Petit flash back.
Cela faisait un moment que je cherchais sur internet des sites me permettant de vivre de nouveau un moment caudaliste.
Ce fut lors d’un tchat que je fis la connaissance d’Olivier. Quadra, il paraissait sain d’esprit. Fort de plusieurs expériences avec des couples, il a su me mettre en confiance. Il semblait courtois, poli, et pas pressé de conclure sexuellement.
Devant mes doutes à pouvoir répondre aux exigences de Karine, il me proposa de nous joindre à un couple de quinqua qui entrainait souvent Olivier dans leurs jeux. Je n’en sus pas plus sur ce couple.
Olivier nous proposait de tous nous rencontrer chez lui. Il m’expliqua que le passage à l’acte serait plus facile car moins agressif. Il m’assurait que rien ne serait obligatoire.
Avec la condition requise, que je serais non-participant et que l’épouse du couple ne tenterait rien sur Karine, j’ai demandé à mon épouse de participer à un apéritif chez lui.
Je craignais un refus de Karine. C’était mal connaître son envie de me faire plaisir.
Le jour J, après nombreux reports de date, un début de grippe nous faisait tousser énormément. Bien qu’ayant prévenu notre hôte de notre état, celui-ci avait maintenu l’invitation.
J’étais convaincu que nous nous rendions à l’apéritif pour peu de temps. Je ne comprenais pas pourquoi Karine prenait son temps pour se préparer alors que nous prévoyons de partir tout de suite après. Un maquillage discret et élégant, le corps parfumé d’onguent, elle prenait plaisir à choisir ses sous vêtements.
De mon coté, j’enfilais une chemise noire et un pantalon noir. Je portais en dessous ma cage de chasteté, comme il se doit.
Karine me demanda qu’elle robe choisir. J’optais pour une robe en tissu au motif serpent qui se boutonne devant. La robe est simple, pas trop courte, avec un beau décolleté. Avec ses talons hauts et ses bas, ma femme est sublime. Elle me propose d’autres robes, que je rejette. Pour un simple apéritif, c’est bien suffisant et je ne vois pas le besoin d’être hyper sexy, si l’on ne doit que prendre un verre.
Durant le trajet, j’essaie de plaisanter et parler de tout et rien pour détendre l’atmosphère.
Je n’ai pas pu répondre aux nombreuses questions de Karine; Non je n’ai pas échangé de photo ; Non, je ne connais pas les prénoms ni les noms des invités, sauf celui de notre hôte, Olivier; Non je ne connais pas leurs professions; Oui ceux sont des gens de notre âge…
Finalement, le cœur battant la chamade, nous sonnons à la porte de l’appartement.
La porte s’ouvre. C est un choc pour moi. Je ne regarde pas Karine, mais je sais que notre hôte n’est pas le type d’homme qu’elle aime. Quant à l’autre couple, l’homme est un peu enveloppé, porte des bacchantes….bref pas son type non plus. Je regarde Karine d’un air désolé. Elle me fait une moue qui en dit long.
Olivier fait les présentations. Nicole, petite à la chevelure courte et noir jais, accompagne Jean-Michel.
Un verre de champagne à la main, nous allons dans le salon qui fait aussi salle à manger.
La pièce est petite. La table à droite en entrant est dressée pour manger une fondue. Mais ce qui surprend le plus, c’est le canapé, déjà ouvert, avec une couette dessus. L’invitation au libertinage est un peu forte à mon goût.
Olivier distribue les chaises. Karine est assis au fond de la pièce. A sa droite le canapé, à sa gauche Nicole, assise à coté d’Olivier. Je suis assis entre le canapé et la table, bouchant le passage à Jean-Michel qui est assis prés de la table.
Les trois protagonistes essaient de détendre l’atmosphère. Ils parlent de voyages, de leurs expériences libertines.
Karine vide plusieurs coupes de champagnes. Elle se détend un peu.
Dans un moment d’impatience, Olivier demande ce que l’on veut, si on veut passer à l’acte. Outre que seule Karine peut répondre, la question semble burlesque tant elle manque de séduction, et de raffinement.
Devant nos tergiversations et tentatives de leur demander d’agir plus adroitement, Jean-Michel se lève, et va s’asseoir sur le canapé, à coté de Karine.
Sa main se pose, sur la cuisse de Karine, pendant qu’il approche sa tête des lèvres de ma belle. J’ai le cœur qui bat la chamade, quand je vois Karine se lever. Jean-Michel, fou d’excitation, se lève d’un bond, et vient caresser les seins, les fesses de mon épouse. Il tente de l’embrasser, mais elle se défie à chaque fois.
Olivier, s’est vite fait entreprendre par Nicole, qui extirpe son sexe du pantalon. Un beau grand sexe. C’est ainsi, le sexe en bandoulière que Nicole pousse Olivier vers ma femme. De dos, il embrasse le cou de Karine, lui caresse les fesses, remonte la jupe.
Karine me regarde en riant. J’ai su après que la situation lui paraissait ubuesque et qu’elle se retenait d’éclater de rire, De mon coté, assis sur ma chaise, j’essayai de lui dire, avec mes yeux, d’arrêter. Aucun son ne sortait de ma bouche. J étais hypnotisé. Je ne bougeais plus. Je pensais que tout allait s’arrêter.
Les mains sur le corps de ma belle, se faisaient plus inquisitrices. Les doigts avaient pris possession de son intimité. Les seins sortaient du soutien gorge. Les boutons tombaient les uns après les autres. La robe chue par terre très vite de même que le soutien gorge.
La tête rejetée en arrière, appuyée sur l épaule d’Olivier, Karine subissait un jeu à quatre mains. Son intimité était visitée par ses deux partenaires sans aucune retenue. Jean-Michel tétait les seins, pendant qu’Olivier les caressait Karine masturbait pendant ce temps ces deux amants. Elle semblait s’accrocher à leur sexe comme un marin s’accroche à son embarcation pour ne pas couler.
Et l’improbable se produisit.
Jean-Michel tenta encore d’embrasser Karine. Et soudain, Karine lui rendit son baiser, mêlant sa langue à la sienne. Sous le choc de cet échange, mon érection confinée dans la cage mollit. Je me mordis les doigts.
Jean-Michel, dévêtu, s’assis sur le canapé-lit. Karine ôta son string ne gardant que ses bas et chaussures à talon. Elle s’assit à coté de Jean-Michel et recommença à l embrasser. Elle le masturbait pendant tout ce temps.
Olivier s’est fait déshabiller par Nicole. Il est si fin que son sexe paraît deux fois plus gros. Il commença à venir se mettre à genoux devant ma femme. Il commença par la lécher. Karine s’allongea en fermant les yeux. Jean-Michel la caressait doucement pendant ce temps. Leur respiration s’accélérait. Quand Olivier se redressa pour enfiler un préservatif, ma coquine en profita pour se baisser vers le sexe de Jean-Michel. Puis doucement et délicatement ses lèvres s’entrouvrirent et entourèrent le phallus dressé avant de le prendre en bouche. Sa tête montait et descendait le long de la queue bandée, selon le rythme qu’elle choisissait.
Naturellement, elle se baissa pour se mettre à quatre pattes, la tête toujours rattachée à ce sexe.
Karine finit de glisser doucement pour finir à genoux, entre les jambes de son amant. Les lèvres si douces de ma belle, rendaient fou de plaisir Jean-Michel qui du coup s’allongea, les jambes dans le vide
Le sexe turgescent, encapuchonné, Olivier s’approcha des fesses de Karine. Elles n’étaient qu’un appel au sexe ainsi tendues et offertes.
Que ma femme était belle ainsi, s’offrant en avancement lentement son joli cul vers son assaillant. D’une poussée, Olivier prit d’assaut possession de son intimité, faisant d’elle son objet. Le cri de Karine fut étouffé par le sexe de Jean-Michel.
Olivier commença à s’activer, faisant échapper des gémissements à cette beauté qui s’abandonnait à eux. Vénus s’activait sur le sexe dur de Jean-Michel, qui tentait de résister à l’orgasme.
Le sexe douloureux et comprimé, la main dans la bouche à me mordre, j assistais vaincus à l’étreinte. Une folle envie de participer se noyait dans un océan de jalousie.
Jean-Michel se repositionna sur le lit pour être entièrement allongé. Il laissait ainsi Olivier seul maitre du jeu.
Apres quelques mouvements d’aller et retour, Olivier poussa Karine sur le lit. Elle s’allongea à coté de Jean-Michel qui aussitôt l‘embrassa de nouveau. Olivier, se sentant propriétaire conquérant, la pénétra lentement. En appui sur les bras, il la pilonnait méthodiquement.
Karine fermait les yeux, acceptant les caresses de Jean-Michel sur ses seins. Ses mains couvraient les épaules de son amant qui continuait à la besogner tout occupé à son propre plaisir.
Olivier, se retira en demandant à son acolyte s’il voulait la place. Agissant comme un vainqueur, il donnait sa proie. L’empressement de Jean-Michel à se recouvrir d’un préservatif valait toutes les réponses. Il s’allongea sur Karine. Il la pourfendait tout en l ‘embrassant avec douceur.
De son coté, Nicole s’offrait, après une pipe, à son amant. Elle s’abandonna vite à son étreinte.
Je n’avais que peu de considération pour cette étreinte. Je me focalisais sur ma femme, qui embrassait tendrement en retour Jean-Michel. L ‘assaut fut long et lent, jusqu’à ce que son partenaire jouisse discrètement. Il se retira lentement et entrepris un doux cunnilingus.
N’en pouvant plus, j’approchais mes lèvres de celle de ma douce. Tendrement, elle m’offrit les siennes en retour. Notre baiser fut long et beau. Je lui murmurais des mots doux, la complimentant sur sa prestation. Je n’entendais pas ses réponses, mais j’imaginais ses frustrations.
Lorsque son partenaire, la laissa enfin. Je vis avec plaisir, le sexe ouvert de ma femme. Les petites et grandes lèvres étaient gorgées de sang et ouvertes. Elles semblaient déployées comme les ailes d’un papillon. La grotte d’amour était luisante. Comme un fou, je me suis empressé de les lécher, les aspirer.
Me rendant compte de la bêtise de mon acte, je reprenais ma place en m éloignant. Je n’allais pas gâcher la fête. Le cocu doit rester à sa place.
Karine reprenait conscience de l environnement. Assises sur le bord du canapé, elle regardait avec sourire, le sexe dressé d’Olivier. Naturellement, celui-ci s’approcha, sa queue bandée, vers Karine, lui faisant comprendre son envie. Elle n’hésita pas. Elle pris le phallus en main, commença à le caresser, le masturber. Et c’est tout naturellement qu’elle finit par l’engloutir dans sa bouche. Sa tête montait et descendait le long de la hampe. Elle léchait les petites couilles, puis le gland avant de le reprendre en bouche. Olivier poussa Karine sur le lit. Le dos allongé, les jambes pendantes, elle lui présentait son intimité. Il s’empressa de lui rendre hommage en lui léchant son clitoris.
Karine semblait se détendre. Je devinais que sa jouissance allait venir. Hélas son partenaire était bien trop impatient d atteindre lui même l’orgasme.
Olivier lui demanda si elle voulait être pénétrée de nouveau. Je m’approchais jalousement de Karine et lui demandait si elle avait envie. Dans un sourire moqueur elle me répondit par l’affirmative.
Je présentais un préservatif à son pourfendeur. Ainsi coiffé, D’un seul geste, à genoux, il prit possession de sa partenaire.
Il ne résista pas bien longtemps et sa jouissance fut rapide.
Comme dans un rêve, tout s’activa. Tout le monde se rhabilla. Ils me donnérent tous l’impression qu’il fallait manger maintenant. On devait passer à un deuxième type de nourriture terrestre, comme si le premier n’avait pas eue lieu.
J étais sonné, heureux et morose. J’avais dû mal à accepter mon cocufiage et en même temps, je remerciais Karine. « C’est ce que tu voulais », m’avait été jeté triomphalement par mon amour.
Le repas me parut long. Je lorgnais sans cesse sur les jambes de ma belle qui frôlaient celles de Jean-Michel. Mais pas de geste ni des uns ni des autres. Pas de mains sur les genoux. Pas de moquerie sur moi, pas d’humiliation, rien !!! On parlait de vacances, nourriture, vins, sans aucune allusion à ce qui s’était déroulé. Pour nos hôtes, je n’étais que voyeur. Pour moi, j étais cocu de nouveau….mais j’avais l’impression que rien ne s’était passé.
Au retour, Karine m’enleva la cage. Je lui ai fait l’amour avec autant de douceur que possible. Nous avons presque jouit ensemble. J’ai eue du mal à m endormir. Je re-visionnais les moments forts dans ma tête, attendant avec inquiétudes et envies les aiguilles à venir.
J’aurais souhaité que cela recommence le lendemain…
J’aimerais vraiment rééditer cette soirée. Maintenant que certaines barrières ont été enlevées, que certaines questions levées…Alors j’attends, je rêve…
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