rabaisse ma jupe… On ne sait jamais…

L’aire semble relativement grande… je roule au pas pour bien observer…

A gauche devant moi se trouve la petite bâtisse, éclairée sur trois côtés par des lampadaires. Schéma classique : Une coursive à mi hauteur faisant tout le tour, avec les cabines de toilettes au centre.
Sur ma droite, une autre route remonte en une large boucle encerclant une grande pelouse ovale. J’emprunte ce chemin. Quelques places de parking dispersées çà et là. Au centre, l’espace vert propose deux espaces de pique-nique et un autre de jeux, quelques bancs, quelques luminaires… Des buissons, un bosquet, quelques arbres… A l’extérieur de la boucle, une pelouse immense qui se perd au fond par des rangées d’arbres et petits bosquets. D’autres tables, éloignées et éparpillées, dans des coins sombres, suscitent déjà mon imagination… Je roule au pas… Et la boucle me ramène au centre de l’aire, juste après les sanitaires… Là, un long et large parking s’étale sur la partie éclairée et déjà j’aperçois quelques voitures…
Un peu paniquée, en petite tenue dans la voiture, je fais le tour du parking en prenant l’allée la plus extérieure pour opérer un demi-tour et remonte vers la partie haute de l’aire. Je remonte au plus loin et me gare sur le côté.
Quelques places de parking en file indienne m’offrent un refuge plus discret…
J’allume une cigarette et attends…

De là où je suis, je ne vois plus le bâtiment, masqué par la végétation. Le large îlot de verdure est traversé par petit sentier qui zigzague entre les arbres d’un lampadaire à l’autre…
J’ai très envie de m’aventurer sur ce chemin… Il semble ramener vers la bâtisse.
L’endroit m’attire.

Comme j’aimerais aller observer ce qui se trame plus bas…
En longeant la bâtisse tout à l’heure, j’ai pu apercevoir deux silhouettes s’éclipser derrière… Deux hommes ? Deux « amants » ? Impossible de savoir…
Je décide donc d’aller faire une reconnaissance discrète…
Mais cette fois, je joue la carte de la prudence. Ouvrant la portière, j’att**** mon survêtement noir et sors de la voiture… J’enfile le pantalon par-dessus mes dessous et remonte ma jupe autour de ma taille, sous ma veste à capuche…
Me voici parée… En cas de mauvaise surprise, je reste « couverte »… et en cas de bonne surprise, et bien, ce sont des vêtements très faciles à retirer…

Malgré tout, cette petite chaleur d’excitation persiste en bas de mon ventre… la situation va devenir érotique, j’en suis sûre… et je m’aventure sur la petite allée, les escarpins à la main, en tortillant du cul, impatiente et curieuse…
Je parcours rapidement la centaine de mètres pour atteindre l’autre extrémité, à deux ou trois mètres de la route principale. Cette même route qui se traverse pour rejoindre la bâtisse…

Une haute haie bien touffue me dissimule. A son milieu, un passage discret m’offre une place de choix …
Pour l’heure, je reste dans la partie sombre… Je me tiens là, à côté de l’ouverture. A l’abri du halo vif et orangé qui éclaire le trottoir à un mètre de moi, je tends la tête pour jeter un oeil…
Ma vue est imprenable…

Une trenatine de mètres me sépare de la scène et le spectacle est prometteur… Ce ne sont pas deux, mais quatre hommes qui flânent dans l’ombre du bâtiment. Se croisant, ralentissant, faisant et refaisant le tour du corridor… dans un ballet de « fais-moi un petit signe et je suis à toi »…

Deux semblent jeunes. Pour les deux autres, difficile à dire d’ici…
J’allume une autre cigarette pour prendre le temps d’observer…

Même si je me doute que ma « timidité » décidera pour moi, je me laisse aller à imaginer les deux options qui se présentent.
Soit je traverse la route et me mêle à la ronde de séduction… Mmmmmmmm… pourquoi pas ? D’abord croiser ces hommes… une fois… deux fois… puis ouvrir une cabine sans la refermer et attendre…
J’imagine mon invité qui se tiendrait debout à la porte et moi, petite allumeuse que je suis, lui offrant un petit striptease aguicheur… Mmmmmmm… très tentant…
Et pourquoi ne pas imaginer qu’à quatre reprises, un voyeur en remplace un autre qui, lui, sera venu me rejoindre… Mmmmmmm… le fantasme de quatre queues dressées pour moi, par moi et en moi… j’adore… Très tentant, mais je ne suis pas prête pour autant de perversion pour l’instant… trop de risques…
Le serais-je même un jour ?

Ou alors, je reste là où je suis… et joue un peu de ma féminité dans la partie éclairée du passage… juste au bord de la route… il me suffirait de happer le regard d’un des inconnus et de l’attirer plus haut… vers la table de pique-nique à l’orée du petit bois, par exemple…

Mmmmmmmmmmmmm… Ce scénario est aussi très plaisant.

Je me défait rapidement de mon pantalon et de ma veste, et les pose sur le sol, juste à côté de moi. Ma tenue me plait beaucoup… je réajuste mes bas et ma culotte… remets ma jupe comme il faut, c’est à dire courte… et chausse mes escarpins…
Une vraie petite coquine.

Je m’avance un peu en prenant soin de rester dans l’ombre, mais néanmoins dans l’ouverture, juste à la lisière du passage végétal. Et commence ma danse de séduction… lascive… sensuelle… ondulant de mes hanches, mon cul… mes mains courent sur mes courbes et jouent avec ma jupe… Je m’amuse un peu.

Pour l’instant, aucun ne m’a aperçue… ils continuent leur ronde incessante… sans tourner les yeux vers moi…
Aucune importance… j’avoue que le simple fait de m’exhiber, de m’offrir à l’éventualité d’être vue dans cette tenue m’accapare… Mmmmmmmmmmm… très troublant…

… le risque m’excite un peu plus…

… je m’avance encore d’un petit pas… Au bord de la haie, au bord du trottoir, je me trouve désormais dans la partie éclairée. Plus rien ne me dissimule véritablement. Si ce n’est la distance qui floute un peu ma présence vis-à-vis des quatre compères … en talons, jupe courte et bas résille… Mmmmmmmmmm…
Excitée, je leur tourne le dos et remonte doucement ma jupe… pendant quelques longues secondes, je continue ainsi… sans les voir… m’offrant en pleine lumière comme une danseuse de peepshow… Mmmmmmmmmm… le désir d’être vue… de se faire mater… l’envie d’attirer leur attention…
Je mouille comme une coquine…

Puis, d’un pas, regagne l’ombre pour me cacher et observer à nouveau…
En me retournant, je l’aperçois… Il est très proche. Il a déjà le bâtiment derrière lui et s’apprête à traverser la route qui nous sépare… quelques mètres seulement !!

Prise de court, je récupère mon survêtement par terre et fais quelques pas rapides pour remettre un peu de distance entre nous…
Effrayée, je l’avoue, mais aussi très tentée, je décide de rester dans cette tenue… Après tout, je ne fais rien de mal en soi. Si j’étais une femme, ma tenue est certes très sexy mais elle n’en est pas moins « décente ». J’ai rabaissé ma jupe. 😉

Et puis, de toute façon, j’en ai trop envie !!
Avant d’opérer un repli stratégique, j’ai eu le temps de remarquer que c’était l’un des deux plus jeunes mentionnés plus tôt. Vingt-deux, vingt-cinq ans tout au plus, à priori. Ce n’est pas le profil que j’affectionne le plus, j’aurais plutôt tendance à préférer la compagnie d’un post-quarantenaire. Mais d’une part, je me sens très facile ce soir, et d’autre part, ça fera toujours une autre « première fois » !
La première fois avec un « jeune fougueux »…

J’ai atteint le milieu du sentier, quand lui contourne la haie. Une cinquantaine de mètres entre nous… c’est plus rassurant…
Il s’arrête un instant, en attente. Comme pour se conforter dans notre compréhension mutuelle, il pose la main sur son entrejambe… Bien que je ne puisse difficilement m’imaginer plus évocatrice qu’en me tenant là, sur une aire de repos, m’exhibant en travesti en plein milieu de la pelouse, je décide de jouer son jeu. Rassurons-le… ou plutôt, excitons-le…
Soyons explicite ! 🙂

Je me mets de profil, sous un lampadaire, me cambre légèrement et … tout en le regardant… glisse mes mains sous ma jupe pour att****r ma dentelle… et la faire glisser lentement à mes chevilles… Le petit vent frais en profite pour relever légèrement ma jupe sur mes fesses…
Mmmmmmm… délicieux…
Je lève un pied… puis l’autre… et la dépose sur le banc juste à côté de moi… avant de reprendre le pas, cul nu sous ma jupe, en me retournant régulièrement pour m’assurer de sa présence…
Il semblerait que j’ai convaincu mon coquin… il me suit sans me lâcher des yeux, la main frottant son sexe à travers son pantalon…

Et moi, je me déhanche comme une … Mmmmmmmmmm… Les talons aiguilles accentuent les balancements de mon petit cul… Je profite de chaque passage sous une lumière pour lui faire un mini show sexy… dévoilant çà et là, jouant avec mes mains de plus en plus intimement…
Et le laissant gagner un peu de terrain à chaque fois…

Je compte bien l’emmener en haut de l’aire…

En passant à côté de la voiture, j’en profite pour récupérer mon sac à main, avec mes accessoires de « première nécessité »…
Il me tarde d’arriver là-bas… plus je me rapproche de mon objectif, plus je suis délurée…
A tel point qu’à mi-chemin, sur l’herbe, je me retrouve déjà à quatre pattes, la jupe relevée, en train de tortiller mes petites fesses.
L’inconnu est là, derrière moi… j’imagine ses yeux posés sur mon cul, et sa queue tendue et serrée dans son pantalon…
Cette position achève ma métamorphose : de coquine, je suis passé à « salope » !

Je sors mon petit flacon de gel, J’écarte bien mes jambes et… tout en lui présentant mes fesses bien ouvertes… bien offertes… je commence à me lubrifier l’anus…

En m’y revoyant, délurée, à quatre patte devant un vicieux excité… Mmmmmmmmm… Quelle salope !

Mon voyeur apprécie… je sais qu’il regarde avec gourmandise chacun de mes doigts rentrer et sortir… glissant entre mes petites fesses étroites…
Il est à quelques mètres de moi maintenant… et moi, je me tiens là, complètement exposée… en plein milieu de la pelouse…

Ignorant complètement le risque présent, je décide de tenter le diable…
Toujours à quatre pattes… d’une main, je fouille dans mon sac et de l’autre je prépare mes fesses en les écartant…
Mon mateur n’en perd pas une miette…
Je frotte mon plug anal… le fais glisser le long de ma fente… Mmmmmmm… et le présente à mon petit trou…
Mmmmmmmmmmmmm… il rentre doucement… Oooooohhhhhh… mon cul l’engloutit tout entier… Il n’est pas très gros, juste ce qu’il faut.
j’aoooOOOre… je gémis de plaisir… je le sens, Mmmmmmmmm… bien en moi…

Lui, il commence à se lâcher à voix basse…
« Mmmmmmm… Salope !! »…
« Bouge ton cul de salope !! »
J’entends l’excitation de la jeunesse dans ses intonations.
Il se rapproche…

Je retire mon plug lentement, tout luisant de plaisir… et le porte à ma bouche… je le lèche goulûment… le suce… et le remets à sa place, dans mon petit cul.

J’entreprends ainsi les derniers mètres… avançant sur mes mains et mes genoux… le cul dressé en arrière… avec la sensation délicieuse du jouet bien en place et du regard vicieux qui me mate…

Debout, les mains posées sur la table, tournant toujours le dos, je laisse mon amant me rejoindre…
A défaut d’un vocabulaire élaboré, son propos est explicite…
« Penche-toi salope ! ».
Je m’exécute volontiers… Je devine que je n’ai rien à craindre de ce jeune amant… Il est surexcité et plein de vice et je vais pouvoir en jouir à ma guise !

Très vite je sens ses mains glisser sur mes cuisses et remonter entre mes jambes… C’est un impatient. Il relève ma jupe sans attendre…
« Montre-moi ton cul ! »
Saisissant l’extrémité du plug pour l’extraire de son fourreau, il le présente à nouveau à ma bouche.
« Suce-le !! »
Son machisme mal assuré m’amuse. Aveuglé par son excitation, il se veut maître du jeu, mâle dominant.
Et moi, cette position de soumise m’excite aussi.

Son autre main s’immisce entre mes fesses…
Mmmmmmmmm… je gémis encore… et obéis à son désir… J’écarte plus les jambes, penchée sur la table, et propose mes lèvres à son offrande…

Oooooohhhhh… ouiiiiii… continue… enfonce tes doigts… encore !!
J’adore… il me branle le cul de deux doigts impatients, d’humeur de plus en plus salace…
« T’aime çà hein, salope !! T’aimes te faire doigter comme çà !! »
Trop excitée pour être déçue par son manque d’originalité et son inexpertise, je lui offre mon cul avec délice…

« Petite pute !! »

« Salope !! »

Continue, petit branleur… Continue… Insulte-moi autant que tu veux mais fais–moi jouir…
J’embrasse ses pénétrations en bougeant mon bassin… Puis, il m’enfourne le plug entre les lèvres et libère sa main pour mieux m’écarter les fesses. Certainement pour mieux profiter de la vue !
Le jouet dans la bouche et eux doigts qui me fouillent avec vigueur… J’adore !

« Occupe-toi de moi maintenant ! »
Il dégrafe sa ceinture et commence à déboutonner son jean…
A vos ordres, my dear…
Je me retourne et m’agenouille devant lui avec empressement. Je dézippe sa braguette, glisse ma main impatiente dans son caleçon et att**** sa queue déjà bien gonflée…
Mmmmmmmm… Une belle bite impatiente et vigoureuse…
Miam !

J’ai tout juste sorti sa queue que déjà il att**** ma tête et me guide…

« Suce-moi ! »

Sans même me laisser le temps d’acquiescer, son gland est déjà contre mes lèvres ! Faisant pression pour pénétrer…
Il est très entreprenant ce jeune homme ! Et la délicatesse passe après son impatience…
Mais qu’importe, j’ai une belle queue dans la bouche, et je me régale déjà… Mmmmmmmmm… ce petit goût salé, très révélateur…

Et sous les va-et-vient rythmés de ses mains sur ma nuque, je joue avec sa queue dans ma bouche… Ma langue mutine qui lui lèche le gland…
Il rentre et sort… d’abord lentement, et le rythme s’accélère.
Mmmmmmmmm… Trop bon !

« Suce-moi ! Suce-moi bien… comme çà… »

Si tu savais, petit vicieux… Oui, je suis une salope, mais tu es mon jouet ce soir…
Tout en le gardant en bouche, je commence à le branler… décalottant bien à fond avant de le titiller sous le gland avec ma langue… et l’avaler à nouveau au fond de ma gorge…
Je peux en faire ce que je veux… Je suce, lèche, l’engloutis au gré de mon envie…

Je le sens se tendre de plaisir… Il en tremble, le coquin…
Je n’en ai pas fini avec lui…
Mmmmmmmmm… je le veux dans mon cul… je veux sa queue entre mes fesses… A l’intérieur…

Et alors que j’ouvre la bouche pour lui exprimer mon envie, un premier jet de sperme gicle sur ma joue, à la commissure de mes lèvres… un deuxième…
Il aurait pu me prévenir !
Et moi, je ne pensais pas qu’il serait aussi rapide à la besogne.

Mais je ne veux pas en perdre plus ! Je le reprends en bouche aussitôt.
De longs jets de foutre s’écrasent contre mes joues et ma langue…

Délicieux !

Il me traite encore de salope… me dit qu’il veut « remplir ma bouche de salope »…
Et pour le coup, il a raison… Je le laisse bien volontiers se vider sur ma langue… Je me laisse faire avec plaisir…
J’adooooOOOOOore !!

Il est tellement concentré sur son propre orgasme qu’il ne réalise même pas que je l’attire encore plus vers moi… mes mains sur son cul le maintiennent tout contre moi…
Mmmmmmmmm… sa queue bien au fond…
Mon front plaqué sur son nombril et le menton contre ses couilles ! Sa bite toute entière enfoncée entre mes lèvres. Tellement au fond que ma bouche embrasse presque son ventre. Il baigne littéralement dans son jus…
C’est bon !! C’est chauuuud…
La sensation de sa queue encore dure… j’aspire encore… je veux tout… Jusqu’à ses derniers soubresauts…

Mmmmmmm… je suis une vraie petite obsédée.
Et j’ai encore envie de jouer un peu… C’est trop rapide, je veux que ça duuuuuure !!!

Mais lui, petit égoïste, reste focalisé sur lui-même.
Il s’extirpe lentement, très lentement de mon emprise gourmande, les yeux fixés sur sa bite qui réapparait progressivement…

Je lève mes yeux vers les siens… Il mate, le salaud… Il mate sa bite qui ressort de ma bouche… Il n’en perd pas une miette. Il ne voit que sa queue dans ma bouche… Je ne suis qu’une bouche pour lui… Une bouche de salope qu’il a baisée…
Comme s’il voulait enregistrer ce moment de gloire où il s’est vidé dans la bouche d’une salope… Lui, grand mâle dominateur, qui m’a possédée à son bon vouloir… Et moi, petite chienne, soumise à ses désirs…
Des souvenirs qui vont sûrement, et je l’espère, alimenter ses prochaines branlettes dans sa chambre…
Et bien je vais lui en offrir des souvenirs ! Et à moi aussi !
C’est peut-être lui le mâle, mais c’est moi la salope !!
Et il va pouvoir se branler pendant longtemps en repensant à moi… Je n’en ai pas fini avec lui !

Je me délecte du glissement de sa chair contre ma langue… Et, quand son gland rejoint mes lèvres, mes mains sur ses hanches le ramènent vers moi avec fermeté et je le reprends tout entier en bouche. D’une seule traite !
Un petit « Oh ! » de surprise lui échappe.
Mais il se laisse faire…

Il est à nouveau dans ma bouche, bien au fond… Je le maintiens ainsi.
Mes yeux dans les siens lui font clairement comprendre mon intention. Il m’a peut-être baisée, mais pas assez à mon goût…

Et il se prend au jeu, le coquin !! Il a compris.

« T’en veux encore, salope ! »

Il recule à nouveau, plus lentement… Mes yeux cherchent encore les siens, mais ceux-ci sont accaparé par sa bite qui dégorge au ralenti… il mate sans vergogne… pousse même le vice à ralentir encore quand son gland est à l’orée de ma bouche…
Il attend dans cette position…

Je l’enfonce à nouveau en moi !
Il aime çà, le petit salaud…
Il joue du bassin pour sentir sa queue bien au fond…
« Petite pute !! »

Il réitère une sortie au ralenti… Il joue un peu dans ma bouche… et cette fois c’est lui qui prend l’initiative ! Je n’ai pas le temps de faire pression qu’il pose ses mains sur ma tête, et …
Oooooooohh !
D’un prompt mouvement du bassin, il se réengage sans attendre et s’enfonce sans aucune retenue ! A peine le temps de réaliser et je sens ses couilles aplaties contre mes lèvres inférieures, ses poils pubiens me chatouillent le nez. Son gland flatte ma gorge…

Tellement empreinte de mon personnage, je me laisse totalement faire !! Je me sens bien plus que sexy. Je me sens allumeuse, excitante. Je me sens coquine, salope, libérée… exhibée, offerte, possédée… mais je me sens surtout délicieusement et absolument soumise à ce moment précis.

A genou sur l’herbe, je me retrouve coincée entre le banc dans mon dos, et mon vicieux face à moi. Ses deux mains recouvrant la quasi-totalité de mon crâne me maintiennent fermement, et son ventre engloutit mon visage, me laissant à peine respirer.
Prise dans un étau de chair et de vice, je savoure sans retenue, sans pudeur… Je suis à lui, ma bouche ne m’appartient plus…
Il me remplit totalement la bouche et j’adore çà ! Ma première gorge profonde digne de ce nom !! Son gland a même dépassé ma luette, il est dans ma gorge… sa hampe, un peu plus souple mais présentant toujours des dimensions ensorcelantes, ne laisse aucun espace entre ma langue, mes joues et mon palais.
Je suis comblée !

Le visage plaqué contre lui, je parviens à glisser ma langue hors de ma bouche pour venir lécher ses bourses encore chaudes… sans imaginer que l’inclinaison de ma mâchoire l’inviterait à s’enfoncer encore d’avantage dans ma gorge… C’est une sensation incroyable ! Je ne suis plus qu’un orifice chaud et accueillant pour sa bite !!

Je l’engloutis au plus profond et lui lèche les couilles en même temps… Emprisonnée entre ses mains et son ventre… Je m’abandonne…
Et lui ne compte plus s’arrêter là… Il recule le bassin, tenant vigoureusement ma tête… son gland est posé sur mes lèvres, béantes et impatientes… et me pénètre à nouveau sauvagement, lâchant un « Grosse salope ! » à mon encontre.

« T’es vraiment qu’une salope !! » renchérit-il en m’enfermant encore sur sa queue.

Il ne pourrait être plus sincère : je me ressens moi-même comme çà, dans cette posture de chienne insatiable et soumise.
C’est si boOOon !!

Mes mains l’attirent encore plus contre moi, comme si c’était possible… J’ai le goût de son foutre et de sa queue… Sa bite me perfore la gorge…

Il ressort, et… Han ! Bien profond, tout entier !
Ressors, et… Han ! Encore !
Chaque pénétration virile est ponctuée d’un « Salope ! », « Petite pute ! », ou « T ‘en veux encore ?! »…
Et chaque fois, il se réintroduit énergiquement… Sa fougue entraine avec elle des filets de sperme qui dégoulinent sur mon menton…
Et lui continue de me pilonner la bouche, encore et encore… Elle lui appartient…

« J’ai jamais vu une salope comme toi ! », insiste-t-il.

Vas-y, continue… Continue.. Encore !
J’ai l’impression d’être dans un porno hard, envie d’être matée par toute une bande de pervers devant leurs écrans, la bite à la main, ne tarissant pas non plus de commentaires salaces en me lorgnant offerte et lubrique sur l’aire de pique-nique…
Toutes ces verges luisantes, tous ces flots de foutre qui m’honoreraient…
Je suis chaude comme la braise…

Et mon compère romantique reprend de la vigueur !!

« Tu vas voir, petite pute ! »

Il durcit et grossit à chaque coup de boutoir… m’écartèle les lèvres, les joues… Son gland me parait énorme quand il s’écrase au fond de ma gorge… Sa queue plus envahissante…

Fabuleux !

Son emprise se relâche, elle n’est plus nécessaire… Je relève le front vers lui, la bouche toujours grande ouverte, et fixe son regard lubrique…
Il avance son bassin, le recule, encore et encore… s’enfonce… tellement dur que sa queue trouve à chaque fois le chemin de ma gorge…

« Toi, t’es ma petite salope !! Toi tu vas bouffer ma bite !! Vas-y ! Bouffe ma bite !! »
Ses insultes sont une apothéose !!
Il me vide et me remplit la bouche à loisir… mes joues ruissellent de sa première semence…

Son emprise redevient plus puissante et me rappelle à mon état de petite pute domptée et dévouée à sa queue…
Mes gémissements mouillés et étouffés l’encouragent… mes mains accompagnent et soutiennent ses élans… Parfois, il s’immobilise, tout au fond, affirmant la pression sur ma tête pour gagner le centimètre plus au fond encore… ondule un peu du bassin pour me confirmer que ma bouche est à lui, qu’il fait de moi ce qu’il veut… et que s’il pouvait faire rentrer ses couilles à l’intérieur il le ferait sans me demander mon avis… mais ma bouche est tellement pleine que ma langue ne peut même plus se glisser hors de mes lèvres ! Il est trop gros ! il est long, il est dur !!
Et il reprend ses va-et-vient, au gré de ses envies… il ralentit, il accélère… hypnotisé par ce qu’il voit…
Je suis une pute gratuite sur un parking…
Je me régale !

Ses râles dévient progressivement vers des petits cris… L’amplitude de ses mouvements se réduit, le rythme s’accélère… Il ne va pas tarder à éjaculer à nouveau… Je n’attends que çà !! Et il le sait !

« Oooooohhh… Prends ça ! »

Joignant la parole à l’acte, il ressort prestement et s’empresse d’une main à me maintenir la tête, et plus précisément la bouche, bien en face de sa queue, tandis que l’autre serre son chibre pour me tenir en joue…
La semonce ne se fait pas attendre. Des saccades de foutre s’écrasent sur mes joues, jusqu’à mon front… et quand il réajuste le tir, en revenant se positionner entre mes lèvres, les derniers jets chauds et visqueux achèvent de m’inonder une nouvelle fois la bouche…

Je sens mon visage luisant de sperme, et ma bouche baignant de foutre… attentive à tous ses commentaires vicieux…
Une fois la dernière goutte écoulée, je m’empare de sa verge et, tel un pinceau délicat, je l’applique sur mon visage pour ramener sa semence à mes lèvres, que je lèche avidement… Je frotte sa queue dure et gluante sur mes joues, mon nez, mon menton pour n’en pas perdre une miette…
Je suis insatiable de foutre ! J’en veux des litres !!

Avant même qu’il ne me le demande, j’ouvre la bouche bien grand, exhibant son jus abondant, sa bite toujours contre ma joue… avant d’avaler copieusement…

« T’es vraiment une grosse salope !! »

Il a raison…
Une vraie grosse salope… Mmmmmmmmmm… j’adore çà !!
A cet instant, je voudrais encore plus de queues bien dures… encore plus de sperme… Une légion de voyeurs dressés pour moi, prêts à me recouvrir totalement de liqueur tiède et gluante…
Prête à les avaler chacun leur tour et me faire baiser en même temps !

Mon amant, quant à lui a déjà rebroussé chemin et s’éloigne en se reboutonnant… sans même un dernier mot, un commentaire, ni même un petit merci… me laissant là, encore pleine d’envie et d’excitation… les joues et les lèvres luisantes de son sperme encore chaud…
Et le cul impatient… frétillant d’excitation…

Je le regarde s’éloigner…
Souillée, à demi-nue au bord de la table de pique-nique…

Dieu que c’était bon !
Extraordinaire !!
Je ne saurais dire combien de fois j’ai joui !! Combien de montées d’orgasme m’ont submergée… Et pourtant, je me sens en reste.
J’ai encore envie !
Et mon amant enflammé est déjà loin maintenant…

Ravie et déçue à la fois… Il va falloir que je me finisse toute seule…

Je fouille à nouveau dans mon sac pour trouver mon gros jouet… Pas le plug, l’autre… Mmmmmmm… le bien gros, le bien dur…
J ‘avoue qu’il me tarde de le sentir entre mes fesses, à défaut d’une vraie et bonne queue…
J’aurais adoré un troisième round avec mon jeune étalon ardent … qu’il s’amuse un peu avec mon cul… mon petit cul accueillant… mon « cul de salope » comme il disait…

Je pose alors le gode-ventouse sur le banc, m’assure de sa stabilité et prends soin de me oindre à nouveau et abondamment la raie…
Mmmmmmmmmmmmm… Délicieux…

Une fois bien « préparée », j’enjambe le gros dard à califourchon et descend lentement vers le gland dressé en retroussant ma jupe… face au parking, apercevant au loin un bout du toit de la bâtisse…
Je me frotte un peu contre lui… Mmmmmmmm… C’est gros… c’est long… C’est boooOOOoon !
Je le veux bien en moi… bien au fond…

Je me titille encore un peu, et présente l’objet à sa cible…
Mmmmmmmmmmmmmm…
Je descends encore un peu…
Le gland force le passage… disparait lentement entre mes fesses…
Ooooooooohhhhhh… C’est encore très étroit ! Et il est peut-être un peu gros ! Pourtant, je continue ma descente…
je la sens qui prend possession de moi…. une grosse queue dans mon cul…
C’est tout ce que je veux…

Encore… elle s’enfonce encore… jusqu’à me remplir entièrement… Poussant le vice à poser mes fesses sur le banc, assise et avalant le gros chibre tout entier…

Je me lèche les babines, elles ont encore le goût de sperme…
Je commence un mouvement de haut en bas… Un mouvement frénétique… Je m’empale avec envie et délectation…
Je chevauche mon plaisir sans retenue !!

Le cul écartelé sur le banc d’une aire de repos, je me laisse aller de tout mon content…
Mmmmmmmmmmm…
Je soupire de désir… Mes gémissements résonnent dans la nuit…

!!!!

Un homme vient de tousser derrière moi !
« Vous avez égaré ça tout à l’heure ! »
La voix vient bel et bien de derrière, entre les arbres… Et celle-ci est plus âgée, c’est certain…

Interloquée, je détourne la tête et aperçois une silhouette qui se rapproche.
La main tendue, l’homme semble me présenter quelque chose entre ses doigts… Ma culotte !! Il a ramassé ma culotte, celle que j’ai déposée bien avant sur le banc, pendant mon jeu de séduction avec mon jeune amant…

Je le regarde s’approcher sans plus bouger…
Moi, toujours en position, complètement paralysée de stupeur…
Assise sur le banc, avec le gros jouet au fond de mon cul ! Incapable de prendre une quelconque initiative…

« J’ai envie de jouer moi aussi ! »
Sa voix a quelque-chose de réconfortant… Posée, rassurante… Presque courtoise…
La situation est on ne peut plus déconcertante.

La suite relève bien sûr de mon pur fantasme…
Mais je me ferai un plaisir de vous la conter 😉

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