Vendredi matin, onze heures.
Je suis une fille de 28 ans, brune aux yeux gris, grande, fine, avec une jolie poitrine ronde mise en valeur par mon débardeur blanc. Et là, je somnole en ayant mal aux cheveux.
Je suis tranquillement allongée quand on frappe à ma porte. Ca m’emmerde mais ça insiste aussi. Soûlée, je vais ouvrir, et tombe sur mon voisin, petit châle de base de 19 ans. Je ne l’aime pas plus que ça, je ne le trouve pas poli. Le fils de mes voisins, des bourgeois Algérois classiques.
« Bonjour, j’ai plus de sucre chez moi, vous pourriez m’en dépanner ? »
« Ouais »
Je me dirige vers la cuisine et il me suit. Je lui en tends mais lui tend sa main et la pose sur ma chatte, laissant ses doigts aller sur mon string. Je vire sa main en riant jaune.
« T’es gentil mais t’y pense pas, rentre chez toi »
Il m’att**** les épaules et retourne contre le bar, se plaquant contre moi. Je sens sa bite dure contre mon cul.
« C’est dans ta chatte que je veux rentrer. »
Son audace de sale gamin pourri gâté me monte la tête, je retourne face à lui et me laisse glisser contre le bar, ma tête à la hauteur de sa queue, emmenant son pantalon dans la course. Une jolie queue bien faite, plus grosse que la plupart des mecs que j’ai pu me faire à l’âge de 19 ans.
Je la mets dans ma bouche et le branle par la même occasion. Il frémit et me tire les cheveux pendant que je pompe. C’est bon! Il me tire les cheveux et je remonte contre lui. Il me retourne à nouveau sauvagement et me met un, puis deux doigts dans la chatte, violemment. C’est génial. Il va vite et les secoue dans tous les sens… Je mouille
« Je m’attendais pas à ça de toi »
« T’as rien vu salope! »
Personne ne m’avait jamais traitée comme ça, mais sans que je puisse dire quoi que ce soit, il m’empale sur son chibre, me défonçant la chatte. Je cri de plaisir. Il fait de violents vas et vient, allant complètement au fond de mon trou, en me tirant toujours les cheveux. Cette manière de dominer m’étonne et me fait mouiller comme une vierge.
« Défonce-moi »
Il y va encore plus fort, j’en ai mal aux côtes à me taper contre le bar.
« Suce-moi pute »
Il se retire tout le disant et me refout par terre. Je le suce comme une dératée, je veux qu’il jouisse dans ma bouche. Mais nan. Il me pousse du pied entièrement sur le sol et se plaque sur moi, me défonçant comme un puceau trop sportif. Mais c’est trop bon, je jouis, je mouille, je crie, il ne s’arrête pas, se retire et me retourne, me calant sa bonne queue dans le cul.
Il me plaque contre le sol, sa main sur ma bouche. Il me lamine le cul, je suis comblée, c’est trop bon. Je lui dis d’y aller plus vite, plus fort, il va, il vient, il m’use… Il me met un doigt dans la chatte au même moment, puis un deuxième… Cette doublette me fait capituler. Je suis une loque
« Je savais que tu fléchirais salope, t’es ma chienne maintenant »
« Oui, quand tu veux ».
Il me donne deux trois autres bons coups de bourre et se décharge. Il me lèche le cou et me murmure à l’oreille » Je viendrai sonner de temps en temps. Taches d’être là pour que je te baise ». Il att**** son pantalon et l’enfile, puis se barre. Je reste sur le sol et me caresse. Je hais ce mec…
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