2011, je vis en collocation avec mon frère qui vient d’entrer à la fac à son tour. Nous avons un petit appartement et je n’ai même pas de chambre à moi, je me contente d’occuper le canapé-lit de la pièce ouverte qui jouxte la cuisine. Nous sommes dans une petite ville et assez mal situés. Sans arrêt, voitures, motos et scooters défilent sous nos fenêtres, c’était à rendre fou. Pourtant, parfois, ça a du bon.
Je me retrouvais ce samedi là seul dans l’appartement, mon frère étant parti chez nos parents à une trentaine de kilomètres de là. J’avais préféré resté, j’étais dans une période de ma vie où nos rapports étaient conflictuels et je préférais les voir les moins possible. D’autant plus que j’avais des devoirs à faire et des dossiers de stage à préparer… Une longue journée de travail m’attendait.
Aux alentours de midi, un boucan infernal apparu : des rugissements de moto sous ma fenêtre et elle y restait ! J’étais excédé. Je décidais de sortir pour dire ma façon de penser à ce motard, mais faisant toujours preuve de courtoisie avant de me mettre à gueuler, je lui demandais en m’approchant :
« Vous avez un souci avec votre moto ? »
Le motard enleva son casque. C’était une motarde, la petite trentaine, un physique athlétique aux cheveux châtains légèrement frisés et de beaux yeux rieurs couleur noisette.
« Je suis désolée, j’ai quelques problèmes avec mon démarreur et j’étais en train de tester la machine, mais je ne le sens pas trop.
– Ah, ok. »
A vrai dire, ça ne m’intéressait pas vraiment. Mais je lui demandais ce qu’elle comptait faire. Elle me dit qu’elle devrait sans doute contacter un ami mais elle ne savait pas comment, n’ayant pas son téléphone avec elle. Je lui dis alors que j’avais mon portable chez moi, et qu’elle pouvait l’emprunter.
Tout en me remerciant vivement, elle me suivit dans mon appartement. Elle connaissait le numéro de son ami et par chance, le joignit immédiatement. Seulement, il ne pouvait venir la chercher que dans une heure !
Il faisait assez froid dehors et je n’avais pas le cœur à la mettre à la porte, alors je lui proposais de se mettre à l’aise et de lui servir un café. Elle accepta en me remerciant vivement encore une fois. Autour de ce café, nous commencèrent à discuter, à parler de nous… J’appris qu’elle était célibataire, travaillait sur des chantiers de construction et (quelle surprise) qu’elle était fan de moto. Elle me taquinait de mon apparente timidité, mais c’était surtout parce que le désir commençait à m’envahir et je m’appliquais à ne pas le laisser transparaître.
Nous nous installèrent alors sur le canapé pour mieux discuter et alors que nous discutions, je posais « innocemment » ma main sur sa cuisse… Ce qu’elle fît semblant de ne pas voir. Mais une minute plus tard, sa main frôla la mienne et se posa dessus. Elle se tût et tout en me regardant dans les yeux fît bouger ma main sur sa cuisse, de façon de plus en plus marquée… Puis alors que je ne m’y attendais pas du tout, elle prît ma main et l’amena sur son T-shirt à hauteur de sa poitrine ! Elle me dit alors :
« Mon pote arrive dans un quart d’heure, il va falloir faire vite… »
Je glissais alors mes mains sous son T-shirt et ma langue dans sa bouche. Je caressais son ventre musclé et j’entrepris de faire sortir ses petits seins (du 85B, je m’en souviens encore) de leur soutien-gorge. Du bout des doigts je taquinais ses tétons devenus durs et de la bouche je mordillais ses lèvres. Elle commençait à haleter. Elle ôta son T-shirt et son soutien-gorge en vitesse et, me prenant par les cheveux, poussa mon visage vers ses seins pour que je les prenne en bouche. Son assurance m’excitait. Je léchais goulûment, mordillais ses tétons, en faisait le tour avec ma langue… c’était bon !
Ses mains se posèrent alors sur la bosse de mon jean, et elle fît rapidement sortir mon sexe de là. Elle me masturbait puissamment, presque jusqu’à la douleur, quasiment de façon impulsive. Je m’écartais d’elle et baissa entièrement mon pantalon et mon boxer. Elle me demanda alors de m’asseoir sur le canapé et de la laisser faire. J’obéis.
Elle vient se mettre alors à genoux entre mes jambes et prit mon sexe en bouche. Elle débuta des va et vient de plus en plus profond et elle arriva à l’avaler jusqu’à la garde ! Elle s’activait compulsivement sur ma queue, la léchant, jouant avec sa langue sur le bout de mon gland et aspirant mes testicules comme si sa vie dépendait de sa capacité à bien sucer… Elle se frappa plusieurs fois les joues et la langue avec mon sexe dressé, le suça encore, puis me masturba de plus en plus vite, de plus en plus forte, la bouche grande ouverte… Et je projetais enfin ma semence dans sa bouche. Elle récolta avec les doigts se qui coulait sur la commissure de ses lèvres et les dernières gouttes au bout de mon gland et avala le tout dans un grand sourire.
« Tu es une artiste, lui dis-je en riant, sous l’effet de l’extase.
– Il faut dire que tu as un excellent pinceau avec lequel travailler ! » me répondit-elle à ce moment-là. Je n’oublierais jamais cette expression.
Son ami arrivait en voiture. Nous nous sommes rhabillés le plus rapidement possible et elle s’en alla, non sans m’avoir donné son numéro. Extasié par ce qui venait de se passer, je ne remarquais que plusieurs minutes après qu’elle avait oublié son casque de moto à côté de mon canapé-lit… Et de toute façon, elle devait aussi revenir chercher sa bécane. C’était prometteur mais le reste sera pour une autre histoire, si vous avez aimé celle-ci !
Ajouter un commentaire