Il est midi moins quart, il fait froid, les neiges de décembre ne tombent depuis que quelques jours et déjà, la nature semble morte, il n’y a que les humains qui bravent le froid pour se rendre dans les commerces autour de moi, et les conifères recouverts de l’esprit des neiges se dressent devant la fenêtre du café dans lequel je me trouve à l’abris, au chaud, les doigts enroulés autour d’une tasse de café, mais quelle mauvaise idée, ce liquide noir ne fait qu’augmenter mon stress de la rencontrer. C’est fucking wierd quand j’y repense, de rencontrer une fille avec laquelle je suis rentré en contact via un site porno, et quand j’y pense, ce doit l’être pour elle aussi, si ça deviens sérieux, nous devrons trouver un scénario plus acceptable pour expliquer à nos proches notre rencontre. Mais bon , je suis libertin, je fais ce qui me plait avec qui ça me plait, ce n’est pas à moi de me justifier à moi-même, et cette femme me semble être quelqu’un d’aussi libre que moi, pourquoi ne pas tenter ma chance ? Le rendez-vous est à midi, mon café refroidis et je commence à penser à en prendre un autre. Je doute parce que je ne sais pas ce qu’elle veut, une baise sans lendemain ? Un amant régulier ? Un amis à qui elle peut partager des pans gênants de sa vie ? Je l’ignore et l’ignorance n’est pas un aphrodisiaque efficace.
– Bonjour !
Elle est là , elle me regarde avec un sourire rassurant, abaisse son capuchon et tire la chaise qui me fait face pour s’y assoir avec grâce. Je la regarde sans savoir quoi répondre, j’ai toujours été meilleur à l’écrit qu’à l’oral.
-Bonjour , comment vas-tu ?
Mais quelle réplique stupide , j’aurais mieux fait de me taire. Elle m’examine, je me demande si je me suis bien rasé ce matin, oui j’ai repassé trois fois.
-Je vais bien, pardon du retard, le bus n’est jamais vraiment ponctuel, tu m’attends depuis longtemps ?
– Oui, vraiment, mais ehm non, je ne suis là que depuis 30 min, le café est excellent.
– Je vais m’en commander un, ah non tiens, haha.
Elle me prend ma tasse des mains et prend une gorgée, repose la tasse sur la table et me pose une question :
-Alors , qu’aime tu faire dans la vie ?
– J’aime lire, je suis un littéraire, j’ai étudié en littérature et je compte publier un recueil bientôt, sinon j’aime bien les sports extrêmes, le paintball, airsoft, arts martiaux. J’ai une grande famille à laquelle je tiens beaucoup. Et toi ?
Alors qu’elle me raconte l’essentiel de ce qu’elle est, je tente de me rappeler chaque détails , j’ai une mémoire d’éléphant, je détaille chaque éléments de son habillement et de ce qu’elle me dit d’elle, tout en tentant de ne pas me laisser distraire par la beauté de son visage et de ses yeux qui me fixent tellement. Nous nous mettons alors à parler de nos expériences, de nos relations passés, ça clique vraiment, comme moi, pour elle, la liberté est une valeur sacrée et fondamentale. Alors que je lui raconte ma première expérience avec un couple d’amis plus âgés que moi, elle me coupe pour dire :
– Tu peux continuer ton histoire chez moi ? j’ai vraiment envie de l’entendre sans tout ce bruit…
Je me lève et elle me suit, nous sortons en nous apercevant que beaucoup de clients nous regardaient l’air de juger de notre conversation.
Arrivés chez elle, nous enlevons notre manteau et entrons dans son salon, elle m’invite à m’assoir sur son fauteuil et se dirige vers une armoire d’où elle sort une bouteille de vin.
– Tu aime le vin ? c’est un Merlot 2012
– Ouais j’adore !
Et je recommence mon histoire, nous buvons à la bouteille pour nous réchauffer, sous son manteau elle portais une chemise ample à carreaux et des jeans bleus coupe standard, elle semblait à l’aise, assise en diagonale et occupant le trois quart du sofa. Elle m’écoute, du coin de l’œil je m’aperçois qu’elle se mord les lèvres. Je prends quelques minutes pour aller aux toilettes, le café souhaitant ressortir au plus vite. Je fais ce que j’ai à faire , j’en profite pour me nettoyer un peut, alors que je ferme le robinet, j’entends des sons étranges en provenance du salon, j’ouvre la porte. Devants le cadre de porte je vois une paire de jeans qui gisent à terre , je continue mon chemin , je vois un string au coin du couloir sous un cadre d’art abstrait. En arrivant devants le sofa je la vois, assise dans la même position mais occupant la totalité du sofa, le bouchon et presque la moitié de la bouteille de vin avait disparu dans sa chatte qu’elle avait pris bien soins d’épiler et sur laquelle elle donnait de petits coups comme pour se punir de son audace. Ses seins énormes étaient gonflés par le plaisir que la honte augmentait. Je m’approche d’elle et je comprends ce que j’ai à faire pour m’assurer d’être digne de cette femme parfaite. J’enlève mes pantalons, ma chemise et mes lunettes que je jette par terre.
Ma queue se durcie de plus en plus à mesure que le spectacle est compris par mon cerveau. Sans toucher à la bouteille, je lui arrache sa chemise, ses yeux me supplient de faire quelque chose, d’éteindre le feu qui brûle ses entrailles et les miennes. Je la prend par les cheveux, elle ouvre la bouche, j’y enfonce mon gland et la moitié de ma queue avant qu’elle ne s’étouffe, sous le choc de l’étouffement, ses seins fond un petit bon et la bouteille sort légèrement de son ventre, de petites goutes de vin en sortent aussi, l’excitation est terrible. Je baisse les yeux sur son visage, elle me regarde avec ses grands yeux bleus, le regard qui veut dire : fait de moi ce que tu veux. Je ne peux plus me retenir, et il n’est pas question que mon sperme n’envahisse sa bouche sans que j’ai pu la prendre comme elle le mérite … Je prends donc la bouteille que je retire de sa chatte , elle semble se calmer , comme si je venais de briser quelque chose d’important, mais c’est mal me connaitre. Sans changer de position, je réoriente la bouteille plus bas, en direction de son cul, elle me regarde avec des yeux qui supplient. J’entre la bouteille entre ses fesses , son corps est tendu comme une corde de violon , ses seins sont pointés vers moi et ses yeux se ferment sous la douleur, POP, ma queue toujours dans sa bouche , elle pousse un cris étouffé et me mord légèrement, la vibration du cris me durcis considérablement , mon gland enflé frappe le fond de sa bouche sans pitié.
J’entreprends de l’accoter au dossier du sofa, faisant ainsi en sorte qu’elle se retrouve assise sur la bouteille et que son poids la pousse à l’intérieur d’elle. Elle ne résiste pas, sauf quand je tente de me retirer de sa bouche, je dois la tirer par les cheveux vers l’arrière. Sans changer sa position, je me glisse dans l’espace entre ses fesses et le coussin du sofa et j’entreprends de la pénétrer sans retirer la bouteille.
-Attend, c’est encore plein de vin !
– Tant mieux , haha !
– J’entre difficilement dans sa chatte dont les muscles semblaient retenir le vin en elle. Je vois la peau de ses lèvres qui s’enfoncent et tirent en elle. Elle réfugie sa tête dans le creux de mon épaule, me mord la clavicule pendant que je la pénètre sans pitié, elle s’agrippe à moi et commence à jouir, elle crie à mon oreille, je préfère devenir sourd que de m’arrêter , et puis je ne pourrais pas vraiment , elle s’est accrochée à moi comme si sa vie en dépendait, je sent ses seins pousser contre moi et la bouteille qui bouge dans son cul par la membrane, je sent son cœur qui bat après l’orgasme , plus lentement, sa respiration est saccadée, plus profonde , ses jambes tremblent légèrement.
– Ne t’arrête surtout pas, si tu t’arrêtes, on ne se revois jamais !
Cette phrase me choque , je sens la chaleur de son corps et ne peut pas m’imaginer que ce pourrait être la dernière fois. Je me retiens donc, mais l’appareil sexuel parfait de son corps, aussi généreux qu’étroit, pousse en moi un orgasme que rien ne peut retenir. Je sort au dernier moment, ma semence arrose les seins de mon amante, ses mamelons roses luisent sous la lumière chaude de la lampe.
-Ce n’est pas fini
– non en effet
Elle dit cette dernière réplique en se précipitant sur ma queue, qui arrête sa pente descendante entre les dents de cette fille lunatique qui me regarde en plissant les yeux alors que la bouteille s’enfonce dans son corps, elle me suçait avec une succion incroyable, sa langue ne connaissait pas de limite et elle me prenait par les fesses comme pour m’immobiliser en place. Elle était à genoux sur le sofa, la bouteille accotée sur le dossier se retenant à mon cul, elle semblait vouloir continuer à n’importe quel prix. Elle me suçait comme si elle pouvait lire dans ma tête, les fantasmes les plus absurdes.
– On vas dans ta chambre ?
– Pourquoi ? – dit-elle en retirant, l’espace d’un instant, mon membre de sa bouche .
– Parce que quand je vais en avoir fini avec toi, tu ne pourras plus rien faire que dormir.
Je ne savais pas qu’il était possible de voir quelqu’un sourire avec une queue dans la bouche, mais ses yeux semblaient s’illuminer de perversion et d’envies. Ses seins maculés de sperme bougeaient de manière obscène et sensuelle alors qu’elle faisait ( oui ) de la tête.
HotwifeGiraffe
….À suivre, ( si tu veux la suite , viens me parler en MP 😉
Ajouter un commentaire