Par ces fortes chaleur, je prends une douche pour me rafraîchir. Je rêvasse en laissant l’eau couler sur mon corps. Je dirige le pommeau de la douche sur mes seins et mon abricot. Le doux fouettage de l’eau sur mes parties intimes me transmet un plaisir diffu qui me fait vagabonder un peu plus dans mes fantasmes et penser à Christian qui commente si bien mes récits. J’en arrive à me caresser sous la douche. Mon clito se durcit sous l’action de mes doigts. Je me met à mouiller et tranquillement de deux doigts je me pénètre le vagin. Au moment où je vais atteindre l’orgasme, je n’ai plus d’eau chaude et c’est la douche froide.
Je sort précipitamment de la douche et agacée par cette interruption brutale, je me sèche. Absorbée par mon séchage, je n’entends pas la présence du voisin qui c’est introduit dans ma maison à mon insu. Me croyant seule, j’ai laissé la porte de la salle de bain ouverte et le voyeur peut se régaler de mes courbes. Au moment où je ramasse le tube de shampoing au sol, ma position expose mes charmes naturellement. C’est alors que le vieux vicieux passe du mode voyeur passif au mode mâle en rut. Il me saute dessus et m’enfile tout de go le vagin en levrette. Surprise et terrifiée je crie et en me retournant, reconnais Pierre, mon voisin qui s’active sur moi comme un furieux. Je tente de le repousser mais en vain. Il est plus fort que moi. Je m’insurge désespérément :
« Noooon !!!! Pierre ? Mais que fais-tu ? Salop laisse moi ! »
Mais rien à faire, seule à la maison, je suis sa proie. Pierre me baise avec une telle force que mes sens prennent le dessus et que je sens une vague de plaisir monter en moi. Je me met à pousser de petits cris de plaisir à chaque coup que mon voisin me donne.
Cette saille surprise est perverse. Mais j’y prends aprés a peur un plaisir non dissimulé. Puis aprés quelques minutes, alors que je n’ai pas encore joui, il se plaque à moi en s’enfonçant à fond et dans un grognement de bête fauve, je sens les saccade de sa verge qui se vide en moi. L’un comme l’autre ne bougeons plus. Sa queue diminue et finie par sortir dans un bruit mouillé. Du sperme sort de mon trou et coule sur mes cuisses. Il me donne une claque sur les fesse et me dit :
« Désolé Michèle mais j’ai pas pu résister. Ferme ta porte la prochaine foi. »
Alors qu’il s’apprête à partir et que je suis bonne à reprendre une douche qui je sais va être gelée, j’entends une voix qui lance :
« Il y a quelqu’un ? Michèle t’es là ? »
Je reconnais la voix de Christian et me demande ce qu’il vient bien faire ici, à cet heure et en l’absence de mon mari. Il monte les marche vers la salle de bain et je panique en demandant à mon voisin de se planquer. Mais trop tard, le voilà dans l’encadrement de la porte et découvre notre nudité en demandant :
« Mais qu’est-ce que tu fous à poil avec ton voisin ? Ah ! Je vois. Dans mon dos et celui de ton mari, tu te tapes le voisin ! »
« Non ! C’est pas ça … Je …. heu… Je peux tout t’expliquer. Cest pas ce que tu penses Christian ! »
Il a à ce moment un rictus qui présage que son imagination tordue fait des siennes.
« Pas la peine de te fatigue ma grande. »
Il sort son smartphone et nous prend en photo pour l’envoyer à Alain.
« Ne fais pas ça ! »
« Ta gueule. Tu vas faire tout ce que je te demande. Viens à quatre pattes comme une chienne et commence par me sucer la queue ! »
Pierre, le voisin s’adosse au mur et satisfait de la tournure des choses, il reste là en spectateur.
Christian exhibe son sexe sous mon nez et soumise, je le masturbe en soupesant ses testicules bien rempli.
« Cesse de jouer avec et mets le dans ta bouche de pompeuse de bites ! »
Habituée de ces pratiques et aimant sucer, je m’exécute avec un certain plaisir.
Je le pompe avidement sans faire attention au voisin qui se délecte de me voir sucer sur l’ordre de Christian. La sensation d’un pénis bien chaud et dur dans ma bouche est exquis. Christian geint de plaisir sous ma langue experte. Dans un gémissement plus profond, je sens sa trique tressaillir.
« Ouiiiii ! Je vais te juter dans la gueule salope ! Avale mon jus chiennasse ! »
Il y a tant de sperme que je ne peux tout avaler sans m’étrangler et l’excès de sa crème coule de mon manton sur mes seins. Le voisin applaudit et Christian me félicite :
« Michèle décidément tu est une pompe à bites hors norme ! »
Le voisin reprend :
« Oui en effet, j’ai rarement vu une salope sucer avec autant de plaisir ! »
Agacée par leur condescendance, je les insultes en leur disant :
« Vos gueules bande de salop ! L’un comme l’autre vous m’avez forcée ! »
« Oui mais tu ne t’ai pas trop défendu et tu a aimé ça ! Dis-le que t’es un salope qui aime la bite ! » Lance Christian qui me connaît bien.
Je ne réponds pas mais je sais en moi même qu’il a raison.
Sur cet entrefaite, le voisin est à nouveau en forme. Au moment de me relever, il me prend par les hanche et vlan, il me fourre à nouveau la chatte. Ses mouvement sont s brutaux que tout à l’heure et je pense qu’il a envi de faire durer le plaisir maintenant. Tout en me baisant, il titille mon clito d’une main et me pelote un seins de l’autre. Cette foi mon orgasme est fulgurant. Christian prend des photos en me disant :
« Il ne faut pas que ton homme rate ça ! »
Puis, Christian qui à son tour a repris de la vigueur Dis au voisin :
« On va la prendre en double vaginal. Elle a pas une chatte ! C’est une vrai bouche de métro aux heures de pointe ! »
Je veux refuser mais il ont le dessus sur moi et Christian pousse déjà pour entrer dans mon vagin qui se dilate monstrueusement avec ces deux verges.
Je cris et tente de me débattre et de les repousser. Mais ils me tiennent fermement. Les deux verges en moi, il me baise de concert. J’ai l’impression d’être ouverte en deux comme un fruit mure. Mais les deux salops ne veulent pas en rester là. Christian dit alors :
« Ton vagin est trop élastique ! On va voir comment est ta rosette ! T’a l’habitude de te faire enculer mais avec deux bites tu dois être serrée comme une pucelle ! »
Je m’insurge avec véhémence ce qui les fait rigoler. C’est Christian qui fait le passage le premier malgré mes refus et mes insultes. Une foi bien installé au fond de mon cul, il fait signe à Pierre d’y aller. Quand il pousse pour entre dans mon petit trou, je ne cris plus. Je meugle comme une vache qu’on emmène à l’abattoir. J’ai l’impression que je suis déchirée. Heureusement pour moi, l’étroitesse de mes parois, les font éjaculer rapidement. Quand ils se retirent, j’ai la sensation d’un grand vide et par l’aspiration un flot de sperme s’éjecte et tombe au sol. Je serre les dents d’humiliation et prostrée, je reste dans ma position indécente.
Les deux hommes sont content d’eux et en se tapant dans les mains, ils me congratulent :
« T’es vraiment qu’un garage à bites Michèle ! C’était vraiment délicieux. Sers nous à boire Michèle pour fêter ça. T’as du champagne au frais je crois ! »
Nous descendons tous à poil au salon et pendant que je sers le champagne, leurs mains se font baladeuses. Entre ces deux mâles qui avaient abusé de moi, j’ai envie de prendre les commandes et en dominatrice, je leur ordonne :
« Maintenant que vous m’avez bien défoncé bouffez-moi la chatte et nettoyez les dégâts ! »
« Hoooouuu ! Tu prends du poil de la bête Michèle ! » Répond Christian.
Le voisin rajoute :
« Huuum ça va-être un délice avec tout ce qu’on t’a mis. »
Assise sur le canapé, cuisses largement écartées, les deux hommes se mettent à me bouffer la chatte le cul et le seins. Je nage dans le bonheur sous leurs langues et leurs doigts.
Après cinq minutes, de se régime, je part dans un orgasme incroyable, juste au moment où Alain rentre du travail.
« He bien je vois qu’on s’ennuie pas ici pendant que je bosse ! »
Les deux acolytes, ne se démonte pas et propose même à Alain de me finir. Il sort sa verge et me la place entre les seins pour se terminer au bout de dix minutes sur ma figure. Épuisée, humiliée, souillée, je reste pantelante sur le canapé pendant que mes trois bonhommes trinque à ma santé.
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