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Forêt à haut risque

Forêt à haut risque



Je roule sans but précis, les pensées encore pleines d’images érotiques. Par envie de calme je m’arrête sur un parking dans la forêt de Cerisy et je décide d’y faire une petite balade. J’emprunte un sentier qui s’enfonce sous la frondaison. Au bout d’un quart d’heure, je suis un peu perdu. Seuls les chants des oiseaux et le bruit de mes pas perturbe le le silence. A un moment, une sorte de murmure me fait tendre l’oreille. Je m’arrête pour mieux entendre ce bruit. Je me rapproche doucement sans faire de bruit et découvre un couple qui s’embrassent langoureusement. Les mains de l’homme malaxe les fesses de la fille. Me voilà devenue voyeuse. Puis il fait tomber le manteau de la fille. Je commence à mouiller tant la situation est érotique. La demoiselle est nue sous le manteau.
L’homme sort de sa poche un collier un collier et lui met autour du coup. Moi qui joue souvent à la chienne avec mon homme, je suis fasciné par le spectacle qui se déroule devant moi. L’homme, ensuite attache la jeune fille à une arbre. J’entends alors la jeune soumise dire à son Maître :
«  Je t’en prie chérie. Ne fait pas ça. Je te jure que je ne recommencerais pas ! »
Ses suppliques semble n’avoir aune portée son mec. Il lui écarte les jambes et lui ordonne :
« Bouge pas salope ! »
Puis, sans un mot, l’homme s’éloigne et disparaît dans la forêt laissant la pauvre fille sans défense, nue, attachée à cet arbre.

Je n’ose plus bouger. Là, à quelques pas de moi se trouve une jeune fille nue, sans défense. Je ne sais pas ce que je dois faire, la détacher ? Au risque de me faire surprendre par son bourreau ? Me masturber et profiter de l’innocence de cette fille ? J’observe cette jolie fille. On peut lire sur son visage l’angoisse qu’elle doit ressentir d’être ainsi abandonnée. Ses jolis seins se soulèvent au rythme de sa respiration saccadée. Je regarde autour de moi, personne. Je baisse mon short, remonte mon top pour dégager mes seins et me caresse pour faire monter mon désir.
Malgré son angoisse, cette fille semble sereine, fataliste, comme si elle n’en était pas à son coup d’essai. Prise dans mes fantasmes et ma masturbation, je fais craquer une branche. Je ne bouge plus. Je la vois chercher du regard d’où vient ce bruit. Elle ose dire d’une voix cristalline et apeurée:
« Y.. y’a quelqu’un ? ».
Je me réajuste et décide de me montrer. Je jette encore un œil aux alentours de peur que son mec revienne. J’avance doucement vers elle. Mon cœur bat à tout va dans ma poitrine. J’observe son corps sculptural. Sa respiration fait soulever sa magnifique poitrine aux tétons bandés. Elle me regarde inquiète et je la rassure :
« Mais que faites-vous là nue attachée à cet arbre ? Je vais vous détacher.»
Là, à ma grande surprise, elle me répond d’une voix assurée :
« Non ! Merci ! Ne faite pas ça ! »
Je la regarde interloquée et lui demande :
« Mais je ne comprends pas ? C’est quoi votre problème ? »
Elle hésite un instant à me répondre :
« Je… Je suis punie Madame. ».
Je me recule un peu pour admirer cette fille soumise et punie et l’interroge :
« Et pour qu’elle faute êtes-vous punie de la sorte ? De toute façon, je ne peux pas laisser ainsi ? »
Alors, sur un ton très ferme qui contraste avec sa position, elle m’avoue :
« Ce n’est pas mon homme mais mon Maître ! Il a tout les droits sur moi ! Si il a décidé de me punir, c’est son droit ! »
Je souris en pensant à mes fantasmes de soumission qui remontent à la surface. J’ai envie de m’amuser un peu avec elle et lui demande sur un ton dominateur :
« Alors comme ça tu es sa chienne soumise ? Mais explique-moi ce qui a pu déplaire à ton Maître pour te punir ici ? »
Cet humiliation semble lui convenir car je la vois esquisser un sourire pour me répondre calmement :
« La semaine passée, j’ai refusée de m’offrir à un de ses amis. Ca l’a énormément contrarié car je lui ai fait honte devant son copain à qui il m’avait promise. »
Je suis très excitée par la situation. Je ne pense même plus à son Maître qui risque de revenir à tout moment. Cette fille me demande alors :
« Caressez-moi ! »
Je ne me fait pas prier et mes main parcourent sont corps. Elle gémie sous mes caresses. Mon pouce passe doucement sur ses lèvres qu’elle entrouvre pour me le sucer. Je descend vers son mont Venus, ouvre ses lèvres intimes, découvre son clito et tout en le titillant je découvre que son intimité dégouline de cyprine. Elle ondule sous mes caresses. Moi qui suis plutôt soumise, c’est la première fois que je me trouve dans la position de dominatrice. La sensation que cela me procure est gênante mais pas désagréable. Je les suce ses tétons, les mordille, les aspire. La belle gémit doucement. Prise à mon jeu, je n’ai pas entendu son Maître revenir. En un tour de main, il m’attache avec elle sans que j’ai eu le temps de réagir. Dans la foulée il baisse mon short et remonte mon top. Et devant sa copine, Il rentre dans ma chatte pour graisser sa queue et aussitôt se trompe de chemin et me sodomise bestialement.
Je hurle de douleur sous cette intrusion intempestive. Mais le plaisir prend le dessus quand tout en me fourrageant le cul sa main vient fouiller ma chatte qui dégouline de mouille. Rapidement il se met à râler comme une bête. La fille se rendant compte de l’éjaculation imminente de son Maître dans mon cul, elle le supplie :
« Maître ne vous lâchez pas dans ses fesses ! S’il vous plaît je veux boire votre sperme ! Maître souillez-moi ! »
Depuis qu’il me baise, il n’a pas dit un mot. Je suis à deux doigt de jouir quand il se retire brutalement et se répand sur sa femelle soumise crucifiée. Il récupère sur un doigt son sperme sur la figure de la fille qui semble radieuse de cette humiliation et me le porte à la bouche.que je porte à sa bouche. C’est sa queue que j’aurais voulu dans ma bouche mais je me contente de son doigt et ma langue habile, roule autour de doigt comme je l’aurais fait d’un sexe. Il dit d’un air moqueur :
« Si j’avais su qu’aurais deux putes à mon service pour le prix d’une ! »

A ce moment, je pense qu’il va me détacher et me laisser partir mais, quand je le vois défaire sa ceinture, j’imagine le pire. En levant sa ceinture sur moi il me dit :
« Je vais vous montrer comment on dresse des femelle en chaleurs comme vous ! »
Le premier coup tombe sur mes fesses. C’est si cinglant que je crie pas et en ai le souffle coupé. Il n’y va pas de main morte le salop. Le deuxième est pour sa femelle qui grimace en serrant les dents. Puis il alterne les coups. Une foi sur moi, une fois sur la fille. Le dos, les fesses, les cuisses tout y passe. A un moment je hurle de douleur quand, suit à un coup mal visé sur mon dos, le bout de la ceinture atteint mon sein. Ma peau me brûle. Sa copine semble avoir l’habitude car elle a moins crié que moi.

Il me détache, me relève en me pinçant les tétons et en me jetant mes habit au visage, il me lance :
« T’as eu ton compte salope ! Casse-toi maintenant ! Et t’as intérêt à fermer ta gueule ! »
Je rabaisse mon tee-shirt et remonte mon short en catastrophe et sans me le faire dire deux fois, je file en courant. Je les entends rire tout les deux dans mon dos. De retour à ma voiture, je m’assoie dedans. Ma peau me picote et me chauffe. Mon dos et mes fesses sont sensibles. En rentrant chez moi, je me regarde dans le miroir de la salle de bain et je remarque que certaine marques risque de persister une bonne semaine. Je ne vais pas pouvoir cacher ça à mon mari.

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