Ecrit en collaboration avec GOSCh
J’avais répondu à l’invitation de ce copain qui m’avait proposé de m’héberger quelques jours pour ce déplacement professionnel. Je ne connaissais pas sa femme Michèle mais il m’avait assuré que cela ne dérangeait pas. Alain est venu me chercher à la gare. Il est déjà tard et nous arrivons chez eux vers onze heures du soir. Sa femme est couchée et nous conversons à voix feutrée pour ne pas la réveiller. Il me montre ma chambre et nous nous souhaitons une bonne nuit car je devais me lever tôt le lendemain. Vers les six heures du matin, alors que la maisonnée est encore endormie, je descends discrètement à la cuisine pour me préparer un café avant de partir.
Alain s’y trouve déjà. Nous parlons de banalités une tasse de café à la main lorsque sa femme arrive en nuisette transparente.
« Je te présente Michèle ma femme. Philippe l’ami dont je t’ai parlé ! »
Je ne peux quitter du regard ses formes généreuses que je devine sous ce voile diaphane. Après les échanges de civilité et remis de mon émotion devant cette magnifique mature, nous reprenons notre conversation. Michèle de son côté, ne semble pas gênée d’être dans une tenue aussi sexy devant un inconnu et se prépare un café, puis s’installe à nos côté à la table de la cuisine.
Je ne sens pas Alain attentif à nos propos et lui demande :
« Alain, qu’est-ce que tu as ? »
Il me répond :
« Excuse-moi, ce n’est pas toi mais c’est Michèle. »
Puis il s’adresse à sa femme sur un ton agacé et autoritaire :
« Michèle ! Tu n’oublies pas quelque chose ? »
Gêné de me sentir dans un de ces moments où un couple a besoin d’être seul, je m’apprête à les laisser. Mais Alain intervient :
« Non, non ! Reste ! »
Michèle, rouge de honte bredouille :
« Mais ? Alain ? Tu ne veux tout de même pas que….. »
Il l’interrompt :
« Et pourquoi pas ? »
3mais il y a un invité ! »
« C’est incroyable ça ! Dois-je te le rappeler tous les jours ? Tu t’y étais engagé, non ? »
« Oui bien sûr ! Mais là ? Ton ami ? … Tu ne veux pas que… s’il te plait … »
S’énervant un peu plus, il lui lance :
« Bon ! Ca suffit ! Michèle fais ce que je t’ai dis ! »
L’émotion emporte Michèle et ses yeux se mouillent de larmes. Terriblement gêné par cette situation, je me dirige vers la porte. Mais Alain, sur un ton péremptoire me lance :
« Non reste Philippe ! Reste ! Tu n’as rien à voir là-dedans. Finis de me raconter ton histoire plutôt ! Tu en étais où ? »
Pendant que je reprends la conversation où elle en était, Michèle lentement pose sa tasse, se léve, essuyant ses yeux et s’approcher de nous. Alain ne faisant plus attention à sa femme, est absorbé par notre conversation. Docile, Michèle s’agenouille devant son mari. Je n’en crois pas mes yeux et n’ose deviner la suite. Il lui lance juste :
« Enlève ta nuisette ! »
Elle dénoue la ceinture et la passe par dessus sa tête. Je ne peux détacher mes yeux de son dos et de ses fesses nues. Je la vois alors ouvrir la braguette de mon ami et se saisir de son sexe pour le dégager. Il est encore pendant quand elle le prend dans sa bouche. Je ne raconte plus mon histoire et reste bouche bée à regarder cette femme sucer son homme devant moi. Alain intervient en me demandant comme si de rien était :
« C’est incroyable ! Et ça s’est terminé comment ton histoire ? »
Je suis tellement troublé par cette femme à genoux qui suce son mari sans rien dire alors que lui me parle comme si de rien était que j’en renverse mon café par terre. Je cherche rapidement comment réparer ma bêtise quand Alain me dit toujours la bite dans la bouche de sa femme :
« C’est pas grave ! Laisse ! Elle l’essuirât après ! » Dit-il en baissant les yeux sur sa femme. Puis il rajoute :
« Regarde comme elle aime ça la cochonne ! Et tu vas voir qu’elle va réussir à me faire juter ! Tu veux tirer un coup ? Elle te le fera après avec plaisir … hein ma chérie tu le feras à Phil ? »
Elle répond d’un mouvement de tête accompagné d’un gémissement.
« Oh putain ça vient ! je vais jouir ! … Et n’avale pas le sperme, t’as compris ? Garde-le en bouche ! »
Je vois aux grimaces de mon ami qu’il vient de lui lâcher la sauce dans sa bouche. Elle le finit lentement avec une traite lente de la bite avec la main. On voit qu’elle a une longue habitude de la chose.
« Tu vas voir comme elle suce bien. ! »
Pendant qu’elle lui remet la bite dans son pantalon en reboutonnant la braguette, il lui demande :
« Fais-voir à Phil ce que je t’ai mis ! »
Michèle docile tire la langue pour montrer, mélangés à sa salive, des grumeaux blanchâtres de son sperme.
« Très bien ! maintenant va sucer Phil et surtout n’avale pas ! »
Puis poursuivant en s’adressant à moi :
« D’habitude elle n’a qu’une dose ! Mais aujourd’hui exceptionnellement puisque tu es là, elle peut en prendre deux doses ! C’est comme le sucre dans le café ! »
Pendant qu’il me parle, Michèle, toujours, à genoux se tourne vers moi. Elle m’ouvre la braguette, sort mon sexe qui pend et le met dans sa bouche déjà gluante du sperme d’Alain. Je ressentis très vite la douceur exquise d’être dans sa bouche. Sa salive et le sperme de son mari fraîchement déposé augmente considérablement ce bien être.
Avec une tel expérience, il ne lui faut pas longtemps pour que je décharge dans sa bouche.
« Putain la salope, elle me fait déjà jouir ! »
« Je te l’avais dit ! La salope mettra plus de temps à te recoudre un bouton de chemise qu’à te faire éjaculer ! »
Une fois que j’ai bien déchargé dans sa bouche, elle continue à me branler lentement pour extraire les dernières gouttes de sperme de ma bite. Ensuite en bonne femelle soumise et docile, elle me rhabille. Sa bouche, lèvres serrées, est hermétiquement fermée pour garder notre mélange de sperme comme le veut son mari. Quelle humiliation pour elle de faire ça devant un inconnu. Puis se tournant vers son mari, elle desserre les lèvres, renverse sa tête en arrière et ouvre grand la bouche pour lui prouver que tout le sperme est encore là et flotte dans sa bouche.
« Très bien, ma chérie ! Tu vas maintenant laver par terre le café ! Mais tu n’avaleras que quand on sera parti ! Compris ? »
Elle fait signe de la tête et, à quatre pattes, Michèle sans rien dire essuie le café par terre pendant qu’on se prépare à partir.
Une fois parti, Michèle honteuse d’avoir été autant humiliée avale tout le sperme qu’elle a reçu de son mari et de son copain. Mais elle reste frustrée et a besoin de soulager la tension sexuellement qu’elle a accumulé. Alors elle se saisit d’un concombre et s’envole pour des délices solitaires.
Sortis de la maison en laissant Michèle la bouche pleine et en nous dirigeant vers nos voitures respectives, j’avoue à Alain que j’étais un peu gêné du plaisir que je venais de prendre et de laisser Michèle ainsi.
« Faut pas ! Ne t’inquiète pas pour elle ! Au moment où on parle, elle a dû avaler et elle comble ses frustrations avec un concombre ou une courgette, ça dépend du frigo, pour s’adonner aux délices solitaires. »
J’ai bien essayé un jour de la laisser la journée avec une ceinture de chasteté, mais le soir c’était pire qu’une chienne en chaleur. Elle se frottait la chatte partout ! »
« Je te disais ça parce qu’au début je l’ai sentie gênée de devoir te sucer devant moi ! »
« Mouais ! Elle est encore un peu pudique en effet. Mais tu sais, ça ne pouvait pas lui faire de mal ! Elle aime la bite et elle a le feu aux fesses. Alors si on ne la force pas un peu, elle ne peut pas prendre son pied ! »
« A ce sujet, il faudra que je te dise. On m’a parlé d’un salon pour homme où chacun amène sa femelle pour les mettre en compétition les unes avec les autres ! Je voulais te demander si ça ne te gênerait pas de me prêter ta femme pour le week-end ? Avec ce que tu me dis d’elle, je suis sûr de gagner ! »
« C’est à quelle épreuve que tu veux la faire concourir ? »
« Chaque femelle monte sur scène et se masturbe. Celle qui jouit en premier a gagné ! Bien sûr elles sont filmées. Tu as des techniciens partout qui scrutent les candidates au moment de leur orgasme pour voir si ce n’est pas feint ! »
« Mais il n’y en pas qui feignent ? »
« C’est rare ! D’autant que les sanctions sont exemplaires ! La dernière que j’ai vue, elle s’est retrouvée attachée, ses trois trous offerts à la sortie aux spectateurs. Quand tu sais qu’il y a plus de cent personnes à cette manifestation ! Cent mecs sans compter leur femmes ! … et leurs chiens ! Tu imagines les mecs comment ils peuvent être excités ? Leur femme préférait la voir être défoncée plutôt que de devoir calmer leur mâle ! Non, il n’y a pas de risque qu’elles essaient de feindre ! Les caméras les prennent en gros plan sur toutes les coutures… »
« Intéressant ! »
« Je pourrais le proposer à ta femme ? »
« Mais ce n’est pas elle qui décide ! Si je te dis oui, c’est oui,. Tu pourras la prendre pour la faire concourir! Par contre, c’est quand parce qu’il va falloir lui remettre la ceinture et la chauffer à blanc jusqu’au jours du concours ! »
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