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Ecole Privée Ch. 02

Ecole Privée Ch. 02



Traduction d’un texte de « Anne ».

Avertissement : Cette fiction raconte l’humiliation et la dégradation d’une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l’âme sensible, fermez cette page. Tous les personnages de ce récit ont plus de dix-huit ans.

*********

4 — Arrivée d’un email.

Cela commença à la fin de la deuxième semaine. Après quelques jours de pluie, le week-end fut beau et elle passa son temps à bronzer dans le jardin. Elle avait consacré le samedi à remettre l’espace en ordre, mais le dimanche fut réservé à la détente et au divertissement. Ses soirées en tant que maîtresse de maison étaient pratiques et elle y allait tôt le soir. Comme elle n’était pas distraite, elle travaillait beaucoup pour ses cours. En conséquence, elle pouvait profiter de son temps libre à la maison.

Quand le soleil se coucha, elle entra à l’intérieur et s’assit devant son ordinateur. Elle vérifia sa messagerie et répondit à certains courriers. Les heures passées au soleil la laissaient légèrement en sueur, mais complètement détendue. Elle savait qu’il y avait une autre chose qui la détendrait encore plus. Elle alla sur son site Web préféré de récits érotiques et en téléchargea certains récents. Le seul inconvénient de travailler dans un pensionnat était qu’il n’y avait guère de chance de faire des rencontres. Depuis qu’elle avait rompu avec son petit ami en janvier, elle n’avait eu aucunes relations sexuelles convenables avec personne. Sauf que… elle réprima rapidement cette pensée.

Elle était peu susceptible de rencontrer quelqu’un ici. Le village le plus près était assez petit et la ville la plus proche à des dizaines de kilomètres. Elle se demanda si Nicolas était célibataire. Il semblait gentil.

Elle choisit une histoire et commença à lire. Bientôt elle n’avait plus de haut et ses mains étaient occupées sur ses seins. Aahhh que c’était bon d’être caressée, même si ce n’était que ses propres mains. Alors que l’action se développe dans le récit, une main se faufila entre ses jambes, caressa sa toison blonde et plongea dans les plis humides. Ce fut encore mieux quand elle trouva son clitoris et commença à le taquiner. Elle se pourlécha les lèvres tout en suivant l’intrigue et en caressant son clito pendant que l’homme dans l’histoire léchait la chatte de son amante. Quand il glissa entre ses jambes et la pénétra, les doigts d’Anne firent la même chose. Tout en respirant lourdement, elle les bougea de plus en plus rapidement jusqu’au moment où le couple dans l’histoire jouit une première fois.

Son cri de jouissance fut interrompu par le ping de son ordinateur. Une petite enveloppe apparut, lui indiquant qu’elle avait du courrier. Anne jura à haute voix, c’était probablement un spam stupide qui avait gâché son orgasme. Refroidie, elle cliqua pour ouvrir le message et elle fronça les sourcils.

« De : [email protected]

Pour : [email protected]

JE SAIS CE QUE TU AS FAIT CET ETE.

Plus de soutien-gorge à partir de maintenant. Montre tes nichons. »

Le message n’était pas signé. Un instant elle craignit… Mais non, comment quelqu’un pourrait-il? C’était stupide. Il était évident que des petits imbéciles s’étaient amusés à envoyer ce genre de mails à toutes sortes de gens. Anne supprima le message.

Oubliant ce courrier indésirable, elle se remit à lire. Après quelques minutes, elle alla dans sa chambre et prit son vibromasseur. C’était une belle histoire et elle se sentit très détendue à la fin.

Une autre chose se produit le lendemain pendant la pause du déjeuner. Mme MARTIN fit irruption dans la salle des professeurs :

– Regardez cette saleté que je viens de retirer du tableau d’affichage dans le hall. Je me demande quel est le gosse pervers qui l’a mis là pour que tout le monde puisse le voir. Il y a quand même des jeunes enfants qui passent constamment devant ce tableau d’affichage.

Elle posa une feuille de papier sur la table. Anne put simplement voir que c’était une photo. Elle s’approcha mais les autres professeurs étaient devant elle et lui cachaient la vue.

– Eh bien, j’ai vu pire! Commenta doucement le principal.

Mais il ajouta :

– Mais bien sûr, vous avez eu raison de la retirer immédiatement Madame MARTIN. Ce n’est peut-être pas aussi pornographique que certains documents que j’ai dû confisquer, mais ça n’a pas sa place ici. Le problème est que nous ne trouverons probablement pas le coupable. Les garçons ne vont pas se dénoncer et soutenir celui qui l’a fait. Et les filles ne voudront pas être traitées de mouchardes. Je vais quand même chercher le coupable.

Il recula et Anne put voir la photo pour la première fois. Elle blanchit. La photo montrait quatre femmes dans un club. Deux d’entre elles avaient libéré les gros seins d’une troisième et jouaient avec en plein milieu de la piste de danse.

Bien que le visage soit noirci, il n’y avait aucun doute dans l’esprit de Anne de la femme qui était sur la photo. Il y avait beaucoup de lumières stroboscopiques dans ce club. Et l’une d’elles devait être le flash d’un appareil photo. La panique saisit l’enseignante. Si quelqu’un à l’école découvrait que c’était elle, elle aurait des histoires. Correction, si quelqu’un d’autre le découvrait. Cette photo apparaissant dans cette école à ce moment précis n’était pas un simple accident. Et pourquoi avait-on pris la peine de noircir le visage? Quelqu’un savait que c’était elle.

– Tu vas bien? Tu es toute pâle Anne?

Elle fit un effort pour revenir à la réalité.

– Non, non, c’est juste que… je ne… je ne me sens pas très bien. Mais c’est bon, ça va passer.

Le professeur qui lui avait demandé (dans la confusion, elle ne pouvait même pas se rappeler son nom) ne sembla pas trop convaincu, mais s’éloigna avec un sourire encourageant. Anne s’assit dans un coin et ramassa une revue au hasard. Pour le reste de la pause déjeuner, elle se cacha derrière pour essayer de se calmer.

Elle donna ses cours de l’après-midi puis se précipita à la maison. Elle alluma son ordinateur et immédiatement elle vit clignoter l’icône lui indiquant qu’elle avait du courrier. Elle avait plusieurs messages, mais elle vit tout de suite celui qu’elle redoutait. En se mordant les lèvres, elle l’ouvrit.

« De : [email protected]

Pour : [email protected]

Tu es une grosse salope. Quand on te donne un ordre tu obéis. Il semble que tu as besoin d’apprendre la discipline. Donc demain, je m’attends à voir tes nichons se balancer librement. Et à chaque fois que tu entreras dans une salle de classe, tes mamelons seront durs et pointeront. Sinon tu apprécieras la réaction des professeurs et des étudiants regardant ta poitrine nue. Tu as le choix salope! »

Et jointe au courrier, se trouvait une nouvelle photo qu’elle reconnut instantanément. Bon sang, pourquoi était-elle allée dans ce stupide club avec Marie? C’était la dernière soirée des vacances et Marie avait voulu la célébrer. Ce club était à la mode et elle l’avait donc accompagnée. Cela lui avait tellement plu qu’elle avait bu un ou deux verres de trop. Et quand les choses commencèrent à dégénérer plus tard dans la nuit, elle avait été au centre de la fête. Elle rougit en pensant à tout ce qui c’était passé. C’était déjà grave que ces images fassent surface ici. Que d’autres choses soient révélées n’était pas pensable.

Mais cela ne résolvait pas son problème. Pourrait-elle vraiment aller à l’école sans soutien-gorge? Elle savait que ses seins étaient fermes et qu’elle pouvait se permettre de ne pas porter de soutien-gorge (bien qu’elle ne l’ait jamais fait). Mais le fait d’avoir ses tétons pointant sous le tissu attirerait l’attention de chaque élève sur sa poitrine. Elle rougit de honte simplement en pensant à cette éventualité. Peut-être qu’elle pouvait discuter avec celui qui envoyait ces mails. Elle cliqua sur « répondre » et écrivit :

« De : [email protected]

Pour : [email protected]

Attendez, qui que vous soyez. Ce que vous me demandez est déraisonnable. Je ne peux pas aller à l’école habillée de cette façon. Retrouvons-nous et discutons de ça. Je vous promets que si ça s’arrête maintenant, il n’y aura pas de conséquences. Cependant vous devez comprendre que ce que vous faites constitue du chantage. »

Elle cliqua sur « Envoyer ». A peine dix secondes s’écoulèrent avant qu’elle ne reçoive une réponse.

« De : [email protected]

Pour : [email protected]

Premièrement, bien sûr, je n’ai pas lu ce que vous venez d’écrire. Je me fiche de ce que vous pensez. Juste quelques indications, espèce de stupide salope :

* Il n’y a rien à discuter. Quand je te dis de sauter, tu sautes.

* Je ne suis pas intéressé par l’argent. Je veux juste m’amuser un peu avec toi. Et je le ferai.

* Il n’y a aucun moyen de retracer ces courriers électroniques, je passe par plusieurs serveurs.

* Si tu vas à la police, tu devras leur montrer les photos n’est-ce pas? Je suis sûr qu’ils les accrocheront sur un tableau après ton départ. Ou peut-être feront-ils du social et les donneront-ils aux ivrognes dans les cellules pour qu’ils se branlent dessus.

* Il existe plusieurs sites sur internet où je peux publier tes photos pour que tout le monde puisse les voir.

* J’ai essayé d’utiliser des mots simples pour qu’une simple idiote lécheuse de cul comme toi puisse comprendre.

* Si tu m’ennuies avec un autre mail, je montrerai ta poitrine à tout le monde.

– Maintenant : TAIS-TOI ET FAIS COMME JE DIS! »

La photo qui accompagnait ce message scella son destin. On y voyait Marie, penchée dans le club, la jupe relevée et sa culotte écartée par une fille blonde dont Anne ne se rappelait même pas le nom. Et, à côté de Marie, Anne était accroupie et passait sa langue sur la chatte de sa copine.

Anne fixa l’écran, elle était effondrée. Apparemment son maître-chanteur avait anticipé sa réponse et tous les arguments qu’elle aurait pu avancer. Il avait fait en sorte qu’elle ne puisse plus discuter avec lui. Elle secoua la tête. Il n’y avait plus rien à faire sauf… elle rougit violemment.

5 — Sans soutien-gorge.

Anne était restée éveillée la moitié de la nuit, essayant à la fois de trouver un moyen de sortir de cette situation et de trouver ce qu’elle pourrait porter, ce qui n’était pas évident.

En fin de compte elle choisit un ensemble en laine vert clair finement tricotée. Elle pouvait garder la veste fermée sur ses seins la plupart du temps. Mais elle savait que lorsqu’elle entrerait en classe, elle devrait l’enlever pour que ses tétons soient visibles.

Le temps était un peu frais pour la saison. Mais les pointes de ses seins ne bougèrent pas dans la salle des professeurs. Quand elle se dirigea vers son premier cours, elle s’aperçut qu’elle avait un problème. Ses tétons ne voulaient pas durcir. Elle essaya de passer des images érotiques dans sa tête, mais ça ne marcha pas, elle était beaucoup trop nerveuse. Ses étudiants de 2ème année semblèrent ne rien remarquer d’inhabituel. Mais il était peu probable que ce soit eux qui aient envoyé le mail. C’était trop bien pensé pour de jeunes étudiants.

Le deuxième cours était un cours d’éducation physique. Il était prévu de faire un match de basket-ball. Anne se changea et enfila un tee-shirt fin. Comme le vestiaire des professeurs était un peu froid, ses mamelons durcirent légèrement. En entrant dans le gymnase, elle vit certains jeunes garçons se donner des coups de coude et sourire. Elle se mordit les lèvres et fit comme si rien ne sortait de l’ordinaire. Elle essaya de ne pas faire de mouvements brusques, mais au fur et à mesure que le cours avançait, elle se concentra sur son travail et oublie sa tenue. Comme ses élèves n’avaient pas compris comment sauter pour faire un panier, elle demanda le ballon et elle leur montra. C’est seulement quand elle a fini sa démonstration et qu’elle a vu les visages ébahis des garçons qu’elle a réalisé qu’ils avaient dû voir bien des choses.

Son troisième cours de la journée était avec des 1ères années. Elle décida de ne prendre aucun risque et de laisser sa veste ouverte. Mais encore une fois, ses tétons ne voulurent pas durcir. Elle espéra ardemment que son maître-chanteur ne faisait pas parti de cette classe.

Le dernier cours après le déjeuner était avec ses étudiants attitrés. Elle passa la majeure partie de sa pause déjeuner à essayer de trouver un moyen de faire durcir ses tétons, comme le voulait son tourmenteur. Finalement, elle ne trouva aucune alternative à la solution drastique.

Deux portes avant sa classe il y avait des toilettes pour filles. La plupart des étudiants étaient encore dans le couloir quand elle passa. Elle se rendit directement dans les toilettes et se précipita vers un des box. Nerveusement elle posa son sac et passa une main sous son pull. Elle pinça et roula ses mamelons jusqu’à ce qu’ils soient bien durs et qu’ils pointent. Elle rougit en pensant que peut-être quelqu’un d’autre était dans les toilettes. En sortant du box, elle se vit dans le miroir. Elle eut le souffle coupé. La fine matière tricotée moulait sa poitrine et faisait ressortir ses seins. Ses tétons dépassaient d’une façon presque obscène. Elle se regarda pendant quelques secondes, mais il n’y avait aucun moyen de faire autrement. Elle prit une profonde inspiration et se dirigea vers sa salle de classe.

Son entrée provoqua un grand silence et 17 paires d’yeux se fixèrent sur sa poitrine. Elle salua en bégayant et essaya de commencer son cours le plus vite possible. Mais ça ne marcha pas. Les étudiants fixaient ses seins à chaque occasion, que ce soit fille ou garçon comme le remarqua son esprit. Elle était trop énervée pour réfléchir. Donc, au bout d’un quart d’heure, elle leur donna un travail de groupe et alla s’asseoir pour rassembler ses pensées.

Elle fut dérangée quelques minutes plus tard quand elle vit Éric MAURICE s’approcher. Serait-il…? Mais le garçon posa son manuel devant elle et lui posa une question sur un passage qu’il ne comprenait pas. Elle se concentra, consciente de sa présence à quelques centimètres d’elle. Elle lui expliqua le passage, mais quand elle leva les yeux sur son visage, elle vit qu’il regardait ses seins par-dessus le manuel. Quand il remarqua son regard, il sourit et se lécha lentement les lèvres.

– Nous avons dû être de bons élèves dernièrement. Dit-il à voix basse.

Elle le regarda, confuse. Il leva un sourcil et ajouta :

– Seuls les bons élèves reçoivent des récompenses de leurs professeurs. Et aujourd’hui, vous nous donnez beaucoup de plaisir.

Il se tourna et alla s’asseoir à son pupitre avant qu’elle ne trouve une réplique appropriée. Bon sang, elle aurait dû s’attendre à une remarque de cette sorte de cet étudiant.

De retour à la maison, elle alluma l’ordinateur avec un mauvais pressentiment. Le courrier qu’elle redoutait était arrivé quelques minutes plus tôt.

« De : [email protected]

Pour : [email protected]

Vraiment de beaux nichons, comme je pensais qu’ils seraient. Bien gros et pulpeux, ils donnent envie de mettre une grosse bite entre eux. Je suis sûr qu’ils ont dû faire bander notre vieux directeur. Et je suppose que de les montrer à tout le monde a du bien t’exciter.

Tu n’as sûrement pas pu attendre de mettre tes doigts dans ta chatte. Es-tu une salope qui se masturbe dans les toilettes entre les cours?

Toutefois il semble que tu as enfin compris. Quand je veux que tu sautes, tu sautes. Très bien.

D’ailleurs, tu peux complètement oublier les soutiens-gorges. Ta poitrine rebondit trop bien.

Tu sais ce qui va se passer si je te surprends avec un soutien-gorge n’est-ce pas? »

Anne déglutit, mais le lendemain elle retourna à l’école sans soutien-gorge. Au moins, elle ne devait plus faire durcir ses tétons.

Deux jours plus tard, elle était de nouveau de service au dortoir. Le matin elle était allée travailler en tee-shirt. Il était plus mince qu’elle ne l’aurait souhaité, mais porter quelque chose de plus chaud aurait attiré encore plus l’attention. Elle remarqua que certaines filles avaient, elles aussi, laissé leur soutien-gorge dans l’armoire. Mais leurs seins étaient beaucoup plus petits. Les regards dans les couloirs étaient toujours les mêmes. Et même dans la salle des professeurs, elle vit que certains hommes regardaient ses seins et souriaient.

Pendant la pause de midi, elle décida de faire une promenade dans le parc, à la fois pour profiter du beau temps et pour s’éloigner des regards. A l’extérieur du bâtiment principal, un groupe d’étudiants se prélassait pour apparemment prendre aussi le soleil. Elle reconnut une partie de sa classe dans le groupe, et elle leur fit signe. Ils firent aussi un signe de la main, mais certains des garçons souriaient étrangement.

Elle était en train de tourner l’angle quand quelqu’un la heurta. Elle perdit l’équilibre et serait tombée si elle n’avait pas été attrapée par une paire de bras forts. Elle se retrouva à regarder le visage de MAURICE.

– ARGH, je suis tellement désolé, et regardez le désordre que je viens de faire. Dit-il.

Elle suivit son regard et eut le souffle coupé. Le garçon tenait un verre d’eau et le liquide s’était répandu sur son tee-shirt. Le tissu collait à ses seins et ses mamelons étaient clairement visibles sous la mince matière.

– Laissez-moi vous aider! Dit MAURICE.

Il tira un mouchoir propre de sa poche et commença à le presser sur la poitrine d’Anne. Pendant quelques secondes elle fut incapable de réagir, laissant ainsi à l’étudiant le temps de tripoter ses seins à loisir. Puis elle leva la main et le gifla.

– Éloigne-toi de moi pervers! Siffla-t-elle.

Ne sachant que faire d’autre, elle se tourna et s’enfuit vers son chalet pour se changer. Elle passa devant le groupe d’élèves et elle fut suivie par les gloussements de MAURICE.

Une fois calmée, elle se demanda s’il fallait qu’elle informe le directeur. Mais que lui dire? Ils s’étaient heurtés malencontreusement, il tenait un verre d’eau et il a essayé de réparer les dégâts. Elle pouvait presque entendre sa défense devant le directeur. Mieux valait laisser les choses passer et ne plus attirer l’attention.

Puis une autre pensée la frappa. Elle avait giflé MAURICE, c’était une réaction naturelle. Mais si c’était lui le maître-chanteur? Est-ce qu’il allait prendre la gifle comme une insulte et allait publier les photos? Anxieusement, elle ouvrit sa messagerie mais fut soulagée de la voir vide.

6 — Nouvelles obligations.

Le soir, elle entra nerveusement dans le couloir du dortoir. Mais ses élèves la saluèrent de manière habituelle, avec des sourires amicaux, et des regards de plus en plus cachés sur sa poitrine rebondissante. Même MAURICE fut calme et amical, même s’il n’essaya pas de s’excuser pour ce qui s’était passé. Soulagée, elle ferma la porte de la petite chambre derrière elle et elle tenta de se concentrer sur la préparation de ses cours.

Elle travailla toute la soirée, ne s’interrompant qu’une seule fois lorsque le bruit dans le couloir devint incontrôlable. A minuit, elle fit une dernière ronde puis revint à sa petite chambre. Comme elle n’avait pas de cours les deux premières heures du lendemain, elle n’était pas pressée de dormir. Elle décida de lire un peu. Elle se déshabilla, enfila une chemise de nuit, s’allongea sur le lit et prit un livre.

Quelques minutes plus tard, elle entendit un bruit dans le couloir. Elle était sur le point de se lever lorsque la porte s’ouvrit et que MAURICE entra comme s’il était chez lui. Elle ouvrit la bouche pour le sermonner mais il lâcha quelque chose sur son ventre. Un coup d’œil lui suffit pour comprendre. Elle se mordit la lèvre. Comment diable avait-il eu ces photos?

– Bonne salope. Vous savez quand garder la bouche fermée. Dit Calmement MAURICE.

Il ferma la porte derrière lui.

– Qu’est-ce que tu veux?

Anne essaya de mettre de la colère dans sa voix, mais elle ne parut que confuse et effrayée. MAURICE leva un sourcil.

– On dirait que tu es bien la blonde proverbiale : Stupide avec des gros nichons.

Il attendit qu’elle réagisse, mais comme elle ne le fit pas, il continua :

– Je te l’ai dit, je veux m’amuser avec toi.

Il se dirigea vers le lit et s’assit. Anne s’éloigna comme s’il était pestiféré. Elle tenta de recouvrir son corps avec les couvertures.

– Sors de mon lit! Si tu essaies de me violer, je crierai et réveillerai tout le pensionnat. Siffla-t-elle.

MAURICE éclata de rire.

– Penses-tu honnêtement que je suis là pour te baiser?

Il n’essaya pas de retirer les couvertures mais posa ses mains dessus. Elle put le sentir se poser sur sa cuisse. Pendant quelques instants personne ne parla. Anne était trop énervée et MAURICE semblait se contenter de profiter de la situation. Il ramassa la photo et dit en souriant :

– J’en ai profité pour ajouter quelques commentaires. Les as-tu vu? Je suis sûr que tu les apprécieras.

– Arrête ça et dis-moi ce que tu veux. Quel genre de perversions trouves-tu amusant? L’interrompit Anne.

– Voilà, maintenant nous allons pouvoir avancer.

Le garçon sourit et continua :

– Avant de poursuivre, laisse-moi t’expliquer certaines choses. Premièrement mon père est très riche. Il veut que j’aie mon diplôme ici, mais si je ne l’ai pas ce n’est pas grave. Dans tous les cas, je reprendrai les affaires familiales, scandale ou pas. En plus, il pourra toujours me faire rentrer dans une autre école privée. Deuxièmement, je n’ai pas besoin de baiser une salope comme toi. Je peux avoir n’importe quelle fille ici à l’école. Et je les ais toutes eues. Il suffit que je porte ma main à mon entrejambe et elles accourent toutes. Mais je suis un type raisonnable comme tu as pu le remarquer.

Un autre sourire apparut sur son visage.

– je n’ai aucun intérêt de te faire virer de cet endroit. Après tout, où serait le plaisir de le faire? Et je n’ai besoin d’aucun traitement de favoritisme en classe non plus. Je suis un étudiant qui n’a que des bonnes notes. Tout ce que je veux c’est soulager l’ennui de cette école. Je dois y rester encore pendant un an et je veux que cette année soit plus intéressante, c’est tout. Et qu’y-a-t-il de plus intéressant que d’avoir son professeur salope personnelle.

Il la regarda en attendant visiblement une réponse.

– Et qu’est-ce que tu appelles « intéressant ». Murmura Anne, tenant toujours les couvertures.

– N’est-ce pas évident? Je veux une salope comme toi à mes ordres, c’est aussi simple que ça. Chaque fois que je te dis de sauter, tu sautes. Mais je ne suis pas déraisonnable dans mes exigences, tu peux demander à quelle hauteur, avant de le faire bien sûr.

Il se moquait pendant qu’elle se mordait la lèvre.

– Bien tu sais quand garder la bouche fermée. Mais au cas où tu n’aurais pas compris, laisse-moi préciser les alternatives une fois de plus. Tu peux faire ce que je dis et passer le reste de l’année scolaire ici, même si tu trouveras certaines choses… disons, un peu désagréables. Mais je suis sûr que tu as déjà fait la plupart des choses auparavant. Sinon, il est temps que tu les apprennes. Une chienne aux gros seins comme toi devrait apprécier, je sais ce que je dis. Ou alors, tu peux aller voir le directeur ou la police, et tu peux être sûre que toutes les photos apparaîtront dans l’école et sur le net. A toi de choisir.

Le silence s’éternisa. Les idées tournaient en rond dans la tête d’Anne. Elle essayait de trouver une porte de secours mais elle ne réussit pas. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre son travail et d’être humiliée à vie. Elle acquiesça :

– Je ferais ce que tu dis. Je n’ai pas d’autres choix.

– Tout à fait. Tu n’es pas aussi stupide que tu le parais. A partir de maintenant, je te possède pour un an. Tes seins, ton cul, ta chatte et toutes les autres parties de ton corps sont à moi.

Il n’y avait plus de réponse à cela alors Anne attendit.

– Maintenant que tout est réglé, il reste encore une petite chose. Tu m’as giflé. Ce n’est pas à ce genre d’obéissance que je dois m’attendre n’est-ce pas? Je devrais peut-être publier l’une de ces images non?

Il prit une des photos au hasard.

– Que penses-tu de celle-ci?

Anne écarquilla les yeux.

– Non, s’il te plaît…

Sa voix s’éteignit lorsqu’elle vit le sourire se répandre sur son visage.

– Tu comprends le dilemme salope? Mais comme je t’ai dit, je suis un gars raisonnable alors je vais te donner un moyen de t’en sortir. Tu peux me supplier de te punir d’une manière différente. Si tu me supplies bien, je pourrais décider de garder les images et choisir une autre punition.

– Que veux-tu dire par punition différente? Demanda Anne, la bouche sèche.

– Tu le sauras quand tu seras puni n’est-ce pas?

Il attendit quelques secondes.

– Bon, je suppose que je ferais mieux de télécharger cette photo sur un site web. Beaucoup d’hommes vont pouvoir se branler.

Il se leva et se dirigea vers la porte. Anne se mordit la lèvre. Quand sa main fut sur la poignée, elle retrouva sa voix.

– Non s’il te plaît…

Le garçon se tourna et la regarda. Visiblement il attendait plus.

– S’il te plaît… S’il te plaît… punis-moi.

Il sembla réfléchir.

– D’accord, tu as dit s’il te plaît. Mais une bonne supplication devrait être faite à genoux tu ne crois pas?

Elle avait envie de lui crier de sortir et d’aller se faire foutre, mais elle se retint avec beaucoup d’efforts. Lentement, elle repoussa les couvertures et glissa une jambe hors du lit. Son corps était engourdi quand elle se laissa tomber à genoux.

– S’il te plaît, punis-moi, mais ne publie pas les photos. Marmonna-t-elle.

MAURICE s’approcha et sourit, appréciant visiblement la professeure agenouillée à ses pieds en nuisette fine. Il finit par dire :

– C’est mieux. Je pense que la punition devrait correspondre au crime tu ne crois pas? Tu m’as giflé, donc je devrais te gifler ne retour. Deux fois bien sûr car c’est supposé être une punition. Mais tes joues sont déjà si rouges que ça ne se verrait pas. Et de toute façon, ça va être plus amusant ailleurs. A poil!

Anne lui lança un regard noir. Levant un nouveau sourcil, il lui montra une photo. Anne sut qu’elle était vaincue. En silence, elle, relava sa chemise de nuit par-dessus sa tête, et resta agenouillée devant lui, nue.

– Mets tes mains derrière ta tête s’il te plaît! Ordonna-t-il avec une politesse feinte.

Elle le fit et sa poitrine se dressa fièrement. Il plaça sa main droite contre son sein gauche comme s’il voulait le caresser, puis il la leva et gifla sa poitrine avec force, la faisant trembler et tressauter. Sans attendre il leva de nouveau la main et fit de même avec le sein droit, mais encore plus fort. Anne attrapa ses seins douloureux.

– Ben alors, tu ne peux pas attendre que je sois parti avant de jouer avec ta poitrine!

Il la laissa, à genoux sur le sol.

A suivre…

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